Je roulais sur une route départementale et devant moi une voiture se traînait à 30 à l'heure. Au volant une jeunette et une petite fille à côté d'elle. Elles n'avancaient pas, les femelles. Je fis un appel de phares. Elles ne bronchaient pas. J'insistais. Aucun résultat. Je bouillais de colère et mon sexe prit la décision à ma place et je leurs criais:

- Enculées! Vous allez bouger votre cul!

Cela me donna des idées. Il n'y avait personne sur la route. Je slalomais, réussis à les doubler et à coincer leur voiture sur le côté. J'avais enfilé un masque et pris une arme. On ne pourrait pas me reconnaître. Elles allaient passer un mauvais quart d'heure, je vous le jure!

Elles me virent arriver. Je les fis sortir de la voiture une par une, les mains en l'air. Je pris une corde dans mon coffre, les attachais dans le sous-bois à un arbre et cachait les deux voitures plus loin. Puis je les ramenait et les liait sur le capot de leur voiture.

Elles me supplièrent de les laisser tranquille pleurèrent, crièrent sans éveiller aucune pitié chez moi. C'est alors que la plus agée des deux me proposa de m'obéir si je laissais sa soeur tranquille. Tiens, c'était sa soeur! Intéressant, non?!

J'acceptais avec une idée derrière la tête. Je les dénudais toutes les deux en découpant leurs vêtements avec une paire de ciseaux. La grande était une brune potelée avec des cheveux courts et une robe courte de couleur noire et un haut affriolant sur des seins tendus, le genre B.Dalle .

La petite était mignonne avec deux fossettes de chaque coté de la bouche, un visage boudeur, elle bougeait beaucoup en remuant son petit cul. Je la frappais sur le cul avec le plat de la main. Elle se calma. La petite refusait que sa soeur se sacrifie. Je décidais de suivre mon idée et lui glissa à l'oreille:

- Laisses-moi faire sinon je fais du mal à ta soeur! et pour marquer le coup je frappais la grande au visage, elle tomba sur le capot, assommée.

La fillette se calma, impressionnée. Je pris ma paire de .... ciseaux et découpait son chemisier bleu, découvrant son dos et ses épaules nues, puis coupait sa jupe noire, otait sa brassière et descendit sa culotte jusqu'à terre. Je la détachais, elle me promit obéissance. Pour vérifier, je la fis s'agenouiller devant moi et m'exciter avec la langue. Puis je la retournais et lui mis un bout de bois dans le cul. Elle se déhanchais pour l'éviter mais il entrait bien profond sans problème dans son anus. Je poussais encore et la laissais quelques instant pour jouir de mon chef-d'oeuvre. Je la fis courir devant moi en l'excitant avec une branche, lui griffais les joues, piquant les fesses fouettant les nichons, la menaçant si elle bougeait. J'allais exploser, je la poussais elle tomba sur le cul, s'empala et s'évanouit.Je me branlais sur son corps nu.

La grande fut réveillée par ma bite dans son cul. Elle se demandait où était sa soeur. Je lui expliquais que je l'avais éloigné pour éviter qu'elle nous voit faire. Elle aquiesca. Je continuais à l'enculer en exigeant d'elle qu'elle se taise, je sortis mon sexe en lui demandant de fermer les yeux. J'allais chercher la gosse, la pris en poids et la posait derrière sa soeur qui ne bougeait pas, je pointais le bâton vers son cul et le dirigeais dessus.

Elle le mis dans son cul sans savoir qui était au bout, je la poussais vers l'arrière, le baton entrait peu à peu. J'étais en nage. J'accélérais le mouvement et elle s'embrocha dessus en criant comme une truie. Elle tomba dans les pommes, je les liais deux à deux avec une lanière en cuir, leurs fesses étaient collées l'une à l'autre. Je leurs attachais les mains et me cachais en prenant soin d'éloigner ma voiture. Je voulais voir le réveil des soeurs siamoises...

La petite fut la première à se réveiller. En bougeant, elle sentit la douleur et tenta de se dégager, elle cria et fit bouger le baton dans le cul de sa soeur qui se réveilla elle aussi. Elles étaient attachées mais n'avaient pas de baillon sur la bouche et se parlèrent:

- Essaies de te dégager!

- Je peux pas!

- Ca fait mal, ce baton! J'ai le cul en feu!

- Chut! Quelqu'un arrive! Au secours! Monsieur, par ici!

Dans le sous-bois avancaient un homme tenant un gamin par la main. L'homme était un chasseur,grand , costaud et rougeaud et le petiot était menu et blond. Il vit les petites ligotées avec un bandeau sur les yeux. Il éloigna le petit, surement son fils.

Il s'approcha d'elles pendant que le gamin s' éloignait mais le gamin se cacha derrière un arbre juste devant moi et le petit garçon ne perdait rien de la scène:

- Salut les mignonnes, qu'est ce que vous foutez la comme ça!

- Détachez-nous, monsieur, on a mal!

- Pourquoi vous êtes comme ça toutes nues! se délecta le satyre.

- On a un baton dans le derrière!

- Dans le cul! Qui vous a fait ça!

- On nous a violées!

Il s'excitait tout en parlant avec la main. Il sortit son gros sexe et le balada sous le nez de la petite.

- Je veux bien vous libérer mais en échange vous me sucez toutes les deux!

La grande se récria mais la petite acquiesca.

- Oui, mais alors on fait vite! déclara la petite qui devait vraiment en avoir marre de tout ceci, d'autant plus que le fond de l'air était frais ce jour-là.

Le chasseur fourra sa bite dans la bouche de la petite fille, il lui détacha les mains pour qu'elle le branle. Il prit ensuite la grande et fit de même puis revint a la petite et enfila sa bite entre les dents nacrées de la jeune soumise. Il lui demanda de la lui mordre doucement. Il allait éclater.

Le blondinet était aux abois. Il se tripotait les couilles fortement puis avait baissé son pantalon et sa culotte pour se branler et me montrait un petit cul magnifique. Il se branlait de plus belle. Ses fesses tremblaient en cadence. J'était moi aussi excité par ce petit cul qui bougeait!

Le père allait jouir, il secoua la tête de la plus jeune et explosa. Le fiston était en feu. Le père s'essuya sur la fillette et s'en alla chercher son fils mais le gamin se planqua évita son père et arriva vers les deux siamoises sans se faire voir. Il reprit la tête à la petite fille pour fourrer son petit sexe dans ce trou encore tout chaud et rempli de sperme.

Il s'activait tant qu'il ne m'entendit pas arriver par derrière. Je lui pris les bras les attachant dans le dos et sortant ma bite la fourrait entre ses fesses, je poussais et entrais non sans peine dans son anus tout étroit. Je labourais en rythme et lui fit pousser des cris de douleur.

La fillette le suçait toujours, je lui maintenais la tête à deux mains contre le sexe du blondinet. J'explosais et assommais le gamin à moitié, le rhabillais et l'allongais sur le sol. Le père arriva, découvrant son fils à terre . Il s'affola , regarda autour de lui et emmena son fils loin des deux filles sans poser de questions. Mais avant de partir, pris de remords, je suppose, il coupa les liens qui les unissaient.

Elles se croyaient libres à tort, je les repris et leur liait les poignets à toutes les deux avant de les attacher à un arbre. J'arrachais une branche à un pin et les fouettait atrocement jusqu'à ce qu'elles crient et que mon sexe se durcisse à nouveau, je les enculais à nouveau....