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Published: 17-Dec-2012
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Dans la salle, les spectateurs attendent le numéro suivant. Plusieurs petites filles accompagnant leurs parents, ou parfois leur oncle, ont été obligées de retirer leur petite culotte, certaines sont même entièrement nues maintenant. Il est de coutume en effet dans ce cabaret, qu'au cours de l'entracte, les parents échangent leurs enfants, le temps d'une soirée, voire plus. Et les habitués savent qu'après le numéro suivant, monsieur Loyal proposera la pause et encouragera cette délicieuse pratique. Pour le moment, il annonce le show suivant:
- Mesdames et Messieurs, comme dans tout cabaret qui se respecte, nous sommes heureux de pouvoir vous présenter ce que l'on peut appeler des phénomènes. Nous avons dans notre petite ménagerie enfantine deux petites filles très particulières que je vais vous laisser le plaisir de découvrir maintenant; l'une d'elle fait son apparition en public pour la première fois aujourd'hui:
Deux gamines de sept ans environ, en porte jarretelles et bas noirs, sans culotte, amènent alors sur la piste le portique qui avait servi à suspendre la petite Rose, ainsi qu'un petit poteau planté sur un socle de velours rouge, de 80 centimètres de haut, et de 4 centimètres de diamètre, dont le bout est arrondi. Les deux esclaves noirs disposent à côté de ce portique un garrot espagnol, dont la taille prouve à l'évidence qu'il a été fabriqué pour torturer des enfants. Puis les deux fillettes se retirent et reviennent sur la piste ; elles sont aidées par deux autres petites filles du même âge, et dans la même tenue, pour porter un plat en argent d'un mètre de diamètre, recouvert d'une cloche, également en métal précieux ; les quatre enfants aux fesses toutes nues déposent leur plat sur un petit pouf en velours placé en avant du portique doré. Tous les projecteurs s'éteignent ; seul un spot éclaire la cloche du plat d'argent.
Monsieur Loyal fait claquer son fouet, salue une fois encore, et s'approche du plat dont il soulève la cloche.
Un grand murmure du public couvre le fond de musique suave donnée par l'orchestre de fillettes nues.
- Mesdames et messieurs, je vous présente Lydia, une petite fille qui est née sans bras ni jambes il y a juste trois ans. Regardez-la, telle que le Bon Dieu l'a faite, étendue toute nue dans ce magnifique plat en argent. Depuis sa naissance, date a laquelle nous l'avons achetée à sa mère, nous la faisons jeûner pour qu'elle reste très menue. Elle est encore entièrement vierge, mais pour son troisième anniversaire, nous vous proposons une tombola. Le gagnant pourra dépuceler cette étonnante petite fille, puis mes jeunes fillettes vont vous montrer comment on peut s'amuser avec une telle enfant. Et après le spectacle, cette enfant sera gracieusement mise à la disposition de tous ceux et toutes celles qui souhaiteront en profiter dans un de nos salons.
Une des petites filles en porte-jarretelles prend alors Lydia dans ses bras pour l'exhiber au public sous la lumière d'un projecteur mobile. Elle la porte comme une poupée, en évitant d'en dissimuler le sexe lisse et l'anus, ; le sexe de cette petite fille sans bras et sans jambes en est encore plus excitant, et quand elle est retournée pour que les spectateurs puissent admirer ses fesses, l'assistance manifeste son enthousiasme par des applaudissements nourris. Ses fesses sont toutes petites, et naturellement bien écartées, offrant constamment son anus encore vierge à la vue de chacun. Le petit corps nu et maigre de cette enfant est si troublant qu'on en oublie presque de regarder son visage, pourtant très beau, avec ses grands yeux bruns écarquillés et ses beaux cheveux noirs et soyeux, longs et coiffés en une tresse unique sur le sommet de sa tête de poupon. On lui a placé une boule rouge dans la bouche, maintenue par une sangle de cuir passant derrière sa nuque, afin d'étouffer ses éventuels cris.
Jacques est très excité par ce spectacle, et son sexe durcit de nouveau dans la bouche de la petite Anne, maintenant toute nue ; il se délecte à contempler le délicieux anus de l'enfant sans jambes ni bras. La petite fille qui la présente passe de table en table, pour que chacun puisse regarder de près le sexe lisse de l'enfant exhibée de même que son anus. Et chacun touche, caresse ce cul mignon, cette délicieuse fente lisse, ce joli petit trou rose offert entre ses adorables fesses bien écartées. La petite enfant ne peut en effet rien dissimuler de son intimité constamment offerte aux regards et aux attouchements. Le visage de cette gosse est triste ; la boule insérée dans sa petite bouche la rend encore plus pathétique. La petite fille sait que son sort est désormais de souffrir pour le plus grand plaisir des spectateurs de ce beau cabaret. Les enfants amenés par leurs parents, maintenant presque toutes nues également, regardent la petite Lydia avec beaucoup de curiosité, et la caressent comme si c'était un petit animal de compagnie. Particulièrement, la petite Estelle et sa jolie cousine Julie qui viennent de faire leur numéro improvisé, menottées et portant un plug de métal dans leur rectum sont ravies de toucher cette enfant qui pourrait dans d'autre lieux paraître peu gâtée par la nature, mais qui est tellement excitante ici parce qu'elle n'est qu'un sexe et un anus.
- On va la torturer, demande Julie à son papa?
- Sans doute que oui, mais elle sera d'abord violée pour la première fois.
- Et qui va la violer?
- Celui qui gagnera la tombola.
- Ce sera toi?
- Je ne sais pas encore, on verra.
Pendant que la petite fille en porte-jarretelles qui présente la petite fille sans jambes ni bras continue à passer de table en table afin que chacun puisse voir de près la vulve encore vierge de la petite enfant, un autre projecteur éclaire une petite cage de métal noirci qui descend des cintres, dans laquelle est enfermée une petite fille toute nue, portant des fers au cou, aux poignets et aux chevilles, reliés entre eux par de lourdes chaînes. L'enfant est très maigre, accroupie et recroquevillée sur elle-même, ne pouvant se tenir autrement dans cette cage exiguë. Toutes les faces de la cage, y compris le fond, sont identiques, de sorte que l'on voit bien le sexe lisse de l'enfant nue et son anus pendant que lentement, le dispositif est descendu vers le centre de la piste, pour être maintenue à un mètre du sol, devant Monsieur Loyal ; celui-ci explique tout en faisant tournoyer la cage que la petite fille qui en est prisonnière a juste six ans, et que depuis qu'elle en a trois, elle vit nue et enchaînée dans un cachot dont elle ne sort que pour être montrée lors des spectacles, et être offerte aux spectateurs amateurs de petites filles très très maigres. Elle est en effet privée de nourriture afin de la rendre le plus mince possible, mais on ne peut parler d'anorexie, puisque c'est par la volonté de ses geôliers qu'elle est maintenue dans cet état de maigreur. Pourtant, la petite fille a toute l'apparence d'une enfant anorexique.
D'un coup de fouet, Monsieur Loyal fait signe à deux esclaves noirs en string de cuir de venir ouvrir la cage, et d'en faire sortir la petite enfant qui n'a même pas de nom. Elle est traînée vers le petit garrot espagnol ; un poteau de section carrée, sur un socle en croix, avec un petit promontoire où sont assises les condamnées ; une corde passée dans deux trous à hauteur du cou permet d'étrangler les victimes. La petite fille maigre est assise à cheval sur ce petit siège et ligotée très fermement, les mains toujours enchaînées derrière le poteau, les pieds ramenés en arrière, contre la base du poteau, le cou enserré par la corde du garrot. Elle n'a que les os et la peau. Ses côtes sont saillantes, son ventre blême rentré; les racines de ses cuisses décharnées sont très écartées, et ses fesses sont si petites. Assise comme elle est sur cet instrument de supplice, on voit très nettement son sexe lisse bien exposé. Elle respire rapidement, terrorisée. Ses grands yeux dans son visage creusé sont cernés par la fatigue et la faim.
- En effet, raconte monsieur Loyal tout en tournant autour de la petite enfant ligotée nue sur le garrot, nous ne lui donnons que le strict nécessaire pour l'empêcher de mourir de faim. Et aujourd'hui, avant de la mettre à la disposition des amateurs, nous allons lui percer les tétons, et les lèvres de son sexe, afin de le condamner par cinq cadenas, de sorte qu'elle ne sera plus utilisable que par son petit cul ou par la bouche, ce qui lui apportera quelque complément alimentaire. Nous allons aussi percer la petite Lydia, mais seulement ses tétons plats, et son clitoris, afin de rendre son dépucelage plus douloureux. Bienheureux celui qui la gagnera à la loterie. A ce sujet, vos petites serveuses vous proposeront des tickets de tombola, et la main innocente d'une fillette choisie dans le public tirera tout à l'heure le numéro gagnant.
Tout en racontant, le visage de Monsieur Loyal se transforme ; son sourire devient figé, presque sardonique, les yeux pervers roulent dans leurs orbites. On sent son plaisir augmenter au fur et à mesure qu'il présente ce numéro rare.
La petite fille qui présente la petite Lydia revient alors sur la piste, et offre l'enfant nue sans membres à un bel esclave noir qui vient d'entrer en scène. Il est en pantalon de cuir rouge, et porte des bottes de la même matière ; il est cagoulé comme un bourreau médiéval. Il prend la petite Lydia par les cheveux, cette longue tresse unique par laquelle il la suspend à un des crochets du portique.
Seuls deux projecteurs éclairent alors les deux enfants exposées ; dans la pénombre apparaissent alors deux petites filles toutes nues mises à part leurs cuissardes noires ; elles sont cagoulées comme le bourreau. Elle portent chacune un présentoir qu'elles proposent au beau nègre cagoulé; sur chacun de ces plateaux sont disposés les instruments permettant de percer les tétons et les sexes des deux fillettes.
La musique jusque-là douce et feutrée s'arrête, et un léger roulement de tambour meuble le silence soudain de la salle.
Le bourreau saisit une cravache, et s'approche de la petite Lydia, cette surprenante enfant de trois ans, née sans jambes ni bras, suspendue toute nue par ses cheveux, une boule rouge dans la bouche ; il commence à caresser le ventre, le sexe lisse de la pauvre petite fille qui écarquille ses yeux déjà immenses dans son visage de poupon. Puis il la fait pivoter sur elle-même afin de présenter ses petites fesses au public ; du fait qu'elle n'ait pas de cuisses, les fesses de la fillette sont naturellement écartées pour le plus grand plaisir des spectateurs. Chacun attend que le bourreau frappe l'enfant ; il ne semble pas prévu que la petite fille soit fouettée la première fois qu'elle est présentée, mais le bourreau sent le bien le public. Il regarde Monsieur Loyal, qui lui indique d'un signe de la main qu'il peut donner trois coups de cravache à la petite enfant.
Le beau noir alors lève lentement la cravache et prend son temps avant de frapper violemment les fesses de la fillette bâillonnée ; elle ne peut hurler, mais son corps mutilé ondule sous ses contorsions de douleur. Le bourreau la retourne, pour montrer les larmes qui coulent sur ses joues de bébé.
- Ouiii, encore! hurle une jeune femme dans la salle.
Jacques regarde la scène avec délectation, en tenant la tête de la petite Anne qui le suce lentement.
Le bourreau fait alors tournoyer la fillette sur elle-même et à deux reprises encore, frappe les fesses et le dos de la petite victime qui se tortille sous chacun des coups. Les marques laissées sur le dos et les fesses de l'enfant plaisent beaucoup au public.
La jeune femme qui avait demandé que l'on fouette encore la petite fille ne se sent plus, et jouit sans même se toucher, ce qui amuse beaucoup son compagnon.
Le bourreau, gardant sa cravache en mains, va ensuite vers le garrot espagnol sur lequel est ligotée la petite fille très maigre. Il passe derrière l'instrument de supplice et, en manipulant le dispositif serre davantage la corde autour du cou de l'enfant nue comme s'il voulait l'étrangler. La fillette effrayée écarquille les yeux, ouvre la bouche et gonfle sa poitrine par réflexe. En fait, le bourreau cherche seulement à l'immobiliser davantage pour pouvoir lui percer les tétons plus facilement. Ce serait dommage de la mettre à mort dès aujourd'hui, alors qu'elle va beaucoup amuser les clients du cabaret pendant une bonne année encore.
D'un geste précis de la cravache, le bourreau fait écarter davantage les frêles cuissettes de la petite fille, et demande à ses petites assistantes nues de venir lui présenter le matériel nécessaire pour percer les tétons de la petite esclave. Il se place à nouveau derrière le garrot, et prend une pince en cœur, et en pince le téton droit de la fillette qui lâche un cri de douleur ; une gifle lui indique qu'elle a intérêt à se laisser faire sans broncher. La petite fille se met à pleurer en silence, son visage émacié et creusé grimaçant sous la douleur, surtout lorsque le bourreau commence lentement à percer le petit téton tiré en avant. L'aiguille est très grosse et creuse, afin d'emporter la chair qui sera remplacée par l'anneau de métal. Le visage de l'enfant est couvert de larmes. Son tortionnaire enfile alors l'anneau dans l'extrémité creuse et pointue de la grosse aiguille qu'il retire pour la remplacer par le piercing qui va être scellé par la traditionnelle petite boulle. Sans attendre plus, il perce de la même manière l'autre téton. La fillette ne peut refréner un cri perçant ; un coup de cravache sur son sexe lisse de la part de Monsieur Loyal lui impose le silence. L'enfant nue et torturée se mord alors les lèvres sous la douleur. Quel régal de la voir ainsi souffrir.
Les deux anneaux sont en place. Un léger filet de sang coule sur les côtes apparentes du torse plat de la petite fille que son bourreau oblige à garder les cuisses bien ouvertes.
Un des spectateurs du premier rang jouit sur le visage de sa petite fille de deux ans et demi qu'il a couché toute nue sur sa table. Sa femme lui demande s'il aimerait dès à présent faire percer leur enfant.
- Oh oui! répond-il, nous la proposerons à Monsieur Loyal, pour un prochain spectacle.
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