Le Cabaret Des Plaisirs, Partie 13

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by Mike

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Published: 21-Dec-2012

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This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

Dans le Salon vénitien, Julien est debout devant la baie vitrée donnante sur la salle du Cabaret, nu, une coupe de champagne à la main. Il regarde l'adjudication des deux petites jumelles japonaises de cinq ans, vêtues de leur tenue d'écolières. Les enchères semblent aller bon train. Un mafieux chinois semble particulièrement intéressé par les deux enfants; chacun sait la haine des chinois vis-à-vis des japonais. Torturer ces deux petites filles ne peut que plaire à l'homme d'affaires. Sur sa demande, un serviteur noir leur a descendu leur culotte jusqu'aux genoux, et leur a relevé leur jupe plissée sur le devant en en maintenant un pan dans leur ceinture afin de bien exposer leur sexe lisse.

Mais pour le moment, cela n'intéresse que peu Julien. Il retourne vers la petite Sylvie, cette enfant d'un peu plus de deux ans, qu'il vient de dépuceler et qu'un serviteur noir vient de détacher; la fillette nue s'est recroquevillée sur elle-même, en pleurs; elle a pris la position du fœtus; elle grelotte et hoquette en reniflant ses larmes. Julien s'approche de la gamine, et commence presque tendrement, comme s'il voulait la consoler, à caresser son corps moite. Il s'attarde sur les petites fesses qu'il écarte doucement pour mieux sentir sous ses doigts cet anus d'enfant qu'il pénètrera un peu plus tard, non sans avoir quelque peu tourmenté la pauvre gosse auparavant. La petite fille épuisée se laisse faire. Le fait de toucher la peau lisse et douce de sa minuscule victime provoque chez Julien une solide érection.

- J'ai envie de faire pipi, dit simplement la petite fille.

Julien lève la main vers un des serviteurs noirs qui s'approche.

- conduisez-la aux toilettes, lavez-la, à l'eau froide, puis vous la ramènerez ici.

Le nègre soulève alors la petite Sylvie, nue et toute molle, et la porte dans ses bras vers l'entrée du salon Vénitien pour exécuter l'ordre de Julien.

La maman de Sylvie, toujours nue, se lève à son tour, et se dirige vers le Miroir de Venise, où attend la frêle petite brunette souffrant le martyr; l'enfant nue est assise sur la pointe de la pyramide en bois qui ouvre sa petite vulve. La jeune femme a saisi au passage une belle cravache en bois torsadé, cet instrument rare, encore fabriqué dans les Pyrénées, et particulièrement cinglant. La petite fille de trois ans ressent la pointe du pal pénétrer peu à peu son sexe lisse et vierge; les poids de cinq kilos attachés à chacune de ses chevilles la maintiennent en équilibre, et lui interdisent tout mouvement. Les trois miroirs placés autour d'elle reflètent son corps entier, en particulier ses mains menues attachées derrière son dos, et crispées sur ses liens, de même que ses jolies petites fesses écartées par l'extrémité de la pyramide. La belle jeune femme nue s'approche de l'enfant torturée, et s'arrête à un mètre d'elle, cuisses écartées, bien cambrée; elle commence à passer l'extrémité de la cravache sur le ventre de la fillette. Doucement. Elle descend vers le sexe lisse et distendu par la pointe de la pyramide, puis remonte vers le torse plat de la petite fille gracile. Son regard plein de plaisir et de haine en même temps en dit long sur ses désirs. Elle aimerait tant aller jusqu'au bout des choses, là, mais elle devra se contenter de la fouetter, de la tourmenter puis de l'offrir à son mari pour qu'il achève le dépucelage de la fillette. Elle attendra que Julien l'invite à une chasse pour réaliser son phantasme. Elle pense alors à son autre fille, âgée d'un an, qu'elle offrira au tortionnaire de Sylvie en échange de ce sublime cadeau.

Julien, resté étendue sur le sofa rond du milieu de la pièce, a compris, en la regardant faire, la perversité de la jeune femme. Cela ajoute à son plaisir, et son sexe n'en devient que plus dur. Il se lève, et s'approche de la jeune femme très belle. Elle a vingt ans, et Julien ne sait plus trop maintenant si c'est le corps magnifique de la maman de Sylvie, ou le fait qu'elle se prépare à torturer une belle enfant fichée sur la pyramide qui l'excite le plus. La jeune femme sentant une présence derrière elle tourne la tête en arrière et est frappée par le sexe tendu de Julien. Si elle ne savait pas Julien définitivement pédophile, elle se demanderait si ce n'est pas pour elle qu'il bande ainsi.

Sans plus attendre, la jeune femme nue se ressaisit, et regardant à nouveau sa petite victime, lève la cravache et frappe l'enfant nue au visage. Puis aussitôt, elle frappe la joue opposée. La gosse semble assommée. La maman de Sylvie s'approche alors de la petite fille empalée, et se collant contre elle pour jouir du contact de sa peau d'enfant lui saisit de la main gauche les cheveux pour lui redresser la tête. Deux grosses marques trapézoïdes reproduisant l'extrémité de la cravache se forment sur le visage de l'enfant en larmes, qui ne hurle même pas.

- J'aurais aimé être bourrelle, au moyen âge, dit-elle en se retournant vers Julien ravi d'assister à tant de cruauté. Je me serais occupée de petites filles condamnées. Je les aurais bien fait souffrir lors des exécutions publiques. Je pense que j'aurais été très demandée pour les enfants.

- Je ne doute pas un seul instant que vous auriez donné de superbes spectacles, chère Madame.

- Je m'appelle Yolande.

- Entendu, je vous appellerai dorénavant par votre prénom.

La jeune femme nue, intégralement épilée, portant une rose tatouée sur le pubis, pose alors sa cravache sur le présentoir où elle avait repéré une belle boîte en cuir rouge.

A ce moment, le serviteur noir revient dans le salon, conduisant de la main la petite Sylvie, à qui il a passé une courte tunique noire transparente, identique à celles que portent les petites filles qui sont représentées sur la fresque du bûcher. L'enfant nue sous le tulle est délicieusement excitante ainsi. L'esclave à la peau d'ébène la présente à Julien qui le félicite de son initiative. Le beau quinquagénaire fait asseoir Sylvie sur le sofa rond du centre du salon.

- Regarde comment ta maman va torturer la petite fille empalée sur la pyramide, devant les miroirs, dit-il à sa délicieuse esclave qu'il caresse doucement. Mets-toi sur le ventre, et regarde!

La petite fille se redresse, et se couche sur le ventre, le visage tourné vers le Miroir de Venise, le menton posé sur ses mains appuyées sur ses coudes. Julien lui écarte légèrement les jambes.

- Cambre-toi, petite fille! Ordonne-t-il.

L'enfant obéit, et offre à son Maître le spectacle de son petit cul ouvert; elle pense, la pauvre naïve, que ses tourments sont terminés, et que dorénavant, elle va pouvoir se reposer et regarder tranquillement les supplices des autres fillettes. Sous le tulle, les petites fesses de Sylvie sont très belles. Mais Julien préfère faire remonter la tunique jusqu'au niveau des reins pour bien jouir de la vue du petit cul nu qu'il va posséder bientôt.

Sur l'autre divan, André caresse le ventre de Lydia, la petite fille née sans bras ni jambes, et qui vient d'être sodomisée par Georges. Il s'attarde longuement sur les tétons percés en les pinçant légèrement, puis descend vers le sexe lisse de l'enfant, où ses doigts sentent le piercing du petit clitoris posé lors de la première partie du spectacle. Il le tord doucement, obligeant la petite enfant malformée à se cambrer; la petite poupée ne peut crier à cause de la boule de caoutchouc rouge qui lui encombre la bouche. Il s'est à son tour entièrement dévêtu, et s'apprête à déflorer la fillette; mais il veut jouir de tout ce soir : du spectacle offert par Yolande, du sexe vierge de Lydia, des cris de Sylvie quand elle sera sodomisée et torturée, du viol de la petite fille encore assise sur la pyramide. Alors, il prend son temps, et continue lentement à caresser le ventre puis tordre les piercings de sa petite chose si extraordinaire.

Yolande, toujours nue, se dirige vers son mari, lui susurre quelques mots à l'oreille, puis se rend à nouveau vers la table sur laquelle elle vient de poser la cravache. Elle met la main droite dans la boîte de cuir rouge, et en retire trois épingles de sûreté, puis s'avance lentement vers la petite fille empalée sur la pyramide du Miroir de Venise.

- Oh ouiiii! s'exclame son mari comprenant la torture que sa jolie jeune femme allait imposer à la petite enfant de trois ans. Ensuite, je la violerai, ajoute-t-il, visiblement très excité.

Couché sur le sofa rond du centre de ce salon Vénitien, Julien continuait à peloter les petites fesses offertes de la jeune Sylvie. L'enfant presque nue se laissait faire, trouvant quelque réconfort aux caresses de son Maître. Il savait, en habitué du lieu, que l'enfant assise sur la pyramide allait prendre la succession de la petite fille sans nom que l'on laissait dépérir lentement, et qui attend certainement dans un salon spécial qu'un amateur de gamines très amaigries vienne la posséder. En effet, une seule fillette de chaque promotion est torturée et violée le premier jour, sacrifiée en quelque sorte pour donner l'exemple aux autres novices dont quatre d'entre elles assistent d'ailleurs terrorisées, nues et attachées sur des chaises au pied de la fresque représentant les petites filles que l'on prépare à être brûlées vives sur une place de Venise au moyen âge.

Yolande est maintenant debout devant l'enfant empalée qu'elle va continuer à martyriser. Elle ordonne à la fillette de tenir les épingles de sûreté dans sa bouche afin d'avoir les mains libres, puis caresse le ventre plat de la gosse, descend vers le sexe lisse et dilaté par la pointe de la pyramide qu'elle sent entre les lèvres meurtries de la petite suppliciée. Elle appuie alors que les hanches de la petite fille qui hurle de douleur et laisse échapper les trois épingles. Un filet de sang coule sur les parois du large pal, montrant que l'hymen de la jeune enfant vient de se déchirer. Le visage en pleurs de la fillette montre sa souffrance extrême.

- Pitié, Madame, laissez-moi descendre; s'il vous plaît, Gémit l'enfant tout en bavant.

Un sourire sadique de Yolande lui répond. La jeune femme nue se baisse pour ramasser une des épingles tombées sur le sol, offrant à Julien de plus en plus excité la vue de son anus ouvert; elle se redresse en se doutant de l'effet produit sur les hommes présents dans le salon, y compris les serviteurs noirs. Elle montre une des épingles à l'enfant qui écarquille ses yeux mouillés de larmes. Elle ouvre lentement l'épingle, et commence à en passer la pointe sur le ventre blême de la jolie petite fille sans défense. L'aiguille laisse une trace rougeâtre sur son trajet; elle fait descendre doucement la pointe vers la vulve enfantine déchirée, en repère le petit clitoris, qu'elle pique en le transperçant lentement, arrachant un hurlement de douleur à la fillette suppliciée. Yolande s'écarte un peu, tout en appuyant sur l'épingle pour la faire pénétrer jusqu'à la pyramide sur laquelle est assise la pauvre petite fille immobilisée afin de bien exposer son sexe torturé aux hommes de la salle. En voyant les hommes hyper excités par ce spectacle, Yolande sent monter en elle le plaisir. Elle essaie de réfréner l'orgasme qui petit à petit l'envahit. Elle retire la pointe du clitoris de l'enfant empalée; puis lentement, méticuleusement, en souriant sadiquement, de la main gauche, elle saisit entre ses doigts fins aux ongles très longs la grande lèvre droite de la petite fille et la tire vers l'avant pour la transpercer avec l'épingle de sûreté; l'enfant nue blêmit davantage encore sous la douleur. L'expression de sa douleur sur son joli visage est très excitante. Yolande pince alors de ses ongles l'autre grande lèvre de la vulve enfantine, et la transperce à son tour, puis ferme l'épingle. La petite fille s'évanouit en laissant tomber sa jolie tête en arrière.

- Attends, ma fille, je vais te réveiller, murmure-t-elle en allant chercher un chandelier. Elle en prend un cierge allumé, passe derrière la petite fille torturée et encore inconsciente, devant les trois miroirs reflétant alors son corps nu et somptueux.

Elle approche la flamme du petit anus de l'enfant empalée; la gosse pousse un nouveau hurlement en redressant la tête. Yolande laisse la flamme au contact du petit trou pendant une bonne demi minute, en disant :

- Ca fait mal, hein, petite salope. Et cela te fera encore plus mal tout à l'heure quand mon mari t'enculera. Et moi, cela me fera jouir.

Pour constater la brûlure faite à l'anus de la petite brunette, Yolande se penche a nouveau en avant pour regarder le petit trou couvert de cloques; elle exhibe ainsi le reflet de son propre cul dans les glaces placées autour de la petite fille nue fichée sur l'instrument de supplice.

Julien est au comble de l'excitation. Il est prêt à jouir sans même se toucher. Les souffrances infligées avec autant de talent à cette petite fille de trois ans sans défense par cette superbe jeune femme nue, le font terriblement bander. Il arrache la tunique noire et transparente de sa petite esclave. Il fait rapidement attacher Sylvie à nouveau entièrement nue les bras en croix sur le dos par deux serviteurs noirs maintenant entièrement nus au même endroit où il l'avait violée il y a moins d'une heure; les deux nègres sont en érection; Julien fait relever les jambes de sa minuscule esclave afin de lui attacher les genoux à ses coudes pour bien exposer son sexe lisse et surtout lui offrir son anus vierge et délicieusement rose et serré.

- Tu te souviens de ce que je t'avais dit tout à l'heure. Tu ne dois en aucun cas crier. Je veux que tu souffre en silence, sinon, je te mettrai à la place de la petite fille que ta maman tourmente.

- Oui, Monsieur. Je serai sage.

Julien palpe alors le petit trou qu'il pénètre aussitôt avec beaucoup de brutalité. Un cri de douleur est réfréné par l'enfant sodomisée qui se souvient qu'elle ne doit en aucun cas hurler afin de ne pas déplaire à son Maître.

Yolande repasse a nouveau devant sa petite victime, se penche en avant pour ramasser les deux autre épingles en montrant son superbe petit cul. Son mouvement fait écarter ses belles fesses et dévoile à nouveau son anus si excitant, bien ouvert, témoignant de son goût pour la sodomie qu'elle pratique régulièrement.

Sylvie, si petite, si menue sent le pieu de Julien entrer dans son ventre, défoncer ses entrailles, déchirer son petit anus. La douleur est atroce; les cris que la petite fille de deux ans et demi essaie d'étouffer lui donnent un plaisir immense, ajouté à la vue de Yolande qui est en train d'enfoncer les deux épingles de sûreté dans les minuscules tétons de la brunette empalée. La chair de cette enfant est si tendre. Les aiguilles pénètrent lentement, faisant couler un léger filet de sang sur son torse plat de toute petite fille. Yolande s'éloigne de l'enfant, et contemple son œuvre. Elle ressent le besoin absolu de jouir. Elle s'approche de Julien qui sodomise sa fille Sylvie, s'accroupit au dessus du visage de l'enfant enculée. Elle entrouvre la bouche et embrasse goulûment Julien et se frotte la chatte sur la bouche de la petite fille; puis elle se met à hurler de plaisir, pendant que julien éjacule dans le cul de la petite fille. L'orgasme des deux partenaires est très long; ils restent ainsi, Julien enfoncé dans l'anus déchiré de la petite fille ligotée, et Yolande assise sur le visage en larme de sa fille violée.

- Oh Julien, il y a longtemps que je n'ai jouit de la sorte. Je suis sûre que vous me donnerez beaucoup de plaisir en vous occupant de la petite sœur de Sylvie.

Puis, en baissant la voix, elle s'approche de l'oreille de Julien, et lui dit, sans que personne ne puisse l'entendre :

- La petite sœur de Sylvie a une jumelle que nous n'avons jamais déclarée, et qui vit enfermée chez nous dans un lieu tenu secret. Vous voyez ce que je veux dire...

Puis après un dernier baiser sur la bouche de Julien, elle se lève en ordonnant aux serviteurs noirs :

Détachez la petite brunette que je viens de tourmenter de sa pyramide, et offrez là à mon mari!

A nouveau, les petites filles préposées à la toilette des invités sortent de leur porte dérobée, et viennent lécher le sexe de Julien de même que la chatte épilée de Yolande.

- Qu'on laisse Sylvie dans cette posture, en attendant, ordonne Julien.

Deux serviteurs noirs exécutent l'ordre de Yolande, et portent la petite fille qu'elle vient de torturer sur un canapé. L'enfant est blême, presque inconsciente, moite, le sexe lisse ensanglanté, les petits tétons percés par les épingles de sûreté. Ils la couchent sur le ventre et attachent ses jambes très écartées. Le mari de Yolande regarde cette petite chose, et s'excite énormément en voyant l'anus de l'enfant couvert de cloques.

- Ah, que ça va être bon de l'enculer, dit-il en tendant une coupe de champagne à son épouse adorée. Merci, mon Amie, de me l'avoir ainsi préparée.

Puis il se tourne vers Julien qui vient également de se servir une flûte, trinque avec lui et l'amène vers le sofa où est étendue la petite brunette pour lui montrer le petit trou qu'il va défoncer maintenant.

- J'ai bien aimé que ma femme la dépucelle sur la pyramide. Moi, les gamines, je préfère les sodomiser. Et là, je vous assure que celle-ci va douiller!

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zuneido

s'il vous plaît plus. J'adore cette histoire. partie 14, 15, 16 ... voulez savoir sur les filles japonaises et plus la torture et sodomisé de force. et la douleur

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