email
Published: 19-Aug-2012
Word Count:
Author's Profile
- Rebonjour à tous ! Nous voilà sur la plage d'Agosta afin d'assister au grand moment de la journée, l'épreuve de pédo-triathlon par équipe. On se souvient que pour la course individuelle, nos deux triathlètes vedettes s'étaient distinguées avant d'échouer pour des raisons peu avouables. Cette fois, elles devraient se donner à fond - elles ont même promis de battre leur record personnel. Avec moi ma consultante habituelle, Florence Capistano...
- Bonsoir tout le monde !
- Sur le terrain, nous avons Wilson Confort pour les interviews d'après match. Wilson, vous m'entendez ?
- Il est en train d'interviewer l'infante d'Espagne, Guillaume.
- Ah, bonsoir Corentine ! Corentine Parisi est notre deuxième intervieweuse de terrain. Tandis que Wilson est posté dans la zone officielle, Corentine sera libre d'interroger qui elle veut durant la retransmission. Corentine, tu nous appelles quand tu veux !
- OK Guillaume.
- Enfin, notre consultante spécialisée n'est autre que la vice-championne du Monde de la spécialité, Delphine Leprince, qui nous apportera son expertise. Rappelons que Delphine ne participe pas à ces Jeux car elle a récemment atteint la limite d'âge, quinze ans.
- Salut à tous !
- Tout d'abord, présentons le parcours. Florence, il s'agit du même parcours qu'avant-hier, n'est-ce pas ?
- Presque ! L'obstacle numéro cinq, le "matelas des gouines", a été supprimé. Il est remplacé par le "69 surprise".
- Le ?
- Voyons ma fiche... La concurrente doit choisir une jeune fille de l'assistance, au hasard, laquelle ne pourra bien sûr pas refuser, et devra se livrer à un soixante-neuf avec elle. On donnera aux spectatrices de moins de quinze ans un brassard rouge (rappelons que le parcours du triathlon fait partie d'une zone naturiste, ce sera donc leur seul vêtement) qui permettra à la concurrente de savoir qui choisir. Le soixante-neuf sera terminé lorsque les deux "gouines" auront joui, et un juge regardera pour le constater. Cela signifie que la spectatrice choisie au hasard devra être sérieusement excitée par la triathlète, faute de quoi ça pourrait durer, quel que soit l'excitation de la triathlète.
- Ah, j'ai hâte de voir ça ! Delphine, peux-tu nous parler de l'équipe de France ?
- Alors, il y a quatre concurrentes : Pauline Chouya, treize ans, du Cap d'Agde, et Aurélie Dormant, quatorze ans, d'Arcachon. Pauline a fini quatrième aux derniers championnats d'Europe, et Aurélie cinquième. Mais elles sont en grande forme en ce moment, et ont promis de battre leur record personnel dans ce relais. Les deux autres concurrentes sont leurs remplaçantes : Manon Lacroix, douze ans, de Vincennes, et Clémence Le Guen, douze ans elle aussi, de Roscoff. Manon et Clémence, c'est la nouvelle génération, elles sont moins rapides qu'Aurélie et Pauline, mais elles progressent et elles ont promis de tout donner.
- Dans quel ordre vont-elles courir ?
- C'est une bonne question, Guillaume. La stratégie employée par l'équipe de France est classique : c'est l'une des deux plus fortes, Aurélie, qui partira la première, afin de lancer le relais sur des bases rapides. Ensuite Clémence, puis Manon, et enfin Pauline, qui est en grande forme, pour finir. Une autre stratégie, ce serait de garder les deux meilleures pour la fin, mais en général on préfère bien lancer le relais. Et puis Pauline et Aurélie n'accepteraient pas de courir l'une après l'autre vu que ça les obligerait à un passage de relais, et elles ne peuvent pas se blairer.
- Peut-on s'attendre à des problèmes avec ces deux là, comme avant-hier ? Et les deux autres ne sont-elles pas un peu faibles ?
- Nan, elles ont promis ! Aurélie et Pauline ont signé un contrat comme quoi celle qui ne battrait pas son record personnel serait esclave sexuelle de l'autre, et je peux te dire que pour elles, ce serait la fin du Monde ! Quant à Clémence et Manon, elles n'ont pas le niveau des meilleures mondiales, mais elles courront en numéro 2 et 3, donc seront opposées à des relayeuses de second plan également.
- Donc nous allons gagner, Delphine ?
- Non, Guillaume, il ne faut pas rêver, les Kenyanes sont hors de portée. Mais on a des chances de médaille.
- Parle-nous des concurrentes.
- L'équipe du Kenya est sûre de gagner, sauf accident. Le Kenya commencera avec Nelly Korore, médaille d'or de la course individuelle, et terminera avec Louise Chingo, sa dauphine. Ils ont préféré mettre la meilleure, Nelly, dès le premier relais plutôt qu'à la fin pour être sûres d'être tranquilles sur tout le parcours. De toute façon Louise est la numéro deux de la course individuelle, donc elle sera meilleure que toutes ses concurrentes. Mais les deux autres relayeuses sont redoutables. La deuxième sera Sara Chibo, championne du Monde l'an passé à Ibiza (la course où j'ai fini deuxième). Elle a quatorze ans et ce sera sa dernière course.
- Elle ne participait pas à la course individuelle ?
- Non, y'avait que deux concurrentes par pays, et elle a fini troisième des sélections du Kenya. Quant à la troisième relayeuse, c'est Edith Kiwo, onze ans seulement, une jeune prodige qui va sûrement dominer la spécialité dans deux ou trois ans. Elle a réussi a se classer quatrième des sélections, et elle est réputée pour ses talents sexuels.
- Et les autres pays ?
- L'Allemagne ne devrait pas nous gêner, depuis la blessure de Jutta Worms. Anna-Lise Von Helmuth finira le relais mais les trois autres relayeuses sont nettement plus faibles qu'elle. Pour la médaille d'argent, je miserais plutôt sur le Japon, avec les cousines Futaku qui composent le relais : Aiko, puis Harumi en deux, Noriko en trois et Rika pour finir. Rika et Harumi sont soeurs jumelles et ont treize ans, Noriko a quatoze ans et sa soeur Aiko en a douze. Sinon, il faut se méfier des Africaines, je pense surtout aux Ivoiriennes avec les soeurs Otokoré, Emy (onze ans) en trois et Linda (treize ans) pour finir, qui ont terminé dans le top huit de la course individuelle. Et aussi aux Sénégalaises, avec Rosie Touré qui a gagné le bronze. Sa cousine Murielle Touré a fait sixième aux derniers championnats du Monde, elle aura bientôt quinze ans et je sais qu'elle veut finir sa carrière pédolympique en beauté. Elle courra le premier relais.
- Meci Delphine. En somme, la France devra rivaliser avec le Japon et les Africaines.
- Tout à fait Guillaume !
- J'ai les relayeuses ! J'ai les relayeuses !
- Oui Corentine ? Ah, nous voyons effectivement nos deux relayeuses grâce à la caméra portative. Aurélie est à gauche, la belle grande blonde aux seins pointus - ah, c'est une vraie blonde ! Et Pauline est à droite, qu'elle est jolie toute nue ! Eh, qui sont ces deux petites, à genoux, qui leur lèchent la chatte ?
- C'est Manon et Clémence, Guillaume, elles ont pour tâche d'exciter nos deux championnes pour bien les préparer.
- Merci Corentine pour ces précisions. Ah oui, qu'elles sont mignonnes, ces deux gamines de douze ans, léchant consciencieusement leurs leaders...
- Alors, Aurélie, que... comment... est-ce que... est-ce que ça va aller ?
- Ouais, ben aaaahhh ! Je vais partir à fooooooOOONNN ! OOOhhh ! Excuse, mais je vais jouiiIIIIIIIIIIIHHHHH ! OOOhhh ! Ah, c'était bon.
- Et toi, Pauline ?
- Ben, attends Clémence, tu vois pas que je parle à la télé ? Bon, ben moi je terminerai la course et mon boulot, ce sera de doubler Louise Chingo. C'est dans la poche.
- Ah, tu pense que eeeehhh ! GuilloooOOOOO !
- Je te laisse, Corentine ! Comme vous le voyez tous sur les images, notre jeune intervieweuse est à présent léchée par Clémence Le Guen, qui devait sans doute s'ennuyer. Florence, que penser de leurs réponses ?
- Eh bien Pauline semble très optimiste, mais pourquoi pas ? Delphine ?
- Si vraiment on est deuxième avant le relais de Pauline, elle a peut-être une chance car la peur d'être esclave sexuelle d'Aurélie va décupler ses forces. Mais le plus dur, ce sera d'être deuxième, et à mon avis il y a peu de chance. Manon et Clémence vont se donner à fond, mais elles sont pas au niveau pour tenir deuxièmes.
- Ah, le starter demande aux concurrentes de se placer sur la ligne. C'est parti ! Aurélie est au milieu du peloton, reconnaissable au drapeau tricolore peint au front et sur ses bras. Elle se porte en tête du peloton.
- La course est partie très vite ! Elle devrait peut-être ne pas s'énerver trop tôt !
- Ah, Delphine, ne doit-elle pas prendre des risques ?
- Si, mais là elle en fait trop...
- En effet, Aurélie est en train de s'échapper du peloton, la voilà seule en tête ! Non, Nelly Korore, la Kenyane, vient de faire la jonction. Toutes deux ont maintenant une vingtaine de mètres d'avance sur un peloton de plus en plus étiré.
- Signe que ça part trop vite. Aurélie, arrête de jouer à la plus conne !
- Aurélie vient d'accélérer, mais la Kenyane parvient à la suivre, après avoir failli être lâchée. Elle a du mal ! Et voilà déjà l'obstacle numéro un, le "banc des pipes". Voyez, des hommes sélectionnés parmi le public présentent leur queue, et la concurrente doit en choisir un et le faire jouir le plus vite possible. Aurélie en a déjà pris un en bouche, et Nelly fait de même. Les voilà qui pompent avec frénésie. Allez Aurélie, c'est pour la France !
- La vache, elle fait ça à une de ces vitesses !
- Et voici le reste du peloton, avec une Japonaise en trois, légèrement détachée, puis les autres. Ah, c'est la foire d'empoigne !
- La Japonaise est Aiko Futaku, la plus jeune des quatre cousines, et normalement la moins rapide. Si elle est déjà troisième, ça va être dur de leur chiper une médaille.
- Aurélie est déjà partie, la bave aux lèvres... ah non, c'est du foutre... alors que Nelly Korore n'a toujours pas fini ! Que c'est parti vite, chers télespectateurs !
- C'est incroyable comme elle est déchaînée. Mais j'espère qu'elle est pas partie trop vite.
- Aurélie et Nelly sont seules en tête, mais Aurélie a maintenant trente mètres d'avance sur la Kenyane et semble encore accélérer sur le sable de la plage. Derrière, nous avons la petite Futaku, puis Emy Otokoré en quatrième position. Que cette petite Africaine est mignonne ! En cinq, c'est la Russe, heu...
- Svetlana Gomyna, la championne d'Europe en titre, mais elle n'a fait que douzième de l'individuelle.
- Ah, la caméra retourne en tête de course, où Aurélie atteint déjà le deuxième obstacle, le "banc de la lèche". Elle doit lécher une des spectatrices tirée au sort dans le public. Oh, elle se précipite sur une grosse dame d'un âge respectable...
- Bien vu, les vieilles sont souvent les plus chaudes, parce qu'elles sont en manque.
- Et voici la Kenyane, mais elle a du retard.
- La Japonaise est toujours troisième, mais nettement plus loin...
- Ah, chers télespectateurs, quel match ! Regardez comment notre petite Française porte haut les couleurs de son pays et notre réputation en matière de gauloiserie : elle a la tête entre les jambes de cette grosse dame et on ne peut même pas voir ce qu'elle fait. Ah, le caméraman a approché la caméra, on y voit plus clair. Allez, fais jouir la grosse pute ! Oui ! C'est déjà fait ! Et Aurélie repart !
- Pfouu, elle m'épate, je l'ai jamais vue si efficace.
- Ah, Delphine, ça sent bon la médaille tout ça ! Alors, Florence, tu ne dis rien ?
- Je suis sans voix. Aurélie Dormant fait une course historique. C'est moi qui l'ai formée et je suis sacrément fière d'elle !
- Ah, Florence, tu as rendu un fier service à la Patrie, car Aurélie continue son festival. Le parcours sur la plage est terminé, elle enfourche à présent son vélo, ce fameux VTT à vibro-masseur intégré, qui la baise à chaque coup de pédale.
- Pas trop vite Aurélie !
- Et pourquoi pas, Delphine ?
- Parce que si elle pédale trop vite, elle va jouir, et elle risque de perdre sa lucidité. Tiens, qu'est-ce que je disais !
- En effet, mesdames et messieurs, c'est très beau à voir : notre belle adolescente de quatorze ans vient de jouir sur son vélo, mais elle parvient à en conserver le contrôle !
- Nelly revient.
- En effet Florence, la Kenyane est en train de rejoindre la française. Ah, cet orgasme est effectivement mal venu. Mais mais mais ? La Kenyane à son tour est en train de jouir.
- Elle a pédalé trop vite pour revenir sur Aurélie... Elle aurait dû gérer son effort en douceur, tant mieux pour nous !
- Tout à fait Delphine ! Eh bien nous allons nous retrouver après une courte pause commerciale, à tout de suite !
[...]
- Nous revoici sur la plage d'Agosta, pour vivre sans doute un moment historique. Le point Florence ?
- Eh bien Aurélie est toujours en tête et s'approche du pilori. La Kenyane Nelly Korore la suit de près. Derrière viennent l'Ivoirienne Emy Otokoré, puis un peu plus loin la japonaise Aiko Futaku, qui a perdu du temps depuis le parcours en VTT, et encore un peu plus loin un peloton mené par la Tahitienne Annie Paanana. On y retrouve aux avant-postes le Sénégal, l'Allemagne, la Russie et le Vatican.
- Le Vatican ?
- Oui Guillaume, les filles de la Garde Suisse sont obligatoirement pensionnaires dans le couvent papal, c'est pourquoi elles sont hyper chaudes. Elles ont du mal en endurance, mais elles sont redoutables aux obstacles.
- Merci Delphine pour ces précisions ! Voilà Aurélie au pilori. Un juge lui attache les mains, la voilà les fesses à l'air, et un spectateur vient la baiser. Oh, comme elle se tortille les fesses ! Elle a l'air en chaleur...
- C'est pour exciter le spectateur, Guillaume. Ah, elle fait ça avec une frénésie sacrée.
- Et Nelly Korore vient d'arriver. Elle aussi semble chaude... Putain, Aurélie vient de terminer, déjà ! Oui, le juge la détache, et Aurélie repart avec plein de foutre entre les jambes. C'est fantastique !
- Incroyable !
- Comme tu dis, Florence. mais Nelly a fini à son tour, tandis qu'Emy Otokoré vient se faire attacher. Aurélie est donc largement en tête et termine son parcours en VTT en roulant à fond.
- La fin du parcours est en montée et elle peut se mettre en danseuse, donc éviter un nouvel orgasme.
- C'est autorisé, Florence ?
- Bien sûr, c'est juste que c'est une position fatigante.
- Voilà, Aurélie a fini son parcours cycliste, loin devant la Kenyane. Voici le quatrième obstacle, elle doit sucer deux bites tirées au sort. Pourvu qu'elle ne choisisse pas deux homos comme avant-hier ! C'est parti. Putain de merde de foutre-au-cul, quelle rapidité, quelle ferveur, comme elle est goulue ! Allez Aurélie, pompe-les ! Pour la France ! Ouiiii ! C'est déjà fini, et les deux d'un coup ! Ah, mais c'est fabuleux !
- La vache, c'est épatant ce qu'elle fait.
- Ah oui Delphine, é-pa-tant ! Elle est repartie pour la fin du parcours, à nouveau à pied, tandis qu'arrive seulement Nelly Korore ! Nous suivons maintenant Aurélie avec la caméra de tête, elle dévale la descente à toute jambe et devrait bientôt atteindre le cinquième obstacle, le "69 surprise".
- Signalons qu'Emy Otokoré s'est faite rejoindre par la Japonaise, sans doute meilleure grimpeuse. Derrière, le peloton a explosé et c'est une Russe qui est cinquième.
- Merci Florence. Pendant ce temps, Aurélie atteint le bas de la descente, elle est bien partie pour finir en tête. La voilà devant le cinquième obstacle. Elle choisit une adolescente de son âge, la tire par la main, et un juge doit l'aider à l'amener sur un des matelas, apparemment la petite n'était pas au courant...
- C'est un bon choix, cette fille devrait savoir y faire. Vu ses cheveux blonds, ça doit être une Allemande ou une Néerlandaise, donc elle a sûrement de l'expérience : on est précoce dans ces pays.
- Bien vu Florence. Et voilà, c'est parti, les deux adolescentes sont tête-bêche et se broutent le minou ! Ah, quel joli spectacle. Miam ! La petite Allemande (ou Néerlandaise) a fini par se prendre au jeu... Quant à Aurélie, elle est toujours déchaînée et la lèche avec une ferveur toute patriotique. Oh, l'Allemande jouit déjà !
- Il faut maintenant qu'elle fasse jouir Aurélie.
- Ca ne devrait pas tarder, voyez comme notre petite Française semble être excitée. Ah, Nelly Korore arrive à son tour. Elle a du retard ! Elle choisit une grande brune qui, ma foi, a une belle tête de vicieuse.
- J'allais le dire, Guillaume, et je crois que Nelly a très bien choisi.
- Oui Florence, et je suppose que c'est un avantage d'arriver en tête. Oh, Aurélie jouit à son tour ! Elle peut repartir ! Voilà qu'elle repart, en courant à fond. Allez ma belle ! Il ne reste plus que le dernier obstacle, la "pipe à chiens", et ce sera fini... pour le premier relais du moins.
- J'pensais pas qu'on serait en tête après le premier relais. Si Clémence et Manon se débrouillent bien, on pourra viser l'argent. Ca dépend aussi des Japonaises, où sont-elles, Florence ?
- Attends Delphine, je regarde ça... Pour l'instant : 1) France, 2) Kenya, 3) Côte d'Ivoire, 4) Japon, 5) Russie, 6) Tahiti, 7) Vatican, 8) Sénégal, 9) Pays-Bas...
- Je t'interromps Florence, car Aurélie vient d'arriver au dernier obstacle. Elle choisit un chien, et voilà. Ah, elle commence par lui lécher les roubignoles.
- Léchage de couilles pour l'exciter, suivi d'un enfournement de la queue, d'abord partiel, voilà... puis total, bien joué ! Tripotage des couilles avec les doigts en simultané. C'est parfait ! Et maintenant, pompage synchronisé avec le tripotage. Oh ! Et elle termine avec un branlage à vitesse rapide... et c'est gagné ! Superbe !
- Merci Delphine pour ces commentaires techniques. Aurélie peut donc repartir. Plus que deux-cent mètres, et notre Française finit au sprint ! Ca y est, la voilà sur le plot de départ. Elle roule une pelle à Clémence Le Guen, c'est le passage de relais, c'est la France largement en tête ! C'est historique !
- Record du Monde pulvérisé ! RECORD DU MONDE PULVERISE !
- Tu as raison Delphine, le temps vient de s'afficher, Aurélie vient de battre, que dis-je, d'écrabouiller le record du Monde.
- Précisons pour les télespectateurs qu'on doit en fait parler de "meilleure performance mondiale", comme au marathon traditionnel, car les parcours de triathlon ne sont pas tous les mêmes. Néanmoins, ils sont calculés afin de générer des temps comparables à la seconde près, aussi est-il pertinent d'employer cette expression.
- Oui Florence, mais à la limite on s'en fout, ce qui compte est qu'Aurélie vient de réaliser la course du siècle !
- Ah, Nelly Korore vient seulement de terminer sa pipe, tandis que la Japonaise et l'Ivoirienne la commencent.
- Exact, Florence, quelle avance pour notre chère française !
- Guillaume, Guillaume ! J'ai Aurélie au micro.
- A toi Corentine !
- Alors, Aurélie, comment ça s'est passé ?
- Ahhh, ohhh, pfff... oh, oh... pff... Juste... que j'ai... fait de mon mieux... pff... à Pauline de jouer... On va... pff... han... gagner, j'en suis... sûre !
- Merci Aurélie, à toi Guillaume !
- Merci Corentine pour cette interview très intéressante, même si Aurélie semblait n'avoir pas repris tout à fait son souffle.
- Clémence est partie prudemment, bien joué Clémence !
- Ah, Delphine, crois-tu qu'elle pourras conserver la tête de la course ?
- Non, elle n'a aucune chance contre Sara Chibo, qui est la championne du Monde en titre et va la manger sans problème. Mais elle peut rester deuxième ou troisième, vu l'avance qu'on a.
- Eh bien malheureusement nous allons devoir rendre l'antenne puisqu'il est l'heure du journal télévisé, mais s'il se passe quelque chose vous aurez droit à des mini-flash. A tout à l'heure, on l'espère pour une médaille !
[...]
- Rebonsoir à tous ! Nous sommes avec vous pour le restant de la course, et cette fois sans interruption. Nous allons suivre la fin du triathlon par équipe où, rappelons-le, nos françaises ont une grande chance de médaille, d'autant qu'elles ont terminé le premier relais en tête ! Alors, Florence, où en est-on ?
- Eh bien la troisième relayeuse française, Manon Lacroix, vient de débuter son relais. La France est actuellement troisième...
- Seulement ?
- Oui Guillaume, mais Clémence Le Guen a fait une magnifique course...
- Bof, si elle a perdu deux places...
- Guillaume ! Attends, j'connais le triathlon français, et j'vais défendre Clémence. Tu dois bien comprendre que Sara Chibo était imbattable au deuxième relais. Tu dois comprendre aussi que Clémence et Manon n'ont pas encore le niveau des grandes compétitions internationales, elles sont jeunes et doivent progresser. Elles ne peuvent rien contre les cousines Futaku, par exemple, et c'est normal qu'Harumi Futaku lui ait facilement chipé la deuxième place. Surtout à cause du dernier obstacle, la pipe du chien, vu qu'en France on ne pratique pas trop les sports canins, contrairement au Japon par exemple. N'empêche, elle a pulvérisé son record personnel, elle est donc irréprochable, et c'est grâce à elle qu'on est encore en course pour une médaille.
- OK Delphine, pas la peine de me rouspéter.
- Ben y'a de quoi, parce que Clémence, elle a vraiment tout donné, autant qu'Aurélie. Hein Florence ?
- Tout à fait Delphine. Clémence n'est même pas dans le Top 100 mondial, et pourtant elle a réalisé le huitième temps lors du deuxième relais ! Oui, le huitième temps ! Elle a réalisé la course de sa vie ! Elle a fait beaucoup plus que le maximum qu'on lui demandait, beaucoup plus !
- Très bien, alors je retire ce que j'ai dit et présente mes plus plates excuses à Clémence Le Guen. Clémence, si tu m'entends, je te félicite pour ta course ! Et quel est le classement actuel, ma chère Florence ?
- En tête le Kenya, et de loin, qui a donc probablement course gagnée, mais on s'en doutait déjà avant le départ. Ensuite vient le Japon. Harumi Futaku, la soeur jumelle de Rika, qui avait fini quatrième dans la course individuelle, a réalisé une course splendide et a peu perdu de temps. Elles sont très loin devant notre petite Française, Manon Lacroix, qui constitue normalement le maillon faible de notre relais. Pas très loin derrière Manon, trois concurrentes se suivent de près : la Côte d'Ivoire, le Sénégal et la Russie. En septième position, le Vatican, puis en huitième l'Allemagne.
- Ah, ça va pas être facile de rester troisième, parce que les Sénégalaises et les Ivoiriennes ont de bonnes troisièmes relayeuses. Mais ce qui compte, c'est de pas trop perdre de temps pour que Pauline puisse remonter tout le monde.
- Elle en est capable, Delphine ?
- Si elle est déchaînée, oui : elle sera meilleure que Linda Otokoré et même que Rosie Touré. Et les Russes, elle sont toutes très bonnes, mais aucune n'est excellente.
- Donc que peut-on espérer pour Manon ?
- Il faut qu'elle finisse pas trop loin derrière les Africaines.
- Merci Delphine. Eh bien pendant ce petit récapitulatif, nous avons pu admirer la petite Kenyane Edith Kiwo, onze ans seulement, mais toujours en tête. Elle entame maintenant le parcours à vélo, c'est son grand point fort si j'en crois mes fiches. Nous apercevons derrière elle la Japonaise Noriko Futaku, qui semble revenir sur la Kenyane.
- Tout à fait Guillaume, et je crois que c'est une belle surprise, car les Kenyanes étaient grandes favorites. Précisons que Noriko Futaku est l'aînée des quatre cousines, et sans doute la plus talentueuse, mais aussi la plus irrégulière. Si elle est dans un grand jour, et ça lui arrive de temps en temps, nous allons avoir un final de rêve, un match Japon-Kenya qui me fait saliver, que dis-je, mouiller d'avance !
- Merci Florence pour ces précisions. Ah, la caméra nous montre enfin Manon. Oh, les autres sont déjà derrière elle !
- Pas de panique Guillaume, si elle se fait rejoindre, il lui restera à tenter de les suivre.
- Oui Delphine, mais quand même. C'est une Russe qui mène les poursuivantes.
- Ludmila Potemkina, treize ans, cinquième aux derniers championnats du Monde. C'est normalement la chef de file de son équipe, mais elle revient de blessure. Apparemment, elle a retrouvé la forme, ça peut faire mal.
- Ah la la, mais que va pouvoir faire Manon ?
- Se surpasser dans les épreuves sexuelles, où elle a fait d'énormes progrès cette année.
- La caméra nous montre à présent la tête de course. Dommage !
- Guillaume, nous sommes en train de vivre un rebondissement en tête : la cousine Futaku revient sur la petite Kenyane !
- Tu as raison Florence, et je comprends que le réalisateur préfère suivre la bataille pour l'or... Voici la Kenyane au pilori. Un spectateur baise la petite Black de onze ans, tandis qu'à son tour la belle Japonaise se fait attacher au pilori. Oh, quelle technique ! Comme elle se cabre, comme elle pousse avec son cul !
- C'est l'expérience qui parle !
- Oui Delphine, et tu t'y connais. En tout cas c'est très beau à voir, ah que j'aime cette discipline !
- Regarde la Japonaise !
- Mais oui, c'est elle qui finit la première, elle a réussi à faire décharger le grand échalas qui la baisait ! C'est maintenant le Japon en tête ! Mais la petite Kenyane a regardé comment elle faisait et s'emploie à son tour à exciter le gars derrière elle. Voilà, elle peut partir, mais elle a pris un peu de retard !
- Une précision technique : c'est une faiblesse des Africaines que ces obstacles, car elles comptent trop sur la ferveur du spectateur tiré au sort, or les spectateurs européens ne sont pas aussi chauds en général que les spectateurs africains.
- Tiens donc ? Bien, nous allons à présent attendre notre petite Française. La voilà... non ! C'est la Russe ! Et voilà la Russe au pilori, avec un ado qui se rue sur elle. Et Manon arrive seulement, avec dans son sillage les deux autres Africaines. Que c'est serré !
- Sa performance au pilori va être très importante. Elle aussi est tombée sur un ado, c'est une chance normalement. Oui, regarde Guillaume comme il la baise avec intensité. Mais la Russe a déjà fini !
- Aïe aïe aïe... Je croyais que la médaille était dans la poche.
- On n'a jamais dit ça, Guillaume !
- Je sais bien Delphine, mais tout le monde attend notre première médaille et c'était quand même une bonne occasion.
- Sois pas défaitiste ! Pauline est en forme et, surtout, après ce qu'Aurélie a fait tout à l'heure, elle va devoir faire au moins aussi bien, sinon pour elle c'est la honte. Attends, j'la connais, j'ai été capitaine de l'équipe de France et j'ai dû la gérer. Crois-moi, se faire voler la vedette par Aurélie, elle va pas supporter, alors elle va nous l'apporter, ta médaille, tu verras !
- Je prie chaque jour que Dieu fait pour que tu aies raison, Delphine... Ah, Manon est repartie, juste en même temps que les deux Africaines, mais la Russe est maintenant assez loin devant.
- La France est cinquième ou sixième, mais ce qui compte, c'est que Manon ne se fasse pas distancer.
- Fin du parcours en VTT pour la Japonaise, qui s'est précipitée vers deux spectateurs pour les sucer simultanément. Ah, cet obstacle de la double-bite est très technique, j'ai l'impression.
- Tout à fait Guillaume, c'est une véritable difficulté, et il faut surtout éviter de tomber sur deux types trop bien membrés, car si les deux bites sont trop grosses pour être prises en bouche simultanément, l'épreuve va durer plus longtemps.
- Belle image de Noriko Futaku qui pompe un grand gars poilu et un petit gros chauve. La caméra nous montre en gros plan la technique de la jeune Japonaise.
- Ses doigts ne restent pas inactifs et carressent les couilles, mais cela manque de synchronisation avec le travail de la langue. Néanmoins, sa ferveur compense.
- Exact Florence, mais la Kenyane arrive à son tour à l'obstacle, et la voilà qui suce deux bites. Elle est tombée sur deux jeunes apollons qui semblent particulièrement excités. Oh, ça ne va pas traîner ! Ah ce gros plan, que c'est beau !
- Je t'enlève le pantalon, Guillaume ?
- Oh oui, merci Delphine ! Peux-tu me sucer un peu ?
- Sûrement pas, j'veux suivre la course ! Nan, attends, je vais grimper sur tes genoux et tu pourras me baiser, ça m'gêne pas.
- Bonne idée Delphine ! Voilà, c'est mieux comme ça. Oh putain que c'est bon !
- Aaaahhhh ! Oouuîîîî !
- Ici Florence, je viens de couper le micro de ces deux dégénérés qui baisent en direct d'un événement peut-être historique. Je vous donne le classement après le parcours en VTT : 1) Japon, 2) Kenya juste derrière, 3) Russie beaucoup plus loin, 4) Côte d'Ivoire, 5) Sénégal et France au coude à coude. Les autres sont irrémédiablement lâchées. Voilà le cinquième obstacle pour Noriko Futaku, en tête de la course depuis le VTT. Elle choisit une jeune spectatrice, c'est fait ! Oh, ses parents doivent la forcer. La petite rouquine plairait sûrement à Guillaume mais il ne fait pas trop attention... Et voici un beau soixante-neuf bien saphique. La spectatrice a fait sa mijaurée lors du choix, mais semble particulièrement expérimentée. Eh, c'est même elle qui fait jouir sa partenaire la première ! C'est assez rare pour être signalé. Noriko s'emploie maintenant à fond entre jes jambes de la rouquine, d'autant qu'Edith Kiwo l'a rejointe sur le cinquième obstacle. Elle a choisi une petite Blackette, peut-être une Antillaise, en tout cas c'est un excellent choix car cette gamine de sans doute pas douze ans lui fait l'amour avec ferveur. Oh, les deux jouissent simultanément ! Ah, il faudra revoir ça au ralenti. Mais la Japonaise aussi avait joui et est repartie juste devant. Il n'y a pas dix mètres d'écart entre les deux ! La Kenyane revient à la course sur la Japonaise... oui ! Et elle la dépasse irrémédiablement ! Pendant ce temps, voici la Russe Ludmila Potemkina déjà au cinquième obstacle, elle finit très fort ! C'est mauvais pour notre éventuelle médaille. Ah, Guillaume et Delphine ont fini leurs cochonneries, je rallume leur micro...
- Me revoilà. Merci de m'avoir remplacé Florence. Donc nous avons en tête, heu... C'est à nouveau le Kenya, avec la petite Edith Kiwo, onze ans seulement mais très véloce sur le parcours qui, à travers le maquis, va nous ramener sur la plage. Le sixième obstacle est maintenant atteint, et la Kenyane choisit un chien. Et elle le suce ! Sans hésitation, comme si c'était naturel.
- Les petites Africaines sont souvent initiées à la zoophilie très jeunes, Guillaume, surtout lorsqu'on les destine aux épreuves pédolympiques.
- Tout à fait Florence. Delphine, des nouvelles de notre petite Française ?
- Comme on pouvait s'y attendre, elle est lâchée par la Sénégalaise, mais elle maintient un écart décent. Ce qui m'inquiète plus, c'est que la Russe a vraiment fait le trou. Pauline va avoir du mal à revenir sur elle.
- Ah, la caméra nous montre Manon en action ! La petite Française de douze ans est en train de terminer son soixante-neuf avec une adolescente un peu plus âgée qu'elle, qu'elle a fait jouir me dit-on dans l'oreillette. Reste pour elle à jouir à son tour, et le plus vite possible car la Sénégalaise est déjà repartie.
- Devant, la Japonaise vient de réaliser une performance hallucinante. Regardez ça, moins de deux minutes pour faire décharger son chien ! C'est donc la Japonaise qui est en tête à nouveau.
- Exact Florence, et nous avons de nouveau la tête de course sur notre écran. Oui, c'est la Japonaise Noriko Futaku qui est repartie la première, elle sprinte jusqu'au plot de départ afin de lancer le dernier relais. La voilà qui embrasse gloutonnement sa cousine Rika Futaki, quatrième de l'épreuve individuelle je le rappelle, et c'est parti pour le Japon ! Quel suspense !
- Ah, Guillaume, le Kenya a peut-être fait une erreur de laisser en dernier Louise Chingo plutôt que Nelly Korore, car si Louise est normalement un peu plus forte que Rika, l'expérience n'est pas forcément en sa faveur.
- Nous verrons bien Florence. La petite Kenyane est partie à son tour, mais elle a près de cent mètres de retard à présent. Est-ce beaucoup, Delphine ?
- Nan, c'est rien...
- Guillaume, tu vois ce que je vois ?
- Mais oui Florence, notre petite Manon est en train de sucer son chien avec une ferveur sacrée. Elle n'oublie pas de se servir de ses doigts tout en pompant la bite rouge du cabot le plus rapidement possible. Alors que l'image incrustée nous montre le passage de relais russe, c'est un superbe match entre la petite Française et son adversaire Sénégalaise.
- Et l'Ivoirienne vient seulement de finir, Guillaume, c'est très serré.
- Oui ! Le chien de Manon décharge, elle prend tout sur le visage, que c'est beau ! Le juge lui fait signe, elle peut repartir. Devant le Sénégal ! Bravo Manon ! Ah, Delphine, la petite Manon Lacroix me paraît digne de l'équipe de France, n'est-ce pas ?
- Tu parles, j'l'ai jamais vue sucer comme ça. Elle fait un relais formidable. Regarde, elle revient sur l'Ivoirienne, qui semble épuisée. Manon pique un dernier sprint ! Oui, on va partir juste derrière la Côte d'Ivoire ! Pauline est partie, allez Popo !
- Quel enthousiasme, Delphine !
- J'ai Manon au micro ! Manon au micro !
- Nous t'écoutons Corentine.
- Ben... attendez un peu... Aurélie et Clémence sont en train de lui faire la fête, elles l'embrassent à n'en plus finir.
- Nous voyons ça sur la caméra portative, c'est tout à fait charmant. Hé, on dirait qu'elles essaient d'attraper un peu du foutre qu'elle a dans la bouche.
- Ah, la voilà... Alors Manon, quelle course !
- Ouais... j'pensais pas faire si bien...
- C'est la meilleure ! Elle va nous faire gagner la médaille !
- Aurélie, tais-toi un peu ! Manon, il paraît que tu t'es surpassée au dernier obstacle ?
- Ouais... j'ai vu Aurélie à la télé, en gros plan, et ça m'a donné envie de faire aussi bien... J'crois qu'c'est ma plus belle course, j'suis fière... J'voudrais r'mercier mes parents, et puis ma prof de gym, qui m'a inscrite un jour dans un club pédolympique... c'est grâce à elle que...
- Désolé, mais ses deux coéquipières viennent de l'emmener je ne sais pas trop où...
- Merci Corentine, tu as fait ce que tu as pu ! Faisons le point, Florence, quelles sont les positions après le dernier relais ?
- La Japonaise Rika Futaku, quatrième de la course individuelle, est repartie légèrement en tête. Derrière elle, la vice-championne pédolympique Louise Chingo, du Kenya. Cette petite Kenyane de douze ans seulement est l'espoir numéro un de ce sport, et la lutte entre les deux coureuses de tête va être passionnante. En trois, assez loin mais pas tant que ça, la Russe Marina Strogova. La troisième relayeuse russe a réalisé un parcours exceptionnel, le meilleur temps de ce troisième relais, mais Strogova ne devrait pas revenir sur les deux de tête, bien trop fortes. L'Ivoirienne Linda Otokoré est nettement plus loin derrière, et rappelons qu'elle a fini septième de la course individuelle. Juste derrière elle, Pauline Chouya, France, et Rosie Touré, Sénégal, se disputent la cinquième place. Rosie a remporté avant-hier la médaille de bronze et devrait revenir sur la côte d'Ivoire, et on espère que Pauline réalisera la course de sa vie pour obtenir, qui sait, une médaille de bronze, car la Russe Strogova n'est normalement pas aussi rapide que ses poursuivantes.
- Mais l'écart avec les Russes n'est-il pas trop grand ?
- C'est le problème... Delphine n'avait pas trop parlé des Russes avant la course et je crois qu'on les a tous sous-estimées.
- En tout cas, quel départ canon de Pauline !
- Mais elle est folle de partir si vite ! Elle a déjà rejoint Linda, qu'est-ce qui lui prend !
- Mais oui, tu as raison Delphine, Pauline a pris la quatrième place. Premier obstacle, le "banc à pipes". Oh, quelle ardeur, quelle frénésie ! Et le mec qui décharge ! Déjà !
- C'est dingue, elle a mis moins d'une minute !
- Exact Florence, le temps s'affiche à l'écran, cinquante-huit secondes et deux dixièmes ! Et la France est maintenant bonne quatrième ! Ah, la caméra nous montre la lutte devant. La Kenyane est remontée sur la Japonaise et la passe facilement ! Décidemment, cette petite Louise Chingo semble déchaînée. Elle enfourche son vélo, et c'est parti pour la montrée en VTT avec le vibro-masseur intégré. Eh, elles ont donc déjà passé le deuxième obstacle. Exact, la réalisation nous montre à présent la Russe sur le "banc de la lèche". Miam, elle a l'air d'aimer ça !
- Marina est bi, tout le monde sait ça !
- Merci Delphine pour ces précisions.
- Regarde ça, Guillaume, Pauline revient sur elle, on la voit arriver à l'arrière-plan. C'est incroyable, à croire qu'elle a pris un raccourci !
- Mais oui Florence, Pauline est en train de faire un course extraordinaire. Espérons qu'elle n'est pas partie trop vite.
- Elle a le feu au cul, à cause du marché avec Aurélie. J'crois qu'on va avoir une course sensationnelle. Regardez ses yeux exorbités, elle est dans un état second.
- Tu as raison Delphine, elle semble comme habitée par le démon du sexe. Regarde-la lécher cette belle jeune femme. Et elle la fait jouir ! Déjà ! C'est inouï !
- Elle me fait presque peur, j'l'ai jamais vu comme ça, avec ces yeux...
- Un point sur la course, Florence ?
- La Kenyane Chingo a pris la tête et creuse l'écart. Je pense que Rika Futaku gère son effort, en tout cas elle limite les dégâts. Toutes deux vont bientôt atteindre le pilori. Derrière, la Russe Strogova se maintient en troisième place, mais Pauline revient sur elle à une allure folle.
- Oui, la voilà déjà dans sa roue ! Et elle la dépasse, sans un regard. Pauline est troisième ! La France est troisième ! Enfin une médaille !
- Elle appuie sur les pédales avec une sorte de rage sacrée, Delphine a raison de signaler son regard halluciné, on dirait une mutante. Quelle rage !
- Tout à fait Florence, Pauline est maintenant en train de grimper la côte à toute allure, en danseuse.
- On va gagner. J'l'ai jamais vue comme ça, on va gagner.
- Tu crois que c'est la peur d'être l'esclave sexuelle d'Aurélie qui...
- Evidemment ! En tout cas je suis fière de moi, parce que c'était mon idée !
- Exact Delphine, c'était une idée géniale. Oh ! Ah ! Extraordinaire ! Pauline est maintenant en vue de la Japonaise !
- Déjà ? Mais c'est impossible...
- Mais si Florence. Tandis que la petite Kenyane quitte le pilori, nous voyons la Japonaise y entrer, et Pauline est juste derrière. Et voilà ! Un grand Noir athlétique baise Pauline, qui ne cesse de faire aller et venir son petit cul. Et il jouit ! Déjà ! C'est dingue !
- Florence, Guillaume, je vous quitte, je veux aller rejoindre l'équipe de France, elle va gagner je vous dis, elle va faire qu'une bouchée de cette petite salope de Louise Chingo !
- Vas-y Delphine, après tout tu auras contribué à ce triomphe. C'est incroyable, voici Pauline partie à la poursuite de la Kenyane, alors que la Japonaise est toujours coincée au pilori, baisée par derrière par un adolescent boutonneux mais, ma foi, plutôt excité.
- Ah, Guillaume, je ne sais que dire. Tu as raison, nous allons vivre une soirée historique. Tu sais quoi, je crois que Pauline veut surtout battre le record d'Aurélie. Et elle est partie pour le pulvériser !
- Louise Chingo, la petite Kenyane de douze ans qui mène la course depuis pratiquement le début de ce dernier relais, sent maintenant derrière son joli petit cul le souffle rageur de notre représentante, Pauline Chouya, qui est en train de refaire son retard sur cette fin de parcours à VTT, marquée par le quatrième obstacle, la double-pipe. Oui ! Oui, mesdames et messieurs, oui ! Oui ! Allez Pauline ! La Kenyane commence sa double-pipe alors qu'arrive - déjà ! - notre Pauline bien aimée, notre Pauline nationale ! Et Pauline enfourne les deux pipes, et la voilà qui suce, qui pompe, qui... oh ! Elle se prend une décharge ! Mais elle continue avec l'autre bite qui... une deuxième décharge ! Pauline a déjà fini ! Elle va pouvoir repartir en tête ! Oui, en tête ! La France est en tête ! Mesdames et messieurs, c'est une médaille d'or qui se profile ! Une médaille d'or historique !
- Je ne comprends pas comment elle a fait. Elle vient, elle suce, les deux gars déchargent, elle repart, merci au-revoir à la prochaine.
- Pauline est en tête de la course, et la voilà qui disparaît à l'horizon alors que la Kenyane termine seulement sa double-pipe. Et voici maintenant la Japonaise, qui semble finir fort puisqu'elle atteint à son tour le quatrième obstacle. La caméra revient sur Pauline, qui court à toute allure. Elle atteint déjà le cinquième obstacle ! Elle se rue sur une grande Black maigre et la jette littéralement sur le matelas. C'est parti. Oh ! Sa partenaire jouit déjà ! Reste à son tour à jouir. Oh ! Pauline jouit ! Mais ça ne faisait que commencer !
- C'est gagné Guillaume, il ne reste plus que la pipe du chien, et elle a trop d'avance pour être battue ! Mais, que fait-elle ?
- Pauline s'est précipitée sur une autre jeune fille et la pousse sur un matelas. Je ne comprends pas, il faut s'en faire deux pour le dernier relais ?
- Attends, je regarde mes fiches, je ne crois pas.
- Regarde, un officiel est en train de tirer Pauline de son matelas, il lui explique quelque chose.
- C'est bien ce que je crains, Pauline s'est plantée, elle a dû croire qu'il fallait s'en faire deux.
- En tout cas elle est rapide, voilà ! Elle a encore joui, et sa partenaire aussi ! Oh, voici Louise Chingo à présent. Mais Pauline est toujours largement en tête puisque la Kenyane vient seulement de commencer. Mais... Oh non ! Elle repart dans le public et se donne à une autre femme. Mais elle est complètement folle
- C'est pas vrai, Guillaume, c'est pas vrai !
- Corentine, est-ce que tu m'entends ? Est-ce que l'équipe de France sait ce qu'il se passe ?
- Oui Guillaume, elles sont toutes paniquées, mais un juge vient de venir pour rappeler qu'elles ne peuvent pas intervenir. Ah, Delphine vient de me rejoindre, je te la passe.
- Guillaume, c'est une catastrophe. Alors qu'elle était sur les bases de pulvériser le nouveau record du Monde d'Aurélie, elle vient de perdre la tête. Je ne comprends pas, je vais aller voir...
- Merci Delphine. Et maintenant... que dire ?
- Eh bien oui, que dire ? Que dire sinon que pendant ce temps, Louise Chingo a repris la tête et court vers le dernier obstacle, alors que Pauline est maintenant en train de se donner à deux spectateurs à la fois. Elle a perdu la boule !
- Oui Florence... Les images de Pauline à genoux avec une bite qui lui défonce le cul et une bite qui lui remplit la bouche pourraient être charmantes si elles n'en étaient pas à ce point dramatiques. Car la Japonaise vient à son tour de terminer l'obstacle numéro cinq et entame la fin de son parcours. Déjà, au loin, nous voyons arriver la Sénégalaise Linda Touré, qui termine son parcours en trombe. Elle vient juste de dépasser la Russe. Quant à Pauline, c'est une catastrophe, la voici maintenant en train de chevaucher un jeune homme blond, musclé et bronzé. Elle est en train de se donner à tous les spectateurs.
- Elle continue à les faire jouir à une vitesse hallucinante, mais à quoi bon ? Ah, j'en pleurerais !
- Moi aussi Florence. Nous avions course gagnée...
- Ici Corentine. Aurélie et Delphine sont parties aux nouvelles, je suis restée avec Clémence et Manon, qui sont inconsolables. Elles avaient tout donné, tout, pour cette médaille, elles avaient réalisé la course de leur vie, et Pauline vient de tout gâcher. Je n'ose pas les interviewer. Est-ce que je devrais ?
- Non Corentine, tu as raison, respectons leur peine. Et tu as raison de rappeler que c'est tout le travail de l'équipe de France que Pauline vient de saboter. Aurélie aura battu le record du Monde pour rien. Et Clémence et Manon, qui n'ont que douze ans, et qui ont pourtant livré leur petit corps juvénile avec l'efficacité d'une pute de bordel islandais, les pauvres, viennent de vivre - n'ayons pas peur des mots - le plus grand fiasco de l'histoire du sport pédolympique français. Non : du sport français tout court.
- Tout à fait Guillaume. C'est une journée noire pour le sport français...
- Pour la France, Florence : c'est une journée de deuil *pour la France* ! Ah, je n'ai même pas le coeur de suivre la course. La caméra montre des triathlètes franchissant la ligne d'arrivée, mais ça ne m'intéresse plus. Tiens, retour sur Pauline, en train de se faire enculer à présent par un vieil homme aux cheveux blancs. Que dire, que dire sinon que c'est affligeant ? Florence, peux-tu faire le point pour nos télespectateurs ?
- Eh bien... Le Kenya a remporté l'épreuve. Ensuite, deuxième, le Japon. C'est la Russie qui a remporté le bronze, après un sprint à suspense contre le Sénégal. Le Sénégal était légèrement en avance au sixème obstacle, mais Marina Strogova a sucé son chien plus rapidement et elles sont toutes deux partie ensemble pour un dernier sprint final sur la plage, remporté par la Russe. Du coup le Sénégal échoue au pied du podium, ce qui explique les larmes de Murielle Touré, dont c'était la dernière course. En cinquième position, la Côte d'Ivoire, puis assez loin en sixième position, l'Allemagne. Septième, les Etats-Unis et huitième, le Vatican. Les autres ne sont pas encore arrivés.
- Ah la la, ah la la la la... Que dire, ma chère Florence, mais que dire ? Le ciel vient de nous tomber sur la tête.
- Guillaume, Florence, je suis avec Aurélie.
- Oui Delphine, nous t'écoutons.
- Aurélie est en larmes mais veux bien parler. Elle a quelque chose à dire.
- C'que j'ai à dire, c'est que Pauline, y faut plus jamais la sélectionner. C'est qu'une merdeuse. Voilà ! J'avoue que j'lui ai mis plein de bâtons dans les roues pour lui gâcher sa carrière, c'est vrai, j'avoue qu'c'est moi qui ai commencé, OK, j'avoue que souvent c'était au détriment de l'équipe, d'accord, mais on avait promis toutes les deux d'arrêter nos conneries pour cette course. Et elle a recommencé !
- Est-ce que tu sais ce qui lui est arrivé ?
- Nan, et j'veux pas le savoir. J'veux plus jamais la voir ! Qu'elle aille se faire enculer par le diable !
- Elle doit être ton esclave sexuelle...
- Nan, j'veux plus la voir, tant pis pour ça.
- Aurélie vient de partir, c'est... la pauvre, je ne l'ai jamais vue pleurer ainsi. Pauline est à côté de nous, elle continue à se donner à tous les spectateurs mais on ne peut rien obtenir d'elle.
- Merci Delphine. Florence, as-tu une idée ? Allo ? Ah, j'ai Wilson Confort. Peut-être a-t-il des informations ?
- Oui, bonsoir Guillaume, bonsoir Florence, je suis ici *EN* DIRECT de la tribune consulaire avec monsieur le Premier Consul de Corse *EN* PERSONNE. Alors, Monsieur le...
- On s'en fout Wilson ! Alors Florence, comment expliquer le comportement de Pauline ? Etait-elle tellement excitée qu'elle a perdu le contrôle d'elle-même ?
- Oui, c'est sans doute ça, mais c'est impossible, à moins qu'elle se soit dopée. Oh putain, oui, c'est ça ! Elle a dû se doper. Ca expliquerait ses yeux... Delphine, tu es là ?
- Oui Florence ?
- Cours acheter un bidon de sel de bromure et noie Pauline dedans !
- Du sel de bromure ? Oh putain la salope, j'vois ce que tu veux dire ! Si jamais elle a fait ça, j'la tue ! J'y vais.
- Florence, crois-tu que Delphine va en trouver facilement ?
- Non, tu as raison, il faut l'aider. Chers télespectateurs, si vous êtes en Corse, non loin de la plage d'Agosta, et si vous travaillez dans l'industrie du bromure, s'il vous plaît, apportez-en à Delphine. Vous la reconnaîtrez facilement : elle est toute nue, car ça m'étonnerait qu'elle ait pris le temps de se rhabiller en sortant de la zone naturiste.
- Bon, eh bien je crois que le mieux est d'en profiter pour passer une page de publicité.
[...]
- Nous reprenons l'antenne pour cette fin de soirée. Oui Delphine, alors ?
- Ben, je me suis faite aborder par un inconnu. J'm'étais même pas rhabillée, alors j'ai eu un peu peur, mais c'était un type sympa, il m'a donné un bidon de sel de bromure contre une simple gâterie. Bon. Là je suis dans sa voiture, et on retourne à la plage.
- Florence, peux-tu nous donner quelques explications ?
- Je soupçonne Pauline d'avoir pris un produit aphrodisiaque très fort, de sorte qu'elle ne contrôle plus ses pulsions. Ca expliquerait avec quelle rapidité elle avait passé les obstacles. Pour l'arrêter, il faut la couvrir de sel de bromure, car tout le monde sait que le bromure tue l'excitation sexuelle.
- Ah bon ? Eh bien merci pour ces précisions. En attendant, puisqu'il n'y a rien d'autre à faire, redonnons la parole à Wilson Confort. A vous Wilson.
- ... disait qu'il était RAVI et *SUBJUGUE* par la beauté de ces jeunes athlètes au corps de rêve, et qu'il ESPERAIT pouvoir inviter dans son palais les *MEILLEURES* d'entre elles afin de leur rendre le JUSTE hommage qu'elles méritent. MERCI monsieur le Premier Consul, au nom de tous les télespectateurs qui vous ont écouté avec une ATTENTION - je n'en doute pas - heu... attentive, merci, disais-je, pour ces impressions très intéressantes. A vous Guillaume.
- Merci Wilson ! Ah, Delphine nous appelle à nouveau. La caméra itinérante nous la montre avec Pauline, qui semble avoir repris ses esprits. Oh, elle regarde ses pieds et pleure à chaudes larmes. Décidemment, tout le monde pleure aujourd'hui. Delphine ?
- Vas-y Pauline. Tu dois des explications à toute la France.
- Ben... J'voulais faire d'mon mieux... alors j'ai ingurgité un produit que j'ai trouvé sur internet... c'est un concentré à base de corne de rhinocéros, de foutre d'âne et de... oh, je sais plus... je sais même pas comment ça s'appelle. Y paraît qu'les acteurs porno en prennent souvent...
- Han, tu as pris de l'EPX ?
- Ouais, c'est ça... j'voulais bien faire... j'avais peur de décevoir... mais j'pensais pas qu'c'était... si fort.
- Mais tu es folle ! C'est rigoureusement interdit aux ados, tout le monde sait que les effets sont décuplés dans un corps qui n'a pas fini sa croissance.
- Justement... j'croyais qu'ce serait une bonne idée... Bouuuhhh comme j'ai honte... J'voulais pas tout gâcher, j'le jure... C'était pour aider... Et j'ai tout gâché. J'demande pardon à tous. J'sais bien qu'personne ne voudra me pardonner, mais j'demande pardon. Pardon Clémence, pardon Manon... pardon... pardon...
- Et Aurélie ?
- Pardon à ceux qui... ont cru en moi. J'voulais pas qu'ça s'finisse comme ça... Mais... j'arrête le sport pédolympique. J'en ai marre... Quand j'suis arrivée, Aurélie a pas arrêtée d'me mettre des bâtons dans les roues... par jalousie... et moi j'faisais d'mon mieux... et elle me sabotait tout... j'voulais juste un peu de reconnaissance... qu'on m'aime... bouuuuhhh... et aujourd'hui j'ai tout gâché... J'en ai marre... j'suis bonne qu'à tout gâcher... Pardon... pardon... pardon...
- Pauline ? Ah, elle s'en va... Les officiels de la délégation française viennent d'arriver, je pense que ça va barder...
- Merci Delphine. Eh bien je crains que les excuses de cette petite connasse n'aient pas le moins du monde touché les Français qu'elle a, rappelons-le, cocufiés - oui, je dis bien cocufiés, et je pèse mes mots - et qu'il ne lui reste plus, effectivement, qu'à foutre le camp. Qu'on ne la revoie plus jamais ! Et c'est sur ce souhait que, chers télespectateurs, nous allons vous quitter. Rendez-vous demain, en espérant des jours meilleurs !
The reviewing period for this story has ended. |