Le Cabaret Des Plaisirs, Partie 3

[ ped, oral, exhib, bd, cons ]

by Mike

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Published: 16-Dec-2012

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This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

En attendant le numéro suivant, Jacques caresse le corps doux et tendre d’Anne, sa petite esclave de quatre ans. Il lui enlève alors son dernier vêtement, sa toute petite jupe écossaise. Voilà l’enfant toute nue, mises à part ses chaussettes blanches et ses souliers vernis que notre ami préfère lui laisser. Elle est si menue, si délicieuse. Jacques retire son sexe de la bouche de la petite fille qu’il retourne, afin de pouvoir caresser son sexe lisse. Il sent sous ses doigts les tendres lèvres et incère un doigt dans cette vulve enfantine. Cela accroît encore son excitation. La gosse nue se laisse faire, en bonne esclave qu’elle est, sentant bien qu’elle n’a pas pour le moment à prendre l’initiative. A quatre ans, elle est déjà très expérimentée; il faut dire que depuis qu’elle a trois ans, elle est offerte chaque soir à des clients souvent très exigeants. Jacques fait alors remonter sa main sur le ventre de la petite enfant, s’attarde un instant sur son nombril; le nombril des petites filles a quelque chose de très sensuel, et Jacques se remplit de joie en y tournant son doigt très doucement. Puis, il laisse aller sa main sur le petit torse maigre de la fillette, où il sent les côtes bien saillantes, et il mets ses deux mains sur les délicieux tétons plats de l’enfant nue. Il les caresse lentement, très doucement. Il sent la chaleur douce de la peau tendre. Son sexe dur est plaqué contre le dos de la jeune esclave nue; la sensation en est extrêmement agréable. Il place alors ses mains autour de la taille fine de l’enfant, et la soulève pour la poser sur ses genoux, son sexe dur entre les cuisses de la petite fille nue. Il sent le sexe lisse de l’enfant s’asseoir sur son pénis, lui procurant encore davantage de plaisir.

Il a envie à cet instant de pénétrer le sexe de la petite fille mais soudain, toutes les lumières de la scène s’éteignent. L’orchestre entame une marche militaire très tonique, rapidement couverte par un vrombissement d’hélicoptères dispensé par les haut-parleurs.

On voit les phares d’une voiture qui s’immobilise au centre de la piste. Le silence se fait alors. Les phares s’éteignent, puis les projecteurs de la piste s’allument à nouveau, éclairant un command car kaki. Sur le plateau de ce véhicule militaire, il y a quatre jeunes filles d’une dizaine d’années portant des vestes de treillis vertes allant jusqu’au milieu de leurs fesses, des strings Dior « camouflage » transparents et des bas assortis ; rangers aux pieds et pistolet mitrailleur au poing, elles ont toutes un calot kaki et doré sur la tête. Elle sont debout, et entourent une jolie petite fille de quatre ans, en tenue d’écolière, qu’elles tiennent en joue. Toutes les filles sont parfaitement immobiles. La petite fille frêle semble terrorisée, ouvrant des grands yeux bleus dans son visage émacié. Quatre autres filles militaire,du même âge que les premières, dans le même uniforme, entrent alors en scène, pour faire descendre la petite fille du pick up. La voiture militaire rentre en coulisses, et on amène une estrade mobile sur laquelle est planté un poteau de tortures, de 1 mètre cinquante de haut et de 30 centimètres de diamètre que l’on place au centre de la piste. Un escalier de sept marches permet de monter sur cet échafaud. Quatre des filles soldat se placent alors à chacun des angles de l’estrade, debout, arme au pied, jambes écartées. Les quatre autres jeunes militaires conduisent alors la petite fille menottée tout autour de la piste, pour la présenter au public, puis en haut de l’estrade, devant le poteau, face au public. Seul un roulement de tambour pour accompagner cette scène.

Les quatre fillettes soldats postées aux angles de l’estrade passent sur le devant de la scène, posent leurs armes au pied de l’échafaud en se penchant en avant, fesses tournées vers le public jambes tendues et écartées, et dans un ensemble parfait, défont les ficelles qui attachent leurs strings autour de leurs hanches, dévoilent en même temps leurs jolis sexes lisses ainsi que leurs anus délicieux entre leurs fesses bien écartées par cette position. Ces quatre filles de dix ans font danser quelques instants leurs jolis petits culs tout nus puis se redressent, reprennent leurs pistolets mitrailleurs avant de monter elles aussi sur le podium. Les autres fillettes soldats enlèvent leurs strings à leur tour, exhibant bien leurs vulves juvéniles au public de plus en plus ravi.

La petite fille est elle restée debout, sans bouger. Un quatuor de fillettes soldats descend alors de nouveau de l’estrade, et se place en rang face aux spectateurs, les armes sur la poitrine, jambes très écartées, tête haute tournée sur le côté. Les autres sont restées sur l’estrade, pour déshabiller la petite enfant menottée.

Jacques, de plus en plus émoustillé sent la petite vulve d’Anne lui caresser lentement son sexe et prend un plaisir jamais égalé. L’idée de voir la jeune écolière se faire déshabiller par les quatre fillettes en treillis et aux fesses toutes nues ne fait qu’accroître sa jouissance.

Sur la scène, une des filles en treillis s’approche de la jeune enfant, lui ordonne de tendre les poignets et lui enlève ses menottes. Deux autres filles soldats tiennent la petite fille en joue, alors qu’elle est menée vers le bord de l’estrade afin de la rapprocher le plus possible des spectateurs. La fille en treillis se cambre bien pour mettre ses propres fesses nues en valeur, et commence à enlever le corsage blanc de la petite écolière de quatre ans. L’enfant, docile, se laisse faire. Elle dévoile ainsi son petit torse plat de petite fille frêle, montrant ses petits tétons sans relief si délicieux pour les connaisseurs. La fillette soldat qui a commencé à la dévêtir lui ordonne alors a nouveau de tendre ses mains, et lui remet ses menottes spécialement conçues pour de petits enfants. Une autre fille en uniforme pousse la petite fille de deux pas en arrière, et s’agenouille devant elle, puis se met à quatre pattes, cuisses bien écartées, cul tourné vers le public, coudes au sol, et commence a défaire les petits souliers de l’enfant. Ce faisant, elle ondule de son bassin et de ses fesses bien ouvertes, faisant danser son anus superbe et son sexe lisse devant les yeux des premiers spectateurs émerveillés. Elle ordonne en même temps à la petite fille qu’elle participe à déshabiller d’écarter un peu plus les jambes, pour qu’une fois toute nue, elle exhibe bien sa juvénile intimité.

Après qu’elle ait enlevé les chaussures et les chaussettes de la gamine, la fillette soldat se redresse en écartant toujours ses jambes et se tourne vers l’assistance pour faire admirer sa vulve juvénile. Une autre fille alors vient enlever la jupe bleu nuit de la jeune enfant. Voilà donc la gosse en petite culotte, debout devant le public, menottes aux poings. La fille qui la déshabille lui retire ses menottes, et attache ses mains derrière son dos avec une cordelette. Elle lie également les coudes très serrés en arrière, pour que le torse plat de la petite enfant soit bien cambré. Elle reste derrière la jeune fillette et entreprend très lentement de descendre la petite culotte blanche. Chacun des spectateurs, et Jacques en particulier, attend avec impatience de voir le sexe lisse de cette jolie petite fille qui va être attachée au poteau de tortures une fois qu’elle sera toute nue. Très lentement, la jeune militaire fait glisser le petit slip sur les hanches, puis les cuisses de l’enfant, dévoilant la petite fente lisse, cette jolie vulvette de toute petite fille. La petite culotte tombe enfin sur les chevilles de la gosse maintenant toute nue, mains et coudes très serrés derrière son dos, la forçant à se cambrer et montrer ses petits tétons roses et plats au public excité.

- Ecarte les jambes ! ordonne alors la fillette militaire aux fesses toutes nues, à peine âgée de dix ans.

La petite fille soumise s’exécute, et écarte bien ses cuisses, pour mieux encore montrer son sexe au public. Sa nudité est resplendissante. Cette enfant nue, mains et coudes liés très serrés derrière son dos, pèse à peine 15 kg. Est très belle ainsi. Sa vulvette offerte à la vue des spectateurs les plus exigeants est un régal pour les yeux.

La marche militaire est reprise par l’orchestre.

- Allez, en marche ! Ordonne une des fillettes en treillis, bas camouflage et fesses nues.

Quatre fillettes soldats portant leurs pistolets mitrailleurs encadrent alors l’enfant maintenant toute nue et la font descendre de l’estrade par l’escalier d’accès. La petite fille marche lentement, et fait le tour de la piste. Puis le groupe remonte les sept marches de l’escalier qui mène en haut de l’échafaud où la petite fille va être liée au poteau de tortures. Quel régal de regarder les fesses nues de ces cinq enfants pendant qu’elles gravissent les hautes marches qui les conduisent en haut de cette estrade.

Une fois les filles sur l’estrade, le roulement de tambour reprend, seule musique pour la suite.

Six filles soldats de placent en arrière du poteau, debout, jambes écartées, bien alignées, armes sur la poitrine.

Les deux dernières plaquent la petite fille toute nue dos contre le poteau, et commencent à la ligoter très fermement. Les chevilles sont ramenées l’une contre l’autre, et une corde est enroulée autour du poteau et des jambes de l’enfant. On passe une corde entre les cuisses graciles de la gosse, et par une savante gestuelle, les deux petites militaires entravent le sexe lisse de leur jolie soumise. Une corde enfin est enroulée une dizaine de fois autour de la taille de l’enfant nue et du poteau.

Pour finir le tableau, une des fillettes en treillis met un bandeau noir sur les yeux de l’enfant attachée au poteau de tortures.

Un projecteur alors éclaire la petite fille nue, attachée au poteau de tortures, tandis que toutes les autres lumières s’éteignent.

Les filles soldats sortent de scène.

Seule reste sur le podium la petite, nue, abandonnée, liée au poteau de tortures. Une petite fille de quatre ans, toute nue liée, exhibée, livrée à toutes les envies. Une petite fille de quatre ans, toute nue, offerte à tous les regards. Une petite fille si menue, si frêle. Une toute petite fille…..

Soudain, toutes les lumières s’éteignent. Le roulement de tambour se tait.

Dans le noir Une rafale de mitraillette, puis deux…..

La lumière se rallume.

La petite fille est détachée, libre, radieuse. Elle salue le public, jambes écartées, bras en l’air, heureuse d’avoir donné le plus d’elle-même.

Un tonnerre d’applaudissements jaillit de la salle.

Jacques sans même s’en rendre compte, a pénétré le sexe de la petite Anne, et jouit comme jamais il ne l’avait fait.

La petite enfant, sentant le foutre envahir son ventre d’enfant félicite son Maître, et l’embrasse tendrement sur la bouche.

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Thevoyager

Superbe histoire l'ami
J'ai hâte de pouvoir lire la suite
Thevoyager

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