email
Published: 16-Dec-2012
Word Count:
Jacques entre dans l’établissement que lui a recommandé son ami Virginie.
Il est accueilli dans le hall par une très jolie fillette blonde, âgée d’une douzaine d’années, vêtue très strictement d’un tailleur bleu nuit, qui le guide vers le théâtre.
Il remarque tout de suite la disposition de la salle : deux rangées d’une vingtaine de tables disposées en cercle autour d’une belle piste ronde au plancher vernis. Comme un petit cirque, avec l’entrée des artiste juste en face de lui. Les murs sont tendus de velours rouge, chargés de dorures riches et élégantes. De petites lampes placées sur les tables donnent un éclairage de la salle très discret. Seuls sur les murs sont éclairés de grands tableaux de belle facture, représentant des jolies petites filles très jeunes, pour la plupart entièrement nues, d’autres avec de la belle lingerie ne cachant jamais leur sexe lisse.
Au dessus de l’entrée des artistes sur la piste, une petite scène où est placé un petit orchestre composé exclusivement de fillettes âgées de dix à onze ans, assises pour le moment, cuisses légèrement entrouvertes, entièrement nues sous leurs tuniques de couleur pastel, courtes et transparentes.
La plupart des tables sont déjà occupées par des hommes seuls ou des couples. Certains hommes ont amené leurs enfants pour regarder le spectacle qui va être offert.
Une petite fille de huit ou neuf ans s’approche de la table de Jacques pour lui proposer une bouteille de champagne et une flûte sur un plateau. L’enfant est délicieusement vêtue d’un porte-jarretelles et de bas noirs, chaussée de beaux escarpins à talons hauts, sans doute faits sur mesure pour ses jolis petits pieds ; elle ne porte pas de culotte, et son sexe est dissimulé par le tout petit tablier blanc qu’elle a noué dans son dos, mais dont le noeud n’arrive pas à cacher ses petites fesses nues. En regardant autour de lui, Jacques comprend au nombre de petites soubrettes, toutes du même âge, ou plus jeunes encore, et vêtues de la même manière, que chaque table est servie par une petite enfant devant exhiber son petit cul pour le plus grand plaisir des clients.
Pendant que la petite fille sert le champagne, Jacques est attiré par une des fillettes de l’orchestre qui laisse entrevoir son sexe lisse entre ses cuisses légèrement écartées. L’enfant, qui a perçu le regard de Jacques, ouvre un peu plus ses cuisses maigres, en avançant ses fesses sur son coussin de velours rouge, et commence à onduler ses fesses pour faire danser son délicieux sexe de fillette ; ce petit manège excite énormément notre ami. La petite soubrette s’aperçoit de l’émoi de notre ami.
- Souhaitez-vous une petite esclave pour ouvrir votre braguette et vous donner le plaisir que vous désirez ? demande-t-elle de sa petite voix de jeune enfant ?
- Bien sûr, réponds Jacques, très excité soudain.
- La souhaitez-vous très petite, de quatre ans, ou un peu plus expérimentée?
Jacques, un peu intimidé tout de même, hésite.
Voyant la confusion de notre ami, et pour entièrement satisfaire comme elle le doit le client, elle lui propose :
- Je vais vous présenter Anne, une petite esclave de six ans, qui est chez nous depuis qu’elle a trois ans ; je suis sûre qu’elle saura vous donner beaucoup de plaisir. Voulez-vous que je vous l’amène habillée soit d’une belle robe, ou d’une jupe et d’un corsage, ou bien vêtue d’un harnais, ou simplement toute nue ? bien entendu, si je vous la présente vêtue, vous pourrez la déshabiller à votre aise, et jouer avec elle selon vos désirs. De toutes façons, si elle ne vous donnait pas entière satisfaction, il faudrait en parler à notre Maîtresse, afin qu’elle soit punie, et qu’on vous donne une autre enfant pour vous faire jouir.
Jacques, de plus en plus étonné et excité demande alors :
- Mais où est ta Maîtresse?
- Elle est dans son bureau, d’où elle surveille la salle avec notre majordome, monsieur Loyal.
- Et quel est ton nom, belle enfant?
- Je m’appelle Sophie, Monsieur.
- Est-ce que tu veux bien me montrer ton sexe, Sophie?
- Voulez-vous le regarder de devant, ou de derrière, Monsieur?
- Oh oui ! De derrière, ce sera parfait!
Jacques sentait son pénis durcir de plus en plus.
- Peux-tu d’abord ouvrir mon pantalon, Sophie ?
- Ce soir, je suis exclusivement destinée au service de salle, Monsieur, mais la petite Anne vous servira pour vos plaisirs de chair tout à l’heure. Je suis néanmoins autorisée à montrer mon sexe aux clients qui le souhaitent.
Sophie alors pose son plateau sur une desserte, et se met à genoux sur un large pouf, pose sa tête sur le coussin et se cambre très fort en écartant bien ses frêles cuisses, pour offrir à Jacques le spectacle de son anus bien exposé, et de son délicieux sexe de petite enfant. Jacques ne peut se retenir de caresser les toutes petites fesses nues de cette gosse ingénue, et Sophie, malgré le risque d’être vue par Monsieur Loyal, ou sa Maîtresse, se laisse faire pendant une minute, en remuant son petit cul pour exciter encore davantage notre ami qui en profite pour passer un doigt sur le petit anus de la jeune enfant. Sophie se redresse alors d’un coup, descend du pouf, rajuste son petit tablier blanc, reprends son plateau, et demande très dignement :
- Au fait, Monsieur, vous avez oublié de me dire quelle tenue doit porter votre petite esclave de ce soir?
- Habillée, fait sèchement Jacques, de plus en plus ravi d’être venu dans ce théâtre.
Sophie reprend alors son plateau, et se retire dignement.
Jacques la regarde partir, les yeux rivés sur les petites fesses ondulantes de la petite fille.
Puis son regard se porte a nouveau sur le sexe maintenant bien exhibé de la fillette de l’orchestre. A ce moment, les quinze petites musiciennes se lèvent pour saluer leur chef d’orchestre : une jeune fille de seize ans, mince et grande, vêtue d’un frac noir, d’un simple string de dentelle noire, d’un porte-jarretelles et d’escarpins à talons très hauts noirs. Elle se place devant les petites filles de l’orchestre levant sa baguette pour faire jouer l’ouverture du spectacle. Toutes les instrumentistes restent debout, sauf celle qui joue du violoncelle qu’elle tient entre ses cuisses écartées, laissant ses fesses nues sur son tabouret revêtu de velours rouge. Les autres ont des robes transparentes très courtes, dissimulant tout juste leur sexe, collant à leur torse ; on voit que la plupart n’ont pas encore de seins, ou alors à peine naissants.
Les spectateurs sont aux anges à regarder ces enfants presque nues obéir à la baguette de leur superbe jeune chef d’orchestre pour jouer les premières notes de l’ouverture. Un régal de justesse. On sent bien que ces petites musiciennes sont obligées de beaucoup travailler leurs partitions, sous peine d’être punies. En effet, Jacques l’apprendra plus tard, chaque fausse note est très sévèrement punie, soit en public sur la piste, pendant le spectacle, soit entre initiés, dans une des salles de tortures du cabaret.
La musique est entraînante, une marche sur laquelle entre Monsieur Loyal, avec son frac bleu nuit, son pantalon d’équitation et ses bottes noirs. Il manie une belle cravache, et annonce le premier numéro:
- Mesdames et Messieurs, et chers enfants, puisque je vois que certains ont amené leurs petites filles et leurs petits garçons, je suis très heureux de vous accueillir ce soir dans cet extraordinaire théâtre où je vous donnerai à voir de nombreux numéros effectués par nos petites danseuses. Vous serez ravis de regarder ces jeunes enfants se dévêtir langoureusement et danser toutes nues pour vous. Je me permets de vous rappeler que toutes nos artistes, exceptées celles de l’orchestre, ont moins de huit ans, ce qui devrait réjouir les connaisseurs que vous êtes. Vous pourrez demander à nos soubrettes de vous présenter de jeunes esclaves très obéissantes, qui ne pourront rien vous refuser, sous peine de punition. J’ajoute qu’en fin de spectacle, vous pourrez assister à la torture de trois jolies petites esclaves : la plus jeune a juste trois ans, la plus grande à peine cinq. Mais pour commencer, voici Caroline, délicieuse enfant de cinq ans, qui va se déshabiller devant vous sur la musique de notre ravissant orchestre. QUE LE SPECTACLE COMMENCE!
Nicole
Alejandro
Authors love hearing from their fans. |