email
Published: 21-Dec-2012
Word Count:
Pendant que Julien s'amusait avec la délicieuse Sylvie, la vente aux enchères de petites esclaves s'était poursuivie. La jolie Julie vient d'être achetée assez cher par un couple accompagné de ses deux enfants, une fille de onze ans, et son frère âgé de deux ans de plus. Pour la vendre, Monsieur Loyal l'avait d'abord présentée debout, face au public, enchaînée, entièrement nue sauf ses petits sabots de bois usés. Il avait montré son visage angélique maintenant triste et au bord des larmes. Du bout de sa cravache, il avait caressé sa chevelure blonde, son ventre blême et son pubis lisse; il avait parlé de sa vulvette vierge et évoqué la sodomie qu'elle avait subie en première partie de spectacle. Il avait vanté l'expérience buccale de l'enfant et avait particulièrement insisté sur ce qui semblait pour le moment être le plus intéressant : le petit cul de cette fillette de cinq ans encombré par son plug qu'elle devait impérativement garder sous peine de subir le supplice de l'électricité, au moins jusqu'à ce qu'elle soit achetée. Il avait fait venir sur le devant de la scène deux autres de ses serviteurs noirs presque nus afin qu'ils enlèvent les chaînes de l'enfant, de même que ses sabots, puis lui lient les mains serrées derrière son dos et la forcent à s'agenouiller fesses tournées vers les spectateurs, cuisses écartées, tête plaquée à même le sol; la petite fille de cinq ans exhibait parfaitement par cette posture son sexe lisse et son anus dilaté par l'énorme gode qu'elle ne devait surtout ne pas perdre.
La petite fille s'était alors mise à pleurer en silence, et ses larmes coulaient sur le sol. La peur se lisait sur son visage mouillé. Elle avait pensé, la pauvre, que ses ennuis se termineraient là, mais elle n'imaginait à aucun moment les tourments qu'elle allait encore subir cette longue nuit. Pendant que les enchères grimpaient, Carole, la fillette de onze ans et son grand frère Bruno s'étaient approchés d'elle, et avaient commenté ses jolies petites fesses écartées; ils avaient parlé des tortures qu'ils infligeraient à leur petite esclave quand leur papa en aurait fait l'acquisition. Leur père en effet avait promis le pucelage de la gamine à son fils.
- Tu la fouetteras avant que je la dépucelle? demanda Bruno à sa petite sœur.
- Oh oui ! Et j'aimerais bien qu'on l'empale aussi, et qu'on la brûle à petit feu, répondit Carole, les yeux brillant de perversité.
Les commentaires des deux gamins excitèrent beaucoup Jérôme, qui était à portée de voix de la scène où était exposée sa fille vendue aux enchères.
A treize ans, Bruno est déjà bien constitué; c'est plutôt un bel adolescent maintenant. Sa petite soeur, elle, n'est encore qu'une enfant. On devine sous son corsage de petits seins naissant à peine. Elle porte encore sa très courte jupe plissée, mais son père lui avait demandé d'enlever sa petite culotte afin qu'il puisse caresser son sexe toujours lisse pendant la première partie du spectacle. Elle a été déflorée très jeune, et a souvent été tourmentée pour le plus grand plaisir de son papa et ses amis. Elle avait souvent dû également se montrer dans la position maintenant imposée à Julie, et en regardant le plug qui encombre le rectum de la petite esclave que son papa est en train d'acheter, elle se souvient de la douleur qu'elle a ressentie quant on l'a sodomisée pour la première fois alors qu'elle n'avait pas encore quatre ans. Elle ne se souvient pas qui l'avait pénétrée à ce moment là, mais maintenant elle connaît le plaisir qu'on peut prendre de cette manière, et aime bien offrir son petit cul à son papa, son frère et ses amis, bien que ceux-ci s'intéressent plus depuis peu à sa jolie petite sœur de trois ans.
Quand enfin, la petite Julie fut adjugée au père de Carole et de Bruno, les deux enfants montrèrent une immense joie, et emmenèrent leur petite proie terrorisée à la table de leurs parents pour commencer à en profiter. Carole la traîna littéralement par les cheveux, et la pauvre esclave en déséquilibre laissa tomber son plug en marchant.
- Elle a perdu son gode! Cria Carole ravie de l'aubaine. Il faut la torturer sur la chaise électrique!
- Oh oui, papa, s'il te plait, renchérit Bruno.
- Avant de la violer et de la fouetter?
- Oh oui, papa. Tout de suite, si tu veux bien.
- Eh bien, allons-y les enfants. Vous venez, chère amie? Ajoute-t-il en s'adressant à son épouse.
La sentence semble sans appel!
Depuis le salon vénitien, Julien se détend en regardant par la baie vitrée ce qui se passe dans la salle de spectacle. Il aperçoit deux des serviteurs noirs qui rejoignent alors la table de cette belle famille incestueuse qui vient d'acquérir la très jolie Julie; l'un d'eux guide le père vers la grande porte dorée menant à la salle de tortures choisie, afin d'installer la petite fille de cinq ans sur une des chaises électriques, et d'expliquer comment on peut progressivement l'électrocuter tout en la laissant vivante et docile pour les viols et les autres tortures proposées. La pauvre enfant nue, mains liées derrière le dos, est traînée par Carole et l'autre serviteur noir; la jupe plissée de la fillette perverse est si courte qu'elle laisse parfois entrevoir ses fesses nues et son sexe encore lisse. Bruno donne quelques coups de pied dans les fesses et les jambes de la belle petite esclave qui gémit en trébuchant, le visage terrorisé et mouillé de larmes. Ses cris de désespoir couvrent le brouhaha de la salle de spectacle :
- Maman, j'veux pas. Pitié. Je veux rentrer à la maison! Nooon assez! Arrêtez s'il vous plaît!
Personne ne répond à sa détresse; au contraire, Jérôme et son épouse de même que l'oncle de la malheureuse enfant regardent satisfaits la petite fille vendue emmenée par ses bourreaux; Jérôme caresse le petit cul de Rose, leur autre enfant de quatre ans à peine, debout et ligotée toute nue sur un tabouret; il est de plus en plus excité à l'idée que sa fille Julie sera torturée ce soir par deux enfants cruels, sans retenue aucune, et qu'elle sera dépucelée par un garçon de treize ans; chacun sait que les enfants entre eux sont bien plus pervers que ne pourraient l'être des parents pédophiles et incestueux! Cela le met dans de bonnes dispositions pour violer Rose, encore entièrement vierge.
C'est maintenant au tour d'Estelle d'être mise aux enchères. L'enfant a juste huit ans; elle aussi a été sodomisée sur scène par un nègre majestueux lors de la première partie du spectacle et depuis, elle porte comme sa petite cousine Julie un plug enfoncé dans son petit cul; mais elle plus habituée à ce genre d'exercice que sa cousine et serre bien les fesses pour ne pas le perdre. Sa minceur lui donne une belle élégance, rare chez une enfant de son jeune âge. Monsieur Loyal la fait avancer sur le devant de la scène, devant les autres fillettes qui vont être vendues : les deux petites japonaises, seules à être encore vêtues de leur tenue d'écolières, et trois autres petites filles toutes nues et enchaînées entre elles. Estelle est restée chevilles et poignets enchaînés et sabots de bois usés aux pieds. L'enfant nue regarde partir sa petite cousine vers son supplice, et on entend ses derniers cris avant que la porte dorée ne se referme sur elle et ses tortionnaires.
Monsieur loyal rompt le silence qui suit cette scène :
- Mesdames et Messieurs, nous allons maintenant mettre en vente la petite Estelle. Hélas, elle n'est plus vierge, mais vous pourrez bien vous amuser avec elle. Regardez son corps parfait. A huit ans, elle est bien proportionnée et a déjà une très bonne expérience. Nul doute qu'elle saura vous sucer avec beaucoup de douceur pendant que vous regarderez les tortures infligées à sa cousine et aux autres petites filles. Estelle, écarte tes jambes pour faire admirer ton joli sexe lisse, et cambre toi bien! ordonne-t-il à la petite esclave qui va être vendue. Mise à prix : cinquante!
Personne ne répond à l'offre. Il faut dire que les deux enfants qui viennent d'être vendues, et celles qui viennent ensuite, malgré la beauté d'Estelle, sont bien plus intéressantes. Les clients de ce soir sont amateurs de très petites filles.
- Allons, Mesdames et Messieurs, un petit effort. Et Toi, Estelle, tourne-toi, et montre bien ton petit cul. Montre bien ton petit trou que je serai obligé de faire empaler par mes bourreaux noirs si tu n'es pas vendue. Danse!
La petite fille nue et enchaînée, terrorisée à l'idée d'être déchirée par un pieu de bois commence de nouveau à danser, faire tournoyer ses petites fesses nues et écartées devant le public ravi. Elle se souvient soudain que son papa lui avait montré, il y a quelque temps, des photos de toutes petites filles réellement empalées soit par l'anus, soit par leur sexe, et il lui avait raconté les longues souffrances que les enfants ainsi suppliciées avaient endurées avant que la mort ne les soulage. Bien sûr, ici, on ne la ferait pas mourir, mais cela la terrorise tout de même. Alors, elle essaie de se vendre, à n'importe quel prix. Hélas pour elle, aucun client ne suit les enchères. Personne n'a envie de l'acheter. De plus, savoir que si elle n'est pas vendue, elle risque d'être empalée sur scène excite beaucoup les spectateurs de cet extraordinaire cabaret.
Un brouhaha interrompt subitement le cours de la vente. En effet, deux bourreaux noirs cagoulés traînent la petite Anaïs vers la porte dorée qui conduit à la salle des chaises électriques. L'enfant nue et ligotée, tête rasée a été condamnée à être électrocutée pour avoir perdu son combat tout à l'heure. Elle hurle et ses cris stridents sont un régal. Mais le silence se fait à nouveau quand le petit groupe est sorti de la salle.
- Alors? demande Monsieur Loyal, personne pour Estelle? Allez, je la laisse pour trente images. Qui est amateur?
- Quelles tortures seront permises, demande timidement un jeune homme d'une vingtaine d'années, accompagné par son jeune frère de seize ans?
- Tout ce que vous voudrez, cher ami, tout ce qui vous fera plaisir. Il faut que cette petite chienne soit punie de me rapporter aussi peu!
- Entendu, je prends pour trente.
- Trente une fois, deux fois? - ... - Trente trois fois! adjugée, vendue!
La petite Anne est toujours à cheval sur le sexe dur de Jacques, et se masturbe autant qu'elle le caresse. La petite fille nue et perverse regarde alors son maître et lui demande :
- Ne voulez-vous pas, Monsieur, aller voir comment on torture Anaïs et Julie? Je vous déshabillerai, et vous pourrez m'enculer en regardant comment elles se tortillent sous la douleur. Mais c'est aussi très agréable de regarder comment on les installe, comment on choisit le truc qu'on leur enfonce dans le derrière, comment on les attache pour que l'on voie toujours leur minou pendant qu'on les supplicie. Venez, Maître; nous allons manquer le début.
- Tu aimes tant ça? demande Jacques.
- Oh oui, Monsieur.
- Et toi? tu as déjà été torturée sur une chaise électrique?
- Oui, il y a un peu plus d'un an.
- Et pourquoi avais-tu été ainsi punie?
- Parce qu'un client s'était plaint de moi.
- Il n'était pas satisfait de toi?
- Il avait dit que je suçais mal. Mais j'étais encore petite. Je venais d'être admise ici, et je n'avais que trois ans et demi. J'ai eu très mal. Il avait choisi une très grosse électrode pour me mettre dans le derrière. Et il avait demandé aux bourreaux de mettre l'électricité très fort.
- Et il a regardé pendant qu'on te torturait?
- Oui et il a demandé qu'une autre enfant le suce pendant ce temps. J'ai été torturée plus d'une heure comme çà. Il a voulu jouir plusieurs fois dans la bouche de l'autre fillette. Puis ensuite, il m'a fait écarteler et il m'a enculée longuement. J'avais déjà tellement mal à mon derrière.
- Et ensuite?
- Il m'a fait suspendre par les pieds écartés, et il m'a longuement fouettée. Mais venez, monsieur, nous allons manquer le début du supplice d'Anaïs et de Julie.
- Entendu, viens belle enfant, conduis-moi!
Jacques soulève alors la petite Anne par les aisselles, et la pose debout sur le sol; il range son sexe dur dans son pantalon et ferme sa braguette; puis il prend la main de sa petite esclave nue et attend qu'elle le conduise à la salle des chaises électriques. Il est aussitôt suivi par les deux frères qui viennent d'acheter Estelle. Les deux garçons se sont fait offrir l'entrée du cabaret par leur oncle qui s'était aperçu qu'ils s'intéressaient de très près à ses deux filles de deux et quatre ans. Mais il ne leur avait apparemment pas donné assez d'argent pour qu'ils puissent s'offrir une toute petite enfant ce soir; peu importe, se disent les deux jeunes gens qui se sont déjà bien amusés à regarder le spectacle; et puis, jouir dans le cul ou la bouche d'une enfant de huit ans, ce n'est pas si mal pour un début.
Estelle est restée enchaînée, et a gardé ses sabots de bois; ses chaînes sont assez lâches, ce qui lui permet de marcher et d'écarter les bras suffisamment. Compte tenu du petit prix de vente de l'enfant, monsieur Loyal n'a pas jugé nécessaire de prêter de serviteurs noirs aux deux frères. Ceux-ci tiennent la petite Estelle par la main, chacun de part et d'autre de l'enfant nue, presque tendrement.
- Qu'est-ce que vous allez me faire? demande timidement et naïvement la fillette nue.
- On ne sait pas encore, répond l'aîné, cela dépendra de toi. Pour le moment, on va regarder comment on supplicie la petite fille qui a perdu le combat, et ta petite cousine. C'est bien ta petite cousine qui vient d'être vendue juste avant toi, non? Je suis sûr que cela nous excitera énormément, et que tu nous donneras pendant ce temps beaucoup de plaisir.
Jacques entre le premier dans la salle des chaises électriques, tenant la petite Anne par la main. Il avait déjà visité cette pièce pendant l'entracte. Il jette un œil furtif sur la chaise qui avait réellement servi à l'exécution d'une petite fille de sept ans au début du vingtième siècle. Il remarque alors rapidement la petite Anaïs, toute nue, debout devant une des chaises, bâillonnée par deux bourreaux noirs. Ses deux tortionnaires sont en train de lui mettre également un bandeau sur les yeux. Elle a beau se débattre comme une furie, elle ne peut rien contre la force des deux nègres qui vont la torturer. Un peu plus loin, les deux autres serviteurs noirs placent une grosse boule de caoutchouc dans la bouche de Julie qu'ils maintiennent ainsi par une boucle de cuir sanglée derrière sa nuque. L'enfant toute nue a toujours les mains liées dans le dos, très serrées.
- Sur quelle chaise devons-nous asseoir votre petite esclave? demande alors un des deux serviteurs noirs à Carole et à Bruno.
La perverse Carole parcourt du regard tous les instruments de supplice placés au centre de la pièce. Toutes les chaises sont assez semblables. Toutes faites pour des petites filles allant de deux à sept ans. En fait, elles n'ont pas de fond, et seule une barre partant du dossier soutient l'électrode qui sera placée dans l'anus de l'enfant qui devra être électrocutée. Elles sont toutes munies de sangles sur les accoudoirs pour attacher les poignets des enfants qui vont y être tourmentées; et surtout, deux autres pièces de bois horizontales, comme des accoudoirs, mais un peu plus larges permettent de soutenir de manière très écartée les cuissettes frêles des petites filles; des lanières de cuir sont prévue pour attacher les genoux pour que les spectateurs puissent en permanence voir le sexe lisse des petites filles qui y sont assises de même que le pal métallique défonçant leur tout petit cul. Elles ne diffèrent pratiquement que par la taille de l'électrode sur laquelle on va asseoir l'enfant nue et qui va s'enfoncer dans son anus et son rectum. Ces électrodes de métal ont toutes quinze centimètres de long environ, mais leur diamètre varie de deux à cinq centimètres. Du plafond, au-dessus de chaque chaise, pendent trois fils électriques spiralées que l'on peut dérouler, et qui sont terminés par des pinces « crocodile » très acérées.
- Sur celle-ci, répond la fillette de onze ans, en désignant celle qui a l'électrode anale la plus grosse.
- Comme Mademoiselle voudra, répond le bourreau.
Le serviteur noir en string serré semble très excité; son string est vraiment très distendu par son sexe en érection, ce qui plaît énormément à la jeune Carole qui retire sa minijupe, montrant ainsi ses jolies petites fesses nues et son sexe encore lisse qu'elle commence lentement à caresser.
La petite Julie est maintenant terrorisée comme jamais. Ses yeux écarquillés regardent le petit pal qu'on va lui enfoncer dans son petit derrière. Il faut rappeler que l'enfant a déjà ce soir été sodomisée par un nègre extrêmement bien monté, et qu'ensuite, elle a dû garder en elle en plug de taille conséquente.
- Est-ce que Mademoiselle souhaite mouiller l'électrode? demande alors le serviteur noir à Carole.
- Avec ma bouche?
- Oui, si Mademoiselle veut bien. Et cela serait très agréable pour les parents et le frère de Mademoiselle si Mademoiselle acceptait de bien vouloir ôter son chemisier. Et les autres spectateurs prendraient beaucoup de plaisir à regarder la poitrine naissante de Mademoiselle.
Carole ne se fait pas prier. Lentement, voluptueusement, elle ôte son corsage, dévoilant un torse pratiquement plat encore; seuls deux tétons roses surmontant un petit relief montrent que l'enfant commence à avoir de petits seins. Une petite fille encore, avec une maturité de femme.
Les deux frères se sont assis sur un des canapés larges entourant la salle, et se régalent du strip improvisé de la préadolescente; Estelle, nue et enchaînée, assise entre eux ouvre la braguette du plus jeune en disant :
- Comment vous appelez-vous, Maître?
- Louis, répond le beau garçon de seize ans.
- Laissez-vous faire.
De ses doigts fins et délicats, elle sort le sexe dur de l'adolescent; il a été circoncis, et semble bien plaire à la fillette. Elle se penche en avant et commence à lécher le gland excitant du bout de sa petite langue.
Pendant ce temps, Carole, maintenant toute nue aussi s'est agenouillée devant la chaise électrique sur laquelle sera torturée la petite Julie, et se cambrant afin d'offrir à son frère et ses parents la vue de son délicieux petit cul entreprend de mouiller le pal métallique, comme si elle suçait le sexe d'un homme. Ce faisant, elle remue bien ses petites fesses écartées donnant bien à voir son anus et son sexe encore lisse. Ce spectacle excite toute l'assistance, particulièrement les deux jeunes garçons qui ont acheté Estelle.
Les deux bourreaux d'Anaïs attendent pour placer leur victime sur la chaise. Ils empaleront la petite fille qu'ils doivent torturer un peu plus tard, pour offrir une deuxième joie à l'assistance. Sans doute demanderont-ils à Carole, ou à une autre, de sucer l'électrode de la chaise qui servira à torturer la petite Anaïs. Pourquoi pas la victime elle-même?
Louis est très excité par tout ce qui se passe. Maintenant qu'Estelle a pris son sexe entier dans sa petite bouche, il regarde la petite Julie, nue et terrorisée, attendant son supplice; il se délecte de la danse des fesses nues et menues de Carole; la vue de la petite Anaïs bâillonnée et aveuglée, debout toute nue devant la chaise électrique sur laquelle elle va énormément souffrir ajoute à son plaisir. Son grand frère Michel s'est quant à lui entièrement dévêtu, et se masturbe lentement en appréciant le spectacle qui s'offre à lui. Estelle, maintenant à genoux devant Louis prend le sexe de Michel dans sa main droite, et le branle lentement, avec beaucoup de douceur. Michel est ravi. Finalement, une petite fille de huit ans, nue et enchaînée, ce n'est pas si mal. La petite Estelle fait aller et venir sa délicieuse bouche sur le sexe dur de Louis. Elle s'amuse à lécher le gland de plus en plus turgescent du jeune adolescent qui découvre le plaisir de la fellation. De sa main gauche, elle caresse les bourses du jeune garçon, en faisant cliqueter les chaînes qui relient les bracelets de fer qu'elle porte aux poignets. Sentant la jouissance du jeune homme monter en lui, elle s'éloigne de quelques centimètres pour regarder cette belle bite d'adolescent prête à juter. Elle donne quelques petits coups de langue sur le méat, puis s'arrête avant que le jeune homme fou de plaisir ne jouisse sur elle. Michel se régale en regardant son jeune frère se faire sucer pour la première fois. Et de plus, par une belle enfant nue et soumise, enchaînée. Son sexe également raide dans la petite main est prêt à libérer sa semence, mais il sait déjà se retenir. Il a tellement envie d'enculer la gosse.
Louis détourne son regard du visage d'Estelle pour regarder devant lui : les deux bourreaux noirs viennent de soulever la petite Julie, et s'apprêtent à l'asseoir sur l'énorme électrode. Ils ont bien écarté les cuisses de la petite fille nue qui a toujours les mains liées derrière le dos. Le sexe lisse de la belle enfant n'en est que plus excitant encore. Elle gémit, voudrait hurler, mais la grosse boule de caoutchouc enfoncée dans sa petite bouche l'empêche de crier. Estelle entend sa petite cousine, imagine ce qui lui arrive, mais ne se retourne pas. Elle veut donner le maximum de plaisir à Louis et son grand frère, espérant éviter de la sorte d'être elle-même torturée.
Voila le pal de métal juste contre l'anus de Julie. Elle sent la froideur du pieu entre ses fesses que les bourreaux écartent pour pouvoir bien faire pénétrer l'électrode dans le cul de la petite fille de cinq ans. Tout en écartant bien les cuisses de Julie, les deux nègres appuient sur ses épaules pour que la frêle enfant suppliciée s'empale lentement; Louis regarde le pal énorme entrer doucement entre les minuscules fesses de la petite fille. La pauvre enfant sent une vive douleur; elle a l'impression que son anus se déchire; elle grimace, ferme ses yeux mouillés de larmes. Elle ne peut hurler à cause du bâillon de caoutchouc placé dans sa jolie bouche. Ce spectacle est tellement excitant que Louis ne peut se retenir. Son sexe turgescent est violacé, et Estelle le prend vite en bouche à nouveau, pour sentir le sperme de l'adolescent jaillir dans le fond de sa gorge. Elle a appris toute petite à aimer cette sensation et avale la semence, en continuant à lécher le gland de Louis, puis prend le sexe de Michel dans sa bouche pour le sucer à son tour.
Les bourreaux attachent les cuisses bien ouvertes de l'enfant empalée aux supports prévus à cet usage avec les sangles de cuir. Ils font de même avec les chevilles de la pauvre gamine. Michel est au bord de l'extase. La vue du sexe lisse et du ventre blême de la petite Julie déformés par le pieu de métal enfoncé dans son rectum, cet anus d'enfant très dilaté, les gémissements de petite fille torturée font monter en lui le plaisir. Il ne peut se retenir, et éjacule dans la bouche d'Estelle au moment où les deux bourreaux noirs défont les liens qui attachaient les mains de la petite Julie derrière son dos pour les sangler sur les accoudoirs de la chaise électrique. En souriant, presque ravie, Estelle avale le foutre du jeune homme, et nettoie le gland délicatement du bout de la langue.
Pendant ce temps, la petite Anne avait entrepris de dévêtir Jacques, qui s'était laissé faire sans la moindre réticence. Le voilà nu, bandant comme un âne, regardant les multiples spectacles qui s'offrent à lui. Le corps nu et si gracile de la petite Anne qui s'est mise à quatre pattes pur l'exciter en lui montrant son anus qu'elle lui a promis, Julie empalée sur son électrode cuisses très ouvertes, Estelle donnant avec sa bouche le plaisir aux deux jeunes frères, et Anaïs qui attend son supplice.
- Est-ce que je peux, Maître, vous demander une faveur? demande alors Anne.
- Oui? et laquelle? rétorque Jacques.
- J'aimerais tant que vous me léchiez mon petit trou.
- Te voilà bien exigeante pour une esclave.
- Je sais, Maître, que les hommes adorent cela. Mais si cela vous gène en quelque matière que ce soit, vous devez refuser. Vous savez, nous n'avons pas le droit de jouir des clients du cabaret, mais je suis trop excitée par le supplice qui va être infligé à Anaïs. Et si vous me léchez un peu, la sodomie ne sera pas douloureuse. Et en plus, vous me donnerez le plaisir.
- Tu es une drôle de coquine, répond Jacques. Et où as-tu appris tout ce vocabulaire que les enfants ne connaissent pas?
- Dans nos dictées. A l'école du cabaret, où nous apprenons le français dans les livres de Pierre Louys. Et nous devons faire tout ce qui est dans nos dictées. Et si nous faisons des fautes, nous sommes punies. Deux fois plus si c'est sur un mot érotique ou pornographique. Si vous voulez, je peux vous réciter tous les synonymes de sodomie.
- Ce sera pour plus tard.
Jacques se penche alors sur les fesses de la petite fille de cinq ans, qui se cambre et passe sa langue sur le petit anus de l'enfant qui se retient de gémir de plaisir pour ne pas attirer les foudres des surveillantes éventuelles. Elle ne pense pas que Anaïs, qui, malgré son bandeau a reconnu sa voix et a entendu sa conversation avec Jacques, ne manquera pas de la dénoncer dès demain, et que sans doute elle finira comme gibier dans la prochaine chasse. Et qu'elle risque de mourir des mains mêmes de l'homme qui est en train de lui faire l'amour.
- Regardez, Maître, ils vont empaler Anaïs.
En effet, les deux noirs guident l'enfant nue et placent son visage aveuglé devant le pal énorme. L'un d'eux enlève le bâillon de la gamine.
- Lèche! ordonne un des deux bourreaux.
Anaïs, tête rasée, ligotée, est forcée de prendre en bouche l'électrode métallique et de la sucer comme si elle léchait le dard d'un homme. Cela lui permet en outre d'évaluer le taille du l'engin qu'on va lui enfoncer dans son petit cul d'enfant. Puis, brutalement, on la redresse, et les deux noirs l'asseyent sans ménagement sur le pieu qui défonce son anus. La douleur provoquée est terrible. Anaïs sent son anus se déchirer, le pal entrer dans son rectum très profondément envahissant ses entrailles; la sensation est atroce. Ses bourreaux n'ont aucune raison de la ménager, puisqu'elle est d'ors et déjà condamnée à servir de gibier lors de la prochaine chasse. Le hurlement qu'émet la pauvre enfant fait se dresser Jacques, qui arrête de lécher le petit cul de sa petite esclave. Anne et lui regardent les bourreaux attacher les poignets et les genoux d'Anaïs de la même manière qu'a été attachée Julie. Le visage de l'enfant à la tête rasée grimace de souffrance. L'excitation des spectateurs est à son comble. Jacques n'en peut plus; il pénètre l'anus d'Anne qui vient de présenter son petit cul d'enfant et qui se détend pour prendre entièrement le pénis de Jacques dans son ventre. Elle sent rapidement le plaisir l'envahir, et rit naïvement lorsque l'orgasme la fait tressaillir dans tout son corps de petite fille. Jacques jouit alors brutalement dans le cul de l'enfant offerte, qu'il plaque sur le divan en râlant de plaisir.
Le plaisir de voir comment se tortillent les deux enfants lors des électrocutions sera bien plus grand encore, et redonnera vite de la vigueur aux spectateurs ravis de cet extraordinaire spectacle.
Authors love hearing from their fans. |