Les Gamines

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Published: 29-Jul-2012

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Disclaimer
All people and events in this story are entirely fictitious.

Chapitre 1

J'ai toujours été pédophile et sadique. Je ne peux pas le regretter, je n'en ai pas eu le choix. Simplement, enfant, je ne le savais pas encore. Je pensais qu'en grandissant j'allais continuer à être attiré par des filles de mon âge donc, une fois adulte, par des femmes.

Mais les années passèrent et aujourd'hui encore, seuls les enfants continuent à me donner du plaisir. Les regarder, les prendre de force, les faire souffrir.

Vers mes dix ans, j'avais déjà acquis une petite expérience avec plusieurs de mes camarades de classe. Cela se passait chez moi, dans ma chambre, dans mon univers. Je savais trouver le point faible de chacune d'entre-elles. Par exemple, alors que nous fassions nos devoirs ensemble, je leur racontais que j'étais sévèrement puni en cas de mauvaises notes. Je décrivais en détail des châtiments imaginaires où j'étais battu, attaché, mis dans des positions impensables... J'avais une imagination débridée, en réalité jamais mes parents ne m'ont frappé.

Je guettais alors les réactions de ma camarade. Il y en avait de deux sortes. Celles qui me plaignaient, voulaient m'aider, semblaient navrées de mon martyre. Celles-là jouaient à la maman et j'avoue que cela m'était bien agréable.

On s'embrassait, je pouvais les toucher, les caresser, je me faisais consoler...

Mais il y avait aussi d'autres regards, plus étranges ceux-là, lorsque je racontais mes punitions imaginaires. Certaines fillettes semblaient littéralement hypnotisées.

Elles me demandaient des détails tels que:

- C'est quoi comme cravache?"

- Où as-tu le plus mal?"

- Tu es attaché comment?"

Plus je racontais de détails et plus je les sentais captivées. Elles me plaignaient bien un peu, mais le récit de mes corrections les rendait dingues. Pour être plus précis je me souviens de Catherine, une fillette de mon âge, à un mois près.

Nous étions dans la même classe. Chez moi, à l'écoute de l'histoire horrible que je lui racontais, sans s'en rendre compte, elle se tortilla sur sa chaise, frotta ses jambes l'une contre l'autre. Je devais me concentrer pour ne pas sourire.

J'étais jeune, encore qu'il me semble qu'à cet âge, j'avais déjà la plupart des certitudes qui, à tort ou à raison, m'habitent encore aujourd'hui. Je savais, je comprenais: si la plupart de mes amies étaient excitées par mes histoires, c'est qu'elles rêvaient soit d'être battues à ma place, soit d'être en train de me battre!

Ainsi Catherine, qui, même si elle ressemblait encore à une petite fille avec ses cheveux réunis en deux stupides tresses courtes, quelques fines taches de rousseur, un petit nez en trompette et ses habituelles jupes ridicules, était de toute évidence l'une d'entre elle. Mais de quel côté devais-je la placer?

Soumise ou dominatrice? Lui aurais-je posé la question, elle n'aurait sans doute pas su me répondre. Ces deux mots, ni elle ni moi n'en connaissions encore l'existence.

Je ne me savais pas encore "dominateur", je savais simplement que je ne pouvais m'endormir sans l'aide de scénarios dans lesquels je ligotais, je bâillonnais, je fessais à tour de bras!

Et Catherine, quel serait son rêve ce soir? Celui d'une petite fille punie, culotte baissée et mains sur la tête, pleurant dans un coin près de son lit, le cul zébré de marques rouges laissées par une badine, ou le rêve inverse de voir sur ses genoux un petit garçon subir de sa propre main une fessée magistrale?

Et si ce garçon c'était moi, et qu'elle veuille prendre la place de mes parents dans ces récits que je lui narrais?

En quelques phrases, j'arrivais le plus souvent à le savoir. Je finissais toujours par leur demander si, elles aussi, étaient quelquefois battues. Catherine fut catégorique. Elle secoua la tête, regarda par terre:

- Non, jamais... je n'ai jamais été fessée.

Il n'y avait qu'à entendre le ton déçu de sa voix, et sa moue, pour comprendre...

Dans ces cas-là, je jubilais. Ainsi donc, je savais désormais que j'avais affaire à quelqu'un dont les phantasmes étaient à l'opposé des miens. Comme le monde est bien fait quand même... Je continuais alors plus ou moins selon ces termes:

- Tu as sacrément de la chance. Je donnerais beaucoup pour avoir des parents sympas comme les tiens. Tu veux voir avec quoi je suis fouetté?

Immanquablement, j'avais droit à deux gros yeux et à un hochement rapide de tête... Les filles insistaient même souvent pour toucher la cravache que j'avais sorti de mon armoire et que je leur montrais. C'était celle du poney-club que je fréquentais l'été, et qui n'avait jamais servi sur moi, bien heureusement. Mais revenons à Catherine.

Je me souviens qu'elle était hypnotisée par cet instrument de cuir brun, pas très long mais solide, avec un manche plus épais et à l'extrémité plate. La cravache de base pour pratiquer le poney... et les petites filles. Elle semblait lui brûler les mains. Elle me demanda alors si cela me faisait mal.

Je répondis que cela dépendait, que mon père frappait moins longtemps mais plus fort, que ma mère m'obligeait à me mettre cul nu, ce genre de chose. Je regardais ma petite copine, partagée entre l'envie et la peur. Je poursuivis:

- Tu veux que je te montre comment je dois me tenir pour recevoir les coups?

Sans un mot, elle hocha la tête, évidemment.

- Lève-toi, j'ai besoin de la chaise.

Catherine se leva et je mis cette ancienne chaise en bois au milieu de ma chambre. Puis, tout comme un sculpteur aurait guidé son modèle, je lui pris un poignet, puis l'autre, et lui indiquai peu à peu la position qu'elle devait prendre.

- Voilà, et penche-toi comme ça... oui, mets tes mains là, non, prend un peu plus bas....

Alors que je parlais, sans la brusquer, je la mis exactement comme je le désirais. Courbée, les deux mains serrées sur les côtés, elle se laissait faire.

- Ecarte un peu les jambes, mais non, pas autant... juste comme ça. Surtout, tiens-les bien tendues. Mon père devient fou si je plie les genoux. Voilà, c'est ça.

Je reculais pour mieux admirer le spectacle. J'avais alors devant moi la vision merveilleuse d'une petite fille de mon âge, une main agrippée à chaque bord de cette chaise en bois, penchée en avant, tête face au sol, bras et jambes tendues. En voyant ses mollets ronds et bronzés, ses chaussettes courtes, sa jupe encore raccourcie par sa posture étrange, je suppose que je devais être dans un drôle d'état...

Malheureusement, c'était là le plus osé que je puisse faire, et d'habitude tout s'arrêtait là avec les deux ou trois autres copines que j'avais entraînées jusqu'à ce point. Mais avec Catherine, les choses allaient être différentes...

Chapitre 2

- Tu sais, continuai-je, la plupart du temps je reçois mes punitions sans pantalon ni caleçon. Tu permets que je te remonte ta jupe ? Je ne risquais pas grand-chose. Ma camarade s'était prêtée avec application à toutes mes indications, on pouvait toujours voir. A ma grande surprise elle me répondit du tac au tac :

- Oui. Tu peux la baisser...si tu veux....aussi. Le tout dit lentement, comme dans un souffle, et les yeux baissés.

Les événements sont bien sûr un peu flous, je n'irais pas jusqu'à jurer que tous nos échanges furent mot pour mot ceux que je transcris ici, mais ces phrases sont tellement gravées dans la mémoire morte de mon cerveau que je ne suis pas loin de la vérité.

Tout ce que je peux dire est qu'à ce moment précis, je vivais un moment fou, hallucinant, que jamais je n'avais espéré vivre un jour. Bon sang, Catherine et moi avions alors dix ans tout juste. Et cela se déroulait durant les années soixante-dix, nous n'étions pas aussi dégourdis que les mômes d'aujourd'hui. Tout était nouveau, et cette situation tellement étrange.

Comme dans un film, comme spectateur à ma propre réalité, je me revois encore la toucher, remonter sa jupe sur son dos courbé, puis descendre des deux mains, avec la délicatesse de ma timidité face à cette grande première, sa culotte blanche.

Voilà, c'était fait. Ses deux fesses minces, petites, mais rebondies par sa position penchée, m'apparaissaient comme un miracle total. A cette seconde précise, j'eus le déclic. Les péteuses de ma classe, les filles en général, pouvaient me donner autre chose qu'un sentiment de mépris ou d'indifférence. Cette fillette, sujet docile de mon jeu de manipulation innocent, me donnait une fièvre inconnue. J'étais en transe. Et je bandais à en crever mon slip !

Je ne caressai pas ses fesses. Je n'en aurais pas eu l'idée. Plus encore qu'une envie de sexe, que je doute avoir d'ailleurs eu, ce qui me faisait trembler de tout mon être était la possibilité de la fesser. Sincèrement, j'aimerais que quelqu'un puisse m'expliquer cela. Comme écrit plus haut, je n'ai jamais été battu, et, dans la vie courante, j'étais et je suis encore - quoiqu'un peu moins... - une personne affable, gentille et prête à rendre service. Pourquoi cette envie innée, et aujourd'hui ce besoin absolu, de frapper, de fesser ou de cravacher ? Et pourquoi des mômes ? Je n'ai aucune réponse.

Je ne la touchai pas, donc, et pourtant il me semblait que je la violais. Pour la première fois de sa vie, sans doute, elle était vue dans cette position, par un garçon. J'étais en overload de sentiments. Mais j'osai l'impensable. Et cette phrase là, je m'en souviens en revanche le plus clairement possible. D'une voix pas très assurée, je m'adressai à elle :

- Je voudrais te donner une fessée.

Ma destinée était tracée. A la différence près que ce fut également l'une des rares fois où je demandai la permission ! Sa réponse, je l'entendis dans un souffle, tellement elle me parvint chuchotée. Un tout petit, un minuscule oui de moineau. Mais un oui tout de même.

Je pris un temps fou à lui donner cette première fessée. J'en tremblais. Tout était si étrange, la position de cette fille, ma domination sur elle, mes propres émotions, si neuves...

Je finis par lui assener un coup du plat de ma main. Je crois qu'il fut assez fort, le bruit est encore dans ma mémoire, un son sec, une note élevé. Je me souviens de ce centième de seconde ou la paume de ma main toucha ses fesses chaudes et rebondies.

Elle ne dit mot.

Je continuai par un deuxième, un troisième coup. Vous décrire la façon exacte dont cela se passa serait un gros mensonge. J'ai oublié le déroulé précis. Voulez-vous tout savoir ? Je crois que le jour d'après, déjà, je ne m'en souvenais plus tant ce fut intense. Mais je me rappelle trois choses, authentiques et définitives. D'abord, cela dura une bonne minute. Car une fois lancé, je me souviens ne pas avoir pu m'arrêter. Deuxièmement, il est certain que Catherine ne cria pas, ne se retourna pas, et ne me demanda pas d'arrêter. Je suis catégorique, elle se laissa docilement faire jusqu'au bout.

Troisièmement, je me souviens par contre clairement de ce qui arriva ensuite. Je dus donc stopper, sans doute submergé par l'émotion, au bord de l'asphyxie mentale. Mais elle resta en position, penchée à l'équerre, les deux mains sur la chaise, les chaussettes relevées, ses jambes raides, mollets saillants et son derrière de gamine bien cambré vers moi. Je me souviens l'entendre pleurer, mais doucement, en silence. Je dus lui dire quelque chose comme « je ne t'ai pas fait si mal » et sa réponse, encore une fois me stupéfia. « non, non, merci... » mot qu'elle répéta au moins une dizaine de fois. Encore une fois, ne connaissant pas l'existence du plaisir de la soumission, je ne dus sans doute pas comprendre. Sans doute, elle non plus ! Mais nous étions là, presque victimes de nos pulsions plus que maîtres d'elles.

La suite n'allait pas me décevoir. Au lieu de se rhabiller, comme honteuse, elle continua à rester en position. Je vins donc vers elle, puis la caressa. Je n'avais pas de sœur, je n'avais jamais vu de sexe féminin d'aussi près, encore moins touché. Je sentis pourtant que j'étais en position de faire ce que je voulais, et je me souviens avoir amplifié mes caresses vers ses cuisses. Presque aussitôt, comme si j'avais déclanché un mécanisme, elle écarta ses jambes. Toujours penchée en avant, j'avais maintenant devant moi un spectacle inédit. Un sexe de fillette, deux petites saillies roses sortant de son bassin, comme deux rondelles d'orange, et au milieu comme une peau plus épaisse qui pointait. Instinctivement, je la touchai à cet endroit. Avec un doigt ou ma main entière, nul souvenir, mais je sais que je finis par entrer, comme aspiré, un doigt dans son vagin. Je me souviens en revanche avec une précision clinique mon étonnement face à la douceur inouïe de cet endroit. Il n'y a nul autre endroit dans un corps, encore moins dans un corps masculin, aussi tendre au toucher. Je disais 'aspiré', c'est vraiment le mot. Avez-vous vu un lionceau se précipiter vers une proie et l'attraper exactement où il le faut, au cou, alors qu'il n'en avait jamais vu auparavant ? Idem pour moi et cette chatte de gamine. Génétiquement sans doute, nous sommes poussé à dévorer des yeux, des doigts, de la langue et du pénis, cet endroit qui nous a fait vivre et qui nous retient en vie. Je me mis donc à la caresser, dans cette position de dominant que j'allais définir comme l'unique possible, pour moi, dans mon existence.

Je me souviens de l'entendre faiblement gémir, mais surtout de la voir se tortiller, se contracter, resserer puis desserrer ses jambes. Cela, j'en compris vite la raison. En me masturbant, j'avais les mêmes besoins de bouger mon corps...

Donc, cela lui donnait une excitation ! Et donc, ça lui plaisait ! Et donc, il n'y avait pas de mal à continuer. Je me mis alors à genoux derrière elle, une main entourant chaque fesse, et je plongeai ma bouche dans son petit sexe, le nez presque dans son anus, sorte de trou fripé, un peu plus foncé que le reste de son cul. Ma langue s'enfonçant toute entière entre l'étroite fente de son sexe, fente dure, puis moite, au goût acide et inédit. Dix minutes avant, j'étais un petit garçon, là j'étais en train de devenir un homme. Mes envies devinrent plus précises.

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Le Précepteur

Très joli récit, d'une rare qualité, qui résonne en moi dès les premiers mots. J'espère que vous allez poursuivre et que nous assisterons à des épisodes avec des fillettes moins consentantes. Un grand merci en tout cas.

Erika

Avec mes remerciements enthousiastes, je partage le souhait de nous faire observer 'des fillettes moins consentantes' et même sans défense…

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