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Published: 17-Dec-2012
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Après avoir joui dans le sexe de sa petite esclave, Jacques reste en elle pendant quelques instants. Il caresse le ventre de la petite fille et l'intérieur de ses frêles cuisses. Pendant que sur la piste, après son numéro, la petite fille de quatre ans faisait, toute nue, son tour de piste après s'être défaite toute seule de ses liens, la petite Anne s'était empalée sur le pénis de son maître, et lui avait alors procuré l'indicible plaisir qu'il vient de ressentir.
Jacques soulève la petite enfant se retirer d'elle très doucement, puis la pose sur le sol, entre ses jambes ; la fillette prend alors de nouveau le sexe encore très dur de Jacques dans sa petite bouche pour en faire la toilette. Elle lèche longuement le dard puissant et avale les sécrétions, puis se lève et demande la permission d'aller aux toilettes.
- Bien sûr, mon enfant, répond Jacques, mais reviens vite !
- Oui, Monsieur, répond la petite fille toute nue, maintenant sa petite main droite sur sa jolie vulvette pour ne pas souiller les tapis de la salle de spectacle.
Jacques s'amuse beaucoup à regarder alors les mignonnes petites fesses nues de la délicieuse enfant qui court vers une belle porte dorée dans laquelle elle s'engouffre rapidement.
Ses yeux se tournent alors de nouveau vers la piste où monsieur Loyal vient d'entrer en scène et annonce, de sa voix tonitruante :
- Mesdames et messieurs, et chers enfants ; je vois dans la salle quelques petites filles accompagnées de leurs parents, et qui sont encore habillées. Je suis sûr que cela plairait à leur papa et à leur maman qu'elles viennent sur la piste se montrer toutes nues.
Monsieur Loyal, tout en parlant marche vers le public rejoindre une table où deux hommes et deux jolies jeunes femmes savourent lentement du champagne. A leurs côtés, trois jolies petites filles subtilement vêtues, sirotent doucement du jus de fruit. Il s'approche de la plus grande des enfants et, regardant l'un des deux hommes avec malice, il ajoute :
- Vous permettez, monsieur ?
- Bien sûr, répond le spectateur, mais cette enfant n'est pas ma fille.
En voici le père, ajoute-t-il en désignant son voisin, et voici la maman d'Estelle.
- Lève-toi, Estelle, fait le père de la fillette, et salue le Monsieur.
L'enfant se lève, et fait une révérence très élégante.
- Quel âge as-tu, Estelle ? demande monsieur Loyal tout en parlant dans son micro.
- Huit ans, Monsieur.
- Et t'es-tu déjà montrée toute nue à des messieurs?
- Oui, plusieurs fois déjà.
- Et tu aimes te montrer?
- C'est surtout les messieurs qui aiment me regarder et me toucher.
- Et... as-tu déjà fait l'amour?
La petite fille intimidée regarde sa maman, attendant un signe pour répondre.
- Tu peux répondre à monsieur Loyal, Estelle ; lui dit sa mère.
- Oui, monsieur.
- Et avec qui?
- Mon papa, et aussi mon tonton, qui est avec nous ce soir.
- Ce sont tes petites sœurs, qui sont avec toi ce soir?
- Non, ce sont les filles de tonton Jérôme.
- Et elles ont quel âge?
- Rose va avoir quatre ans dans une semaine, et Julie en a cinq, Monsieur.
- Sont-elle encore pucelles? demande alors le maître de cérémonie à l'oncle Jérôme.
- Rose, oui, mais Julie non, répond Jérôme. Enfin, disons que le sexe de Julie est encore vierge, mais elle est régulièrement sodomisée depuis qu'elle a trois ans et demi.
- Ce sont de gentilles filles alors. Vous permettez que je les emmène avec Estelle, pour qu'on les déshabille sur la piste?
- Bien entendu, cela me fera le plus grand plaisir.
- Et vous voulez dépuceler Rose ce soir?
- Oui, nous comptions la prendre ce soir avec le papa d'Estelle.
- Quelle bonne idée. Je vous donnerai le plus beau salon tout à l'heure, où vous pourrez jouer avec la petite Rose.
Monsieur Loyal alors appelle deux beaux esclaves noirs, très musclés, entièrement nus, sauf un string léopard qui moule bien leurs sexes qui semblent énormes. Les deux géants prennent les deux plus petites filles dans les bras pour les porter au centre de la piste précédés de Monsieur Loyal qui tient Estelle par la main.
L'orchestre commence à jouer une musique suave, très douce, pour accompagner les trois enfants dans leur prestation improvisée.
Monsieur Loyal fait monter Estelle sur une large estrade, sur laquelle on a disposé trois petits podiums ronds, suivi par les deux colosses noirs qui portent les deux autres petites filles. Estelle est priée de monter sur le podium central, face au public, tandis que les deux nègres posent Julie et Rose, debout sur ceux situés de part et d'autre du premier. Monsieur Loyal retourne vers les parents des trois enfants, et leur demande discrètement quelque chose à l'oreille.
Le père d'Estelle et l'oncle Jérôme acquiescent de la tête, ce qui semble réjouir le maître de cérémonie.
Estelle a une jolie robe blanche, cintrant bien son torse plat, envasée en bas et s'arrêtant au-dessus des genoux. Elle porte des chaussettes blanches et des souliers roses. Rose, qui a presque quatre ans, est mignonne, toute menue, minuscule à côté des deux esclaves africains. Elle porte un chemisier rose, et une belle jupe violette, des chaussures et des chaussettes blanches. Julie est vêtue d'un short moulant jaune, et d'un tee-shirt assorti, des petites baskets bleues aux pieds.
Le public se réjouit de voir trois si jolies petites filles, qui ne sont pas des strip-teaseuses, se faire dévêtir par les deux noirs.
Monsieur Loyal a repris son fouet, et en montant sur l'estrade, dit d'une voix forte :
- Estelle ! Enlève tes chaussures, et tes chaussettes.
Il marque cet ordre par un claquement de fouet qui plait beaucoup au public et aux parents des petites filles. La fillette qui est très mince, maigre même, s'assied sur le podium, laissant entrevoir ses frêles cuissettes et un bout de sa petite culotte blanche, et retire ses souliers et ses bas. Elle se relève ensuite, et un des esclaves noirs s'approche d'elle et se plaçant derrière elle, relève sa robe, et lentement fait glisser sa culotte le long de son bassin et de ses fines cuisses d'enfant, jusqu'aux genoux, puis la laisse tomber sur ses chevilles. La petite fille se laisse faire. Le nègre relève alors la robe de l'enfant, pour que le public puisse entrevoir le sexe lisse, puis remonte rapidement la robe sur la poitrine plate d'Estelle, la passe par-dessus sa tête. La robe enlevée, le public peut maintenant voir la petite fille toute nue. Elle se laisse regarder, écarte un peu les cuisses à la demande de l'esclave noir, se retourne, pour faire admirer ses toutes petites fesses nues. Elle se penche légèrement en avant, tout en se cambrant pour faire admirer son magnifique anus et son excitant fente lisse. Elle fait cela avec beaucoup de grâce, et d'élégance, comme une vraie petite strip-teaseuse.
Les deux autres enfants sont debout sur leur podium, et regardent comment Estelle s'est laisser dévêtir, et comment elle s'exhibe au public.
Un nouveau claquement de fouet, et Monsieur Loyal ordonne :
- Estelle, tu vas maintenant enlever le slip des deux beaux messieurs de couleur qui t'ont aidé à te déshabiller.
Les deux noirs s'approchent alors d'Estelle, la soulèvent et la posent devant le petit podium rond et attendent que l'enfant toute nue descende leurs strings léopard sous lesquels on devine des sexes en érection de taille impressionnante. La petite fille se place devant le premier ; sa tête est juste à la hauteur du phallus du noir. Elle descend le string tout en prenant doucement le sexe énorme de l'esclave dans ses toutes petites mains ; elle est très émue. Le pénis noir très raide surgit du slip, devant la bouche de la fillette, qui laisse échapper un « oh » d'admiration. Le nègre est très excité par cette petite fille nue qui l'a déshabillé. Son excitation est d'autant plus grande qu'il sait qu'il va enculer la jeune enfant et ses petites cousines dans quelques instants.
- Et maintenant, Estelle, tu vas enlever le string de l'autre monsieur noir avec tes dents.
Le public applaudit, autant pour cette proposition qu'à cause spectacle offert sur la piste. L'enfant nue s'approche de l'autre noir, et mettant ses petites mains derrière le dos, saisit entre ses dents le string de l'homme en érection, juste au dessus de son pubis épilé. Elle tire en arrière, libérant le sexe dur et énorme qui se dresse juste devant son visage. Surprise, elle lâche le string, et est obligée de le reprendre en bouche en allant le chercher sous le pénis impressionnant, tout contre les bourses épilées de son partenaire. Celui-ci, sentant la petite bouche de l'enfant contre son sexe et ses testicules, sent le plaisir monter en lui, mais ne peut le montrer, sa condition d'esclave l'en empêche pour le moment. De toutes façons, il sait qu'il jouira dans le petit cul d'une de ces trois enfants. Estelle, toujours les mains derrière le dos, le string entre les dents se baisse en remuant son petit cul tout nu pour descendre la culotte l'esclave noir. Elle se met à genoux devant lui, en tirant en bas afin que le slip descende jusqu'aux cheville. Le beau black se laisse faire, le sexe tendu, puissant, excitant pour la petite Estelle qui ne sait pas encore, elle, qu'elle lui sera offerte tout à l'heure. Voila enfin le string sur les chevilles de l'homme noir ; la petite fille nue ne desserre pas les dents pour ne pas lâcher le slip, et à quatre pattes, elle le fait passer sous les pieds de son partenaire, montrant entre ses fesses bien écartées son petit trou rose au public. Enfin, elle se relève, pour exhiber aux spectateurs le slip entre ses dents.
- Estelle, crie monsieur Loyal, tu vas maintenant offrir ce string à ta maman.
L'enfant nue, descend de l'estrade, et court vers la table de ses parents pour y déposer le slip du beau noir. Sa mère la remercie d'un sourire encourageant, et lui ordonne de remonter sur scène.
- Reste bien sage pendant que les deux messieurs tout nus déshabilleront Julie et Rose!
- Oui maman.
- Et laisse-toi bien faire ensuite, ajoute la jolie femme perverse.
- Qu'est-ce qu'on va me faire?
- Allez, sois bien sage. Tu verras bien.
Sur l'estrade, Rose et Julie sont restées debout, le regard inquiet. Surtout la petite Rose qui a déjà essuyé quelques larmes et qui renifle régulièrement. Les deux africains s'approchent alors chacun d'une des deux petites filles encore vêtues. Le premier entreprend de descendre le petit short moulant de Julie, très lentement, pour s'apercevoir qu'elle ne porte rien en dessous. Petit à petit, il dévoile la fente lisse de l'enfant qui se laisse faire bien sagement. Il baisse le short jusqu'aux genoux, et le laisse à ce niveau, et soulève ensuite le tee-shirt jaune, au dessus des tétons plats de la jeune enfant, exhibant bien de cette façon le corps nu et tendre de la jolie petite fille. Qu'est-ce qu'elle est excitante ainsi, short baissé, tee-shirt relevé, obligée de montrer son sexe lisse, son ventre peu bombé, son délicieux nombril et ses tétons de gamine. Son père est ravi de la voir de cette façon. Il regarde avec délectation, comme tous les autres spectateurs et spectatrices le sexe encore vierge de sa fille de cinq ans. Il s'est en effet toujours contenté de la sodomiser. Mais il se réjouit encore davantage d'assister au strip de sa petite Rose, qu'il baisera ce soir pour la première fois.
Le noir finit d'enlever les deux seuls vêtements de la petite Julie, et lui demande d'enlever elle-même ses baskets bleues. La petite fille entièrement nue se relève ensuite, et sur l'ordre de monsieur Loyal se retourne et se penche bien en avant en écartant les jambes qu'elle laisse très raides, pour que chacun puisse admirer son petit anus au dessus de son sexe lisse. Le petit trou est tout rose, délicieusement plissé, assez large ; on voit que la petite fille a été régulièrement sodomisée.
- Reste comme cela, pendant qu'on s'occupe de ta petite sœur ! ordonne le maître de cérémonie.
Enfin ! C'est au tour de la petite fille d'à peine quatre ans, la minuscule Rose, de se faire exposer toute nue. La jeune enfant est encore entièrement vierge, et cela vaut bien un traitement spécial. Le spectacle est le spectacle, et cette petite gamine doit donner le maximum de plaisir au public.
Deux autres esclaves noirs en string « peau de zèbre », aussi beaux et puissants que les deux premiers, amènent alors sur l'estrade un impressionnant portique de bois muni de six anneaux, ainsi que des cordelettes et des poids de dix kilos. Ce gibet est dressé sur un plateau monté sur roulettes, pour en permettre le déplacement aisé. Les deux nègres qui viennent d'entrer en scène portent également un poignard à leur ceinture ; ils se postent debout de part et d'autre de la potence, bras croisé, impressionnants. L'un des deux esclaves noirs qu'Estelle a dénudés il y a quelques instants saisit la petite Rose encore vêtue, et lui attache une cordelette à la cheville droite, afin de la suspendre par un pied à un des deux anneaux centraux. La fillette, pesant à peine douze kilos, toujours habillée de sa jupette violette et de son chemisier rose est maintenant pendue par une cheville ; les deux nègres nus lui attachent un poids de dix kilos à l'autre cheville, de sorte qu'elle estbien écartelée, la jupe remontant sur son ventre ; sa petite culotte blanche qui moule bien sa vulve d'enfant est offerte aux regards des spectateurs.
Les parents de la petite fille sont très excités. Une jolie petite esclave nue et enchaînée de quatre ans a été envoyée au père de Rose afin de le sucer pendant que l'on va s'amuser avec sa fillette. Son sexe dur est d'autant plus puissant que c'est dans une bouche d'enfant inconnue qu'il va prendre son plaisir, tout en regardant comment les impressionnants nègres nus en érection vont jouer avec son innocente petite fille.
Les deux géants noirs enlèvent le petit chemisier de la petite fille suspendue par le pied droit, écartelée à cause du gros poids attaché à l'autre cheville, puis lui attachent les mains dans le dos, de même que ses coudes très serrés en arrière. L'enfant torse nu hurle:
- Naaan, je veux pas ! Laissez-moi. S'il vous plait, laissez-moi!
Des larmes coulent de ses yeux, sur son visage de toute petite fille. Le public rit du malheur de l'enfant.
Les deux tortionnaires ôtent alors la jupette violette de la minuscule fillette pendue et ligotée. Ne reste que sa petite culotte. Un des deux esclaves nus saisit alors le poignard attaché à la ceinture de l'un des deux gardes en string « peau de zèbre ».Il passe sa main énorme sous le slip de l'enfant, entre le tissu et le doux sexe lisse de la petite fille, et d'un coup de lame tranche le fond de la petite culotte pour dévoiler la vulvette vierge. De deux autres coups de couteau, il découpe les côtés du slip en lambeaux.
Voilà donc la petite fille toute nue, mains et bras attachés derrière son dos, pendue par un pied et écartelée au maximum par le poids très lourd qui tire sur ses articulations. Le public est aux anges. Les deux bourreaux noirs, nus, aux magnifiques sexes tendus font maintenant tournoyer l'enfant frêle en larmes. Chacun peut voir maintenant sa jolie fente entrouverte, qui sera violée après le spectacle.
Le père de la petite fille n'en peut plus. L'exhibition de sa jolie petite fille frêle, entièrement dévêtue, suspendue et écartelée l'excite terriblement. Il jouit dans la bouche de la petite esclave de quatre ans, nue et entravée par un harnais de chaînes, jutant puissamment dans le fond de la gorge de la délicieuse enfant.
La fillette avale le foutre, et remercie Jérôme de l'avoir ainsi honorée.
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