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Published: 4-Jan-2013
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- Bonsoir à toutes et à tous ! Nous sommes en direct sur TV-7 depuis le stade Casanova pour assister à la cérémonie de clôture de ces formidables premiers Jeux Pédolympiques. Je serai assisté comme d'habitude de Florence Capistano et Delphine Leprince. C'est déjà terminé, hélas ces deux semaines sont passées beaucoup trop vite ! Quel bilan peut-on en tirer ma chère Florence ?
- Il y a trois choses importantes à retenir. Premièrement, ces Jeux ont constitué un magnifique message d'amour, de fraternité et de paix pour la jeunesse du monde entier. Un message d'espoir envoyé à tous les habitants de la planète terre.
- Oh que oui ! Quelle est la deuxième chose à retenir ?
- Sur un plan purement sportif et franco-français, c'est un échec relatif. Non pas un échec de nos sportives, qui se sont très bien battues et n'ont pas toujours connu la réussite, mais un échec retentissant du ministère des sports puisqu'avec zéro médaille, la délégation française repart fanny. Cet échec politique pourrait d'ailleurs avoir des conséquences aux prochaines présidentielles puisque de nombreux Français ont suivi ces Jeux.
- Surtout quand on sait que la Corse, Tahiti ou la Guyane, qui étaient français autrefois, ont eux remporté des médailles.
- Il est d'ailleurs à craindre que la Martinique et la Guadeloupe fassent sécession à cause de notre politique sportive frileuse et sans ambition.
- Et la troisième chose ?
- Sur un plan politique, ces Jeux ont renforcé l'autorité du Premier Consul de Corse, qui apparaît désormais comme un dirigeant de premier plan, moderne et progressiste, et ont donné à la jeune République Consulaire un prestige bien mérité.
- Merci Florence pour cette analyse ! Ah, la cérémonie vient de démarrer en chanson.
- Il s'agit d'après le programme de l'interprétation de la chanson "Moi Lolita", une vieille chanson folklorique corse, par un choeur de petites filles.
- Oui, les voilà qui s'installent. Oh ! Elles sont toutes nues ! Un gros plan ! Un gros plan !
- Hé, Guillaume, elles sont trop jeunes pour toi !
- Ah oui, tu as raison Delphine : le gros plan nous montre des fillettes de moins de dix ans, ce n'est pas ma tasse de café... Mais écoutons donc cette chanson, ou plutôt cet hymne.
(chanson)
- Que c'était beau ! Quelle est la suite du programme, Florence ?
- Nous allons à présent suivre un défilé de chars, comme dans les carnavals, chaque char étant consacré à un thème en relation avec la Méditerranée, c'est en tout cas ce qui est écrit sur ma fiche. Voici le premier char, consacré à la reine Cléopâtre.
- Et que dit ta fiche à son sujet ?
- Eh bien ce char a été conçu par les élèves de 4è A du collège de Calvi.
- Admirons ces dizaines de petites adolescentes déguisées en égyptiennes : coiffe typique, pagne de tissu transparent entourant les hanches, et rien d'autre. Que leurs petits seins sont jolis ! Et le pagne est suffisamment transparent pour qu'on puisse voir celles qui ont des poils pubiens.
- Regarde Cléopâtre !
- Pourquoi Delphine ? Oh, elle se déshabille ! Son char porte, au centre, une baignoire remplie... de lait, semble-t-il, et la reine, interprétée par une belle adolescente élancée, à présent complètement nue, semble hésiter à se baigner.
- Elle se fait admirer, tout simplement !
- Tu as raison Florence, elle tourne sur elle même afin que la foule admire ses formes juvéniles... Et voilà, elle se laisse glisser dans la baignoire. Deux fillettes toutes nues s'occupent de la laver.
- Sûrement des esclaves.
- En tout cas ce ne sont pas des élèves de 4è qui les interprètent, elles semblent n'avoir pas plus de onze ou douze ans. Ce sont peut-être leurs petites soeurs...
- Un deuxième char fait son apparition, Guillaume. Voyons ce que dit le programme : un hommage aux barbaresques marchands d'esclaves.
- Ah ? Le char représente une sorte de podium, il est tiré par une dizaine de jeunes garçons habillés en costume barbaresque : pantalon bouffant, gilet ouvert sur la poitrine, sabre recourbé...
- D'après la fiche c'est cette fois la classe de 3è techno du collège de Sartène qui est à l'origine de ce char. Oh !
- Oh ! Six belles adolescentes entièrement nues qui devaient être cachées quelque part dans ce char sont menées par les pirates, tenues en laisse.
- Des esclaves qu'ils ont capturées !
- Les pirates les font monter sur l'espèce de podium. On les attache à des chaînes qui joignent une poutre située au-dessus du podium. Elles sont complètement entravées. Regardez, leurs jambes sont maintenues écartées par des chaînes reliées aux bracelets métalliques qu'elles portent aux chevilles.
- C'est la position habituelle des esclaves que l'on va vendre aux enchères.
- Tiens, six pirates se placent derrière elles. Ils les agrippent à la taille et les soulèvent. Mais que font-ils Florence ?
- Ils les baisent, tout simplement. Ils les soulèvent pour mieux les empaler sur leur sexe. Cette scène symbolise la totale soumission des esclaves de ce temps, c'est ce qui est écrit sur la fiche.
- Merci pour ces précisions ! Ah, un troisième char. Amusant : le char porte une sorte de petite piscine transparente remplies d'adorables baigneuses.
- Il s'agit de sirènes, ces créatures merveilleuses mais dangereuses qui provoquaient des naufrages et qu'Ulysse dut affronter. Elles sont interprétées par les élèves de 6è et de 5è du collège Toni Rosso à Bastia.
- Quelles jolies petites gamines ! Elles sont entièrement nues à part quelques bijoux formés de coquillages, et à part des palmes aux pieds. Si j'en crois ce que je vois, les sirènes étaient donc lesbiennes, Florence ?
- Je n'ai jamais rien lu à ce sujet, mais rien ne prouve le contraire non plus, après tout. D'ailleurs il n'y avait pas d'hommes-sirènes, aussi il serait assez logique de les imaginer toutes gouines..
- En tout cas, pour gouiner ça gouine ! Regardez-moi ça : elles sont toutes sorties de l'eau et font l'amour en soixante-neuf, oh ! Et voici le quatrième char. Que dit ta fiche, Florence ?
- Voyons ça... Les élèves et professeurs du collège de Bonifaccio n'ayant pas réussi à se mettre d'accord sur le choix du thème, on a demandé aux plus belles filles du collège, désignées par un vote des professeurs, de baiser sur le char avec les collégiens de leur choix. C'est tout. Ah, pas terrible...
- Eh bien j'apprécie le spectacle ! Ce n'est peut-être pas très imaginatif, mais c'est efficace : douze adolescentes (je les ai comptées) de douze à quinze ans environ sont en train de chevaucher douze adolescents et de s'empaler sur eux en gémissant de plaisir, voilà qui illustre parfaitement l'esprit de ces Jeux.
- Oh !
- Oh ! Six autres adolescentes - nues aussi - sortent de dessous le char, toutes nues, et foncent vers le public. Elles grimpent dans les gradins et embrasssent tout le monde ! Regardez comme les gens les tripotent, oh oh ! Ah, le cinquième char !
- Il représente la Corse moderne, terre de tourisme balnéaire.
- Effectivement le char est couvert de sable, c'est une plage en miniature, et sur cette plage nous observons plusieurs couples de collégiens et collégiennes faisant l'amour, c'est vraiment charmant !, tandis qu'une troupe de danseuses en robe d'été propose une chorégraphie osée à l'arrière du char.
- Eh !
- Eh ! Ce n'est pas qu'une chorégraphie osée, c'est un vrai strip-tease : elles se désappent toutes en faisant voltiger leurs robes et leurs dessous. Et les voilà toutes nues ! De quel collège s'agit-il ?
- Ce sont les filles de 5è et 4è de l'Institution Sainte-Eulalie d'Ajaccio, un collège privé réputé très strict qui a décidé d'opter pour un mode de vie plus "naturel" depuis deux ans. Elles sont accompagnées de leurs grands frères.
- Ah... Eh bien ma foi, c'est une bonne réussite si on en croit l'ardeur des couples qui baisent sur le sable et le zêle des danseuses qui se frottent contre les barres verticales à l'arrière du char.
- Et c'est malheureusement le dernier char, Guillaume.
- Oh ! Déjà ?
- Eh oui, il ne reste plus que le discours de clôture, les feux d'artifice et une dernière surprise paraît-il. C'est le gouverneur d'Okinawa, où auront lieu les prochains Jeux, qui prononcera la dernière allocution.
- Pourquoi ce choix d'Okinawa ?
- Il y avait cinq candidatures. La candidature de Tahiti a été rejetée parce que, comme la Corse, c'est un ancien territoire français. Celle de Chypre a été écartée pour des raisons géographiques : encore une île méditerranéenne. De même avec Ibiza, pourtant très bien équipée. Rio, au Brésil, convenait parfaitement, mais a récemment accueilli les Jeux Olympiques et les championnats du Monde de football.
- De quels jeux s'agit-il ?
- Ce sont des sports non-pédolympiques, tu ne connais peut-être pas.
- Ah oui, j'ai entendu parler...
- Il restait donc Okinawa, dont la candidature a été retenue à la quasi unanimité.
- Merci Florence pour ces précisions. Pendant ce temps, le gouverneur d'Okinawa a prononcé le discours de clôture, nous y avons échappé et allons assister aux feux d'artifice, en attendant la fameuse surprise. Delphine, as-tu des indications, toi qui est toujours en contact avec les athlètes ?
- Justement, je vais les rejoindre. Mais je ne te dirai rien ! À plus !
- A plus tard Delphine ! Regardez, mesdames et messieurs, voici que toutes les concurrentes de ces Jeux entrent sur la pelouse. C'est un défilé anarchique et joyeux, ma foi très sympathique d'autant qu'elles portent les mêmes costumes que lors de la cérémonie d'ouverture ! Sais-tu combien elles sont au total, Florence ?
- Je n'ai pas les chiffres sous la main mais je dirais deux ou trois milliers.
- Un podium a été installé et une jeune concurrente y monte. J'essaie de voir de qui il s'agit...
- Elle ne porte que des bas blancs, je crois qu'elle vient donc de Corse. Ah mais c'est Sofia Bolognu, la jeune athlète de douze ans et demi qui avait prononcé le serment pédolympique.
- Quelle jolie petite brunette aux petites fesses bien appétissantes !
- Chut Guillaume, elle va prononcer une allocution.
"A l'occasion de ces premiers Jeux Pédolympiques, nous, athlètes pédolympiques du monde entier, avons décidé de battre le record du monde de la plus grande orgie. Pour cela, nous vous invitons tous à participer. Que les jeunes garçons de moins de dix-huit ans nous rejoignent sur le stade ! Que les spectatrices et spectateurs baisent à volonté dans les gradins ! Ainsi nous pourrons établir un nouveau record : une orgie de quarante mille personnes !"
(murmures et exclamations dans le stade)
- Ah, je comprends mieux pourquoi Delphine est allée voir ses collègues !
- Te rends-tu compte, Guillaume : quarante mille personnes !
- A combien se montait le précédent record ?
- Jusqu'à présent le record du Monde était détenu par le Japon, qui a organisé et filmé une partouze de cinq cents personnes en 2006. (NdlA : véridique.) Mais ce soir : quarante mille !
- En tout cas l'appel de la petite athlète a été entendu : regardez le nombre de jeunes qui descendent des gradins, et voyez tous ces spectateurs qui commencent à se déshabiller. Quant à vous, chers téléspectateurs, vous pouvez peut-être participer à distance en baisant devant la télé !
- Regarde l'image Guillaume !
- La caméra nous montre la tribune présidentielle où de nombreux chefs d'état ont accepté l'invitation du Premier Consul à assister à la clôture de ces Jeux. Vont-ils partouzer comme tout le monde ?
- J'ai bien l'impression que oui !
- En effet Florence, puisque les hommes et les femmes de la tribune présidentielle, et même leurs enfants, commencent à se déshabiller. Et cela ne traîne pas : ces hommes et femmes de pouvoir savent être efficaces lorsque c'est urgent, et les voilà tous en tenue d'Adam (et d'Eve). Regardez, certains hommes sortent leurs bites, et leurs femmes aussitôt s'agenouillent devant. Ainsi que quelques jeunes filles. Ah, on attent poliment le Premier Consul. Oui ! Il est enfin prêt et les fellations peuvent commencer. D'autres femmes et jeunes filles ont rejoint d'autres hommes et jeunes garçons, personne n'est laissé de côté, personne ne se défile ! Eh oui, nos élites veulent montrer l'exemple !
- Comment trouves-tu les jumelles du Premier Consul ?
- Ce sont lesquelles ?
- Les deux brunettes de treize ans avec des nattes et des petits anneaux fixés aux seins.
- Ah oui, elles sont en train de s'acharner sur la femme de notre propre Président de la République ! Vont-elles la convertir au saphisme ?
- Oh mais elle l'est déjà ! On voit que tu ne lis pas les potins mondins.
- Mais dis-moi, ne serait-ce pas le pape, au deuxième plan ? Il est en train d'ouvrir sa soutane ! Il ne va quand même pas...
- Tu as raison, c'est bien le saint père, Jean-Claude Premier. Il vient d'ouvrir sa soutane et présente son sexe en érection à trois petites filles béates d'admiration.
- Elles sont adorables, toutes nues à part leurs sandales, et la bouche ouverte d'étonnement.
- En fait je crois qu'elles se préparent à le sucer.
- Guillaume, Florence, m'entendez-vous ?
- Oui Wilson ?
- Oui Guillaume, Je n'ai pas pu m'EMpêcher d'écouter vos commentaires et je me DOIS de vous *donner* quelques INFORMATIONS. Vous devez *savoir* que Jean-Claude Premier est le PREMIER pape issu de la religion catholique réformée, la *RCR* comme on dit. Comme vous le savez, sa TOUTE première mesure a été d'ABOLIR le célibat du clergé, et le pape a lui même montré l'EXEMPLE en se *mariant* avec son ancienne maîtresse. Il est donc VENU, ici même, avec *toute* sa FAMILLE : sa femme Giulietta, leurs *deux* fils Marco et Paulo, et leurs *quatre* filles Anita, Bianca, Chiara et Diana.
- Je croyais que le pape avait condamné ces Jeux. Ce n'est pas ce que tu m'avais dit, Florence ?
- Je crois qu'il s'est rétracté entre temps.
- Tout à fait ma chère Florence, vous avez PARFAITEMENT raison : le pape, dans son infinie sagesse, a estimé que ces Jeux n'étaient rien d'autre qu'une preuve d'AMOUR et d'*humanité* et ne devaient donc EN AUCUN CAS être condamnés par les autorités religieuses, voire *morales*, de la communauté internationale. Toutefois, vous me permettrez une remarque peut-être SUSPICIEUSE, mais je crois, mon cher Guillaume, que ce sont surtout les INCROYABLES succès de l'équipe du Vatican qui l'ont décidé à changer son opinion. Ceci n'engage que moi, certes, et je vous DEMANDERAI de ne pas répéter cette *confidence*, mais je crois être dans le VRAI.
- Eh bien merci Wilson pour ces informations utiles et pertinentes, mais revenons à nos moutons : l'orgie est partie sur des chapeaux de roue et si la caméra reste fixée sur la tribune présidentielle, je puis vous assurer, chers téléspectateurs, que la fête est également sur la pelouse, où des milliers de jeunes garçons se sont littéralement jetés sur les milliers de jeunes filles consentantes - les athlètes du monde entier - qui ne demandaient que ça !
- Très beau spectacle aussi en tribune présidentielle. Wilson nous a présenté la famille papale, et je pense qu'elle nous offre une prestation du tonnerre.
- Tout à fait Florence, voyez comment Marco et Paulo (je ne saurais pas les distinguer) honorent la femme du chancelier d'Allemagne, tandis que l'aînée des filles du pape (quel est son prénom ?) donne son cul au chancelier.
- L'aînée, c'est Anita : le pape Jean-Claude Premier les a prénommées dans l'ordre.
- Ah, bonne idée, c'est plus facile ! Donc les deux petites qui sucent le roi du Danemark, ce doit être Chiara et Diana ?
- Non, non, on voit que tu ne lis pas la presse mondaine. Ce sont les filles de la reine de Norvège. Si tu cherches les filles de Jean-Claude Premier, regarde sur la gauche : Bianca chevauche un des princes d'Espagne, Chiara est baisée par le fils aîné du Premier Consul de Corse, et Diana par le fils cadet.
- Et qui est cette belle adolescente rousse prise par derrière par le premier ministre du Japon tout en suçant le grand-duc de Luxembourg ?
- Ah mais c'est la princesse héritière du Liechtenstein ! Elle montera sur le trône pour ses quinze ans, l'hiver prochain. Je crois d'ailleurs que Wilson est invité.
- Pouvez-vous nous en dire plus, Wilson ?
- Aaaahhh ! Ooooohhh ! Oooohhh ! Aaaahhh !
- Excusez-nous Wilson, je n'avais pas vu que vous étiez occupé. En tout cas ces merveilleuses images devraient alimenter la presse mondaine, d'ailleurs nous voyons plusieurs photographes en action. Mais ils semblent avoir du mal à prendre leurs photos, il est vrai que les gamines qui viennent de baisser leurs pantalons ne les aident pas.
- Comme j'ai hâte d'acheter le prochain numéro de certaines revues, Guillaume !.
- Ah, la caméra nous montre enfin l'ensemble du stade. Je vais donc pouvoir vous commenter, chers téléspectateurs, l'incroyable événement auquel nous assistons : des milliers et des milliers de gens, hommes, femmes, adolescents, peut-être même des enfants, qui baisent avec frénésie afin d'établir le nouveau record du monde de la plus grande orgie ! Voyez sur cette tribune comment toutes et tous sont mélangés dans le désordre le plus complet ! Notez que plus personne n'est habillé. D'ailleurs je crois que je vais en faire autant...
- Tu as raison Guillaume. Tiens, je t'apporte une admiratrice : elle s'appelle Morgane, elle a treize ans, elle voudrait un autographe. Je lui ai dit de te sucer d'abord, qu'en penses-tu ?
- Excellente idée ! Viens ici Morgane. Oh, comme tu es ravissante avec tes boucles d'oreille et... et pas grand chose d'autre ! Eh bien Florence, je crois que je vais te laisser commenter.
- Désolée, mais je ne faisais que passer : j'ai un rendez-vous en tribune présidentielle avec le ministre de la culture.
- Tu crois que c'est le moment d'interviewer un ministre ? Oui Morgane, vas-y !
- Idiot ! Ce n'est pas pour une interview, c'est pour une sodomie !
- Ah très bien. Aaahhhh ! Qu'elle est bonne, cette petite ! Continue Morgane, c'est très bien ! Pendant ce temps, chers téléspectateurs, je vous laisse regarder les images de ce stade en folie. Ooooohhh ! Attention Morgane, ça va sortiiiiiiiiiaaaaaaaaahhhhh ! Aaaaahhhh ça fait du bien ! Désolé chérie, j'ai tardé à t'avertir. Tu en as avalé ? Allez, viens sur mes genoux, je vais te tripoter un peu, toi aussi tu dois avoir envie de jouir, n'est-ce pas ? Tiens, on me parle dans l'oreillette ?... Oui monsieur le directeur... Oui monsieur le directeur... Non monsieur le directeur... J'ai bien compris monsieur le directeur... Merci monsieur le directeur... Au-revoir monsieur le directeur. Désolé Morgane, il faut que je reprenne le boulot. Eh bien, heu, chers téléspectateurs, heu, je ne sais plus quoi vous dire. Non Morgane, je suis occupé ! Je viens de me prendre un blâme, alors laisse tomber. Eh bien regardez ce spectacle incroyable ! La caméra nous montre une partie de la tribune A, ou plutôt la B je crois, où l'on voit une centaine de spectateurs honorant une centaine de spectatrices, et vice versa. Mais que fais-tu Morgane ? Non, ne t'assieds pas là, c'est ma... mon sexe. Ooohhh ! Bon, d'accord, mais vas-y doucement. Oui, heu, chers téléspectateurs, l'image montre à présent la pelouse où les jeunes athlètes de ces jeux se donnent aux garçons qui les ont rejointes mais... oh ! Il n'y a pas que des garçons, on dirait... des hommes en uniforme ? des chevaux ? Ah mais oui, c'est la Garde Nationale qui escortait les athlètes. Ooooh ! Aaaaahh ! Doucement Morgane ! Oooohh ! Reste assise tranquillement ! Regardez-moi ça : certaines concurrentes branlent les chevaux. Quelle taille ils ont ces engins ! Aaaaaaahhhh ! Morgane, non ! Punaise, elle va me refaire jouir... Oh, l'une des concurrentes, une néerlandaise je crois, ouvre sa bouche devant le sexe du cheval. Elle ne va quand même pas le sucer, c'est impossible ! Ah non, elle se contente de le branler, mais bouche ouverte. Regarde ça Morgane ! Oooooohhhh ! Oooohhhh ! La petite néerlandaise se prend une giclée de foutre équestre ! Oooohhhhh ! Ooooohhhh ! Tiens Morgane, prends ça toi aussi ! Aaaahhh !
- J'peux parler dans le micro ?
- Hé la, petite, non ! Ne touche pas au micro !
- Ouais, cool, ça marche ! Un deux trois. J'suis la copine de Morgane, je m'appelle Océane. J'pourrai baiser après elle ?
- Mais ne touche pas au matériel, j'ai un reportage à faire, moi, c'est sérieux ! D'ailleurs où en étions-nous ? Ah oui, plusieurs petites athlètes étaient en train de donner du plaisir aux chevaux de la Garde Nationale. Tiens, je vois que la Garde Nationale a aussi des chiens, et ceux-ci semblent intéresser un petit groupe d'athlète chinoises dirait-on. Oui, je reconnais la petite Shu Li, dont nous avions commenté la prestation au tir en position. Oui Morgane, tu peux t'assoir ici, la place est libre.
- Et moi, j'peux maintenant baiser ?
- Mais chut, je t'ai déjà dit de ne pas parler dans le micro ! Tu vas me faire avoir des ennuis.
- Tu me trouves moche ? Regarde mes nichons, et mon cul, et ma chatte, tu veux pas en profiter ? Tu veux pas me baiser ?
- Pas maintenant ! Et puis j'ai déjà déchargé deux fois, je ne pourrai pas le refaire.
- Jamais deux sans trois !
- Donc Shu Li et trois de ses copines sont en train de sucer les chiens de la Garde Nationale, chers téléspectateurs, et je vous laisse admirer leur ardeur qui...
- Et puis si tu me trouves moche, pourquoi tu rebandes ?
- Oh merde, j'ai oublié de remettre mon pantalon et elle a tout vu. Mais concentrons-nous sur les images de la réalisation. Ah, nous sommes revenus en tribune présidentielle. Non, ne touche pas à ça ! Je sais, ce n'est pas un micro, mais c'est pas une raison ! Non, ça n'y ressemble pas ! Mais ne mets pas la bouche, voyons !
- Un deux trois. Chers téléspectateurs, c'est Morgane qui vous parle, en direct de la tribune des commentateurs où ma copine Océane est en train de sucer Guillaume Guilledou !
- Allons bon, voilà que l'autre s'y met aussi, pffouuu... Où en étions-nous ? Et merde, elle suce trop bien ! Ah Océane ! Donc, la tribune présidentielle, où nous assistons aaaahhhhh ! Merde, elle a ressuscité ma queue ! Pendant ce temps, en tribune présidentielle, disais-je... Oh et puis foutre ! J'ai envie de baiser cette petite blondinette, et tant pis pour le reportage ! Océane, tu voulais baiser, c'est ça ?... Très bien... Oui... Alors viens sur mes genoux, je vais faire comme avec ta copine. Voilà. Tu es bien installée ? Tu sens ma queue ? Ca ne fait pas mal ? Alors allons-y. Chers téléspectateurs, han ! je vous laisse une nouvelle fois han ! contempler ces merveilleuses images, han !, mais ce sera sans moi han ! car je vais couper han ! le micro, han ! han ! Et tant pis han ! s'ils me foutent à la porte, han ! Adieu ! Han !
- Allez-y monsieur Guilledou, baisez bien ma copine, elle l'a jamais fait avec une célébrité ! Quoi ? Que je coupe le micro ? OK.
Pour ceux que ça intéresse, il faut savoir que le record du Monde de la plus grande orgie n'a finalement pas pu être homologué. En effet, les douze huissiers qui avaient été spécialement engagés à l'occasion n'ont pas pu procéder au décompte exact car, paraît-il, ils auraient été dérangés dans leur travail.
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