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Published: 19-Jan-2013
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Quand tout le monde fut parti, je demandai à Pierre si je pouvais rejoindre Marc sous la tente. Il me dit « Oui, et soyez sages ; profites-en pour faire la sieste toi aussi ». Je rejoignis donc mon copain sous la tente ; il était allongé, en slip, sur son duvet mais ne dormait pas. Il faisait une chaleur terrible sous la tente, mais nous nous en foutions : nous étions ensemble, et nous allions pouvoir bavarder tranquillement de l'année qui venait de s'écouler. Ayant très chaud, je décidai de me mettre dans la même tenue que Marc, et m'allongeai sur le duvet de Franck. Nous parlâmes de notre année, mais au bout d'un moment il n'y avait plus rien à dire. À ce moment-là, je décidai de raconter à Marc ce dont j'avais été le témoin la veille ; mais ne voulant pas parler de Martine, je lui mentis un peu en lui racontant que le matin, comme nous étions en avance, nous avions fait, Martine et moi, un petit arrêt dans une crique située juste à côté de la colo et qui s'appelait la plage des hirondelles.
Marc m'écoutait, attentif. Je lui racontai que, comme nous arrivions sur la plage, nous avions entendu un gémissement derrière un rocher. Martine m'avait fait signe de me taire et nous nous étions approchés, et nous avions vu une dame en train de sucer le zizi d'un monsieur : elle l'avalait complètement et le ressortait de sa bouche comme si c'était un esquimau. Tout en lui racontant cela, je sentais mon zizi gonfler et se durcir, et je remarquai que Marc était dans le même état. Je continuai mon histoire en lui racontant comment, au bout de quelques minutes, le monsieur avait gémit et que la dame avait avalé ce qui était sorti de son zizi.
Marc était dans le même état que moi : nos slips étaient complètement déformés par nos érections respectives et là, je ne sais pas ce qu'il m'est passé par la tête, mais je lui ai dit que s'il me montrait le sien, je lui montrerais le mien ; en même temps, je posai ma main sur la bosse qui déformait son slip. Marc hésita un peu, puis rapidement il ôta ma main et baissa son slip. Je fis la même chose et nous nous sommes retrouvés tous deux le zizi dressé et dur, tendu en direction du toit de la tente.
Toujours sans réfléchir, et alors que Marc regardait ma bite, je tendis la main et commençai à le caresser comme j'avais vu Martine le faire à Pierrot. Puis, trop curieux, et comme Marc me laissait faire sans bouger, je me penchai au-dessus de lui et le pris dans ma bouche : c'était doux, dur et agréable. Je ne savais pas - et lui non plus - que ce que nous faisions était « mal » ; mais en en tout cas, c'était bon...
Marc respirait très fort alors que ma bouche faisait des va-et-vient sur son sexe, l'avalant complètement. Nous étions tous les deux dans un autre monde, et c'est à ce moment-là, ce jour-là, que ma vie sexuelle bascula et commença vraiment. Nous entendîmes tout à coup une voix nous dire « Eh bien, bravo, espèces de petits obsédés... Cochons, sortez de là tout de suite ! » Apeurés, nous vîmes que Pierre était accroupi devant l'entrée de la tente et nous regardait ; nous avons voulu attraper nos slips avant d'obéir, mais il nous dit de sortir comme nous étions, en tenue de dépravés. Une fois en-dehors de la tente, Pierre nous engueula copieusement, nous traitant de noms dont nous ne connaissions pas le sens et nous dit de le suivre. Il prit la direction de sa chambre, dont la fenêtre donnait directement sur la tente. Une fois dans sa chambre, il s'assit sur le lit et nous dit de nous mettre à genoux en face de lui ; bien sûr, nous obéîmes rapidement car nous savions maintenant, au vu de sa réaction, que ce que nous faisions était mal. Nos deux sexes étaient retombés, et nous n'avions pas l'air très fin à genoux, les mains dans le dos à attendre la punition qui allait, à ne pas en douter, nous tomber dessus.
Pierre, après s'être calmé, nous regarda et nous demanda ce qu'il nous avait pris de faire ça. Marc, immédiatement, lui dit que c'était moi qui avais tout fait (merci, le pote...) et que c'était après que je lui aie raconté ce que j'avais vu le matin, sur la plage, en arrivant à la colo. Pierre me regarda et me demanda de lui raconter l'histoire ; voyant qu'il se calmait, je décidai d'obéir, espérant le calmer complètement et éviter une sanction trop lourde, d'autant que me revenait en mémoire la séance de la veille.
Pierre était assis sur son lit, juste en face de moi ; il portait un short noir et une chemisette blanche et, au fur et à mesure que je racontais pour la seconde fois la fable que j'avais inventée pour Marc, je voyais son short se déformer. À un moment, mal à l'aise, il porta la main à son entrejambe pour changer de position ce qui le gênait et que je trouvais de plus en plus gros et impressionnant. Une fois l'histoire terminée, et alors que je me demandais quelle punition il allait nous infliger, il me regarda et me dit « Montre-moi comment elle faisait, cette dame ». Et là, sans réfléchir, j'ai avancé vers lui sur mes genoux. Très surpris, il m'a arrêté de la main, et d'une voix un peu grave ordonna à Marc « Toi, file sous la tente ; je m'occuperai de ta punition plus tard. »
Quand Marc, trop content de s'échapper, fut parti, Pierre m'a regardé et à écarté ses cuisses. J'en ai déduit qu'il voulait que je lui fasse la même chose que je faisais à Marc quand il nous avait surpris ; j'avançais donc, toujours à genoux, et arrivant devant son short, je le déboutonnai. Mais Pierre portait également un slip : il se souleva et me dit « Retire tout, et vite ; sinon je vais appeler ta mère et te faire renvoyer immédiatement ». Terrorisé, je lui obéis et descendis le short et le slip. Son sexe bondit (il n'y a pas d'autre mot) hors de son slip et me cogna légèrement le menton ; puis il se rassit et souleva les pieds pour que je puisse les enlever complètement.
- Et maintenant, espèce de dévergondé, tu vas me montrer exactement ce que tu as vu ; et tu as intérêt à bien me montrer, sinon... »
Je sentais la menace d'une terrible punition, mais j'étais surtout surpris et impressionné par ce que j'avais devant les yeux, à hauteur de la bouche : son sexe me paraissait énorme par rapport à celui de Marc ou du mien, et même de celui de Pierrot ; mais j'avais tellement peur que je ne pensais même pas à fuir. Pour pouvoir le prendre dans ma bouche, il fallut que je me redresse un peu. Je commençai par faire ce que j'avais vu Martine faire : le lécher de bas en haut et passer ma langue sur le bout. Pierre soupirait très fort, et à un moment il me souleva la tête, me mit une claque et, méchamment, appuya sa main sur ma tête en me disant « Allez ! Maintenant tu la mets entièrement dans ta bouche et tu t'appliques ! » Ce que je fis, de crainte de le voir me frapper à nouveau ; mais il était tellement plus gros que celui de Marc que je ne pouvais le mettre en entier dans ma bouche.
Sa bite était grosse et très douce ; je sentais les petites veines qui couraient tout le long sous mes lèvres et ma langue. Son gland était gonflé et d'une douceur exquise ; en fin de compte, je me dis que ce n'était pas désagréable non plus. Cela de dura pas très longtemps : au bout de quelques minutes, Pierre se retira très vite de ma bouche et m'aspergea en disant « Allez, cette fois, c'est sur toi. La prochaine, tu avaleras mon sperme » (encore un mot nouveau pour moi) ce qui, pour moi, impliqua immédiatement qu'il y aurait d'autres fois. Puis il me releva et vit que je bandais à nouveau. Il me regarda, et tout en me prenant dans sa main, il me dit « Eh bien, je vois que tu as repris de l'énergie ; cela confirme ce que je disais : tu es un dévergondé ! » Tout en me parlant, sa main faisait des va-et-vient sur ma bite, et un de ses doigts m'effleurait les couilles. En quelques minutes, j'eus ma première éjaculation. J'aurais eu très peur si je n'avais vu celle de Pierre quelques minutes avant.
Je n'avais, momentanément, plus peur de Pierre, car il était redevenu très doux avec moi et je lui demandai ce que c'était que du sperme. Il rigola et me dit que c'est l'expression concrète du plaisir des hommes, et ajouta que lécher un sexe n'était pas sale, et que cela procurait beaucoup de plaisir. Puis il me regarda dans les yeux et me colla une claque magistrale ! J'en eus immédiatement les larmes aux yeux.
- À partir de maintenant, tu es puni : tu resteras à la colo chaque fois que je te le dirai, et tu feras ce que je dirai ; et si jamais tu t'amuses à parler de quoi que ce soit à quelqu'un, même à tes copains, j'appelle ta mère et je te fais renvoyer. C'est bien compris ?
Je lui répondis que oui et je le suppliai de ne pas appeler ma mère. Il eut un sourire sadique en me disant que cela ne dépendait que de moi et de ma conduite avec lui, puis il me dit de m'en aller et de lui envoyer Marc afin que lui aussi soit puni, et que nous ne devrions plus jamais recommencer tous les deux ce que nous avions fait.
Je rejoignis Marc et lui dit d'aller retrouver Pierre. Celui-ci s'était mis à sa fenêtre, et voyant Marc rhabillé, il me cria :
- Stop ! Déshabille-le tout de suite : tu lui enlèves tout et tu vas rejoindre Martine à la cuisine pour l'aider à préparer le dîner.
J'obtempérai immédiatement, mais en déshabillant Marc - et comme je tournais le dos à Pierre - je ne pus m'empêcher de mettre un petit coup de langue sur son sexe qui était à nouveau dressé. Pierre le vit, mais il ne me le dira que plus tard. Je laissai donc Marc entre les mains de Pierre et rejoignis Martine à la cuisine. L'après-midi avait passé très vite, et avait été riche en événements et en découvertes !
Quand j'arrivai à la cuisine, je vis Martine penchée au-dessus de l'évier, en train de laver des plats. Elle portait ce jour-là un autre short, assez moulant, de couleur rouge et un tee-shirt noir. Elle fut étonnée et contente de me voir arriver. Je lui expliquai pourquoi j'étais déjà là alors que les autres n'étaient pas rentrés. En parlant de l'insolation de Marc, elle me demanda de ses nouvelles, puis comment s'était passée la journée, et si j'en avais bien profité avec mon copain. Je lui répondis que la journée s'était super bien passée ; et qu'avec Marc, nous avions bien profité de l'après-midi. Elle me demanda qui nous avait surveillés ; quand je lui répondis que c'était Pierre, elle sourit en disant « Vous avez dû être tranquille, alors : il a dû passer son après-midi à prier. Comme cela, vous ne l'avez pas eu sur le dos ; j'espère qu'il ne recommencera pas ce que j'ai vu hier ! » Je lui répondis qu'effectivement Pierre avait été cool, et que nous en avions bien profité avec Marc. Puis, à sa demande, je partis mettre le couvert pour le dîner après avoir bu un grand verre de lait frais très réparateur ; il faisait une telle chaleur, aussi bien dehors que dans cette cuisine...
Au dîner, je m'assis à côté de Marc et tentai de le faire parler sur ce qu'il s'était passé après que je sois parti. Il me regarda et me répondit qu'il me raconterait cela à la veillée. Dans l'attente de ce moment, et pendant tout le repas, je collai ma jambe à la sienne sans qu'il ne bouge ; à cause de la douceur de sa peau contre la mienne, je sentis qu'une érection était en train de monter dans mon slip. Curieux de savoir si Marc était dans le même état, je fis tomber ma fourchette puis, me baissant sous la table pour la ramasser, je ne pus que constater, avec plaisir, que Marc était dans le même état que moi.
En me rasseyant, je passai ma main sur cette « bosse » qui m'attirait, en appuyant assez fort pour la sentir, et surtout pour qu'il sache que je le faisais exprès.
Après le dîner, comme je débarrassais rapidement la table pour retrouver mes copains, et surtout Marc, Martine me dit « Je viendrai te chercher avant la fin de la veillée pour que nous ne rentrions pas trop tard : je suis crevée et j'ai besoin d'une bonne douche ». Pendant la veillée, les animateurs avaient décidé de raconter des histoires car tout le monde était un peu excité par cette journée, et surtout par l'après-midi à la plage. Ce n'était que le premier jour, mais la plage avait permis à quelques uns et quelques unes de se rapprocher, et donc chacun s'était placé en fonction des amitiés toutes nouvelles ! Franck s'était un peu éloigné pour se rapprocher d'une fille qui lui avait tapé dans l'œil.
Marc et moi nous sommes mis un peu en retrait pour discuter tranquillement. Il me raconta que Pierre lui avait demandé de le caresser puis, quand sa bite avait été à nouveau bien dure, il lui avait dit de la prendre dans sa bouche pour le sucer ; mais Marc n'a pas réagi comme moi : il n'a pas aimé, et il me l'a dit. Alors que je lui demandais s'il avait aimé lorsque je le lui avais fait, je vis son short se déformer et je compris que ce que je lui avais fait lui avait plu. Comme il faisait sombre et qu'il n'y avait que la lueur du feu de camp, je glissai doucement ma main sur son short ; il sursauta, mais ne bougea pas. Au contraire, il se souleva un peu pour que le contact soit plus fort. Voyant cela, j'écartai l'élastique de son short puis celui de son slip et le pris dans ma main. Je ne pus m'empêcher de faire la comparaison avec la bite de Pierre : par rapport à la sienne, grosse mais tout aussi agréable, celle de Marc était petite, fine, lisse et très douce. Je commençai doucement à la caresser ; il se mit à respirer très fort et à accompagner mes mouvements de mouvements du bassin. Au bout de quelques minutes de va-et-vient, il se vida dans ma main en soupirant très fort. Il me regarda en me disant « Merci, c'était super ; mieux qu'avec ce vieux porc ! » Et alors qu'il commençait à me caresser par-dessus mon short, Martine arriva et me dit « Allez, on y va : je suis crevée ».
Un peu déçu, je me levai et suivis donc Martine. Passé la grille de la colo, elle me prit la main et nous partîmes en direction du studio. Il faisait très chaud, et quand nous arrivâmes devant l'immeuble, en regardant la plage déserte, Martine me proposa :
- Et si nous allions piquer une tête, tu as ton maillot ?
- Oui, puisque ce matin tu m'as dit de le mettre.
- Il n'y a personne ; on va se baigner, et après on ira se coucher.
Me prenant par la main, elle m'entraîna vers l'escalier qui permettait d'accéder à la plage. Nous nous déchaussâmes. Le sable était chaud ; les seules lumières visibles étaient celles de l'avenue. La mer était assez basse, et quand nous arrivâmes à proximité de l'eau, nous étions quasiment dans le noir. Martine ôta son tee-shirt et son short puis, me regardant rester sur place sans bouger, elle me dit de me déshabiller et de la suivre. Je décidai que de toute manière cela me ferait du bien, et je la suivis dans l'eau. Elle commença par m'éclabousser un peu, puis je m'y mis aussi. Quand nous fûmes bien mouillés, nous éclatâmes de rire de notre folie. - Surtout, tu restes à côté de moi : je ne voudrais pas qu'il arrive quoi que ce soit.
Je m'empressai de lui obéir en me collant presque à elle. J'en étais tellement près que la réaction à laquelle je ne m'attendais pas se produisit : je me mis à bander. Martine s'en aperçut immédiatement.
- Eh bien, dis-donc, petit cochon ! Tu as déjà des réflexes quand tu es à côté d'une femme ! me dit-elle tout en m'effleurant de sa main comme si ce n'était pas fait exprès.
Elle s'éloigna un peu de moi et nous nageâmes tous les deux, mais en restant proches de la plage dans une eau pas trop profonde. Après une bonne demi-heure passée dans l'eau à nager et à s'amuser, Martine me dit « Allez, on sort ; on va s'étendre un peu sur le sable, et après on rentre car demain il faut se lever de bonne heure ».
Nous étions presque sortis de l'eau quand Martine fit un faux pas (enfin, je le crus) et se trouva le visage contre un renflement de mon maillot de bain impossible à ne pas voir, même dans le noir. Elle leva la tête et me regarda avec un grand sourire.
- Une femme de mon âge ne peut prendre cette réaction que comme un compliment !
Puis elle se releva et nous allions nous allonger pour nous sécher quand Martine me dit que nous serions pleins de sable et qu'il valait mieux rentrer pour nous sécher et nous coucher.
Nous retournâmes jusqu'au bout de la plage en petite tenue ; avant de remonter sur la route pour la traverser, nous nous rhabillâmes. Mais juste avant que Martine ne remette son short, j'eus le temps de voir des poils dépasser de sa culotte. Elle avait remarqué mon regard.
- Il va falloir que je fasse un peu de débroussaillage ce soir, car ce n'est pas très joli à voir...
- Mais si, tu es très belle !
Elle éclata de rire en me plaquant un baiser sur la joue et en me disant que j'étais trop mignon.
En arrivant au studio, Martine me dit d'aller prendre une douche car nous étions pleins de sable et qu'elle irait se doucher après moi. Je me déshabillai donc sans pudeur et partis prendre ma douche ; malheureusement pour moi, je me mis à repenser à cette fin de journée, à Martine en slip et soutien-gorge et à ses poils que j'avais aperçus... Évidement, la réaction fut immédiate et je vis mon zizi grossir et s'allonger tout en devenant bien dur ; mais la douche était finie, j'étais nu et je devais retourner dans la pièce d'à côté dans cet état. Je mis donc ma serviette, mes mains par-dessus et je sortis de la salle d'eau au moment où Martine, se retournant, me dit « Donne ta serviette que je la mette à sécher tout de suite ». En même temps, elle tira dessus et découvrit, à ma grande confusion, l'érection qui n'avait pas diminué et qui - au contraire - avait l'air d'augmenter et était dirigée vers Martine. Celle-ci sourit et me dit « Eh bien, te voilà en grande forme ; pour ton âge, c'est très précoce. Allez, au lit, et tâche de dormir ! ».
Quand Martine sortit de la douche, elle commença par ouvrir la porte très doucement et crut que je dormais, ce qui n'était pas le cas : je faisais semblant et je m'étais dit que c'était peut-être le moyen de la voir nue. Donc, tourné vers la pièce et yeux fermés, j'attendais avec impatience qu'elle sorte, en sentant venir le sommeil. Croyant donc que je dormais, Martine sortit de la salle d'eau complètement nue puis, sans faire attention à moi, se dirigea vers la table avec une trousse de toilette. Après avoir rempli une bassine avec de l'eau, elle mit un pied sur la chaise et sortit une paire de ciseaux et un rasoir. Avec les ciseaux, elle coupa les poils trop longs qui dépassaient de son sexe, puis elle mit de la mousse sur ses mains, se frotta l'intérieur des cuisses et prit le rasoir. Elle était tournée vers moi, tête baissée, toute à ce qu'elle faisait. Moi, je regardais avec les yeux mi-clos, et je sentais mon zizi durcir et gonfler. J'avais commis une erreur en pensant que je serais plus à l'aise pour dormir et pour la regarder au cas où : je m'étais allongé directement sur les draps et sans pyjama, car j'avais trop chaud. Au bout d'un moment, je pus voir le sexe de Martine en entier, sans poils, et ouvert... Pour moi, c'était une première : je n'avais jamais vu de sexe féminin. Je sentais que mon slip était complètement déformé et je n'osais pas bouger, et à peine respirer, de peur qu'elle ne s'aperçoive que je la regardais et par peur de sa réaction aussi, bien sûr.
Martine leva alors la tête vers moi et je la vis sourire ; étant persuadé qu'elle me croyait toujours endormi, je me décontractai un peu. Alors Martine, après avoir nettoyé la bassine puis ses accessoires, vint s'asseoir sur le lit, juste en face de moi. Elle écarta les cuisses et se passa la main sur le sexe doucement. Son majeur passa juste au milieu de sa fente et l'ouvrit un peu ; elle gémit doucement, puis écarta encore plus les cuisses et recommença. J'avais ce spectacle sous les yeux, et je sentis mon zizi qui gonflait encore.
Martine me regardait fixement.
- Au lieu de mater de cette manière, tu ferais mieux d'ouvrir les yeux, au point ou on en est...
Je compris alors qu'elle savait que je ne dormais pas ; je me demandais comment elle s'en était aperçue. Je fis semblant de m'étirer. - Je dormais bien ; tu m'as parlé.
Elle éclata de rire.
- Vu l'état de ton slip et la manière dont tu fermais les yeux, ce n'est pas la peine de mentir
Je voulus faire l'offusqué, mais elle me coupa la parole en me disant de m'approcher et de venir voir, ce que je fis ; mais j'étais très gêné car mon slip était complètement déformé par mon érection. J'arrivai juste en face d'elle.
- Alors, comment tu trouves ?
- C'est très joli...
- C'est également très doux ; et si tu veux, tu peux toucher pour vérifier.
Je fis ce qu'elle me demandait, et je passai un doigt sur la peau juste là où elle venait de raser. Effectivement, c'était très doux, et je le lui dis. À ce moment, me rappelant ce qu'elle avait demandé à Pierrot la veille et que ce dernier avait refusé, je mis à genoux et passai un coup de langue sur la fente de Martine. Elle en fut très surprise.
- Mais tu sais faire ça, toi ? Tant pis : ce petit con de Pierre m'a trop excitée, et puis cela restera entre nous. Ce que tu viens de faire est très agréable pour une femme ; recommence, et applique-toi : je vais te guider.
Martine était assise sur le bord du lit ; je m'agenouillai entre ses jambes grandes ouvertes et je fis ce qu'elle me demandait ; ça m'a fait tout drôle, car c'était tout chaud et humide, et surtout la peau était très douce. Bien sûr, ma langue ne pouvait pas se contenter de passer sur la peau fraîchement rasée : elle passa également sur cette fente que je découvrais pour la première fois. Voulant lui faire plaisir, je recommençai, mais en passant ma langue juste sur sa fente. Martine partit en arrière.
- Petit salaud, tu as déjà fait ça ; tu m'as menti !
Lui assurant que non, je m'arrêtai car je croyais lui avoir fait mal ; elle se redressa et, me prenant la tête, elle me demanda de continuer, ce que je fis en m'appliquant, comme si je mangeais une glace : je sortais ma langue, je la posais en bas de sa fente et je remontais tout doucement jusqu'en haut. Là, je sentis un petit bouton ; je passai ma langue dessus pour voir ce que c'était, et Martine gémit encore plus. Sentant que j'avais trouvé quelque chose qui lui plaisait, je recommençai au même endroit, et au bout de quelques minutes je sentis quelque chose couler sur mon menton. Alors, je ne sais pas pourquoi, descendant ma langue, je la passai sur la fente de Martine et léchai ce qui en coulait : c'était à la fois chaud, sucré et un peu aigre. Martine secouait la tête dans tout les sens en gémissant ; elle appuya sur la mienne.
- Continue, continue mon petit cochon...
Quelques minutes plus tard, elle se redressa et me demanda de me relever, elle posa ses lèvres sur les miennes et je sentis sa langue les forcer. Je me demandais ce qu'elle voulait faire et me reculai d'un coup.
- Tu sais bouffer une chatte (encore un nouveau mot...) et tu ne sais pas embrasser ? Viens que je te montre !
Et elle m'apprit à embrasser avec la langue. Tout en m'embrassant, ses mains me caressaient et elle s'attarda sur mes tétons qui devinrent très durs. Toujours assise, elle lâcha ma bouche pour venir les agacer avec sa langue ; elle les aspira et les mordilla doucement. En même temps, j'eus l'impression que ma bite grossissait encore ; puis Martine, tout en me caressant les fesses, fit descendre doucement mon slip : ma bite en jaillit au niveau de son visage. Elle me regarda et, sans rien dire, me prit dans sa bouche... J'ai cru que j'allais devenir fou : c'était tellement bon ! Sa langue glissait sous ma bite pendant qu'elle me faisait coulisser entre ses lèvres ; à un moment, alors que je sentais venir la même chose que l'après-midi, elle s'arrêta net. Et alors que je la regardais, frustré, elle éclata de rire, et me dit tout en continuant à me caresser :
- Il y a quelque chose que je n'ai jamais fait ; et au point ou nous en sommes, autant en profiter... Mais d'abord, je veux que tu me promettes que jamais tu ne répèteras ce qu'il va se passer ici.
Bien évidemment, je le lui promis immédiatement.
- Pour une fois que j'ai une petite bite sous la main, je vais essayer ce dont je rêve : tu vas m'enculer.
- Mais je ne sais pas ce que c'est...
- Dans enculer, il y a cul : donc cela veut dire que tu vas glisser tout doucement cette belle chose fine et bien dure (en disant cela elle me montrait ma bite qu'elle continuait de caresser très doucement) entre mes fesses. Je vais te montrer comment tu vas faire ; mais avant, il faut que tu me prépares avec ta langue.
Comme je ne comprenais pas, Martine me fit allonger sur le lit, puis elle vint se mettre à califourchon sur moi. J'étais aux premières loges : je voyais sa « chatte », comme elle disait, et ses fesses étaient ouvertes. Je voyais son anus et, un peu dégoûté, me demandai ce qu'elle voulait que je lui fasse pour la préparer avant de l'enculer.
- Pendant que je vais continuer à te faire bander, tu vas recommencer ce que tu as fais tout à l'heure : tu va me bouffer la chatte, mais en plus tu vas lécher ma raie et bouffer aussi mon petit trou ; et surtout, tu le mouilles bien avec ta langue : comme ça, tu rentreras plus facilement.
Un peu dégoûté, j'hésitais. Je commençai à passer ma langue sur la fente humide qui était juste à bonne portée ; puis Martine descendit ses fesses, ce qui eut pour effet de les ouvrir encore plus. Dans cette position, j'avais sous le nez son petit trou ; mais alors que je m'attendais à une odeur pas terrible, je me rappelai que Martine sortait de la douche : toute la raie de ses fesses et son petit trou sentaient bon le savon. Alors, ne me retenant plus, je fis ce qu'elle me demandait et je passai ma langue sur toute la raie de ses fesses. Puis, instinctivement, je plaçai ma langue sur son petit trou et je commençai à tourner dessus, puis à essayer d'appuyer pour lécher les bords de ce petit trou.
Martine entra en transe ; elle abaissa encore ses fesses.
- Espèce de petit salaud... Jamais personne ne m'a fait ça ! C'est très bon... Continue...
En disant cela, elle prit ma bite à pleine bouche pour, comme elle disait, « me pomper ». Mais elle sentit très vite que j'allais éjaculer ; alors elle arrêta, et avança à genoux vers le bout du lit tout en faisant rouler ses fesses sur lesquelles mon regard était « scotché ». Elle me dit de me mettre à genoux, puis elle recula jusqu'à sentir ma bite toucher sa peau. Alors, elle m'expliqua comment je devais faire ce qu'elle voulait.
- Tu vas appuyer ton gland sur mon petit trou, puis tu vas pousser pour rentrer entre mes fesses. Si tu fais tout doucement, cela devrait passer et me faire beaucoup de bien. Tu veux me faire du bien, n'est ce pas ?
Et moi de lui répondre que oui et de commencer à appuyer mon gland qui, à ma grande surprise, rentra doucement entre ses fesses. C'était chaud, et je sentais que les fesses de Martine enserraient mon gland ; alors que je continuais à pousser, Martine se mit à gémir.
- Petit salaud, tu es précoce... C'est la première fois que je me fais enculer, et je dois reconnaître que c'est magique. Allez, pousse encore : je veux te sentir au fond de moi !
Je poussai encore, et je finis par rentrer toute ma bite dans le petit trou de Martine. Elle respirait très fort et gémissait en même temps. Je n'osais plus bouger, et je reconnais que j'étais très bien là où j'étais, au chaud et un peu serré. Martine me demanda alors reculer doucement ; je le fis un peu trop rapidement, et bien sûr, je sortis complètement de son petit trou. Elle poussa un petit cri de frustration...
- Petit con, je t'ai dis doucement : reviens tout de suite en moi, ou alors je ne me contiens pas et je te mets une fessée !
Martine venait de jeter un froid ; mais, apeuré, je fis ce qu'elle me demandait. Mais, craignant cette fessée, au lieu de rentrer doucement comme précédemment, à peine mon gland fut-il dans son anus que je poussai fort et rentrai d'un coup en elle. Elle poussa un cri.
- Alors là, tu as fais fort : recommence ça tout de suite. Mais je ne veux pas que tu sortes de moi ; tu t'arrêtes avant et tu reviens tout de suite. Tu vas me limer le cul jusqu'à ce que j'explose. Je veux que tu te retiennes le plus longtemps possible avant d'éjaculer.
Je m'appliquai à faire ce Martine me demandait ; après quelques va-et-vient, elle me demanda : - Plus fort ! Plus vite ! C'est trop bon... Je veux sentir tes couilles taper contre mon cul ! Je n'aurais jamais pensé que ça puisse être aussi bon de se faire défoncer le cul !
Alors, je redoublai d'ardeur, en essayant de me retenir car cela devenait de plus en plus dur. Au bout de quelques minutes, alors que Martine respirait et gémissait de plus en plus fort, je ne puis plus me retenir et j'explosai alors que j'arrivais, dans un ultime va-et-vient, au fond de ses fesses. Elle hurla tellement fort que j'eus peur de lui avoir fait mal ; et en même temps, comme elle serrait les fesses, je ne pus me retirer tout de suite. Après quelques instants, je sentis ses fesses se relâcher, et je pus en sortir. Je remontai vers elle alors qu'elle était allongée et qu'elle ne bougeait plus ; je pris peur. Je la secouai et lui demandai si elle allait bien. Alors elle se redressa, me prit la tête entre ses deux mains et me donna un très long baiser auquel je répondis avec autant de fougue qu'elle me le donnait.
- Tu es un vrai démon : je n'ai jamais joui aussi fort que ce soir ! C'est dingue, à l'âge que tu as... Tu avais déjà fait ça ? Ce n'est pas possible, ou bien tu es un surdoué !
Je lui certifiai que c'était la première fois et je la remerciai parce que, pour moi aussi, cela avait été très bon. Elle éclata de rire !
- Non, non... Tu n'as pas à me remercier ; c'est moi : tu m'as fait découvrir quelque chose de génial. Avant, j'avais peur de me faire enculer ; maintenant, je vais adorer ça ! En tout cas, n'oublie pas ta promesse : tu ne dis rien à personne, et je saurai te remercier pendant toute la durée du séjour.
Je me dis que le séjour allait être vraiment génial...
Tout en parlant, Martine avait recommencé à jouer avec ma bite et, évidemment, au bout de quelques minutes de caresses, je redevins tout dur. Elle me regarda en me sentant grossir sous sa main.
- Mais c'est pas possible : tu rebandes déjà... Super ! Tu vas pouvoir me prendre par devant et me limer le minou de la même manière que tu m'as enculée. L'avantage d'une jeune pousse, c'est qu'elle redevient très vite en forme !
Elle se baissa entre mes cuisses et me prit dans sa bouche. Je sentais sa langue virevolter sur ma bite ; une de ses mains me caressait les couilles, puis un de ses doigts descendit un peu plus bas et vint caresser mon petit trou. J'eus un sursaut qui me fit m'enfoncer d'un seul coup encore plus profondément dans sa bouche. Elle me lâcha, mais elle continuant d'agacer mon anus avec son doigt. - Mais tu aimes qu'on te touche là aussi, on dirait ? Je sens que les vacances ne vont pas être tristes ! Allez, baise-moi maintenant ; mets ta bite dans ma chatte et défonce-moi aussi bien que tout à l'heure.
Je ne me fis pas prier pour obéir, et plusieurs minutes plus tard, c'est au fond de son sexe que j'explosai à nouveau dans un hurlement de plaisir de Martine. Puis elle me dit « On dort maintenant, car demain ça va être dur... » Comme je me levais pour aller dans mon lit, elle me dit :
- Ah que non, jeune homme : tu restes là avec moi ! Je veux t'avoir sous la main quand je vais me réveiller...
Je m'endormis très rapidement, épuisé par cette journée durant laquelle j'avais perdu mon pucelage et sucé ma première bite.
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