email
Published: 23-Dec-2012
Word Count:
Nous obligeons Nadège et Pauline à allonger leurs torses sur la table de marbre. La pauvre Pauline, la cadette, est obligée de se tenir sur la pointe des pieds pour garder un contact avec le sol. Le bord de la table, arrondi pour ne pas risquer de les blesser, appuie fort sur sa petite brioche. Pour les immobiliser, nous attachons leurs mains de l'autre côté de la table (nous affectionnons les tables ayant des pieds en fer forgés car ceux-ci offrent toujours des aspérités auxquelles on peut facilement nouer une corde). Dans l'humiliant inconfort de leur posture, nos vilaines petites filles sont sans défense. Nous pourrions également attacher leurs pieds, mais la hauteur de la table, parfaitement adaptée à leur taille, il faut dire, devrait les dissuader de faire des mouvements inconsidérés.
Douce musique que celles de leurs pleurnicheries. Elle résonne dans la salle de main, comme un chant angélique.
Leurs petits culs sont à présent levés, offerts, avec pour seule et dérisoire défense, la fine étoffe de leurs culottes. Nous baissons ces dernières jusqu'à mi-cuisse. Les pleurnicheries redoublent.
Le derrière joufflu de Pauline est une extase pour Nestor. Une belle courbure au-dessus des reins, comme un cœur de Saint-Valentin, une raie fessière profonde sans être trop obstinément fermée sur ses trésors. Ainsi que Nestor en fait aussitôt l'expérience, elle s'ouvre aussi aisément qu'un abricot. Le cul de Nadège n'est pas moins joliment moulé. Il est plus ferme, n'a pas cette appétissante texture de madeleine, moins joufflu, il offre un meilleur point de vue sur l'arrière de l'amande vulvaire.
Nous commençons à fesser ces ravissants derrières. Les petites filles ont échaudé notre patience et nos claques ne sont pas feintes. Celles qu'administre Nestor en particulier: il convient de fesser les culs dodus avec plus de force. Nous calons nos tempos sur les réactions des enfants. Ainsi, je fesse rapidement mais sans grande force, alors que la fessée de Nestor est lente mais très appuyée. La douleur a le temps d'irradier dans le ventre de Paulin qui pousse à chaque claque un petit cri flûté. Nadège, elle, tortille son derrière en sanglotant en continu. Elle marque bien. Mes doigts laissent des bouquets d'empreintes en dégradés de rose intense de part et d'autre de ses fesses. Mais avec les crèmes appropriées, il ne devrait pas en rester grand-chose demain matin.
Nous ne faisons pas un décompte de nos claques. Peu importe le nombre, seul le résultat importe. Nous fessons tant que nous sentons dans les corps de nos petites élèves de la rébellion. Lorsque les corps se font dociles, nous arrêtons. Nous prenons alors du recul pour admirer notre œuvre et laisser aux fillettes le temps de pleinement ressentir le feu qui irradie de leurs culs rouges comme des braises.
Nous abandonnons les pauvresses quelques instants. Nos sexes sont si roides que nous ne pouvons plus longtemps les tenir emprisonnés dans un pantalon. Nous nous déshabillons et enfilons d'amples robes de chambre aux motifs japonisants. Nous n'en fermons pas les pans. Nous retournons dans la salle de bain. Les sanglots se sont tus. Nous détachons leurs mains.
-Vous pouvez vous remettre debout. Mais ne remontez pas vos culottes, ne touchez pas à vos fesses. Bras le long du corps.
Malgré l'irrésistible envie qu'elles ont de frotter leurs derrières brûlants, elles obéissent. Il n'y a plus sur leur visage la plus petite trace d'insoumission. Je crois qu'elles ont momentanément compris qu'obéir était la seule attitude possible. C'est à peine si elles osent regarder les mâts noueux qui jaillissent de nos robes. -A présent, retirez vos culottes et allez les accrocher à la patère. Retirez également vos gourmettes. Demain, nous vous en offrirons d'autres... Gardez vos pendentifs.
Elles s'exécutent sans l'ombre d'une hésitation.
-Lorsqu'une grande personne demande à une petite fille de se mettre nue, elle le fait, simplement, sans minauder ni rechigner. Est-ce que c'est compris?
-Oui, monsieur Jacques.
-Oui, monsieur Jacques.
-Parfait. Passons à la toilette. Comme je vous l'ai déjà dit, une gentille petite fille se doit d'être toujours propre comme un sou neuf. Qui voudrait d'une petite souillon? Pour s'acquitter de ce devoir, une petite fille n'a besoin ni de douche ni de baignoire, un bidet suffit amplement. Nous allons vous donner un savon et un gant de toilette et vous allez gentiment suivre nos instructions. Choisissez un bidet.
Les petites filles s'approchent à pas prudent des bidets. Elles ont si peur de mal faire, à présent.
-Fermez la bonde, ouvrez le robinet et remplissez la cuvette aux deux tiers.
Après avoir ouvert son robinet, Nadège lève une main timide.
-Oui, Nadège, je t'écoute.
-Monsieur Jacques... Pardon... Mais il n'y a pas d'eau chaude...
-Cette salle de bain n'a pas d'eau chaude. Une petite fille n'a pas besoin d'eau chaude pour faire sa toilette. Enfilez le gant, mouillez-le, savonnez-le abondamment, puis savonnez-vous le corps.
Commencez par le visage, et descendez jusqu'aux pieds.
Rien n'est plus adorable qu'une petite fille faisant sa toilette.
Nestor et moi savourons le spectacle.
-Pauline, n'oublie pas ta nuque et l'arrière de tes oreilles. Les bras maintenant. Sous les aisselles... C'est bien... Les épaules, et le torse... Oui, à présent, tourne-toi, ma chérie, pour que ta grande sœur te savonne le dos... Bien... Charmant... Charmant... Et les fesses. Ça fait du bien, n'est-ce pas, mon cœur?
-Oui, monsieur, soupire Pauline en fermant les yeux.
-Passe le gant entre ses fesses. Encore. Insiste bien... Maintenant, c'est à ton tour Pauline de savonner ta sœur. Prends ton temps, applique-toi... le petit derrière, la raie... Maintenant, mettez-vous face à face. Passez le gant de toilette entre les jambes de l'autre. Les grandes personnes aiment regarder les petites filles se toiletter mutuellement... Pauline, écarte les jambes un peu plus. Voilà... À présent, frottez-vous les jambes, l'arrière aussi. Au besoin mouillez vos gants et savonnez-les de nouveau. Très bien, n'est ce pas, Nestor?
-On ne pourrait rêver plus sensuel.
-Maintenant, asseyez-vous sur le carrelage pour laver vos pieds... Ne nous tournez pas le dos. Vous n'avez rien à nous cacher. Quel petit nom donnez-vous à ce qui se trouve entre vos jambes.
-Une zézette, murmure Pauline en rougissant.
-Va pour zézette, dans les prochaines semaines, d'autres que nous se feront un plaisir de vous apprendre mille autres noms. Appliquez-vous. Passez le gant entre chaque petit orteil. C'est très bien.
Les petites filles sont à présent couvertes d'un savon crémeux (moins crémeux toutefois que celui qui bouillonne dans nos testicules). Se rincer au bidet est une opération hardie, et nous nous amusons beaucoup à les voir se contorsionner. L'eau glacée les fait gémir et leur peau se couvre de chair de poule.
Ruisselantes, le corps parcouru de frissons, qu'elles semblent belles et fragiles!
Nous nous faisons un plaisir de les essuyer et de les frictionner dans de grandes serviettes blanches. Elles se laissent aller à ce petit instant de volupté que nous leur offrons. Il leur reste des choses à apprendre sur l'art de la toilette intime, mais c'est assez pour ce soir. Nous pommadons ensuite leurs petits culs, et nous les embrassons sur les lèvres. Nadège m'offre même un bref sourire.
-Tu seras obéissante, maintenant? lui demandé-je.
-Oui, monsieur Jacques.
Son oui a des accents de sincérité, mais je sais pertinemment que d'autres punitions seront nécessaires lorsque nous en viendrons à des exigences nettement plus désagréables qu'une toilette à l'eau froide. Ensuite, nous leur faisons enfiler des chemises de nuit. Il ne s'agit en fait que d'un haut de pyjama à bretelle, une taille en dessous de la leur. Autant dire que de leurs charmes, elles ne cachent rien.
Le repas que nous leur servons dans le salon est frugal. Nous leur donnons quelques conseils: manger lentement, par petites bouchées, faire glisser les aliments entre leurs lèvres plutôt que d'ouvrir la bouche (ce que Pauline réussit avec une sensualité fortuite qui éveillerait un mort), se lécher les lèvres du bout de la langue plutôt que de les essuyer avec une serviette. Leurs petites fesses souffrent sur les chaises rugueuses où nous les avons fait asseoir. Cela maintient en éveil leur concentration.
Nous comptons les coucher sitôt le repas terminé. Demain sera une rude journée, il faut qu'elles dorment tout le saoul. Toutefois, il y a une dernière tâche dont il faut qu'elles s'acquittent.
-Tu as encore faim, mon cœur? demandé-je à Pauline.
-Oui, monsieur Jacques, un peu...
-Nous avons un dessert pour vous, leur annonce Nestor en caressant complaisamment sa verge.
Nous nous glissons aux côtés des fillettes et présentons nos membres virils à leurs lèvres rendues luisantes par la vinaigrette de la salade qu'elles viennent de manger. Elles regardent, mi-effrayées mi-dégoûtées ces obscènes mandrins avec lesquels elle ne savent pas trop que faire.
-Tu te souviens, demande Nestor à Pauline, pourquoi dieu a créé les petites filles.
-Oui, mon père. Dieu a créé les petites filles pour qu'elles donnent du plaisir aux grandes personnes.
-Et c'est exactement ce que vous allez faire. Prenez nos zizis entre vos petites mains.
Pauline et sa sœur échangent un bref regard puis s'exécutent. Leurs mains sur nos verges ont l'effet d'une décharge électrique.
-Tu n'as jamais tenu un zizi d'homme, n'est-ce pas? demandé-je à Nadège. -Non, monsieur Jacques.
-Pas même celui de ton papa?
-Oh non, monsieur Jacques.
-C'est doux, hein?
-Oui, monsieur Jacques, c'est très doux.
-Bouge lentement tes petites mains d'avant en arrière... Comme ça... Oui, c'est très bien... Cela s'appelle branler. Tous les messieurs aiment être branlés par les petites filles. Tu veux bien répéter ce mot?
-Branler.
-Comme tu le dis bien... D'ici quelques semaines, ce sera aussi naturel pour vous que de vous brosser les dents.
Nadège fronce les sourcils, se demandant sans doute pourquoi une chose aussi dégoûtante devrait devenir naturelle.
-Fermez vos yeux et ouvrez grand vos bouches. Allons, obéissez!
Les petites filles obtempèrent, bien que je puisse sentir leur inquiétude grandir. Nous posons une main derrière leur tête pour prévenir tout recul, et une autre sur leurs mentons pour les empêcher de fermer la mâchoire.
-Là, mes chéries, là... Le dessert arrive tout de suite.
Le jet de semence qui envahit leurs bouches ouvertes comme le bec d'un oisillon les prend totalement par surprise. Elles veulent reculer la tête, fermer leur bouche, mais nos mains veillent à les en empêcher.
Faute de pouvoir endiguer notre foutre brûlant, elles n'ont d'autre choix que de l'avaler. Elles ouvrent des yeux affolés, car le jet ne semble pas tarir. Nestor et moi sommes généreux avec les petites filles.
Enfin, le dernier jet éclabousse leur minois.
-Ne recrachez pas, dis-je à bout de souffle. Avalez tout ce qui est dans votre une bouche.
Les fillettes s'y astreignent en grimaçant. Des larmes coulent, abondantes, le long de leurs joues rouges. Nous relâchons la pression de nos mains et les laissons reprendre leur souffle.
-Ca me brûle la gorge, gémit Pauline.
-Tu n'as pas aimé ton dessert? lui demande insidieusement Nestor, en essuyant la bouche de l'enfant avec un coin de serviette qu'il a préalablement mouillé de salive.
-Oh, non mon père! C'était dégoûtant!
-Pauline... Je sais que ce n'est pas très bon, mais tu ne dois pas dire que c'est dégoûtant. Rien de ce que t'offre une grande personne n'est dégoûtant. Je devrais sur le champ te punir pour avoir dit une si vilaine chose. Mais comme tu as tout avalé, je vais me montrer gentil.
Nous leur donnons à boire un demi-verre d'eau. Exceptionnellement, elles ne se laveront pas les dents avant d'aller au lit, car nous voulons qu'elles s'endorment avec le goût de notre foutre sur la langue. -C'est vrai que ce n'est pas très bon, dis-je en ébouriffant affectueusement les cheveux des enfants, mais il faudra vous y habituer si vous voulez rendre votre papa très fier de vous.
Nous menons nos petites élèves à l'étage où se trouve leur chambre.
Nous les faisons d'abord passer par les toilettes, qui, à leur grand désarroi, ne sont pas pourvues de portes.
-Une gentille petite fille ne doit pas faire ses besoins quand cela lui chante. Ce sont les grandes personnes qui décident pour elle.
Nadège, passe en premier.
La fillette s'assoit sur les toilettes. Toute honteuse, elle veut cacher son intimité.
-Non, Nadège. Pose tes mains sur tes genoux. Ecarte un peu les jambes. Sous notre œil scrutateur, elle soulage son ventre et sa vessie.
-Comme tu peux le voir, il n'y a pas de papier. Regarde à côté de toi. Il y a deux éponges. Une bleue et une rose. Elles sont imbibées d'eau de rose. Ça sent bon, n'est-ce pas?
-Oui, monsieur Jacques.
-La fente de devant, le petit trou de derrière doivent toujours sentir bon. L'éponge bleue est pour le derrière. Torche-toi avec. Toujours vers l'arrière, jamais vers l'avant. Voilà. La rose, c'est pour le devant. Ecarte bien tes cuisses, ce sera plus facile... Très bien. À présent, essuie-toi avec la petite serviette blanche qui pend à ta gauche. Après l'avoir passé entre tes fesses et entre tes jambes, elle doit ressortir aussi blanche qu'elle l'était auparavant. Montre-moi.
C'est très bien. Lève-toi, tire la chasse d'eau et laisse la place à ta sœur.
Les besoins naturels ayant été satisfaits, nous les conduisant dans leur chambre. Elles n'y passeront d'ailleurs que cette nuit, car la nuit prochaine, c'est dans nos chambres qu'elles dormirons.
C'est une chambre sans fioriture: deux petits lits, deux tables de nuit et deux lampes de chevet. La seule décoration est un tableau visible depuis les deux lits, représentant un faune jouant de la flûte de pan, et exhibant une virilité monstrueuse.
Le gardien du sommeil de nos petites pensionnaires.
-C'est l'heure de faire votre prière, mes petites leur dit Nestor. A genoux, les mains jointes.
Les fillettes se mettent à genoux, et joignent les mains en appuyant leurs coudes sur les matelas de leur lit.
-Je vous salue, Marie... commencent-elles.
Nestor les interrompt.
-Non, mes chéries, je vais vous apprendre une autre prière qui conviendra mieux à vos nouvelles fonctions... Répétez après moi...Dieu le père qui régnez sur les cieux, faites que je sois toujours une petite fille obéissante.
Elles répètent de leurs voix d'ange, les yeux tournés vers le plafond, sous le regard lubrique du faune.
-Faites que les grandes personnes, poursuit Nestor, soient toujours satisfaites de moi. Faites que mon corps leur donne tout le plaisir qu'ils en attendent. Et si je manquais à mes devoirs, faites qu'une juste punition me remette dans le droit chemin que vous avez tracé pour moi. Amen... Dorénavant vous la réciterez tous les soirs.
Les fillettes ayant fini leur prière, nous les faisons s'allonger sur le dos, et attachons leurs chevilles et leurs poignets aux montants du lit, non que nous craignions qu'elles cherchent à s'évader. Elles sont si épuisées qu'elles s'endormiront dans l'instant. Mais ces liens les accompagneront dans leurs rêves peuplés de faunes lubriques et de méchants vieux messieurs.
Nous les bordons et les embrassons sur la bouche. Avant d'éteindre les lumières, je les mets en garde.
-Vous fermez vous yeux, et vous dormez. Si par hasard, je vous entends discuter, c'est nues sur le balcon que vous dormirez. Me suis-je bien fait comprendre?
-Oui monsieur Jacques.
-Oui monsieur Jacques.
-Alors, dormez bien mes chéries. Demain, des leçons difficiles nous attendent.
Sur ce, nous éteignons les lumières et fermons la porte à clé. Nous restons un moment dans le couloir, l'oreille sur la porte, mais n'entendons aucun bruit.
-Cela me navre de laisser ces petites filles une nuit entière sans le moindre câlin, Jacques.
-Moi aussi, mon cher Nestor. Nous nous rattraperons demain.
-Le marquis t'a bien dit que nous pouvions user de ces enfants comme nous l'entendons. Cela veut-il dire que nous pourrons...
-Mais oui, mon cher. Il ne s'agit pas seulement pour nous d'en faire des enfants soumises à nos plaisirs, nous devons encore les préparer à leur tâche future.
-Car le petit cul de cette Pauline, je le veux, Jacques, je le veux.
-Et tu l'auras.
Authors love hearing from their fans. |