Nous avions choisi une école de riches, dans un beau quartier car Robert et moi avions envie de tenter un grand coup: nous faire toute une classe de petits culs, des filles et des garçons d'une dizaine d'années. Nous avions emmené avec nous du matériel vidéo afin de tout filmer pour la revente. Nous entrâmes dans l'école par une porte dérobée, dans un batiment qui nous semblait désert. Mais dans cette batisse était la maison du directeur, on pouvait le lire sur une plaque dorée sur la porte. Nous montions les escaliers lorsque nous entendimes crier, un gosse semblait-t'il pleurait. Toujours cachés, nous aperçumes une scène fort intéressante.

Un petit blond se faisait frapper et torturer par un homme brun, d'une quarantaine d'années, brun et doté d'un membre énorme et en érection, il le pointait sur le gamin, se masturbant devant lui sous son nez. Le gamin pleurnichait devant lui. Il était nu, debout et les mains liées dans le dos, le corps marbré de traces de coups et le visage inondé de pleurs. L'homme se masturbait et criait:

- Tu me donnes ta soeur, oui ou non!? Ou je recommences et je te le remet dans ton si joli petit cul!

Le gamin acquiesca et par peur promis ce que le directeur voulait. Il fut détaché et appela sa soeur par la fenêtre exposant à nouveau son petit cul à son bourreau qui le lècha et le baisa un instant puis cracha dedans puis s'en détourna et se présenta à la fenêtre. La soeur était en bas, il faisait chaud et celle-ci était habillée d'une robe légère, elle était mignonne, blonde et monta de suite à l'appel de son frère.

Le directeur était toujours la pique à la main. La gamine entra et s'arrêta net, effrayé par le spectacle de l'homme nu au sexe tendu et menaçant. Elle fut empoignée, déshabillée et baillonnée en un rien de temps, le gamin fut forcé d'aider le satyre à maintenir sa soeur et à la mettre nue. Le directeur la poussa sur le canapé. Il fit approcher le petit et fit s'assoir le gamin sur les reins de la petite fille qui était appuyée le ventre contre un canapé du salon. Le directeur se présenta devant le cul de la gamine et tenta avec difficulté de la sodomiser. Il n'y arriva qu'à grand peine, la fillette gémissait et bougeait sans cesse et l'homme pendant ce temps se régalait du sexe du gamin. Il continuait à la presser et parvint enfin à la perforer, la fillette voulu crier mais l'homme lui tirait les cheveux pour la forcer à se taire. Il la retourna et la déflora. Il pris alors son pied bruyamment et les deux enfants furent giflés et mordus aux fesses.

Nous avions filmé tout et nous dirigions vers la classe, trés excités par ce spectacle. Nous entrâmes dans la classe en prétextant un cours d'éducation sexuelle. On place le matériel, on se présente, mais le terme « éducation sexuelle » les fit rire, Robert haussa le ton et pour les punir fit venir un petit brun au tableau:

- Viens ici! Oui, toi!

Puis une fois au tableau:

- Puisque tu fais le mariol, mets toi à poil! Tout nu!

Il n'osa pas et la classe, loin de le protéger, était écroulée de rire. Il refusa et Robert s'en chargea,il était mignon et rougissait. Il était potelé et voulut garder son slip. Robert refusa et le retourna et commenca à le tripoter. Puis il déclara:

- Je veux une fille! Qui est volontaire?

Personne ne se déclarant, il alla prendre une fillette au hasard, elle était blonde aux cheveux longs, le visage agréable mais pas joli, elle était un peu forte mais pas grosse. Elle repoussait Robert qui la gifla. La classe approuvait, soit ils étaient excités ou alors c'était leur souffre-douleur.

- Comment tu t'appelles?

- Estelle!

- Petite Estelle! Mets toi toute nue!

- Ah non! Je ne veux ...

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase. Robert lui retira ses vêtements et entama la lecon.

-Voic une fille nue! Tout d'abord les seins! Cette fillette a de beaux et gros seins pour son age, je vais les sucer! les caresser!

Réticente au début, elle se laisse faire. La classe ne rit plus, les mains se dirigent sous les bureaux pour se tripoter.

-Puis son sexe est gouteux! Je vais le dévorer!

Peu à peu je l'aide à prendre les enfants un par un pour les exciter. L'orgie bat son plein, la fillette de tout à l'heure suce les glands de ses petits camarades goulûment. Une vraie pompe à bite! Elle va jusqu'au bout et écrase le gland juteux entre ses dents et lèche le jus blanc du sexe tendu avec sa petite langue rose. Je m'approche d'elle et lui propose le mien, elle me suce. Je la prend en poids et lui lèche le minou, puis je la prends en levrette et elle jouit avec joie.

Elle me plaisait mais nous devions partir, les enfants se rhabillèrent, ils ne devaient rien dire à personne. Ils approuvèrent car ils avaient honte à présent. Je laissais ma carte à la petite Estelle en lui glissant à l'oreille:

- Si tu en veux encore appelles-moi!

Elle rougit et se tut. Comment? Elle faisait la timide maintenant? Je n'attendis pas longtemps son appel car le lendemain elle téléphona chez moi:

- Allo,c'est vous?

- Qui est à l'appareil?

- Et bien, la fille de l'école...hier...nous avons fait ....enfin vous ne voyez pas? Je vous ai .......sucé!

- Ah! Estelle! Comment vas-tu? Tu veux me voir? Tu as encore envie!

Je la sentais génée de ce dialogue.

- Oui fit-elle en hésitant.

- Alors prouve le moi maintenant! Mets toi à poil!

- Je peux pas, il y a mes parents!

- OU sont-ils!

- A côté! Dans le salon..

- Et toi!

- Dans ma chambre!

- Alors mets-toi toute nue! Ou je raccroches! Allumeuse!

- Ok! C'est bon!

- Enlèves tout! Ca yest??Oui alors touches toi! Caresses-toi!

Les seins, puis les fesses , lentement...

On sentait une élève docile, appliquée.

- Touche ton sexe, il est comment?

- Mouillé!

- Alors j'arrive!

- Et mes parents?

- Je m'en occupe! et je raccrochais.

Je téléphonais et leur fit croire qu'ils avaient gagné un lot,je leur remis même un gros chèque en leur disant d'aller cherche le reste chez Robert, le père et la mère partirent en me laissant comme consigne de téléphoner à la voisine du dessus pour venir garder la fillette et j'eus le champ libre pour mes turpitudes. Elle était seule, je la surpris, j'entrais dans la chambre de la fillette, elle était rose et de mauvais gout « style Barbie ». Estelle était vétue d'une chemise de nuit rose, je la pris sauvagement et nous fimes l'amour comme des bêtes. Les parents rentraient, je m'éclipsais.

Le lendemain matin les parents allèrent travailler, j'étais encore là et sonnait, Estelle apparue ensommeillée, elle fut heureuse de me voir, je la mis à genoux et me fis tailler une pipe. Elle s'éxécuta et je partis lui promettais de revenir l'aprés-midi. Je revins donc comme promis et entrais chez elle. Elle s'était habillée pour moi avec une nuisette sexy trop grande pour elle et un soutien-gorge trop volumineux puis des bas, elle avait piqué tout cela à sa mère. Elle était attentionnée.

J'allais lui faire l'amour lorsque j'entendis un bruit dans le placard de la chambre. Elle essaya de me retenir ce qui me confirma ma curiosité.

Une gamine du même âge apparut, brune, souriante, son visage était tout rouge, l'émotion, le désir sans doute...Je la fis sortir du réduit où elle s'était cachée, je vis alors que sa culotte était descendue jusqu'aux pieds et que de toute évidence elle se touchait en nous regardant...

- Qui es tu? C'est ta copine!?

- Oui Brigitte!

- Petites filles! Vous méritez une punition! Toi Estelle pour n'avoir rien dit! Et toi Brigitte pour avoir espionné! Estelle déshabille-là!

Estelle s'éxécute mais lorsqu'elle veut lui retirer sa culotte. Brigitte se rebiffe et pleure. Je la prend dans mes bras, la console, elle ne veut rien savoir. Je gronde alors la fillette en lui glissant une main dans sa culotte pour lui enlever.

- Arrêtes ton cirque et obéis! Regarde, on te veux aucun mal! La preuve! C'est toi qui va t'occuper d'Estelle! Déshabille là d'abord!

Elle parut rassurée, sécha ses larmes et remonta sa culotte sur ses petites fesses puis mis Estelle toute nue. Cet effeuillage l'avait excité et la petite Brigitte s'arrêta intimidée par tant d'attraits. Les seins d'Estelle étaient plus gros que ceux de Brigitte qui les effleura...Mais Brigitte avait un cul charmant avec des fossettes au creux des reins. Estelle se mit à la caresser, elle lui baisa les reins, les cheveux puis tout le corps, je fis allonger Brigitte sur le lit, Estelle la couvrait de caresses et ce fut elle qui brisa le rempart de sa vertu en faisant lentement glisser sa culotte le long de ses petites jambes. Brigitte frissonna elle était prête à tout. J'entrais peu à peu dans le jeu, je m'allongeais auprés des deux apprenties gouines. Je les laissais faire et les guidais. Tout le poids était maintenant sur Estelle, Brigitte caressa les seins d'Estelle pendant que je la pénétrais . Je la tringlais et Brigitte m'aida à la faire jouir puis toutes deux s'emparèrent de mon sexe et le sucèrent. Lorsque mon sexe pris assez de vigueur j'enculais mon Estelle. Brigitte avait envie de moi, je la pénétrais à son tour et elle explosa lorsque je lui fis le cul en la faisant lècher par Estelle.

- Ca t'a plu!

- Oui fit Brigitte.

- Tu reviendras? fis Estelle.

- Je ne suis pas jaloux! tu sais?

- Je peux venir avec des copains!?

- Oui mais pas des laiderons!

Ce qui fut dit fut fait et ce mercredi-là arrivèrent un petit rouquin charmant Patrice, une charmante blonde Aurélie et une autre fillette nommée Sophie. Mais celle-ci était vilaine. Je m'énervais:

- C'est quoi çà! Voilà pour toi! fis-je en giflant Brigitte. Je t'avais dit pas des laiderons!

La fillette se taisait. Estelle renchérit et parla à la fillette.

- Tu es laide!

La fillette pleura, le garçon prit sa défense.

- Vous êtes des salauds!

- Comment tu nous parles?

Je m'approchais de lui et lui plongeant la main dans le froc lui tira sur le sexe puis descendit son jogging sur ses jambes. Il refusait de se laisser faire. Je me fis aider par les autres en leur promettant du fric. Patrice se débattait et criait:

- Au viol!

- Tais-toi! Tu vas aimer, mon salaud! Tu en redemanderas!

Je lui excitais le sexe avec la main et le mis nu, aidé par les fillettes, Aurélie la blonde surtout. Je demandais aux fillettes de m'aider , je les fis se mettre nues et maintenir le petit selon mes désirs. Je le basculais sur le lit, lui déchirais son slip et réussis à le penétrer pendant qu'il mordait le coussin. Puis on s'empara d'Aurélie pour la faire grimper au ciel, Estelle et Brigitte ensuite mais restait la vilaine fillette. Elle détacha Patrice par sympathie mais mal lui en pris, énervé de ne pas avoir joui il s'emporta contre elle et la frappa au visage. Nous l'imitâmes, il tenta de la déshabiller sans succés, nous l'aidâmes tous à y parvenir. Estelle lui ota le haut et Brigitte lui retira les chaussures pendant que Patrice lui tenait les bras. Aurélie sadiquement la faisait tenir tranquille en la tenant par les cheveux et moi je la gilflais à tour de bras. Patrice la prit et la sodomisa pendant que celle-ci fut obligée de sucer le sexe d'Aurélie, Laura lui lèchait le minou et moi je me remis dans le cul de Patrice....