Epreuve De Lutte Et Concours De Tournante

- Chères télespectatrices, chers télespectateurs, bonjour à tous ! Nous sommes avec vous en direct du Palais Omnisport d'Ajaccio où se déroulent en ce moment les derniers quarts de finale de lutte pédolympique. Nous avons assisté ce matin, malheureusement, à l'élimination de Coralie Royal dans la catégorie des douze ans, mais nous espérons nous rattraper avec le match très attendu entre notre belle Agnès Gilardi et la jolie Belge Céline Dubois, dans la catégorie quatorze ans. Que pouvons-dire de cette rencontre, Florence ?

- Eh bien d'abord qu'Agnès est notre dernière représentante puisque toutes les autres lutteuses françaises ont été éliminées soit hier au premier tour, soit ce matin en quart de finale. Ensuite, précisons que les deux lutteuses sont de force comparable, le match est donc très indécis.

- Ah, voilà l'entrée des deux concurrentes. Elles sont habillées comme le veut le règlement d'une toute petite jupette, d'un tee-shirt sans manches et de deux bracelets en velcro serrés autour des poignets et des chevilles. Agnès est à gauche, une jolie brune fine et élancée. Céline est à droite, un peu plus petite, avec des cheveux noirs très longs et un sourire ravageur...

- Déjà amoureux Guillaume ?

- Non, car même si la jolie Namuroise me plaît bien, je me dois de supporter notre petite Française !

- Voilà qui est bien parlé !

- Ah, le match est parti ! Rappelons pour les téléspectateurs qui nous rejoindraient que le but du jeu est de déshabiller complètement son adversaire puis de la pousser vers le bord de la fosse afin qu'un arbitre s'empare d'elle...

- Oui, et précisons qu'à partir des quarts de finale dans les catégories treize et quatorze ans, on remplace la fellation par un coït.

- Un quoi ?

- Celle qui a perdu la manche ne devra plus sucer l'arbitre mais se faire baiser.

- Ah bon ? Mais c'est merveilleux ! Enfin, je veux dire... c'est très intéressant.

- En tout cas c'est bien parti pour notre petite Française...

- Tout à fait Florence, elle a déjà descendu la jupette de Céline Dubois, qui n'arrive plus à rester debout car celle-ci est restée coincée autour de ses genoux. Oui ! Elle lui a arraché tous ses bracelets ! Allez, vire-moi ce tee-shirt ! Fous-la à poil ! Allez Agnès ! Oui ! C'est gagné !

- Encore faut-il pousser l'adversaire vers le bord de la fosse, et Céline se débat...

- Ah la la, la petite Belge vient de déchirer le tee-shirt d'Agnès. Mais celle-ci réussit un joli croc-en-jambe et n'a plus qu'à pousser son adversaire... Et voilà ! Un arbitre tire la petite Belge par les bras, la première manche est gagnée !

- Son but va être de baiser le plus vite possible car si elle remporte la seconde manche, les deux filles seront départagées par le chrono.

- Eh bien, l'arbitre et la Belge ont l'air de discuter ?

- Tout à fait Guillaume, car c'est à la concurrente de choisir la position. Ah, elle vient de demander à chevaucher l'arbitre.

- En effet, notre arbitre s'allonge sur le dos, et Céline Dubois défait son pantalon. Elle le branle un peu pour le faire bander. Elle a le droit ?

- Oui, mais pas plus de trente secondes.

- Et voilà, c'est parti ! Oh quel spectacle ! La jeune Belge de quatorze ans chevauche cet arbitre plutôt svelte et élégant et semble y mettre plein d'ardeur...

- Normal, elle doit faire le meilleur chrono possible.

- Ah quelle ardeur ! Elle s'est empalée sur lui et, en se servant de ses jambes, elles monte et descend à un rythme soutenu. D'ailleurs le public l'encourage en frappant des mains en cadence, au même rythme que ses va-et-vient ! Je remarque qu'elle caresse la poitrine de l'arbitre pour ajouter à son excitation, bien vu !

- C'est un geste technique courant à ce niveau de compétition.

- Va-t-elle faire jouir cet homme ? En tout cas je doute qu'il soit gay, vu comme il semble prendre du plaisir. Et vois comme il caresse frénétiquement les seins de l'adolescente.

- Tu as raison Guillaume, on dirait qu'il prend son pied, le vieux cochon !

- Et on le comprend ! La jolie Belge accentue ses mouvements de haut en bas pour hâter l'orgasme de l'arbitre. Mais écoutez-la, je crois que c'est elle qui est en train de jouir ! Et regardez comme elle se cabre !

- Ce n'est pas très malin, elle devrait se concentrer sur sa tâche...

- Oh ! Les deux jouissent en même temps !

- Alors je retire ce que j'ai dit. En tout cas son temps est plutôt bon : 5'05", mais on peut faire mieux. Surtout qu'Agnès est une pédo-athlète expérimentée.

- La seconde manche va commencer. La jeune Belge est poussée dans la fosse. Notez son sourire : visiblement elle a bien apprécié l'épreuve de... comment disais-tu ? Bref, de baise. Au diable le jargon technique !

- Je crois que ça lui a fait du bien : vois comme elle semble plus offensive à présent.

- C'est vrai Florence, elle se rue sur notre petite Française. Oh ! Elle lui a déchiré la jupe !

- Pourtant celle-ci est très solide.

- Agnès Gilardi tente à nouveau de la pousser vers le bord de la fosse, mais Céline Dubois en profite pour lui enlever les bracelets en velcro. Oui ! A présent les deux concurrentes sont entièrement nues. Et ma foi fort jolies ! Allez Agnès, pousse-la !

- Attention, son adversaire est maintenant déchaînée...

- Oh non, c'est la Belge qui a poussé Agnès vers le rebord ! Elle égalise donc à une manche partout. A Agnès de se faire baiser, c'est bien ça ?

- Exact. Le chrono à battre : 5'05". Ce n'est pas insurmontable, mais il ne faudra pas faire d'erreur.

- Agnès discute avec l'arbitre et le branle rapidement. Ah, elle se couche sur le dos, lève les jambes et les écarte.

- Tout à fait Guillaume, position classique, elle ne prend pas de risque.

- Et l'arbitre la baise ! Il s'est agenouillé devant elle et vient de la pénétrer en deux temps et trois mouvements (si vous me permettez cette expression). Agnès Gilardi ne reste pas inactive, elle se déhanche en même temps que l'arbitre.

- Normal, c'est à elle de provoquer l'orgasme, pas à l'arbitre.

- Quelle ardeur ! Comme la jeune Belge, notre petite Française y met tout son coeur. Elle ne se contente pas d'être baisée, elle s'avance et recule, en fait c'est pour ainsi dire elle qui baise l'arbitre. Regardez ça !

- Déjà deux minutes d'écoulées. Attention, l'arbitre a l'air assez indifférent. Ah, Agnès l'a remarqué : elle lui fait des oeillades et se caresse les seins, bien joué !

- Le public frappe dans les mains, j'espère que ça va encourager notre représentante...

- C'est bon, elle a accéléré le rythme et l'arbitre se donne maintenant à fond.

- Oui Florence, elle va le faire. Elle va le faire ! Allez Agnès, fais-le jouir !

- Bientôt cinq minutes, ça va se jouer à pas grand chose...

- Allez ! Oui ? Ah non, pas encore.

- Trop tard Guillaume, on a dépassé le temps de Céline Dubois.

- Et l'arbitre jouit enfin ! Ah quel dommage !

- 5'14". Neuf secondes d'écart seulement !

- Eh bien c'est une véritable bérézina à laquelle nous venons d'assister puisque toutes nos lutteuses sont hélas éliminées.

- Mais Agnès n'a pas démérité, elle n'a pas à rougir de cette élimination.

- Tout à fait Florence, elle a été éliminée, mais avec les honneurs !

- Guillaume ? Florence ?

- Oui Delphine ?

- Je suis au bord de la fosse avec Céline Dubois, qui vient de passer les cinq minutes les plus stressantes de sa vie je crois.

- Oh oui Delphine, j'ai même prié pour que le temps passe plus vite. Mais quel soulagement !

- Tu étais sûre de battre Agnès, mais ça n'a pas été si simple ?

- C'est parce que j'ai totalement raté ma première manche. Mais je ne commettrai plus cette erreur. Je suis venue pour apporter un titre à la Belgique et je ferai honneur à mon pays. Le monde entier saura que la Belgique est un petit pays par la taille, mais un grand pays par le sexe.

- Merci Céline, et encore toutes mes félicitations !

- Et merci Delphine pour l'interview. Est-ce qu'Agnès est disponible ?

- Je préfère la laisser tranquille, Guillaume, elle est prostrée au bord de la fosse... Je l'interviewerai plus tard.

- Tu as raison. Et puis il va être l'heure de rendre l'antenne pour le journal de treize heures. Mais je rappelle que nous nous retrouverons en fin d'après-midi pour le concours de tournante, une épreuve que nous attendons tous avec impatience ! A tout à l'heure !

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- Eh bien re-bonjour à toutes et à tous. Si vous nous rejoignez, sachez que nous allons suivre les demi-finales de tournante pédolympique, une épreuve où, je crois, la France a de très bonnes chances de médaille. Je me tourne vers ma consultante Florence Capistano, qu'en est-il exactement ?

- Tout à fait Guillaume, puisque parmi les deux meilleures tourneuses du Monde - c'est ainsi qu'on appelle les concurrentes dans cette discipline - on trouve notre compatriote Justine Sainte-Rose, qui vient de la Martinique. Elle sera favorite, mais attention, encore faut-il se qualifier pour la finale, ce qui n'est pas aisé.

- Peux-tu nous décrire cette épreuve ?

- Eh bien c'est très simple... Voyez ces installations : il y a un cercle extérieur, fixe, formé de six fauteuils très confortables, et un cercle intérieur, mobile, formé de six compartiments. Il peut tourner dans le sens des aiguilles d'une montre à l'intérieur du cercle des fauteuils. Ce cercle intérieur, qu'on appelle le manège (car c'est le cercle mobile) entoure une grande table ronde capitonnée qui tourne avec lui.

- Et comment se déroule l'épreuve ?

- Six concurrentes (seulement quatre en finale) sont placées dans les compartiments, qui sont choisis par tirage au sort. Par ailleurs on désigne six juges qui vont s'assoir sur les fauteuils. Leurs mains seront attachées dans leur dos afin que seules les concurrentes puissent les exciter. Le terme de juge est mal choisi puisqu'il n'auront aucun jugement à effectuer, il se réfère à une époque où les concours de tournantes étaient une épreuve notée, comme la gymnastique par exemple. Aujourd'hui c'est une épreuve de rapidité.

- Elles doivent donc sucer le plus vite possible ?

- Oui et non. Car au bout d'une minute, une cloche sonne et le manège (le cercle intérieur) tourne d'un cran. Les concurrentes sont alors face à un nouveau juge. Elles doivent alors se donner à lui : soit en se couchant sur la table centrale, sur le dos, jambes écartées et levées, soit en se penchant sur cette table afin de présenter leur derrière.

- Ah !

- Mais au bout d'une minute, à nouveau retentit la cloche, et à nouveau le manège tourne. Les concurrentes doivent alors sucer le juge qui leur fait face. On continue ainsi en alternant rapports buccaux et rapports vaginaux.

- Heu...

- Excuse-moi, j'employais le jargon technique. Je disais qu'on alterne : les concurrentes sucent, puis baisent, puis sucent, puis baisent, et ainsi de suite. La première qui fait décharger un juge remporte le concours, la suivante est classée deuxième, et ainsi de suite.

- Ah, c'est très clair ! Donc un sport exclusivement physique je suppose ?

- Ah non Guillaume, c'est tout le contraire, c'est un sport extrêmement cérébral !

- Ah bon ? Comment ça ?

- Mais oui ! Imagine une concurrente : elle suce le juge pendant une minute, elle y met énormément d'ardeur, il va décharger, elle va gagner... sauf que la cloche retentit ! Du coup c'est son adversaire de gauche qui va tirer les marrons du feu : elle se place sur la table centrale, il la baise et quelques secondes après il décharge. C'est la première concurrente qui a fait tout le boulot, mais c'est son adversaire qui gagne. Il faut donc doser ses efforts, tenir compte de ce qui se passe autour de soi, calculer. Lorsque les concurrentes baisent sur la table, elles en profitent pour regarder autour d'elles et essayer d'évaluer le niveau d'excitation de chaque juge. Elles peuvent aussi bluffer, par exemple simuler un orgasme ou faire semblant de sucer avec ardeur un juge. Elles doivent aussi avoir une horloge dans la tête et savoir prendre une décision. Par exemple s'il reste moins de dix secondes, faut-il continuer à sucer frénétiquement le juge ? Ne vaudrait-il pas mieux se contenter de maintenir son érection sans plus (le règlement interdit aux concurrentes de se retirer avant la cloche) ?

- Je vois, c'est en effet bien compliqué...

- Pour cette raison les meilleures sont presque toujours les plus âgées, car les plus expérimentées. Justine Sainte-Rose a quatorze ans, tout comme sa grande rivale Marion Gatineau, une Québécoise qui l'a battue en finale des derniers championnats du Monde.

- Alors il y a de la revanche dans l'air !

- Tout à fait Guillaume !

- Et comment se déroule le tournoi ?

- Après une phase de qualification, trente-six concurrentes ont gagné le droit de participer à ces Jeux. Elles ont été réparties en six groupes de six. Lors de ce premier tour, les séries, on joue donc six concours de tournantes, et les deux premières sont qualifiées pour les demi-finales. Justine s'y est qualifiée brillamment en remportant hier sa série. Les douze qualifiées sont alors réparties en deux demi-finales, et nous allons assister à la première dans quelques instants. Ah, voilà justement les concurrentes et les juges, le match va pouvoir commencer !

- Et tu disais que la finale se jouait à quatre, donc à nouveau on ne prendra que les deux premières ?

- Tout à fait. Je précise que les juges sont choisis par les concurrentes parmi le public, puis validées par l'arbitre qui fait respecter la répartition suivante : deux juges de moins de vingt ans, deux juges de vingt ou trente ans, et deux juges de plus de quarante ans. Tu pourras noter que des numéros ont été installés derrière les fauteuils, cela permettra d'identifier leurs juges.

- Les deux ados sont installés en 3 et 4, les deux plus âgés en 1 et 6, et les deux... disons médians en 2 et 5.

- Une disposition appelée "à la Roumaine" dans le jargon des tournantes.. - Ah, voici le tirage au sort des places pour les six concurrentes. Elles se présentent toutes en robe de chambre, qu'elles retirent à l'instant. Oui, à poil tout le monde ! Voyez la beauté de ces corps juvénils ! Qui doit-on surveiller en plus de Justine Sainte-Rose ?

- Les deux autres favorites seront Esmeralda Lopez-Garcia de Montalves y Santa-Rosa, une Espagnole très douée...

- Serait-elle noble ?

- Tout à fait, elle est issue d'une très ancienne famille de haute noblesse aragonaise (ses aïeuls ont combattu les Arabes à Cordoue). Et l'autre favorite est la Monégasque Juliette Baron, qui n'a que treize ans mais a remporté le tournoi d'Ibiza en avril dernier, ce qui n'est pas rien.

- Merci pour ces précisions. Et où sont-elles placées ?

- Justine Sainte-Rose démarre en 2, donc face à un juge dans la force de l'âge, et les deux autres se suivent un peu plus loin : Lopez-Garcia en 5 et Baron en 6.

- C'est parti ! Oh comme c'est spectaculaire ! Les six concurrentes, toutes nues, sucent frénétiquement leurs juges...

- Sauf la 2, c'est-à-dire sauf Justine. Elle sait qu'il y a peu de chances qu'une adversaire termine son affaire en moins d'une minute.

- Mais c'est possible malgré tout ?

- Oui, mais peu probable. Vois-tu, la gestion d'une tournante ressemble à la gestion d'une partie de poker : il faut évaluer la situation de l'adversaire et tenir compte des probabilités. Je l'ai dit, c'est cérébral. D'ailleurs souvent ces filles sont de brillantes écolières, par exemple Justine a deux ans d'avance et entrera en première S à la prochaine rentrée.

- Et c'est la cloche ! Le manège tourne brusquement, et les filles s'installent sur la table, deux sur le dos et quatre sur le ventre. Comment choisissent-elles leur position ?

- Selon leur spécialité. Justine est très forte lorsqu'on la prend par derrière, elle sait réaliser les mouvements qui excitent au plus haut point ses baiseurs.

- Elle ne semble pas y mettre tellement d'ardeur.

- C'est normal, c'est trop tôt. D'ailleurs tu remarqueras que l'Espagnole et la Monégasque également dosent leur effort. A ce stade de la tournante, ce sont les plus faibles qui en font le plus, car leur seule chance de passer, c'est sur un coup du sort.

- La cloche ! Le manège qui tourne, et les pipes reprennent. Oh ! Justine Sainte-Rose est en train de pomper un jeune ado boutonneux à une vitesse exceptionnelle.

- Oui, elle attaque, et plus tôt que prévu ! Et comme on en est au stade des pipes, ses adversaires ne peuvent pas la regarder. Je pense que c'est bien joué ! Elle a par ailleurs la chance de suivre une adversaire inexpérimentée (la Belge Alexandra Degriese) qui en a trop fait. Oui ! C'est gagné !

- Exact Florence, notre Justine Sainte-Rose nationale vient de faire décharger son juge, du beau boulot ! Et une belle image que tout ce foutre qui dégouline de sa bouche ! Ah, la cloche vient de retentir.

- Dix secondes d'avance sur la cloche, ça montre qu'elle n'a pas pris de risque inconsidéré. Voici Justine déjà qualifiée pour la finale, avec de bonnes chances de médaille je peux te l'assurer. Mais tout dépendra des adversaires.

- A présent les cinq autres concurrentes sont déchaînées, regarde-les se déhancher pendant qu'on les baise.

- Forcément, il ne reste plus qu'une place, il faut prendre tous les risques !

- Et l'Espagnole en a fini !

- Exact Guillaume, elle a fait décharger un vieux monsieur de soixante environ, bravo ! Nous avons donc déjà deux finalistes : Justine Sainte-Rose (France) et Esmeralda Lopez-Garcia de Montalves y Santa-Rosa (Espagne). Dans quelques minutes, ce sera l'autre demi-finale, avec quatre favorites dont la Québécoise Gatineau, sûrement au-dessus du lot.

- Merci Florence, mais nous devons rendre l'antenne pour le journal de vingt heures, nous vous donnerons des nouvelles de cette autre demi-finale dès que possible. Eh bien chers téléspectateurs, merci pour votre fidélité, et n'oubliez pas que nous serons de retour à vingt-et-une heure pour commenter, en direct, la première finale de ces Jeux. A tout à l'heure !

(journal télévisé, météo, tiercé, horoscope, conseil du jour)