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Published: 17-Dec-2012
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Depuis sa table, Jacques n'a pas perdu une miette du spectacle. Il regarde la petite fille toute nue pendue par un pied, bras et mains attachés derrière son dos ; elle a les jambes écartelées au maximum par le poids très lourd qui tire sur ses articulations. Les deux bourreaux noirs, entièrement nus, aux magnifiques sexes en érection continuent à faire tournoyer sur elle-même l'enfant frêle en larmes. Chacun peut voir maintenant sa jolie fente entrouverte qui sera violée après le spectacle. La petite Anne, l'esclave de Jacques revient alors ; elle est toujours toute nue, sauf ses chaussettes blanches et ses chaussures ; elle se place devant lui, entre ses jambes et prend dans ses toutes petites menottes le sexe de notre ami à nouveau puissamment dur.
Sur la piste, derrière la potence où est suspendue la petite Rose, Estelle et Julie ont gardé leur pose. Entièrement nues, elles sont restées debout, penchée en avant et bien cambrées, fesses offertes au public pendant tout le temps que les deux beaux noirs attachaient et déshabillaient la belle petite Rose. Quel beau spectacle que ces trois fillettes toutes nues sur scène, dont la plus petite (elle va avoir quatre ans dans quelques jours) est suspendue bien écartelée. Julie et Estelle sentent quelques crampes de ne pas avoir bougé pendant tout ce moment. Elles voudraient bien se dégourdir, mais n'osent pas de peur de fâcher leurs parents. Estelle à huit ans est superbe, mince et longiligne, montrant si délicieusement ses fesses légèrement écartées ; quant à sa cousine Julie, âgée de cinq ans, quel régal de regarder son adorable petit cul si bien présenté. Elles n'ont pas encore vu comment est suspendue la petite Rose, tournant le dos au public et donc au portique placé entr e elles et les spectateurs.
D'un claquement de fouet, monsieur Loyal fait arrêter la musique et prend la parole :
- Chers amis, il est temps maintenant qu'Estelle et sa petite cousine Julie offrent leurs jolis petits culs à mes magnifiques serviteurs noirs. Regarder comme ils bandent. Et regardez la taille de leurs sexes. Regardez comme ils se réjouissent d'enculer ces deux petites enfants. Je suis sûr que les parents de ces deux petites merveilles ne verront pas d'objection à ce qu'elles soient sodomisées par ces énormes dards.
Les parents des deux enfants acquiescent de la tête tandis que les deux autres esclaves encore en string déplacent le portique où est suspendue la petite Rose vers l'arrière pour pouvoir placer deux podiums capitonnés de velours rouge en avant de la scène.
- Allez, petites filles, venez offrir vos jolis corps à mes beaux nègres, dit Monsieur Loyal.
- Oh non, monsieur, leurs zizis sont bien trop gros, ils vont nous faire mal.
- Vous préférez le fouet ?
- Non, s'il vous plait, rétorque la petite Julie, en pleurant.
Les deux noirs enlèvent alors leurs strings « peau de zèbre », prennent les deux petites filles toutes nues, et les couchent sur le dos sur les petits podiums capitonnés. Ils saisissent les chevilles des deux enfants pour plaquer leurs genoux très écartés sur leurs bras en croix. Ils bandent comme leurs deux camarades. Eux aussi ont des sexes énormes. Les deux petites filles sont ainsi exhibées de manière très excitante. Elles montrent bien leurs sexes lisses au public, mais surtout leurs anus très bien offerts par cette position. Ensemble, les deux noirs s'approchent des deux petites filles, saisissent leurs toutes petites fesses pour encore mieux ouvrir leur joli cul, et posent leurs énormes bites sur les petits trous roses serrés par la peur. Elles ne peuvent bouger, maintenues qu'elles sont par les autres esclaves. Elle sentent le gland des noirs commencer à pénétrer dans leur petit derrière. Elles crient, leurs visages couverts de larmes. Cela ne fait qu'exciter davantag e les deux violeurs. Les parents d'Estelle et de Julie sont très excités de voir comment leurs enfants nues vont être données à ces énormes noirs en rut.
Les nègres contemplent en même temps les corps nus des deux enfants offertes ; ils pénètrent alors assez brutalement les anus des deux gosses, leur arrachant des cris stridents qui ne font qu'amuser les spectateurs. Les deux petites filles ont très mal. Elles sentent les bites énormes entrer en elles, déchirer leur petit trou. Çà provoque beaucoup plus de douleur que lorsque ce sont leurs papas qui les enculent. Les deux africains ont maintenant enfoncé leurs sexes en entier dans les entrailles des deux gamines. Ils se régalent du spectacle des petites vulves maintenant entrouvertes et déformées par leurs bites énormes qui déchirent les pauvres fillettes. En face d'eux, leurs camarades qui maintiennent les deux enfants bandent très fort ; ils plaquent leurs sexes sur le visage des petites filles en larmes, très excités par leur désarroi. Le seul spectacle de ces fillettes sodomisées pourrait les faire jouir. Ils sentent le souffle des deux gamines qui hurlent sous leur pénis. Presque instinctivement, et comme pour essayer d'amadouer ses bourreaux, Estelle lèche les bourses de celui qui la maintient écartelée. Mais rien n'y fait. Les deux nègres continuent à défoncer le rectum des fillettes.
Plusieurs spectateurs se sont levés, pour mieux voir les fillettes violées par ces quatre nègres en rut. Pour voir les petits culs d'enfants dilatés par les énormes pénis. Julie, en particulier, si menue, est très excitante, avec ce dard qui va et vient entre ses mignonnes petites fesses, au plus profond d'elle-même. Celui qui la viole tient ses étroites hanches entre ses mains, passe un doigt sur la vulve offerte et entrouverte. Il y enfonce lentement son pouce pour buter sur l'hymen encore intact. Il respecte la virginité vaginale de l'enfant, mais cela l'excite davantage encore. La mère de Julie a enlevé sa petite culotte, et caresse son sexe épilé sans pudeur. Elle envie sa fille, et souhaiterait elle aussi bénéficier des hommages des quatre nègres en rut. Le père de la petite n'en peut plus. Voir sa jolie enfant se faire sodomiser par cet énorme sexe le fait jouir de plus en plus. Il éjacule brutalement dans la bouche de sa petite esclave enchaînée en lui maintenant la t ête pour enfoncer son sexe au plus profond de sa gorge juvénile.
A ce moment, les deux noirs jouissent dans les culs des deux fillettes, pendant que ceux qui maintenaient les deux gamines inondent de sperme leurs jolis visages en pleurs. Un tonnerre d'applaudissement salue les quatre nègres, ainsi que les deux petites filles qui viennent de donner un immense plaisir à leurs parents très fiers. Les deux noirs qui viennent de sodomiser les deux petites enfants se retirent pour faire admirer aux spectateurs les deux anus béants toujours exposés par la position imposée par les deux bourreaux nus qui les ont maintenues pendant leur viol. Cela dure un petit moment, qui semble une éternité pour les deux petites filles qui viennent d'être enculée publiquement. Un claquement de fouet annonce l'arrivée sur la piste de Monsieur Loyal, qui oblige les deux fillettes nues, le visage couvert de sperme, le cul en feu, dégoulinant de foutre à se lever et saluer le public, et faire un tour de piste avant de se retirer en coulisse, pendant que les quatre nèg res nus remercient le public pour ses applaudissements nourris.
La mère de Julie se penche vers son mari pour lui proposer d'inviter les quatre beaux noirs:
- Tu sais, j'aurais bien aimé être à la place de Julie, dit-elle. Sentir un aussi beau sexe dans mon cul... mmmmmhh! on pourrait leur proposer le pucelage de Julie en dédommagement.
Son mari acquiesce d'un signe de tête et ajoute:
- Je vais en parler à Monsieur Loyal à la fin du spectacle.
Sur la piste, deux autres esclaves noirs, en string de cuir, viennent délivrer la petite Rose, qui était restée suspendue pendant toute la durée du viol de sa sœur et de sa cousine suspendue par une cheville, et bien écartelée par le poids de dix kilos. Ses hanches la font bien souffrir maintenant. On lui laisse néanmoins les bras et les mains liés derrière le dos, pour l'amener au milieu de la piste ou elle est rejointe par Julie et Estelle, toutes nues, lavées, mais mains entravées par des menottes d'acier.
Les deux esclaves accompagnent les trois petites filles nues jusqu'à la table de leurs parents. Les trois enfants esquissent une révérence, devant Jérôme, le père de Julie et de Rose.
- Vous m'avez donné beaucoup de plaisir, les filles. C'est très bien.
- Merci papa, Répond Julie. Vous savez que j'aime vous satisfaire en tout. Regardez, ils nous ont mis quelque chose dans le derrière, ajoute la gosse en se retournant, pour montrer le gode en acier que les esclaves lui ont enfoncé dans l'anus ; ils nous ont dit qu'on devait le garder toute le soirée, et que s'il tombait, nos parents nous puniraient.
- Et tu aimes le garder?
- Oh oui. C'est très agréable.
- Mais pourquoi as-tu pleuré pendant que le nègre t'enculait?
- Ca a fait mal mais c'était bon tout de même.
- Tu sais que j'aime quand tu pleures.
La musique reprend très douce, très suave; les petites filles de l'orchestre sont maintenant entièrement nues, excepté leur chef qui a gardé son « queue-de-pie » mais enlevé son string.
Monsieur Loyal, resté en piste, annonce le numéro suivant.
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