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Published: 24-Dec-2012
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Le repas terminé, nous autorisons les petites filles à se reposer... sur nos genoux. Assis dans nos confortables fauteuils, nous les caressons, les embrassons, mordillons leurs petites oreilles, leurs nez mutins, leurs doigts menus. Elles finissent par s'assoupir. Cet entracte affectueux redonne à nos verges la raideur qu'elles avaient perdue.
En début d'après-midi, nous réveillons nos belles endormies, les emmenons aux toilettes, puis à la salle de bain où nous les faisons déshabiller. Après une rapide toilette au bidet, nous les conduisons, nues, à la penderie pour les vêtir d'une nouvelle tenue.
Nous n'aimons guère les tenues de bondage que nous trouvons un brin vulgaires et déplacées, mais beaucoup des futurs clients de Pauline et de Nadège seront d'un autre avis. De telles tenues feront partie de leur trousseau de petites putains, et il convient qu'elles s'habituent à en porter.
Nous mettons aux chevilles et aux poignets des fillettes des menottes de cuir pourvus de plusieurs points d'attache, puis attachons autour de leurs cous, un collier de chien.
Nous enfilons à Pauline un corset pour comprimer sa petite bedaine et mettre en valeur son adorable gorge. Nadège a droit à un short en vinyle rouge terriblement étroit (nous devons l'aider pour l'enfiler). Il moule son derrière et son pubis comme une deuxième peau luisante.
Il est fendu au niveau de l'entrejambe et la pression qu'exerce le tissu synthétique tient obscènement écartées les lèvres de sa vulve.
Je confisque ses lunettes, un peu à regret car elle est très mignonne quand elle les porte.
Inutile de préciser que les petites filles n'apprécient guère leurs nouveaux costumes (provenant d'une discrète autant que ruineuse boutique londonienne appelée Slut Kids Fashion), encore moins lorsque nous attachons leurs mains dans leurs dos et que nous accrochons une laisse à leurs colliers.
-Vous porterez ces tenues jusqu'à l'heure du thé. Durant cette période, nous exigerons une obéissance plus absolue encore que celle dont nous vous avons demandé de faire preuve jusque-là. Le moindre refus, la moindre hésitation seront sévèrement punis. Il y a des grandes personnes qui, comme nous, ne demandent rien de plus que d'avoir des petites filles gentilles, dociles, bien élevées. Mais d'autres désirent des poupées vivantes, des jouets. Vous devez vous y habituer Donc, à partir de maintenant vous ne parlerez qui si l'on vous en donne la permission, plus de jérémiades, plus de « non », de « s'il vous plait »... Est-ce bien compris?
Entre deux sanglots retenus, les fillettes soupirent:
-Oui, monsieur Jacques.
Nestor saisit un sac de cuir glissé sous une armoire. Celui-ci contient quelques accessoires dont nous nous servons très rarement (le sac est couvert de poussière), mais qu'il nous semble indispensable de faire connaître à nos élèves.
Nous tirons sur les laisses des enfants et les promenons à travers les étages de notre demeure comme on le ferait d'un animal de compagnie. Nous finissons sous les combles qui n'ont rien à voir avec un grenier sombre et encombré. Autrefois, il l'était, convenons-en. Mais un jour, nous avons hébergé durant un an, un jeune aristocrate du nom de monsieur W. (je ne puis révéler son nom). Il était devenu indésirable dans son pays d'origine, et nous lui offrîmes naturellement l'asile, car son goût pour la chair fraîche était de notoriété publique. Il avait une passion pour les petites filles qui montraient les premiers signes de la puberté (tout particulièrement celles qui portaient un appareil dentaire, ce qui est plutôt exotique). Il se montrait avec celles-ci particulièrement cruel, usant du fouet et de la cravache. Il nous demanda la permission d'aménager le grenier pour y jouir, sans nous déranger, de ses plaisirs coutumiers. Nous n'avions aucune raison de ne pas accéder à sa demande, et à l'occasion nous en jouîmes également. Il fit installer de grands vasistas pour faire entrer la lumière du jour, un évier et fit isoler les sous-pentes. Il vissa sur les poutres et dans le sol des crochets munis de mousquetons pour aisément attacher ses petites amoureuses d'un soir. Puis, à notre grande surprise, il fit livrer un fauteuil dentaire, un vieux modèle couvert de cuir craquelé. Nous eûmes l'occasion d'apprécier cette acquisition (et quelques années plus tard nous rencontrâmes un cercle très privé de dentistes dont la marotte était d'abuser de leurs jeunes patients sous anesthésie).
Ce fauteuil, posé tel un trône menaçant, et bien qu'il ne soit pourvu d'aucun des instruments de torture habituellement utilisés par les dentistes, semble inquiéter Nadège et Pauline.
Nestor dispose sur une petite table, avec le soin maniaque d'un chirurgien préparant ses ustensiles, le contenu du sac qu'il porte avec lui: deux martinets, deux baillons à boule, des petites pinces en inox attachées à de fines chaînes, un spéculum, une poire à lavement, un godemiché en caoutchouc, un tube de lubrifiant anal... Les prochaines heures, pour sûr, ne seront pas très agréables pour nos petites élèves.
-À genoux, ordonné-je aux fillettes. Tête contre le sol.
Les fillettes se mettent à genoux et s'inclinent jusqu'à ce que leurs joues roses touchent le parquet rugueux du grenier. Nous saisissons les martinets et promenons les lanières caoutchouteuses sur les fesses que les petites filles dressent vers nous. Elles frémissent à ce contact tentaculaire. Nous nous accroupissons, posons les martinets à portée de leurs regards, et commençons à caresser ce qu'elles nous offrent bien malgré elles.
-Ecartez les jambes, et pas un mot.
Je suis enchanté de voir combien le short que porte Nadège ouvre son sexe aussi largement que si des doigts invisibles s'en chargeaient.
Mon doigt explore la géographie de ce petit paradis rose. Il titille l'entrée du vagin qui est légèrement humide, et s'y enfonce de la longueur d'un ongle.
-Aïe! gémit Nadège.
Je tire sur sa laisse pour lui rappeler qu'elle n'est pas autorisée à ouvrir la bouche.
-Oh, c'est petit, tout petit, soupire Nestor avec un peu de déception dans la voix tout en pressant un doigt boudiné contre le vagin de Pauline. -Ce n'est pas bien large ici non plus, mon vieux Nestor. Nadège, debout!
La fillette, qui a les mains liées dans le dos, est obligée de se contorsionner pour se remettre sur ses pieds. Sa cadette veut l'imiter. Les tentacules noirs du martinet de Nestor tombent sur ses fesses avec un bruit sec.
-Je n'ai pas entendu monsieur Jacques te demander de te mettre debout, Pauline.
-Pardon, mon père, sanglote l'enfant.
Le martinet retombe, plus lourdement.
-Personne ne t'a donné l'autorisation de parler.
Nadège est parvenue à se mettre debout. Je détache ses poignets et lui montre avec l'extrémité de sa laisse, le fauteuil de dentiste. Durant un instant, je sens que ses lèvres ont irrésistiblement envie de s'ouvrir pour formuler un de ces « non, je ne veux pas! » dont elle a le secret, mais elle parvient à se maîtriser, et va docilement prendre place sur le fauteuil.
-Ne t'inquiète pas Nadège, ce ne sont pas tes dents que je veux examiner. Dès qu'elle y est installée, je sangle ses avant-bras aux accoudoirs puis je soulève ses jambes et trouve deux points d'attache accessibles pour les menottes de ses chevilles dans la charpente. Elle a à présent les jambes aussi écartées que celles d'une petite gymnaste à l'exercice. La pression du short ne fait que croître sur son bassin et les yeux de Nadège se mouillent de larme.
Je saisis le spéculum (c'est un vieux modèle dit « de vierge » acheté aux puces) et m'assois sur un tabouret en face des jambes écartelées de l'enfant. J'insère le bec froid de l'instrument dans son vagin et commence à actionner la visse. Nadège mord sa lèvre inférieure pour retenir une plainte pendant que l'orifice de son vagin s'ouvre peu à peu sur les plus intimes territoires. Nestor, sans lâcher la laisse de Pauline, vient observer le tendre terrier d'un œil expert.
-Tu peux l'ouvrir un peu plus, tu sais.
Je donne quelques tours de vis supplémentaire. Cette fois, Nadège ne peut s'empêcher de bêler:
-Aïe... Monsieur Jacques... Ca fait mal... S'il vous plait...
Nestor attrape l'un des deux baillons et clôt la bouche décidément trop bavarde de Nadège.
-Je sais que ça te fait un petit peu mal, Nadège. Ta petite sœur doit encore grandir pour que les messieurs puissent tirer tout le plaisir qu'ils désirent de son joli minou, encore que l'on puisse craindre que certains ne s'arrêtent pas à ce détail. Mais il semble que dans ton cas rien ne s'oppose à ce qu'un monsieur jouisse de toi comme si tu étais une grande fille.
-Rien, acquiesce Nestor.
Nous observons à tout de rôle, le vagin de l'enfant, touchons du bout du doigt la fleur de son hymen. Il est assez ouvert pour me permettre d'y glisser la première phalange de mon auriculaire sans lui causer de dommage. Nestor m'amène un miroir que je dispose de façon à ce que Nadège puisse voir son anatomie intime.
-Tu vois, lui dis-je, cette rondelle de chair tendre percée d'un petit œil noir. C'est ton hymen. Et demain matin, il ne sera plus qu'un souvenir pour toi. Mais je te promets que tu ne regretteras pas son existence.
La bouche encombrée d'une sphère de plastique, les yeux pleins de larme, Nadège regarde les mystères de son sexe. Il est bon qu'une petite fille de joie connaisse convenablement son anatomie. Ayant posé le miroir sur le sol, je retire lentement le spéculum. Le vagin de l'enfant reste entrebâillé. J'y pose mes lèvres, bois l'humeur qui en sourd, le console de ses douleurs du bout de ma langue. Nestor tire sur la laisse de Pauline pour la faire approcher. N'arrivant pas à se redresser la petite fille est presque obligée de ramper. Je l'aide à relever le buste. Son visage est à la hauteur du sexe de Nadège.
-Lèche la zézette de ta sœur, l'encouragé-je Elle fait non de la tête.
-Tu n'as peut-être pas encore bien compris les règles, Pauline.
Nestor, un air extatique sur le visage, glisse dans ma main l'une des pinces pourvue d'une chaînette. J'attache la chaîne au collier de l'enfant, je pince le mignon bourrelet de son sein gauche que le corset repousse vers le haut, et je referme la pince sur cette chair tendre. Aussitôt Pauline se met à pousser de petits cris de souris. Je pose un doigt sur ses lèvres pour la faire taire.
-Arrête ça où je te pose une deuxième pince. Et maintenant obéis. Si tu t'appliques, je te retirerai la pince.
Je guide la tête de Pauline vers le sexe de sa sœur. Elle sort sa langue et se met à lécher la vulve dilatée de Nadège. Elle y met du sien, je dois dire, comme un chaton qui voudrait s'excuser d'avoir griffé la main qui le caressait.
-Continue, Pauline, tu fais du bien à ta sœur, mets de la salive, mets beaucoup de salive. Oh... C'est ravissant... Tu sais, je ne connais pas une grande personne qui ne prendrait pas plaisir à regarder deux petites filles échanger ce genre de câlins... Surtout lorsqu'elles sont sœurs... On vous le demandera souvent... Bien, c'est assez, tu peux arrêter.
La petite fille pivote sur ses genoux pour se remettre face à moi.
Elle me regarde avec un petit air misérable.
-Qu'y a-t-il, Pauline?
Elle n'ose pas ouvrir la bouche.
-Quand on te pose une question, tu dois y répondre.
-C'est la pince... Monsieur Jacques... Elle me fait mal...
-Et je t'ai dit que j'enlèverai si tu étais obéissante, c'est ça?
Elle hoche la tête.
-Mais je n'ai pas dit quand je te l'enlèverai Pauline... Nous allons voir si tu le mérites vraiment. Je vais détacher tes mains. Si par hasard, il te prenait l'envie de retirer la pince, tu gagnerais aussitôt une deuxième pince ainsi qu'une bonne séance de martinet. C'est compris?
-Oui, monsieur Jacques.
Je détache ses poignets. Elle laisse choir les bras le long de son corps, mais elle a bien du mal à résister au désir d'arracher la pince de son sein.
Nestor, qui a pris à son tour place sur un tabouret, l'appelle alors:
-Viens, Pauline... Viens, en marchant sur tes genoux...
La petite fille s'approche du vieux monsieur. Elle espère sans doute qu'il aura la gentillesse de la débarrasser de l'objet qui la fait souffrir. Au lieu de cela, il pose une main sur sa tête et présente son membre dur devant ses lèvres. Sans attendre qu'on l'y invite, elle ouvre la bouche et se met le à sucer. Nous échangeons avec Nestor un regard satisfait. Cette petite fille commence à prendre de bonnes habitudes. Nestor la laisse faire durant quelques minutes, puis il lui dit d'arrêter. Il retire alors la pince au vif soulagement de l'enfant, et masse son pauvre téton endolori.
-Lève-toi et embrasse-moi.
Pauline se remet sur ses pieds. Ses genoux sont rouges à force d'avoir frotté contre le parquet. Elle appuie ses lèvres pulpeuses sur celles du vieux monsieur, la broussaille de sa barbe lui pique les joues et le menton. Elle laisse la langue de Nestor fouiller sa bouche jusqu'à en avoir un haut-le-cœur. Pendant ce temps, je libère Nadège de la chaise de dentiste et lui retire son bâillon. Aussitôt qu'elle s'est remise sur ses pieds, je lui fais tendre les bras en l'air et j'attache ses poignets à une poutre transversale. Je lèche ses aisselles si douces, puis ma langue trace une ligne humide jusqu'à ses tétons avec lesquels elle joue durant un instant.
-Pauline, dit alors Nestor en caressant le derrière de l'enfant, c'est à ton tour de monter sur la chaise du dentiste.
La pauvre petite fille regarde Nestor d'un air accablé avant d'éclater en sanglots.
-Eh bien, eh bien, si tu crois nous apitoyer avec ces larmes de crocodile ... Pleure autant que tu veux mais grimpe sur la chaise.
-Je veux pas! Vous allez me faire mal!
Nestor claque les fesses de la petite fille, qui, à force de stress et de fatigue, a perdu tout contrôle sur elle-même. Ce rappel à l'ordre ne suffit pas. J'interviens, sans brutalité, mais avec fermeté.
J'immobilise ses poignets et les fixe au collier de chien, derrière sa tête. Puis j'attache ses chevilles, en évitant de justesse une ruade de son mignon petit pied. Enfin, je la bâillonne avec le bâillon qui a été utilisé sur Nadège. Ainsi réduite au silence et immobilisée, je la couche sur les genoux de Nestor.
Celui-ci lui administre à main nue une correction méritée. Durant plusieurs minutes retentit le bruit si doux à nos oreilles de la fessée. Elle aurait mérité le martinet, mais la main nue lorsqu'elle est utilisée avec art, à des vertus calmantes. Et puis la fessée donne aux petits culs une couleur incomparable. Pendant que Nestor est à l'ouvrage, je retourne m'occuper de Nadège qui, hissée sur la pointe des pieds pour réduire la tension de ses bras, regarde sa petite sœur recevoir sa correction.
-Ne t'inquiète pas, lui glissé-je à l'oreille, c'est seulement pour que ta sœur recouvre son calme... Tu sais, beaucoup de ces grandes personnes qui donneront de l'argent à votre papa pour avoir du plaisir avec vous, aiment punir les petites filles, sans raison, même lorsqu'elles sont les plus obéissantes des enfants.
Je sens qu'elle veut dire quelque chose mais qu'elle n'ose pas de peur d'être punie à son tour.
-Je t'autorise à parler, Nadège.
-Monsieur Jacques, mon père, murmure-t-elle,s'il vous plaît, ne soyez pas trop sévère avec ma petite sœur. Je sais qu'elle n'aurait pas dû désobéir... Mais elle a très peur des dentistes.
J'éclate de rire en entendant cet aveu ingénu.
-Tu peux être rassurée, Nadège, Pauline n'ira pas sur la chaise du dentiste. Toutefois, je ne suis pas sûr qu'elle y gagne au change... Maintenant, ferme tes jolies lèvres, je ne veux plus t'entendre.
Nous n'entendons plus les gémissements étouffés de Pauline. La petite fille paraît assoupie, alors que Nestor continue à rougir son derrière. La fessée est comme l'acuponcture, elle agit sur le système nerveux et les premiers instants de désarroi passés, les enfants entrent dans une sorte de transe. J'en ai même vu plonger dans un profond sommeil alors que je les fessais avec sévérité. Beaucoup d'enfants finissent même par en tirer une jouissance. C'est le cas de presque tous les petits garçons et d'un bon tiers des petites filles.
Et Pauline semble justement faire partie de ce tiers. Nestor la remet sur ses pieds. Ses yeux sont noyés de larmes, mais elle a l'air reposée, rêveuse, exaucée presque. Il lui retire son bâillon. Un filet de bave accroché à la boule plastique coule sur son menton. Il l'essuie. Je pose mes mains sur son derrière. Il est brûlant et aussi rouge que s'il avait été exposé deux heures durant au soleil de midi.
Je m'agenouille, entoure de mes bras le corps de Pauline et tout en embrassant ses bras, je frotte ma verge sur son cul qui irradie une chaleur merveilleuse.
Nestor se lève et va chercher un banc d'école qui se trouve rangé dans le fond du grenier avec quelques autres pièces de mobilier scolaire.
-Je crains que ce soit beaucoup moins confortable que le fauteuil du dentiste, dis-je à Pauline, avant de détacher ses mains du collier et de la faire s'allonger sur ce banc étroit et dur qu'ont usé des générations de petits derrières.
Nous passons des cordelettes dans les cadenas de ses menottes. Nous attachons ses bras entre deux poutres, puis nous soulevons ses jambes potelées par-dessus son buste, et relions ses chevilles aux mêmes points d'attache que ses bras. Ainsi culbutée, la petite fille offre à nos regards aussi largement son minou que son anus. Comme c'est ce dernier qui va être l'objet de nos attentions, nous glissons un coussin sous ses reins. Ses fesses callipyges sont à présent ouvertes sur le trésor dont elles gardent d'habitude l'entrée.
C'est évidemment Nestor qui va orchestrer cet examen. Il s'agenouille devant ce bijou rubis, pendant que je remplis d'eau tiède une petite bassine. Je rapporte la bassine, ainsi que la poire à lavements, le godemiché et le tube de lubrifiant.
-Ta zézette, explique Nestor à l'enfant, est encore un peu petite pour qu'un homme puisse en jouir sans te faire extrêmement mal. Elle ne sera bonne à cet usage que d'ici un an ou deux. Mais ton anus, ce joli petit trou entre tes fesses où j'ai déjà glissé mes doigts, possède toutes les qualités requises pour qu'un monsieur y prenne du plaisir.
Tout en parlant, il enrobe de lubrifiant le majeur de sa main droite.
-Nous allons toutefois définitivement nous en assurer.
Son doigt s'enfonce dans la petite rondelle légèrement dilatée. La fessée a décontracté le sphincter qui n'oppose aucune résistance.
C'est là une autre vertu de la fessée. Le doigt pénètre sans causer le moindre désagrément à Pauline. En allant et venant, il oint le rectum de pommade à la propriété anesthésiante.
-Voilà, mon cœur... A présent, écoute bien, avec cette poire, je vais mettre de l'eau dans ton ventre. Il faudra que tu fasses un gros gros effort pour garder cette eau aussi longtemps que je le jugerai nécessaire. Si tu expulses cette eau avant que je ne t'en donne la permission, je te punirai avec le martinet et c'est sur le fauteuil de dentiste que je t'attacherai. Tu as compris?
-Oui, mon père, soupire la petite fille d'une voix presque inaudible. Nestor remplit la poire d'eau tiède et insère le bec aussi loin que possible dans l'anus de Pauline. Il presse. L'eau se répand dans les entrailles de la fillette. La sensation la surprend, mais elle s'y accoutume rapidement.
Tout en ne perdant pas une miette de l'opération, je glisse une main entre les cuisses de Nadège et branle le petit con dans lequel je sais à présent que je jouirai cette nuit.
Le contenu d'une seconde poire est versée dans le ventre de Pauline.
Celle-ci commence à serrer les fesses. Son corset empêche son ventre de se gonfler, et à la troisième poire, elle comprend qu'il ne sera pas si facile d'obéir à Nestor. La sensation, qui au début, était presque agréable devient de plus en plus pénible à supporter. La quatrième poire arrache un gémissement de douleur à la pauvresse. Le bec de la poire a de plus en plus de mal à forcer les muscles du rectum. Et alors que Nestor s'apprête à lui injecter le contenu d'une sixième poire, elle ne parvient plus à se retenir. Nestor a tout juste le temps de glisser la bassine sous ses reins que l'eau jaillit en fontaine de son anus. Un frisson agite son petit corps captif.
-Oh, vilaine, vilaine, soupire Nestor.
Il appuie doucement sur son ventre pour l'aider à se soulager.
Lorsqu'elle a rendu toute l'eau, il pose la bassine sur le sol et sèche son derrière avec un mouchoir. Puis il tend la main pour attraper la pince qui pend toujours au cou de l'enfant et la referme sur le téton qui avait jusque-là été épargné. La petite fille serre les dents pour étouffer le cri qui lui vient surtout lorsqu'une seconde pince est fixée sur le téton déjà endolori.
-C'est ta punition pour ne pas avoir su te contrôler. Ce n'était pourtant pas difficile...
Nestor s'empare du godemiché qui est assez réaliste pour que même une innocente fillette de huit ans comprenne l'analogie. Il est approximativement deux fois moins large que la verge de Nestor (la nature a été généreuse avec lui) mais il est tout de même plus massif que les deux doigts qui ont violé cette fleur durant la classe matinale. Nestor promène l'obscène jouet sur le bas-ventre de la petite fille. Puis il l'oint de lubrifiant et, le tenant d'une main ferme, il le place contre l'anus encore tout humide de l'enfant. La douleur que celle-ci ressent sur sa poitrine fait diversion et c'est à peine si elle remarque la tête du godemiché qui s'enfonce en elle.
Mais lorsqu'il poursuit son avancée belliqueuse, elle se met à gémir et ses larmes redoublent.
-Essaye de te détendre, lui conseille Nestor. Ne résiste pas... Nestor se pence et lèche la rondelle contractée autour du bélier qui la force et qui est déjà rentré de la moitié de sa longueur.
Mon vieil ami est prudent, il avance tout doucement. Le rectum d'un enfant peut se dilater de manière étonnante, et même un petit cul d'âge maternel peut être pénétré pour qui sait s'y prendre, mais il n'en reste pas moins d'une grande fragilité. En prenant du plaisir avec des petites filles jamais nous n'avons occasionné des blessures plus graves que des bobos qui guérissent en quelques jours. C'est pour nous une règle d'or.
-S'il vous plait, mon père, se récrit soudain Nadège, vous lui faites mal!
-Qui t'a autorisé à parler? dis-je, la main toujours occupée entre les jambes de la fillette.
-S'il vous plait...
Je retire ma main d'entre ses cuisses, attrape deux pinces, les fixe au collier puis les referme sur les petits tétons de la fillette que mes caresses ont fini par ériger. Elle mord sa lèvre inférieure pour se retenir de crier.
-Le maître d'école vous fait-il du mal lorsqu'il vous fait rabâcher votre leçon? Le docteur vous fait-il du mal quand il vous fait une piqûre? Nous ne faisons que vous éduquer, vous préparer à vos futurs devoirs de petites filles de joie. Je sais que nous vous faisons subir certaines choses désagréables, douloureuses parfois, mais c'est votre bien... et le nôtre... Et tu devrais songer au plaisir que nous prenons plutôt que de te préoccuper du déplaisir de ta sœur. Une bonne petite fille de joie ne doit penser qu'au plaisir qu'elle donne.
-Mais je veux pas devenir une petite fille de joie, sanglote Nadège en fronçant son mignon petit nez alors qu'un flot de larmes ruisselle le long de ses joues.
-Ce ne sont pas les petites filles qui décident, Nadège, ce sont les grandes personnes...
Nestor a inséré aux deux tiers le godemiché. Sa langue qui se promène toujours sur l'anneau de chair rose, ajouté à l'effet légèrement anesthésiant du lubrifiant, ont fini par avoir l'effet escompté. Le muscle s'est détendu, la douleur s'est apaisée. Pour que Pauline profite pleinement de ces sensations nouvelles, Nestor libère son téton de la morsure de la pince. La petite fille penche la tête sur le côté et ferme les yeux. La respiration qui soulève sa poitrine se fait plus régulière.
-Tu as vu, Jacques, s'enthousiasme Nestor en donnant au godemiché un lent mouvement d'avant en arrière, elle aime ça, oui, elle aime ça.
La langue du vieil homme quitte la rondelle contre laquelle glisse le mandrin obscène et va se promener sur le sexe de l'enfant.
-Mais oui, le parfum qui s'exhale de ce petit con ne trompe pas... Elle aime ça, Jacques.
-Tu vois, dis-je à sa grande sœur, ce n'était pas la peine de te récrier. Le ton que tu as employé à notre égard mérite une punition plus sévère que ces pinces sur tes tétons.
-Oh oui, soupire Nestor, punis-là, punis-là, elle le mérite.
Je saisis un martinet et commence à étriller ses flancs sans défense. Je le fais d'une main légère car je ne tiens pas à marquer la peau de cette précieuse enfant, et je m'astreins à ne jamais frapper deux fois au même endroit. Se sentant fautive, sans doute, elle supporte la punition sans broncher. Je fouette son dos, ses épaules, son ventre, sa poitrine (les pinces, qui n'avaient pas grand-chose à quoi s'accrocher, se détachent), ses cuisses. Les lanières claquent sur sa peau, avec un bruit doux, un peu mouillé. Je m'attarde sur ses fesses protégées par le short.
S'accordant sur le rythme du fouet, Nestor fait aller et venir le godemiché dans les entrailles de Pauline.
-Oh, Jacques, ce cul mignon que je viole, la musique du martinent qui sonne à mes oreilles, je n'en puis plus, je veux jouir!
Mon vieil ami se redresse. Il abandonne le godemiché qui se met à glisser de lui-même hors des fesses de la petite fille. Puis il frotte langoureusement son sexe contre les cuisses renversées et tendues de l'enfant, là où la peau est la plus tendre.
Ce qui provoque finalement son orgasme, c'est le soupir qu'émet Pauline lorsque le godemiché s'échappe de son anus. Un son pareil, nous devrions l'enregistrer et nous le repasser chaque soir avant de nous endormir. Il éjacule à jets puissants, qui atteignent le visage extatique de Pauline, éclabousse sa poitrine, son corset, son cul.
Alors que mon ami inonde l'enfant de foutre, je repose le martinet et lève vers moi le visage de Nadège.
-Tu as quelque chose à me dire, mon cœur?
-Oui, chuchote-t-elle, je... je m'excuse, monsieur Jacques... J'ai été une vilaine petite fille... Je serai gentille, maintenant.
-J'en suis certain.
Je la prends dans mes bras, serre son corps d'enfant que je viens juste d'éreinter contre mon corps de vieillard.
-Rappelle-moi pourquoi Dieu a créé les petites filles.
-Pour qu'elles donnent du plaisir aux grandes personnes.
Il y a un tel désir de bien faire dans ses yeux, un tel désir de me plaire, un tel désir de devenir cette petite fille obéissante que nous voulons qu'elle soit. Je me branle contre son ventre tout en plongeant ma langue dans sa bouche que je couvre entièrement de la mienne. Je sens à mon tour la jouissance me saisir. Et pendant que Nestor étale de sa main sa semence sur les fesses et les cuisses de Pauline, je souille le torse de sa sœur de mon propre foutre.
-Merveilleuse, délicieuse petite fille de joie, pantelé-je contre sa bouche.
Quand je recouvre ma raison, je me recule pour admirer l'enfant attachée, sa peau blanche rougie par les coups, souillée de mon foutre... Je recueille sur mes doigts le produit de ma jouissance et les tends à Nadège qui les lèche soigneusement.
-Elle y prend goût! ricane Nestor en s'approchant pour lui donner à son tour un peu de sa semence à lécher.
-Tu aimes ça, mon cœur?
Elle hoche la tête.
-Oui, monsieur Jacques.
Nous détachons nos deux petites élèves, les débarrassons du carcan de leurs vêtements. Epuisées, elles se laissent aller dans nos bras où elles éclatent toutes deux en sanglots. Nous les consolons, les câlinons. Cette leçon a été dure pour elles, mais elle n'a pas été vaine. Oh, oui, nous les avons, nos dociles petites filles de joie.
Nous pouvons le deviner à la manière dont elles nous enlacent comme des naufragées que l'on aurait sauvées de la noyade, dont elles répondent à nos baisers. Plus de rébellion, plus de jérémiades.
Les messieurs et dames qui se succéderont dans leur chambrette de gamines ne tariront pas d'éloges sur nos petite putains dévouées et soumises.
-Allons nous laver, dis-je.
Nous les portons dans nos bras, abandonnant derrière nous un désordre que Rebecca, notre délicieuse petite bonne de sept ans qui vient faire le ménage deux matinées par semaine, se fera un devoir de ranger.
Une bonne surprise attend Pauline et Nadège. Nous ne les conduisons pas dans la salle de bain où nous apprenons l'hygiène à nos élèves, mais dans la salle de bain attenante à la chambre de Nestor qui dispose d'une grande baignoire. Nos la remplissons d'une eau bien chaude à laquelle nous ajoutons des sels odorants, et nous aidons les petites filles à y entrer. Elles s'abandonnent voluptueusement au plaisir du bain, surprises malgré tout de ce changement de régime. Ce matin, nous en avons fait des putains, cet après-midi, des jouets.
Mais ce soir, nous voulons des princesses.
Nous les laissons seules et allons nous doucher dans ma salle de bain. Lavés des souillures de notre luxure, nous enfilons des robes de chambre et retournons voir les fillettes.
-Vous vous sentez mieux?
-Oui... Merci monsieur Jacques, merci mon père...
Nous leur donnons des éponges pour qu'elles se lavent mutuellement. Le spectacle qu'elles nous donnent alors suffit à réanimer nos membres.
Les années de débauche nous ont rendus quasiment priapiques. Nous ne nous fatiguons jamais.
Lorsqu'elles en ont fini, nous shampooinons les cheveux de nos angelots, puis nous les rinçons et les séchons dans des serviettes duveteuses. Ensuite, nous massons leurs tendres petits corps avec une lotion. Le martinet n'a laissé que de minuscules traces sur la peau de Nadège, traces que j'embrasse une à une. Les fesses de Pauline sont couleur de pivoine et le resteront durant plusieurs jours, mais cela ne la rend que plus jolie.
Nous les laissons se reposer sur le lit de Nestor. Elles finissent par s'endormir, enlacées comme deux amantes.
Nous les contemplons avec ravissement.
-Elles sont jolies, nos petites filles de joie, n'est-ce pas Jacques?
-Adorables. Elles vont rapporter beaucoup d'argent à leur père.
-C'est certain.
Authors love hearing from their fans.
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