Le Cabaret Des Plaisirs, Parttie 7

[ g, exhib, inc, ped, tort, sad, voy, bond ]

by Mike

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Published: 18-Dec-2012

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This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

Après avoir percé les petits tétons plats de la fillette amaigrie, le bourreau en pantalon de cuir rouge moulant et en bottes assorties retourne vers la petite fille sans bras ni jambes qu'il a laissée suspendue par ses cheveux juste après l'avoir durement cravachée. Un projecteur reste néanmoins braqué sur la maigrichonne ligotée sur le garrot espagnol, afin de faire jouir le public de sa souffrance et de la vue de ses côtes saillantes maculées de sang.

Le bourreau caresse de la paume de la main les marques faites par la cravache sur les toutes petites fesses et le dos de la petite infirme, puis passe ses doigts sur son sexe lisse et son anus si bien exposé de par sa malformation. Pas la moindre compassion ni pitié dans son regard. Au contraire, de même d'ailleurs que tous les spectateurs, il est très content que de telles petites filles existent, et qu'en plus elles soient jusqu'à leur mort vouées de par leurs souffrances au plaisir des hommes.

Une des petites assistantes du bourreau lui présente alors les instruments pour percer les tétons de la fillette. La fillette est nue; elle porte seulement des cuissardes à talons hauts et une cagoule de bourrelle; elle joue de ses petites fesses en servant son maître. Celui-ci prend dans le plateau la pince en cœur pour immédiatement saisir le premier petit bouton rose; la pince l'enserre fortement, et le bourreau enfonce lentement l'aiguille au travers de la chair tendre, faisant souffrir terriblement la petite fille. Il ajuste l'anneau, comme pour la première enfant, et sans attendre, perce le second sein plat de la gosse, la faisant grimacer et gémir sans qu'elle ne puisse vraiment crier à cause de la boulle qui lui sert de bâillon. Un filet de sang s'écoule sur la poitrine plate de l'enfant nue, jusque sur son ventre, vers son délicieux sexe lisse. Le bourreau s'agenouille alors, et va chercher le petit clitoris de la fillette, sans hésitation, ni état d'âme. Il fait son travail d'esclave et de bourreau. Il pince le petit appendice entre les mâchoires de la pince en cœur, et là encore, d'un geste sûr transperce le petit organe sensible, arrachant un cri strident à la petite enfant torturée. Le public est en haleine. C'est un réel plaisir de le regarder faire. On ne sait qui admirer le plus: ou bien la petite enfant infirme torturée, ou bien le savoir-faire de l'esclave noir. En un instant, l'anneau est passé, et scellé.

- Donnez-lui deux coups de cravache, pour avoir crié! ordonne Monsieur Loyal, resté en piste pendant toute la durée du piercing. Sur la chatte! ajoute-t-il de plus en plus pervers.

Le bourreau s'exécute, et cingle le sexe lisse et maintenant ensanglanté de deux coups de cravache très fort, faisant perdre connaissance à la pauvrette suspendue toute nue par ses cheveux.

La pauvrette. Mais non, c'est simplement un objet de plaisir.

Jacques n'en peut plus. Il se retient de jouir dans la bouche de la petite Anne, son esclave de la soirée, imaginant que peut-être, il prendra bien plus de plaisir à dépuceler la petite Lydia si jamais il gagnait à cette délicieuse loterie. Et aussi, cette petite maigrichonne... ce serait un régal de pouvoir la sodomiser ce soir, après son supplice.

Encore une fois, il pense à son amie Virginie qui lui a conseillé de venir passer la soirée ici. Il essaie de comprendre pourquoi. Mais oui, mais c'est bien sûr! Virginie a une délicieuse petite fille de quatre ans.

A ce moment précis, la petite Sophie lui présente plusieurs numéros de tombola. Jacques choisit le numéro 13 et le numéro 69. Il embrasse les deux tickets, comme pour se porter chance.

Le bourreau retourne ensuite auprès de la fillette ligotée sur le garrot espagnol, et pour la terroriser davantage, donne encore un petit tour au dispositif serrant la corde; l'enfant nue se redresse soudain, en ouvrant de grands yeux apeurés, et cherche sa respiration. L'esclave noir libère alors les cordes qui attachaient les mains et les chevilles de l'enfant maigre derrière le poteau, mais laisse le garrot serré. L'étranglement de la petite fille la fait délicieusement gigoter; Les fers et les chaînes qu'elle porte depuis qu'elle a trois ans font un cliquetis très excitant. Elle fait danser ses jambes décharnées, écartant involontairement ses cuisses, montrant ainsi son pubis lisse à cheval sur le petit promontoire sur lequel elle est assise. La petite bouche de la gamine de six ans s'ouvre; elle tire la langue. Ses joues déjà creuses semblent bien plus vides. Son visage maigre, jusque là blême devient violet. Vite, le bourreau détend le garrot, pour permettre à la petite fille suppliciée de reprendre son souffle. Il saisit alors les cheveux de l'enfant au bord de la perte de connaissance, pour la redresser, et la montrer au public qui applaudit. Il la prend alors dans ses bras, pour la coucher sous le portique où est suspendue la petite fille sans jambes ni bras qu'il vient de percer et de fouetter. Il la laisse se reposer un instant, puis la suspend par les chevilles très écartées à coté de la petite Lydia, qui reprend lentement ses esprits. Il attache les mains de l'enfant maigre derrière le dos; le sexe lisse de la petite fille d'allure anorexique est ainsi bien exposé pour la torture. Le bourreau et ses deux petites assistantes nues s'écartent pour que le public puisse bien jouir du tableau vivant qui lui est offert. La douleur et l'angoisse se lisent dans les yeux des deux enfants nues suspendues tête-bêche; deux petites filles si particulières: l'une née il y a juste trois ans sans membres, très menue par ailleurs; l'autre, de six ans, affamée et emprisonnée depuis trois ans pour le plaisir de la rendre le plus vulnérable possible; deux petites filles si jeunes, mais si extraordinaires, torturées pour la seule jouissance des spectateurs.

Dans la salle, c'est le délire. C'est tellement rare de voir de telles enfants être torturées en public. Un petit garçon tout nu de huit ans est caressé par sa mère; le spectacle de ces deux petites filles spéciales suspendues toutes nues et que l'on fait souffrir l'excite beaucoup et va le faire jouir pour la première fois de sa vie.

- Çà te plait, Eric? demande-t-elle au jeune garçon;

- Oh oui maman, c'est très joli.

- Oui, tu aimes que je te caresse?

- Oh oui, maman, c'est très bon.

Le petit Eric jouit alors dans la main de sa maman, qui lèche le sperme de son enfant devant son mari amusé.

- On pourra faire çà à ma petite cousine dimanche prochain? - Celle qui est orpheline?

- Oui, Ophélie.

- Mais, elle n'a que deux ans.

- Oh maman, çà me plairait beaucoup.

Le père d'Eric, intéressé par la proposition de son rejeton dit alors:

- Il suffira de la prendre en pension, et la sortir de l'orphelinat.

Le bourreau se remet alors devant la petite fille maigre suspendue par les pieds pour entreprendre de placer les cinq cadenas sur son sexe afin de le condamner. Il regarde la vulve de l'enfant, entre ses cuisses maigres dont les racines sont très écartées. Les lèvres de ce sexe de petite fille sont très fines. Seul dépasse le capuchon du clitoris, si délicieux chez les fillettes de moins de huit ans. Il met en place trois pinces en cœur sur le sexe de l'enfant, qu'il serre très fort, arrachant un cri aigu à la petite fille suspendue tête en bas. La gamine se tortille comme pour essayer d'échapper à son bourreau, mais que peut faire une si jeune enfant nue, suspendue par les pieds très écartés, si maigre et tant affaiblie par les privations et les sévices?

Les pinces en place, l'esclave noir perce en un seul temps par cinq fois les lèvres de cette vulve d'enfant. La gosse hurle de plus en plus. Le sang commence à perler sur le sexe lisse, et coule en filet sur le pubis puis le ventre de la fillette, jusqu'à son nombril si sensuel. Et comme pour les tétons, et le clitoris de la petite Lydia, il remplace les grosses aiguilles par les cinq cadenas qu'il ferme aussitôt. Il enlève les trois pinces en cœur, ce qui occasionne au moins autant de douleur à la petite suppliciée que lorsqu'elles ont été mises en place. Il donne les clefs des cinq serrures à une de ses petites assistantes en cuissardes et aux fesses nues. Celle-ci les place sur un coussin de velours qu'elle présente respectueusement à Monsieur Loyal.

Le bourreau salue le public, entouré de ses deux assistantes dont les seuls vêtements sont leurs cuissardes à hauts talons, et qui font une révérence parfaite. La petite troupe se retire en coulisses sous les applaudissements, et Monsieur Loyal reprend la parole:

- Mesdames et Messieurs, et chers enfants, annonce-t-il alors. La première partie de notre spectacle se termine. Les deux fillettes que vous venez d'applaudir vont rester exposées suspendues sur la piste pendant tout l'entracte; vous pourrez vous approcher d'elles pour les regarder de très près, et toucher les anneaux que l'on vient de leur placer. Vous mettrez certainement à profit cette pause pour faire plus ample connaissance avec les autres convives de cette soirée que vous semblez apprécier. La deuxième partie du spectacle commencera par une vente aux enchères de petites filles. Les personnes qui souhaitent y faire participer leurs enfants sont invitées à les présenter dans la Salle de Tortures nommée « Chaise Electrique » au premier étage. La direction de cet établissement vous convie à visiter les salons et les salles de tortures mis à votre disposition, où vous pourrez vous amuser avec nos esclaves, ou les enfants que vous avez amenés. Je vous souhaite une bonne fin de soirée.

Sophie s'est approchée de la table de Jacques, pour lui proposer de visiter en sa compagnie les différents salons de cet extraordinaire cabaret; Jacques se lève, et prend sa petite esclave nue par la main pour suivre la petite soubrette aux fesses nues qui passe une belle porte dorée ouvrant sur un luxueux salon feutré et richement décoré. On dirait des statues; mais non, ce sont des petites filles toutes nues, ligotées, attachées, suspendues qui meublent cette première salle. Il y a bien trente fillettes ainsi exhibées. Les plus âgées ont juste quatre ans. L'une d'elle est même attachée sur une croix de Saint-André, cuisses bien ouvertes, exposant délicieusement son sexe lisse. Jacques ne peut s'empêcher de passer sa main sur cette vulve enfantine si bien offerte. Une dizaine d'autres portes permettent d'accéder aux étages depuis cet immense salon rouge et or.

Les plaisirs ne font que commencer.

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anonyme

Pouvez-vous traduir vos histoires en anglais? Je veux les lire, mais je ne lis pas suffisamment le francais.

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