Le Cabaret Des Plaisirs, Partie 8

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by Mike

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Published: 18-Dec-2012

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This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

Pendant que Jacques commence la visite des salons de ce délicieux cabaret, Jérôme et son frère, accompagnés de leurs épouses et de leurs enfants Rose, Julie et Estelle, restées toutes nues, se rendent sur la piste où sont encore exposées les deux petites filles à qui l'on vient de poser les piercings: Lydia, cette petite enfant née sans bras ni jambes il y a trois ans, suspendue toute nue par les cheveux, mamelons et clitoris fraîchement percés, et l'autre fillette sans nom, tellement maigre, suspendue par les pieds très écartés, et dont on vient de condamner le sexe lisse par cinq cadenas passés directement dans la chair de sa vulve juvénile; auparavant, le bourreau lui avait également mis des piercings aux tétons.

Julie a beaucoup de mal à garder le plug qui lui a été placé dans le rectum après qu'elle ait été sodomisée car il est très lourd. Elle essaie de mettre ses petites mains entre ses fesses menues, mais comme elle est entravée par des menottes aux poignets, elle cela n'a pas beaucoup d'efficacité. Elle demande à son père si elle peut retourner à sa place, pour s'asseoir, et ainsi empêcher le gode anal de sortir.

- Non, répond Jérôme. Tu sais bien que tu seras punie si tu le perds!

- Oh papa, s'il vous plaît. Pitié.

- Encore un mot, mon enfant, et je te fais mettre sur la chaise électrique tout à l'heure.

L'enfant résignée renifle une larme et serre les fesses pour essayer de ne pas perdre l'objet métallique inséré dans son joli petit cul.

Pendant ce temps, Estelle s'est approchée de Lydia, et commence à la caresser tendrement sur le ventre. La fillette sans membres, sent la petite main aller sur son nombril, descendre vers son sexe lisse et légèrement ensanglanté par le piercing qui vient d'y être posé. Elle regarde la petite fille qui semble vouloir la consoler, mais ne peut prononcer un mot à cause de la boulle rouge enfoncée dans sa petite bouche et maintenue par une lanière de cuir passant derrière sa nuque. Estelle s'amuse à la faire tournoyer sur elle-même, pour pouvoir également caresser ses petites fesses bien écartées. Elle passe même un doigt sur l'anus de la fillette.

- Pourquoi elle n'a pas de jambes ni de bras, demande-t-elle à sa maman?

- Elle est née comme cela.

- Elle ne pourra donc jamais manger toute seule? et pour faire pipi, elle doit être portée alors, comme un bébé?

- Oui, comme ta poupée, à laquelle tu as arraché les jambes et les bras. Tu vois, celle-ci est vivante, et va rester ainsi. C'est comme une poupée pour les messieurs. Ils vont pouvoir s'amuser avec elle tout à l'heure.

- Je voudrais bien regarder quand on commencera à jouer avec elle.

- Bien sûr, Estelle, dit sa maman. Tu pourras regarder, mais il faudra aussi que tu te laisses faire pour les amusements d'autres messieurs.

Le père d'Estelle dit alors à sa femme:

- Et si nous proposions Estelle pour la vente d'esclaves qui aura lieu après l'entracte.

- J'y avais déjà songé, répond-elle. Et comme cela, nous pourrons nous offrir une autre fillette pour la torturer ensemble. J'aimerais bien une petite fille de deux à trois ans. Ce serait délicieux de la faire souffrir toute la nuit.

- Oui, mais on ne pourra pas échanger une enfant du huit ans contre une fillette de deux ans!

- Et si on proposait à Jérôme d'offrir la petite Julie? Il a déjà fort à faire pour dépuceler Rose, ce soir, et il pourra se joindre à nous pour s'amuser avec la tout petite fille. Et pour peu que Julie perde son gode anal, on pourra la regarder se faire électrocuter par celui qui en aura fait l'acquisition.

La maman d'Estelle rejoint alors Jérôme et lui fait part de son souhait. Jérôme accepte en souriant. Il ajoute:

- Allons tous ensemble au premier étage, dans la salle des Chaises Electriques proposer nos enfants à cette vente aux esclaves.

Ce disant, les deux couple prennent leurs fillettes nues par la main pour les conduire à travers l'immense hall baroque, tendu de rouge et d'or, vers les étages du cabaret. Ils regardent en passant toutes les petites filles nues ligotées, suspendues, crucifiées, petites statues vivantes qui ornent ce grand salon. Ils remarquent aussi la voûte qui surplombe le hall, et où est peinte une très jolie scène: elle représente une arène romaine où sont empalées une dizaine de très jolies petites filles nues devant une foule en délire.

Ils montent ensuite tous au premier, et s'arrêtent devant la salle intitulée Chaise Electrique; ils poussent la porte entrouverte, et remarquent tout de suite Jacques et ses deux esclaves regardant une vitrine où est exposée une petite chaise électrique apparemment du début du XIX ème siècle; Sophie, la petite soubrette aux fesses nues est en train d'expliquer à Jacques que cette instrument de supplice a été construit expressément pour l'exécution d'une petite fille en 1910. La chaise électrique a été conservée ensuite à la prison où a eu lieu la mise à mort jusqu'à il y a quelques années, quand Monsieur Loyal l'a acquise pour une bouchée de pain.

- Quel âge avait la fillette qui a été exécutée sur cette chaise? demande alors Jérôme.

- Sept ans et demi, Monsieur, répond Sophie.

- Et elle a servi d'autres fois?

- Non, Monsieur, une seule fois. Mais regardez en face, sur la scène; voyez les trois chaises qui y trônent. C'est là que nous sommes parfois punies.

En effet, en face de la vitrine sinistre, il y une scène sur laquelle sont installées trois chaises, de tailles différentes, sans doute pour des enfants d'âges différents. Sur l'assise des sièges, un petit pal en métal, au bout arrondi, qui sans doute doit pénétrer l'anus de la petite fille qui sera électrocutée, et plusieurs fils électriques partant du plafond, terminés par des pinces dentées. Et tout autour de la scène, des alcôves garnies de matelas rouges, de deux mètres sur deux, permettant de s'amuser et de jouir avec des petites esclaves pendant qu'on torture des enfants nues sur les chaises électriques.

A ce moment entrent dans la pièce le couple avec la petite fille de deux ans et demi sur le visage de laquelle son père a éjaculé pendant la première partie du spectacle, et qu'il voudrait bien faire percer comme les deux fillettes exposées sur la piste. La petite fille entièrement nue est immédiatement remarquée par la maman d'Estelle.

- Mhhh, pourvu qu'ils la présentent pour le marché aux esclaves, pense-t-elle.

Entre alors Monsieur Loyal, suivi de deux hommes amenant trois jolies petites filles portant encore leur petite culotte et leurs chaussures, et un couple de japonais, demandant à présenter leurs deux jumelles de quatre ans. Elles sont encore entièrement vêtues, de manière identique, d'une tenue d'écolière qui plait tant aux amateurs de petites filles.

Monsieur Loyal monte alors sur la scène, et prend la parole:

- Mesdames et Messieurs, et chers enfants. Sachez que pour chaque enfant que vous proposerez au marché aux esclaves, je vous donnerai des images, qui vous serviront de monnaie pour l'achat d'autres esclaves. Vous aurez cent images moins dix fois l'âge de la petite fille que vous proposerez. Pour exemple, une fillette de huit ans vaudra donc 20 images, une fillette de trois ans vaut ainsi 70 images. Si la petite fille est encore vierge, vous toucherez un bonus de 30 images. Et si vous acceptez qu'elle soit torturée, vous toucherez un bonus de 50 images. Alors? par qui commence-t-on?

Jérôme lève la main.

- Ah, venez, montez sur la scène! dit Monsieur Loyal. Vous allez sans doute me proposer vos deux ravissantes enfants qui nous ont déjà bien plus lors de la première partie du spectacle.

Jérôme prend Julie et Estelle par la main, et monte sur le podium pour elle vous vaut dont effectivement les présenter.

- Mhh, je sais que Julie est vierge encore, et a cinq ans; elle vous vaut donc 80 images; Estelle, par contre, à huit ans ne vaut que 20 images... Acceptez-vous que son acquéreur la torture?

- Bien sûr, répond avec assurance Jérôme.

- Alors, voici donc 70 images pour Estelle, et 80 pour Julie. Qu'on emmène ces deux nouvelles esclaves!

Apparaissent alors les deux noirs qui ont violé les deux enfants; ils les conduisent en coulisses pour les préparer. Monsieur Loyal donne 150 images à Jérôme, pour pouvoir monnayer une ou l'autre des esclaves qui vont être mises aux enchères. Jérôme regarde ce qui va lui servir de monnaie; ce sont de jolis petits papiers en forme de billet de banques, et où sont reproduites des petites filles toutes nues. Certains billets valent cinq images, d'autres dix, et d'autres vingt. Chaque sorte de billet est décorée d'une petite fille différente. En fonction de la valeur des billets, la fillette est simplement nue, ou bien exhibe son sexe lisse, ou encore, pour les billets de vingt images, montre son petit anus entre ses fesses minuscules bien écartées. Les parents de la petite fille de deux ans et demi sont maintenant sur la scène. Ils vendent leur enfant pour la torture également, ce qui, compte tenu de la virginité de la gosse leur vaut 160 images. Plus que le prix de Julie et d'Estelle ensemble. Pour sûr que les enchères vont monter bien haut pour la toute petite fille. De même que pour Julie et Estelle, deux noirs viennent chercher la fillette dont on a appris là qu'elle s'appelle Sylvie. La petite fille emmenée pleure en regardant ses parents.

- Et si on n'a pas de fillette à proposer, demande alors Jacques.

- Vous pouvez acheter des images ici. Autant que vous le souhaitez. Les billets non utilisés vous seront remboursés à la sortie.

- Je vais en prendre 200, dit alors Jacques, impatient, et soucieux de pouvoir acheter une jolie petite fille.

En effet, Jacques a remarqué les petites japonaises, et ne voudrait pas passez à côté, au cas où il ne gagnerait pas Lydia, la petite fille sans bras ni jambes.

Puis, raccompagné par Sophie et Anne, il se dirige vers le grand hall où sont exposées les toutes petites filles ligotées dans toutes les positions possibles. Sophie lui explique alors que lorsque de nouvelles esclaves arrivent au cabaret, elles sont exposées là, avant de servir à tout autre chose.

- C'est pour cela qu'elles sont si petites, et qu'elles ont au plus quatre ans.

A ce moment, une sonnette fait savoir que l'entracte est terminé, et que les spectateurs doivent regagner leur place...

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