Alors que Monsieur Loyal salue le public sous des applaudissements nourris, la petite Sophie présente à Jacques la petite Anne, la très jeune esclave promise. Notre ami Jacques, de plus en plus excité par tout ce qui vient d’être dit accueille la jeune enfant amenée par Sophie, toujours vêtue seulement de ses bas noirs et de son tablier blanc, mettant en valeur ses belles petites fesses nues de gamine.

- Monsieur, voici Anne, votre esclave pour la soirée. Regardez comme elle est belle. Elle doit vous obéir en tout.

L’enfant présentée est vraiment très belle ; blonde aux cheveux soyeux, yeux immenses et bleus dans ce visage poupon ;très maigre, comme les aime Jacques, pesant à peine 17 kg à cinq ans. Elle porte un chemisier blanc impeccable, une jupe plissée écossaise très courte, laissant voir d’emblée sa petite culotte blanche, des chaussettes blanches et des chaussures vernies noires.

- Merci Sophie, dit simplement Jacques à la petite soubrette qui s’éloigne.

La petite Anne s’approche alors un peu plus de Jacques, et lui dit :

- Monsieur, Sophie a dit que je devais tout de suite ouvrir votre braguette. Vous permettez?

- Bien sûr, belle enfant. Mais auparavant, je vais enlever ta petite culotte. Tiens, mets-toi debout sur le pouf ici, et laisse-toi faire.

La petite fille monte sur le pouf, et relève légèrement sa jupette pour faciliter la tâche à Jacques. Celui-ci prend délicatement la petite culotte, et la baisse lentement sur les cuisses fine et grêles de la petite Anne, dévoilant le délicieux petit sexe lisse de la jeune enfant soumise. La petite fille relève un peu plus sa jupe, pour montrer son ventre lisse jusqu’au nombril, ce qui rend son sexe encore plus excitant. Jacques finit de descendre le petit slip jusqu’aux chevilles, et contemple alors le sexe de la petite enfant, offert à son plaisir. Il sait maintenant que cette petite fille lui donnera beaucoup de plaisir. La fillette demande si elle peut retirer complètement sa culotte, pour pouvoir ouvrir le pantalon de son Maître.

- Voulez-vous garder ma petite culotte, Monsieur, en souvenir des plaisirs que je vais vous donner?

- Oh oui, belle enfant! Merci.

- Ne me remerciez pas, Monsieur, je ne suis que votre chose.

Ce disant, la petite fille aux fesses maintenant nues passe entre les jambes de Jacques et entreprend d’ouvrir la fermeture éclair de notre ami qui sent son sexe terriblement durcir. La fillette fait entrer ses toutes petites mains dans le pantalon, et saisit le pénis de Jacques, le sort et le porte presque naturellement à sa bouche. Jacques sent le plaisir monter en lui, et se retient très fort de ne pas jouir tout de suite. Il regarde autour de lui, et remarque alors qu’à la table voisine, une petite soubrette vient d’amener deux petites esclaves de trois ans, toutes nues, entravées par des chaînes aux chevilles et aux poignets.

Sur la piste, le spectacle va commencer.

Deux fillettes de huit ans, en porte-jarretelles et string noir viennent de disposer quatre petits podiums au bord de la piste, puis se retirent. Les musiciennes se sont assises et la musique change de style.

Caroline, la première strip-teaseuse de la soirée entre sur la scène. Elle a cinq ans à peine, et est toute rousse, avec de beaux yeux verts, et un visage fin avec plein de taches de rousseur. Belle comme un cœur dans sa robe en tissu très souple rouge vif, assez courte, ses bas rouges également, laissant entrevoir le haut de ses cuisses maigres. Elle porte des escarpins noirs à talons hauts. Elle commence a danser langoureusement sur la belle musique parfaitement interprétée par l’orchestre de petites filles presque nues.

Lentement, elle fait le tour de la piste pour se présenter au public, faisant onduler ses hanches d’enfant marquées toutefois par une taille de guêpe. Quand elle a fait un premier tour de piste, elle monte sur le podium placé juste en face de Jacques, et entame une troublante danse du ventre, remontant légèrement sa robe pour dévoiler un petit string rouge transparent sous lequel on devine aisément la petite fente lisse. Puis elle se retourne, relevant toujours le bas de sa robe légère, offrant ainsi à Jacques et aux autres tables avoisinantes le spectacle de ses petites fesses séparées par la ficelle de son string ; elle écarte alors brusquement ses jambes maigres, et se penche en avant pour mieux encore exciter le public en montrant bien son petit cul. Jacques n’a pas de peine à voir alors le petit anus de l’enfant qui danse devant lui. Son sexe est prêt à exploser, d’autant plus que la petite Anne le lèche tendrement. Il sent la petite langue de la jeune enfant aller et ve nir sur son sexe, depuis sa racine jusqu’au gland devenu très humide tout en regardant le petit trou de la jeune enfant danser devant ses yeux.

La petite strip-teaseuse se met alors à genoux, fesses tournées vers Jacques et écarte encore plus ses jambes pour mieux donner à voir ses jolies fesses qu’elle écarte avec ses mains ; son anus n’en devient que plus excitant derrière la ficelle rouge du string. Puis elle se relève, et va sur un autre des quatre petits podiums disposés tout autour de la piste pour s’exhiber à une autre table. Elle s’y couche sur le dos, robe très relevée, cuisses totalement écartées pour montrer à la table la plus proche son sexe à peine voilé par le string transparent. Elle se cambre bien, fesses relevées, et entreprend d’enlever sa minuscule petite culotte pour le plus grand plaisir des convives placés en face d’elle. Lentement, toujours couchée sur le dos, elle retire le string léger, resserrant les jambes et repliant les genoux, son petit cul orienté vers le public le plus proche, donnant à voir son sexe lisse et son anus de très près. Elle jette alors son string à l’homme le plus proche puis se relève, et remonte lentement sa robe rouge, les fesses tournées vers les spectateurs situés derrière elle. La salle est en émoi. Tous les spectateurs n’ont d’yeux que pour cette petite fille qui se dénude petit à petit. Lentement, la jeune rouquine enlève sa robe, en se cambrant bien, jambes très écartées, pour exposer son petit cul et exciter les spectateurs. Les spectateurs situés de l’autre côté de la piste peuvent voir maintenant son sexe lisse, bien dessiné, montant assez haut sur son ventre blanc, comme c’est souvent le cas chez les petites filles rousses. Ses bas rouges accentuent encore la blancheur de sa peau, et font ressortir le sexe lisse de la fillette de cinq ans, ainsi que ses petites fesses à peine grosses comme deux pommes. La petite enfant descend alors de son podium, pour aller enlever sa robe sur l’estrade opposée, afin de donner son joli petit corps nu en spectacle à tous les convives de la soirée.

Voilà la jeune enfant nue, hormis ses bas et ses escarpins qu’elle va sans doute garder jusqu’à la fin de son numéro. Elle se rend sur le dernier podium, y reste debout pendant quelques minutes en faisant danser ses fesses et son bassin, cuisses très écartées. Puis, elle se met de nouveau à genoux, fesses tournées vers une table proche, pose la tête sur le podium, en sa cambrant le plus possible, les cuisses très ouvertes pour que les trois hommes qui y sont assis en compagnie de cinq toutes petites filles entièrement nues puisse se régaler de la vue de son anus et de son sexe lisse entre ses délicieuses fesses d’enfant. La musique s’arrête alors, et Monsieur Loyal entre en scène. Il a remplacé sa cravache par un grand fouet qu’il fait claquer bruyamment. La petite strip-teaseuse s’immobilise dans cette position très excitante, écoutant son Maître annoncer la fin du numéro. Les deux fillettes en porte-jarretelles entre sur la piste, et recouvrent la petite Caroline d’un tiss u de velours rouges, et portent le petit podium et l’enfant vers les coulisses.

Un tonnerre d’applaudissement remplit la salle pendant que Monsieur Loyal salue le public. Jacques est prêt à jouir. Il enlève le chemisier de sa jeune esclave, lui laissant encore sa petite jupette écossaise, somme toute bien excitante sur cette enfant presque nue de quatre ans à peine. Il saisit la tête de l’enfant, et enfourne son sexe dans sa petite bouche. Quel régal. Il se retient, préférant jouir lors d’un prochain strip, ou quand on punira une petite enfant nue. La soirée n’est pas encore terminée.

Sur la scène, après les applaudissements, Monsieur Loyal, très jovial dit :

- Alors, ça vous a plu ? Vous avez aimé le petit cul de Caroline? Vous avez aimé comme elle le fait danser? Et son joli petit sexe tout lisse ? Cette petite fente d’enfant, c’était beau, non? Et maintenant, qu’est-ce qui vous ferait plaisir? Une fillette de quatre ans, déshabillée peu à peu par des jeunes filles soldats en armes, puis attachée à un poteau?