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Published: 20-Dec-2012
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Jérôme se régale à regarder le défilé des huit petites filles qui vont être vendues. Ces jolies petites enfants enchaînées entre elles, la plupart toutes nues, sauf les sabots de bois qu'elles portent aux pieds, l'excitent énormément. Particulièrement la petite Sylvie, âgée de deux ans et demi, qu'il souhaite tellement acquérir pour la nuit.
Justement, deux esclaves noirs détachent l'enfant de la chaîne pour la présenter au public. Ils font agenouiller la petite fille qu'ils ont laissée enchaînée mains derrière le dos et aveuglée par son bandeau, devant un autre serviteur noir qui vient d'entrer en scène. Presque nu, coiffé d'un turban sombre, il porte un magnifique sabre passé dans sa ceinture de soie noire. Il a les bras croisés, tel un bourreau attendant sa victime. Ce tableau est vraiment très excitant; on a vraiment l'impression que le public va assister à l'exécution de la petite fille. Il faut reconnaître que Monsieur Loyal a le sens de la mise en scène. Habillé en pacha, magnifique dans son pantalon bouffant blanc, son manteau de soie rouge orné de fils d'or, son turban sur la tête, il annonce, en désignant de l'extrémité de sa cravache la petite gamine nue à genoux:
- Regardez, Mesdames et Messieurs, comme cette enfant est désirable ainsi. C'est la première fois ici que nous proposons une petite fille si jeune aux enchères. Elle n'a que deux ans et demi, est bien menue. Admirez sa blondeur, la finesse de son petit corps nu, la blancheur de sa peau. Elle est intégralement vierge, et ses parents la proposent pour son dépucelage et pour la torture. Ils souhaitent néanmoins assister au viol de leur enfant, ainsi qu'aux sévices qui lui seront infligés par son acquéreur. Je pense que celui qui achètera la petite Sylvie n'y verra aucun inconvénient. Chacun d'entre nous sait bien qu'il est très jouissif de violer une petite fille devant sa maman.
Un frémissement d'approbation parcourt le public.
Jacques a pris la petite Anne sur ses genoux. L'enfant nue a plaqué son sexe lisse de petite fille sur le pénis très dur de son Maître; elle se caresse lentement contre cette bite en érection en la chevauchant et en la maintenant contre sa vulvette avec ses petites mains douces. Le contact du sexe de la petite Anne et le spectacle de la jeune esclave nue qui va être vendue donne un plaisir immense à Jacques qui se retient de jouir. Il ne remarque même pas Sophie, la petite soubrette aux fesses nues affectée à sa table en train de lui remplir sa coupe de champagne. Cela amuse beaucoup Anne qui se montre de plus en plus perverse.
Monsieur Loyal s'approche de la délicieuse Sylvie qui va être vendue, et lui caressant son torse plat avec le bout de sa cravache il annonce de sa voix tonitruante le début de la vente.
- Allons, Mesdames et Messieurs, nous allons commencer les enchères. La mise à prix de cette toute petite fille est de cinquante images.
Jérôme lève la main, pour manifester son accord. Depuis le deuxième rang, sur la droite, un quinquagénaire annonce:
- Cent!
- Ah répond Monsieur Loyal, nous avons un autre acquéreur à cent!
- Cent cinquante! répond Jérôme.
- Deux cents, annonce un couple au premier rang accompagné par un jeune garçon de treize ans et d'une fillette de douze ans.
- Trois cents renchérit le quinquagénaire!
Le couple lève la main, suivi de Jérôme, bien décidé lui aussi à s'amuser avec la petite esclave de deux ans et demi.
- Nous avons cinq cents ici, dit Monsieur Loyal, en désignant Jérôme du bout de sa cravache. Cinq cents une fois, cinq cents deux fois....
- Huit cents! dit le quinquagénaire en levant la main.
- Nous avons huit cents là bas. Huit cents une fois...
- Neuf cents hurle le couple intéressé par la petite enfant!
- Mille, annonce le monsieur grisonnant.
Un murmure traverse l'assistance. Monsieur Loyal ravi enchaîne:
- Nous avons une enchère à mille. Qui dit mieux?
Il parcourt le public du regard, l'air interrogatif.
- Mille une fois... mille deux fois...? Personne ne dit mieux? Mille trois...
- Mille cent! crie Jérôme.
- Mille cinq cents! coupe d'un ton sec le beau quinquagénaire.
Jérôme interroge sa femme et son frère du regard. D'un signe négatif de la tête, son épouse lui signifie qu'il vaut mieux laisser tomber pour cette fois.
- Nous nous amuserons avec Rose, lui dit-elle à l'oreille. Tu pourras la dépuceler pendant que le Monsieur qui va acheter la petite la torturera. Cela nous excitera tous. Et qui sait, ajoute-t-elle un sourire à la fois pervers et convenu sur les lèvres, peut-être nous la prêtera-t-il après qu'il l'ait utilisée?
Monsieur Loyal regarde alors avec insistance Jérôme en annonçant:
- Mille cinq cents une fois! Mille cinq cents deux fois! Personne ne dit mieux?
Un long moment de silence, puis:
- Mille cinq cents trois fois. Sylvie est adjugée à mille cinq cents images. Monsieur, voulez-vous vous lever, et venir chercher votre petite esclave, ajoute-t-il en souriant, à l'attention du beau quinquagénaire. Et me payer par la même occasion.
L'homme s'approche du Maître de cérémonie et lui tend une liasse de petits billets qu'il s'empresse de compter. La petite Sylvie est toujours agenouillée devant le nègre habillé en bourreau; elle est restée ainsi, nue et enchaînée, pendant toute la durée des enchères sans bouger. Monsieur Loyal la saisit alors par les cheveux pour l'obliger à se lever et la guide vers son nouveau Maître. Celui-ci est particulièrement grand; il s'accroupit pour toucher le ventre, le nombril puis le sexe lisse de la petite enfant nue, avant de la prendre dans ses bras pour l'emmener en la portant sur son avant-bras gauche. Il serre la main de Monsieur Loyal, qui lui dit:
- Le salon vénitien, comme d'habitude?
Le quinquagénaire qui semble donc un habitué des lieux répond:
- Avec plaisir, cher Monsieur.
- Voulez-vous que mon serviteur la défasse de ses chaînes?
- Oh non, je préfère la garder ainsi pour le moment.
- Comme vous voudrez, cher Monsieur, répond le Maître de cérémonie qui ajoute, plus à l'attention du public qu'a son client: de toutes façons, un de mes esclaves noirs va vous accompagner afin de vous servir d'assistant lorsque vous voudrez tourmenter cette jolie petite fille.
Puis il ordonne à l'un des beaux nègres de conduire le quinquagénaire vers le Salon vénitien.
- Le Salon vénitien, Mesdames et Messieurs, explique alors Monsieur Loyal pendant que le beau quinquagénaire emmène la petite fille nue dans ses bras, est un beau cabinet, où il y a un bel instrument de supplice utilisé autrefois. Les « glaces de Venise » sont constituées d'une petite pyramide de bois de quarante centimètres de base et d'autant de hauteur, montée sur un support et entourée de trois miroirs. On y assied la fille que l'on veut supplicier, la pointe de la pyramide entrant à peine dans son sexe. Puis on attache des poids aux pieds de la condamnée qui a les mains attachées dans le dos; et on la laisse ainsi; la pointe de la pyramide pénètre très lentement dans le sexe de la fille que cela amuse parfois au début, mais que l'on voit ensuite souffrir de plus en plus au fur et à mesure que son sexe se distend sur les arêtes aigues de l'instrument de tortures; le jeu de miroirs placés derrière et à coté de la fille assise à cheval sur le sommet de la pyramide permet sans se déplacer de la regarder de devant, voir son sexe dilaté, ses fesses écartées, son corps nu sous tous ses angles en même temps. C'est une torture particulièrement adaptée à une petite fille de deux ans comme Sylvie, car le supplice n'entraîne pas la mort s'il est arrêté à temps. Et bien sûr, si l'enfant est encore pucelle, son hymen sera déchiré pendant la torture. Mais cela m'étonnerait beaucoup que la petite Sylvie soit déflorée de cette manière; son acquéreur semble bien décidé à s'occuper personnellement de son joli petit sexe lisse, et certainement aussi de son adorable petit cul.
Pendant tout ce temps, précédé de l'esclave noir presque nu, le beau quinquagénaire passe entre les tables des spectateurs. Chacun regarde avec envie la toute petite fille nue et enchaînée qu'il porte dans ses bras. L'enfant a toujours les yeux bandés, et se laisse emmener sans aucune résistance, ni révolte. Le petit groupe est aussitôt suivi par les deux jeunes hommes qui ont gagné la petite Lydia, cette pauvre enfant née il y a juste trois ans sans bras ni jambes. Ils font porter leur nouveau jouet toujours couché sur le plateau en argent par deux fillettes en porte-jarretelles dorés.
- Pouvons-nous vous accompagner? demande alors l'un d'eux au quinquagénaire? Cela nous excitera beaucoup de vous voir jouer avec votre esclave pendant que nous nous occuperons nous-mêmes de la petite Lydia.
- Bien entendu, d'autant plus que le papa et la maman de mon esclave viendront également me regarder la violer et la dresser. Permettez-moi de me présenter; mon nom est Julien.
- Georges, et voici André, répond l'un des deux jeunes hommes qui emboîtent le pas du quinquagénaire emportant son nouveau jouet sur le bras gauche.
Les parents de la petite Sylvie se sont levés, et suivent le groupe vers le Salon Vénitien. La petite troupe entre dans le salon, et est immédiatement frappé par la décoration très baroque du lieu, avec dans un coin, la fameuse pyramide entourée de miroirs, sur laquelle est déjà assise une enfant toute nue de trois ans à peine. C'est une petite brunette aux yeux bleus rougis par les pleurs. Elle est très menue, assez longiligne, et ses maigres cuisses écartées par la forme du pal qui pénètre à peine dans son sexe lisse sont tendues par des poids de cinq kilos attachés à ses frêles chevilles. Elle a les mains liées derrière son dos, et grimace de douleur et de honte. Un léger filet de sang coule sur les faces de l'instrument de tortures. Les miroirs disposés autour d'elle permettent de bien voir dans son dos ses minuscules mains liées, ses toutes petites fesses bien écartées, son anus rose qu'elle ouvre et ferme comme pour essayer de se dégager de son inconfortable posture. Le mur adjacent est magnifiquement décoré d'une grande fresque très réaliste montrant une place de Venise au moyen âge, où l'on s'apprête à brûler vives plusieurs petites filles. L'une d'elle est déjà attachée entièrement nue à un poteau surmontant le bûcher, cuisses bien écartées pour que l'on voie bien son sexe lisse de petite enfant. Les gardes amènent quatre autres gamines, également enchaînées et encore vêtues d'une aube transparente sous laquelle elles sont nues. Elles sont obligées de monter l'une derrière l'autre vers leur supplice, allant au devant des soldats qui leur enlèvent leurs tuniques et les attachent aux poteaux avec de lourdes chaînes. Un bourreau au premier plan tient en main la torche qui va bouter le feu au bûcher. Une foule dense est venue assister à ce spectacle de choix. Sous ce superbe tableau, Monsieur Loyal a fait attacher quatre nouvelles esclaves du cabaret, entièrement nues, assises sur des chaises, cuisses très ouvertes. Elles ont trois ans, et avaient été présentées attachées dans diverses positions pendant l'entracte dans le hall baroque; on les a placées là pour qu'elles voient ce qui les attend si elles n'obéissent pas au doigt et à l'œil lors des prochaines représentations. En face de ce mur décoré, il y a une grande baie de verre teinté sombre qui donne sur la salle de spectacle, permettant de voir ce qui se passe sur la piste sans être vu, et bordée de tentures de velours rouge permettant de la dissimuler. L'esclave noir qui accompagne le petit groupe dit alors:
- La pièce est complètement insonorisée. Des haut-parleurs on été disposés de part et d'autre de cette vitre, que l'on peut allumer, si vous le désirez, afin d'entendre ce qui se passe dans la salle.
- Oh, non, restons ainsi, en silence, répond la mère de Sylvie. Les claquements de fouet et cris des enfants ici suffiront à notre plaisir!
Au centre de la pièce, est disposé un grand lit rond de velours rouge, muni de nombreux anneaux de fer forgé afin de pouvoir y attacher les petites filles soumises. De nombreux fauteuils disposés autour de cet immense sofa sont prévus pour les voyeurs. Sur un autre mur sont suspendus et exposés des fouets, des pinces, toutes sortes d'accessoires; des tables, garnies de nombreux instruments de tortures ainsi que des chevalets sont disposés çà et là, destinés à y attacher les petites filles pour les faire longuement souffrir. Devant ces dispositifs, un grand nègre, très musclé est debout, bras croisés; il porte pour seul vêtement un pagne « peau de léopard ».
L'esclave noir s'approche de la maman de Sylvie pour lui dire que Monsieur Loyal lui offre, à elle et à son mari, la petite esclave assise sur la pyramide pointue.
- C'est une petite nouvelle, qui n'a jamais servi encore. Si vous voulez, je peux la descendre de la pyramide avant que son hymen ne soit complètement déchiré.
- Bien au contraire. Je pense que mon mari va adorer que je la fouette dans cette position avant qu'il ne la sodomise. Il n'est pas un fana du dépucelage. La preuve, il donne sa propre fille à déflorer par un inconnu. Cela va d'ailleurs beaucoup nous exciter, lui et moi, de voir comment notre fillette va être tourmentée et violée par ce très bel homme.
Un grand lit est adossé contre le quatrième mur, auquel sont également suspendues des chaînes et des cordes pour attacher les petites filles. Les deux jeunes hommes qui ont gagné la petite Lydia la font déposer sur ce lit, d'emblée sur le ventre; en effet, le plus jeune d'entre eux, Georges, a envie de la sodomiser tout de suite. Il est trop excité pour attendre davantage. Depuis qu'il se souvient, avant même son adolescence, il rêve de petites filles sans bras ni jambes. Il arrachait d'ailleurs les bras et les jambes des poupées de sa petite sœur. Et là, il va pouvoir violer l'une d'elle, une poupée vivante, et jouir dans son minuscule cul d'enfant. Il commence par se déshabiller, tout en regardant les jolies petites fesses naturellement écartées de la gosse qui n'a ni cuisse ni jambes.
Le quinquagénaire, quant à lui, a déposé la petite Sylvie sur le sofa de velours. La fillette enchaînée a toujours son bandeau sur les yeux, ses petits sabots de bois aux pieds, et attend, assise. D'un geste du menton vers l'esclave noir qui l'a accompagné, il lui demande de s'approcher, et lui ordonne d'ôter les chaînes et le sabots de l'enfant, et de l'attacher, bien écartelée, au centre du sofa. La petite fille nue se laisse faire, pensant sans doute que ce sera comme quand son papa l'attachait pour se masturber sur elle. Elle n'imagine pas un seul instant qu'elle va bientôt être pénétrée par un sexe d'homme, et par bien d'autres instruments.
La petite blondinette si frêle est délicieuse ainsi écartelée. Elle est liée par ses poignets, et au dessus des genoux par des cordelettes très serrées. Ainsi, ses cuisses sont ouvertes à presque 180° mais elle peut plier les genoux; elle offre bien de cette manière son sexe lisse de petite fille. La fente de cette vulvette est si fine, allant de ses petites fesses jusqu'à son pubis saillant. La position écartelée de l'enfant nue permet d'entrevoir son anus, ce joli petit trou si excitant chez une enfant de deux ans. La petite fille a les bras en croix. Ses cheveux blonds sont très soyeux, et se répandent sur le velours rouge du sofa quand, après s'être entièrement dévêtu, Julien lui ôte son bandeau. Le quinquagénaire est superbe; un corps d'athlète encore à son âge. Il bande comme un âne; son sexe énorme impressionne l'enfant quand il l'approche de son visage. La petite fille met la tête en arrière, et ouvre la bouche; elle attend que l'homme commence à se masturber, et s'apprête à recueillir la semence pour l'avaler, comme si c'était pour son papa. En effet, cela fait plus d'un an que son père lui a appris ce qu'il fallait faire dans ces circonstances. La pauvre enfant ne sait pas encore que son père a décidé que dorénavant, elle serait régulièrement battue, et violée, jusqu'à ce que sa petite sœur, maintenant âgée d'un an, puisse prendre sa relève.
Sur le lit situé en face, Georges écarte un peu plus les petites fesses de Lydia, cette enfant sans bras ni jambes, couchée sur le ventre. Il a une érection extrêmement forte; il applique son gland tumescent et dur contre l'anus de l'enfant, tout en maintenant la gosse fermement par ses hanches étroites; la petite fille se cambre, et serre son petit trou que Georges force alors sans ménagement, arrachant un hurlement strident à la minuscule gamine. Son sexe pénètre lentement entièrement dans le rectum de l'enfant et progressivement, il fait aller et venir son dard dans le tout petit cul vierge. La petite fille a très très mal, et gémit maintenant plus qu'elle ne crie. Georges continue la sodomie de la petite fille en essayant de se retenir, voulant faire durer son plaisir le plus longtemps possible. Et quel plaisir! Enculer une petite fille comme celle-ci, réaliser son phantasme de toujours, jouir dans ce petit corps, dans cette enfant tronc si douce! Il se régale de sentir les toutes petites fesses douces et lisses contre son ventre. Il regarde le dos de la gosse, et ses épaules malformées. Il caresse le ventre et le sexe de l'enfant, en sentant la jouissance monter en lui, sourd aux cris de la petite fille violée. Il remonte la main sur le torse plat de la petite fille, saisit les piercings de ses tétons qu'il tord pour faire souffrir un peu plus la pauvrette. Le hurlement qu'elle pousse l'excite tellement qu'il éjacule dans le cul de la petite fille en la serrant fortement contre lui au point de l'étouffer, faisant pénétrer encore plus son sexe dans les entrailles de la jeune enfant. Il reste un long moment tétanisé par le plaisir, la bite enfoncée et immobile entre les toutes petites fesses, dans cet anus déchiré par ce viol superbe.
Puis, il se retire, jette l'enfant qui reprend son souffle à côté de lui, la laissant sur le ventre pour offrir le spectacle de son anus ouvert et ensanglanté à son ami André, et aux parents de la petite Sylvie de plus en plus excités. Julien, lui, n'en a pas perdu une miette, et continue à exhiber son sexe tendu au dessus du visage de Sylvie écartelée et dont le regard devient de plus en plus inquiet. Les cris de la petite Lydia ne sont pas pour la rassurer. Une petite fille de huit ans aux cheveux très courts, seulement vêtue d'une large ceinture de cuir serrant sa taille et de cuissardes de la même couleur, sort alors d'une porte dérobée; sa tenue met bien en valeur sa croupe, ses fesses nues et son sexe lisse; Elle arrive auprès de Georges pour prendre son sexe encore dur dans sa petite bouche afin d'en faire la toilette. Elle avale toutes les sécrétions, puis, quand le sexe de Georges est complètement propre, demande en désignant l'anus de Lydia encore très ouvert et dégoulinant de foutre:
- Dois-je lécher le petit cul de votre jouet?
- Oh non, merci! On va la laisser comme cela, avant que mon ami ne la défonce à son tour.
- Comme vous voudrez, Monsieur. Vous désirez autre chose?
- Un peu de champagne, peut-être, maintenant.
- A votre service, Monsieur, répond la fillette quasiment nue avant de repasser par la porte dérobée.
Personne n'a fait attention à ce qui se passe sur la piste où l'on vient de vendre la petite Julie. Elle avait été mise à quatre pattes, devant offrir la vue de son anus encombré par son gode aux acquéreurs potentiels. Le papa de la petite Sylvie remarque alors simplement qu'elle a été vendue au couple accompagné d'un garçon de treize ans et d'une fillette de douze ans, qui s'était déjà intéressé à leur fille.
Julien, le beau quinquagénaire, commence à caresser le corps nu et écartelé de sa jeune esclave; son sexe reste tendu, sans qu'il ne se touche. Il l'applique sur le visage de la petite Sylvie; l'enfant qui est restée bouche ouverte pendant tout le viol de Lydia sort sa langue, et commence à lécher le gland humide de son maître, comme son papa le lui a régulièrement fait faire. Celui-ci s'est d'ailleurs entièrement déshabillé, et s'est assis sur un des sièges prévus pour les voyeurs. Il commence lentement à se caresser, cuisses très ouvertes, devant son enfant solidement attachée et offerte sur le sofa rond.
Julien se rend alors vers le mur où sont suspendus les fouets et les cravaches pour y choisir un beau martinet de cuir noir. La petite Sylvie qui l'a suivi du regard comprend alors que ce ne sera pas comme d'habitude, et commence à pleurer en hoquetant. Ce n'est pas pour déplaire ni à son père, ni à son maître qui ne supportait apparemment pas la docilité de cette jeune enfant nue. Le quinquagénaire se met alors à genoux sur le sofa, à cheval au dessus de la tête de l'enfant écartelée, regard tourné vers le sexe de l'enfant; il s'assied sur le visage en pleurs; il aime sentir soudain l'humidité des larmes de la fillette entre ses fesses qu'il plaque sur les yeux que l'enfant qu'elle est alors obligée de fermer. La petite fille sent les couilles de son maître sur sa bouche; elle voudrait les mordre, mais instinctivement les lèche comme pour essayer d'amadouer son tortionnaire. Cela n'empêche pas Julien d'asséner dix coups de martinet bien secs sur l'intérieur des cuissettes écartées et le sexe lisse de la petite fille qui ne peux hurler malgré la douleur soudaine à laquelle elle ne s'attendant pas. Elle avait déjà été fouettée par son père et sa mère, mais seulement sur les fesses nues, et quand elle avait fait une bêtise. Mais là, elle avait été très gentille; elle ne comprend rien à ce qui se passe.
Julien se lève alors, et contemple les stries laissées sur les cuisses de l'enfant écartelée, et surtout la rougeur du sexe vierge qu'il s'apprête à violer maintenant. Le père de l'enfant, d'un clin d'œil au quinquagénaire, montre son approbation, et continue de se caresser lentement sans la moindre pudeur. Son épouse s'est elle-même mise entièrement nue. Elle semble avoir une vingtaine d'années; elle est très belle, et son corps est parfait, malgré ses deux grossesses. Elle se caresse la chatte intégralement épilée et tatouée d'une belle rose.
Julien est maintenant debout, nu, en érection devant la petite fille écartelée sur le sofa rond. Il s'est placé de manière à pouvoir contempler le sexe lisse de la petite enfant, cette délicieuse vulvette rougie par les coups. Il demande:
- Quel âge as-tu, Sylvie?
- Deux ans, répond d'une voix étouffée par les pleurs la fillette toute nue.
- Sais-tu que j'ai payé très cher pour que tu me donnes du plaisir? Et sais-tu ce qui me donne du plaisir?
- Non, M'sieur.
- Faire souffrir les enfants, et particulièrement les toutes petites filles comme toi. Es-tu prête à me donner beaucoup de plaisir?
L'enfant semble de plus en plus terrorisée. Elle lève la tête, cherchant du regard son papa et sa maman, attendant un secours, une parole de réconfort. Rien.
- Allons, réponds! insiste Julien en donnant deux autres coups de martinet sur le sexe offert de l'enfant.
- Noooon, arrêtez, M'sieur, s'il vous plaît, gémit la petite fille.
- Comment, non?
- Maman, s'il te plaît, je veux rentrer à la maison.
La terreur se lit dans les yeux écarquillés de la petite fille; son visage est couvert de larmes et de bave; sa mère s'est levée, entièrement nue, et après lui avoir donné deux gifles sévères, elle lui ordonne:
- Obéis, petite peste.
- Oh, maman, pitié, j'ai peur.
- Tu vas entièrement te donner à ce Monsieur qui a payé très cher pour t'avoir. Tu es maintenant une petite putain. Tu dois obéir, sans broncher. De toutes façons, tu n'as pas le choix!
La maman de la petite fille s'agenouille alors devant son mari, et prend son sexe en bouche; elle s'arrête un moment de sucer et levant les yeux, elle demande:
- Oh, mon chéri, pourras-tu m'emmener un jour à l'une de ces fameuses chasses qu'organise Monsieur Loyal? J'aimerais tant aller jusqu'au bout des choses avec une toute petite fille!
- Bien sûr, mon amour. Mais tu sais, cela coûte très cher; mais on va s'arranger! Nous nous inscrirons tout à l'heure.
- Oh merci, mon chéri.
Elle reprend la fellation, tout en se masturbant tandis que Julien, le sexe tendu, s'approche de ce qui est maintenant devenu son jouet. Il commence à caresser le sexe meurtri de l'enfant, lentement, presque tendrement.
- Alors, tu vois, je ne suis pas si méchant que ça. Dis-moi, trésor, tu as des frères et des sœurs?
- J'ai une petite sœur, M'sieur.
- Ah bon? Et de quel âge?
- Elle vient d'avoir un an.
- Mmmhhh; et tu me la prêterais?
- Faut demander à mon papa. Sais pas. Elle est toute petite encore.
- Alors, petit trésor, me donneras-tu tout le plaisir que j'attends de toi? Veux-tu beaucoup souffrir pour mon plaisir?
L'enfant entravée et écartelée acquiesce finalement de la tête, les yeux remplis de larmes.
- Tu pourras éviter de crier trop fort quand je te torturerai?
- Oui, M'sieur, je vais essayer.
- Non, il faut promettre!
- Oui, M'sieur, je vous promets.
- Je vais pouvoir jouir ainsi de toi, comme il me plaira.
Tout en parlant, Julien a écarté les lèvres de la vulve de l'enfant, et inséré doucement son index dans ce délicieux sexe lisse, afin de s'assurer de la virginité de sa petite victime. Il n'aurait pas payé si cher pour une gamine qui ne serait pas pucelle, tout de même!
- Ah! Si! Elle est vierge, murmure-t-il doucement.
Le quinquagénaire nu se couche alors sur la petite fille maintenue écartelée et place son sexe dur devant la vulvette meurtrie par les coups de martinet. Et sans hésiter, l'enfonce brutalement dans le petit corps torturé. La petite fille sent une vive douleur, à la fois parce que son tout petit sexe est dilaté et défoncé, et parce que son hymen se déchire.
Elle jette sa tête en arrière, en se mordant les lèvres pour ne pas crier.
Elle a promis.
Elle doit tenir.
Elle ne sait pas encore ce qui l'attend!
Julien est tellement excité qu'il est obligé de se retirer pour ne pas jouir. Cela lui permet de voir le sang couler du sexe de la petite fille. Il enfonce à nouveau son dard dans le vagin blessé de l'enfant engendrant une nouvelle douleur. La gosse commence à gémir. Elle ne peut bouger; ses mains liées sont bleues et lui font très mal maintenant. Elle est obligée de subir ce viol, sous les yeux de sa maman et de son papa que cela excite encore plus. Elle pleure de plus en plus, en hoquetant. Elle ferme les yeux. Mais elle ne crie pas, respectant les ordres de son bourreau. Julien s'enfonce de plus en plus profondément dans le corps de la petite fille, butant sur le fond de son vagin, déformant son ventre, provoquant des douleurs effroyables que l'enfant violentée surmonte; elle pense sans doute que cela s'arrêtera là.
Pauvre naïve. Comme tu vas souffrir sous les tortures qui vont t'être infligées après ton dépucelage!
Julien prend maintenant son temps, se contrôlant, pour que la pénétration se prolonge le plus possible.
Autant que jouir de la petite fille, il aime que le spectacle qu'il offre aux parents de la gosse soit le plus parfait possible.
Et quel spectacle que cette toute petite fille nue, écartelée, les mains violettes par les liens trop serrés, battue et violée par ce géant dont la bite énorme va et vient dans son sexe en feu!
Le père de la petite Sylvie ne peut se contenir et éjacule dans la bouche de sa jolie jeune femme, qui immédiatement va embrasser sa fille suppliciée afin de lui donner le sperme de son père.
- Avale, petite putain! Avale, dit-elle rageuse.
La jeune fillette s'exécute en grimaçant, en sentant en même temps le foutre chaud de son violeur se répandre en elle. Une chaleur douce se mélange à la douleur. Julien râle de plaisir, en s'enfonçant davantage encore dans le petit corps de l'enfant. Il jouit longtemps, dans le silence le plus total. Même sa petite victime reste silencieuse, étouffant ses cris, reniflant simplement ses larmes. Sa mère achève sa masturbation dans un interminable cri de plaisir.
Puis, après un long moment de silence, le quinquagénaire se retire de la petite fille; il regarde avec satisfaction le sexe déchiré de l'enfant, ensanglanté, et dégoulinant de sperme et de mouille.
- Elle a mouillé! dit-il; votre fille a mouillé! Elle est très prometteuse. Mouiller à deux ans et demi! Vous vous rendez compte? Nous allons en faire quelque chose. Un bon objet de plaisir pour les hommes, et apparemment pour les femmes! Mais il va nous falloir la punir pour avoir mouillé!
Aussitôt, la petite fille de huit ans préposée à la toilette des messieurs entre par la même porte dérobée que tout à l'heure, pour lécher le sexe ensanglanté et souillé de Julien qui se laisse aller à la flaccidité. Elle est suivie d'une petite soubrette de cinq ans, en bas noirs, escarpins à talons hauts, et vêtue seulement de son très petit tablier blanc noué dans son dos, au dessus de ses petites fesses nues. Elle porte un plateau avec une bouteille de champagne et des coupes qu'elle pose sur un petit guéridon devant la baie vitrée.
Julien se laisse faire sa toilette par la langue experte de la petite fille de huit ans, puis il lui ordonne d'aller lécher le sexe de Sylvie. La fillette se met à quatre pattes, offrant ainsi son anus à la vue et à la portée de Julien qui prend ses hanches entre les mains; pendant que la fillette lèche le sexe tuméfié de la petite Sylvie, lui apportant un vague adoucissement de sa brûlure, le quinquagénaire lui introduit sa langue dans le cul. La fillette se laisse faire, et ouvre même son anus, prenant apparemment bien du plaisir à cette sublime caresse; elle se souvient de l'époque où elle était encore débutante ici, il y a cinq ans, et où elle subissait les mêmes outrages que ceux qui viennent d'être infligés à la toute jeune gamine qu'elle lèche tendrement.
Puis Julien ordonne au serviteur noir de détacher les poignets de la petite Sylvie; l'enfant à moitié libérée place ses mains engourdies sur son ventre, là où cela lui fait le plus mal. Elle se laisse aller à une crise de larmes, mais contient ses cris, pour obéir à son maître.
Julien s'approche alors de la maman de sa petite esclave:
- Voulez-vous que je vous offre à vous et à votre époux à une des chasses de Monsieur Loyal?
- Oh, Monsieur, ce serait abuser.
- Vous avez bien une petite fille âgée de un an?
- Oui, mais ... vous ne pensez tout de même pas la proposer comme gibier?
- Non, bien sûr, mais en échange, vous pourriez me la prêter afin que je m'amuse quelques jours avec elle? Vous savez, j'ai une très belle propriété, à la campagne, loin de tout. Je suis veuf, mais j'ai deux fils adoptif, noirs, très bien montés, âgés de dix-sept et dix-huit ans. Je suis certain que vous aimeriez être sodomisée par eux. - Oh, Monsieur!
- Non, je connais les femmes. Et moi, j'aime beaucoup les toutes petites filles.
- Je vais en parler à mon mari.
- Madame, ce sera comme vous l'entendrez.
Pendant ce temps, Georges est allé se servir une coupe de champagne et dit:
- Que la fête continue!
Tandis qu'André se prépare à dépuceler la petite Lydia!...
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