Suite Sadique

[ ]

by Fela

email

Published: 19-May-2012

Word Count:

Author's Profile

Story Summary
Disclaimer
This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

Depuis la disparition de Lydia je ne tenais plus en place parcourant la ville en tout sens à la recherche d'un indice; au bordel pour petites filles le tenancier un certain Ruben avait refusé de me voir et une petite fille complètement défoncée au bar m'avait juste dit qu'elle était venue un soir avec une flic en civil et avait disparu pendant la soirée; s'était il y a huit jours ou plus.

Je déclinai les propositions de cette belle gamine et me retrouvai seul avec mon angoisse; Lydia était mon esclave amour; depuis que je la connaissais je ne pouvais passer de longs moments loin de son épiderme de sa douceur du son de sa voix du gout de sa mouille et de sa salive et ses cris pendant nos jeux me rendaient dingues.

Le soleil avait pris en enfilade l'avenida septima et allait disparaitre derrière les frondaisons des palmiers la nuit tropical chaude et prégnante m'enveloppait peu à peu comme surgie du sol et un court instant de détente envahi mon corps; j'étais devant le collège Santa-Laura; un collège pour jeunes filles; de petits groupes de gamines sortaient d'un vaste portail en riant et se bousculant; des grappes de beauté; mon pas ralenti par les dizaines de gamines attendant le bus je pris le temps de regarder et soudain mon regard croisa celui d'une toute jeune fille; de grands yeux noirs profonds comme l'eau de la lagune de Mexico;l'ange soutint mon regard qui n'avait rien d'agressif ni même d'équivoque; à cet instant toutes mes pensées allaient vers Lydia et je n'ai jamais été attiré par les trop jeunes filles; seul le hasard m'avait conduit à faire la sortie d'un collège; j'allais doubler le groupe passant au plus près de la jeune fille quand elle se retourna de nouveau et me jeta un regard délicieusement interrogateur; je sentis son parfum et mon sexe bondit; elle attendait le bus 24 et je me mis dans la file d'attente derrière elle; elle continua sa conversation avec une petite blonde aux cheveux ondulés très maniérée; je l'observais à présent : s'était une de ses merveilleuses fleurs tropicales encore en bouton pleine de promesse; à présent elle soutenait mon regard sans crainte mais sans provocation; je fus pris d'une violente érection et me rendit en même temps compte de son âge; malgré sa taille elle n'avait pas 13 ans; si au cours de ma vie obscure de prédateur j'ai parfois eu affaire à de très jeunes filles j'avoue ne pas avoir d'attirance particulière pour les gamines dépourvues de formes; que peut faire un sadique en l'absence de seins de hanches ....mais je n'étais pas dans la peau de ce personnage démoniaque mon autre moi; j'étais en train de tomber amoureux comme un lycéen.

Cependant le bus étant bondé il me fut facile de rester serrer contre elle; elle semblait s'abandonner à mon contact; quel soulagement quand la petite blonde descendit me jetant au passage un regard glacial; je me pris à sourires et la jeune fille sourit en même temps que moi;

Et toi? tu descends à quelle station lui dis-je comme dans un souffle; elle ne répondit pas tout de suite, laissa son regard errer devant elle vers la lunette arrière du bus soudain presque vide; dehors les trottoirs étaient illuminés par toutes les baraquettes de commerces qui vendent des jus de fruit des fleurs des glaces ou des magazines porno; ici me dit -elle; le bus s'arrêta au coin d'une rue qui montait vers les mauvais quartier dans la pénombre; à l'angle une estancia vendait des glaces; tu veux t'asseoir 5 minutes je t'offre un jus de fruit ou une glace; elle me dévisagea et dit : d'accord et elle s'assit à une table au bord du trottoir croisa haut les jambes sur sa jupe de collégienne posa les coudes sur la table et me dit je boirai bien un jus de papaye; j'étais soudain décontenancé par sa gracieuse tranquillité; Pacho s'écria t elle tu viens nous servir; oh Delicia; Pacho je te présente mon cousin; Alex murmurais je ...Enchanté Alex veille bien sur ta petite cousine car les rues ne sont pas sûres; paroles mille fois redites chaque soir aux filles rentrant à la nuit; Pacho était âgé; je n'ai pas vue ta mère aujourd'hui....Elle ne travaille pas aujourd'hui Pacho tu le sais jamais le vendredi, elle n'a pas cours ....Pacho ne nous laissa pas une minute seule suspicieux; quand j'eu réglé je l'accompagnai dans la ruelle en pente; soudain elle se retourna et me dit : çà t'arrive souvent de suivre les petites filles dans la rue; devant mon air décontenancé elle éclata de rire; je bredouillais toute ma belle assurance s'était envolée; je je suis photographe j'avais envie de prendre des photos de toi; humm et ou est ton appareil, je sortis mon petit numérique Olympus haute définition; en riant elle pris une pose de star contre le mur blanc et je la pris en photo durant 10 minutes sans que le temps ne pèse; nous regardâmes les photos debout; tu me vois comme çà? je ne suis pas une star quand même j'ai l'air d'une vieille de 16 ans là-dessus; elle se moquait mais dans sa voix je perçu une sorte de gêne sensuelle; je dois partir; et quand te donnerais-je tes photos? demain ou jamais ...elle éclata de rire à nouveau;ma vilaine queue me faisait souffrir le martyre; elle posa un bisous sur ma joue et se sauva en courant; attends moi demain à midi à Santa Laura;

Lorsqu'elle eu disparu dans la nuit je me reprochai de ne pas l'avoir forcée à me suivre; la kidnapper, l'amener dans un parc, en faire tout ce que ma cervelle sadique pouvait imaginer; je retournai sur mes pas; et soudain je vis tout ce que cette situation étrange et nouvelle pour moi pouvait m'apporter de volupté.

Arrivé chez moi le souvenir de Desira était si fort que je restai un long moment un verre de tequila à la main puis je reliai l'appareil photo à l'ordinateur et allumai le gigantesque écran plasma qui nous sert à visionner nos fatales vidéos perverses; les photos sont très belles et je les regardait toute la nuit; cette fois pas de sang ni de cri juste un ange merveilleux dont les yeux brillaient de joie de vitalité; un corps d'une souplesse et d'une grâce rarement vue même chez mes plus jolies victimes; je détaillais la moindre surface de peau à la recherche du grain; tandis qu'elle se déhanchait le buste légèrement déporté en arrière la chevelure rejetée d'un seul côté du visage je pu admirer ses cuisses fragiles au dessus du genoux parfait ses chevilles dans de petits nus pieds de cuir rouge ses grands anneaux aux oreilles; je cherchai la forme de sa poitrine; son cou gracile ses lèvres sensuelles; je me masturbai à genoux devant elle en pleurant mon amour mon amour tandis que la brûlure de son bisous s'enfonçait dans ma chair jusqu'à la racine de mon sexe et un jus épais coula loin devant moi vers elle vers cette adorable poupée alors que Lydia était peut-être aux main d'un pervers; cette dernière pensée trouble en plein orgasme décupla mon plaisir ... Je n'arrivai pas à dormir et repensai à ce moment fugace lorsqu'elle a déposé un bisou sur ma joue.

*Je dormi au pied de l'écran jusqu'à 8 heures; Mexico est une ville impossible ou tout le monde vit loin de tout le monde; j'avais deux heures de taxi pour regagner Santa Laura; j'y fus dès 11 heures du matin;

Bien sur le lendemain j'étais en avance au rendez vous; l'air faussement détaché; Elle me surpris en me posant les mains sur les yeux; cette familiarité me combla; je me retournai et posait un bisous sur son nez elle se détourna faussement gênée mais réellement satisfaite d'épater ses amies avec un garçon de 24 ans; tu as mes photos? non mon ange je n'ai pas eu le temps elles sont sur mon ordinateur; tu veux vraiment les voir, on peut...Arrête je n'ai que douze ans mais je ne me laisse pas embobiner par toi; allons plutôt nous promener dans le parc; je trouvai cela décevant mais je jouais le jeu; après tout les amours collégiennes me ramenaient de nombreuses années en arrière; le premier baiser les premiers attouchements à cache-cache avec les passants; nous trouvâmes un banc devant un bassin; elle ne fit pas de façon pour notre premier enlacement; ce fut le paradis sur terre jusqu'à la nuit; mais doigts effleurèrent sa petite poitrine; ses petits seins déjà prometteurs sous l'étoffe de son chemisier n'étaient pas stupidement pris dans un soutien gorge comme beaucoup de gamines de cet âge; elle sursautait comme une pouliche chaque fois que ma main avançait vers une surface de son corps qu'aucun homme n'avait encore exploré; elle avait eu des amoureux mais s'était une fille très saine elle n'avait jamais joué dans les caves à montrer sa petite chatte à des gamins vicieux; elle parlait beaucoup d'elle de ses copines et de sa mère avec laquelle elle vivait seule depuis toujours ignorant le nom de son père qu'elle espérait un jour connaître mais traitait de salaud avec une rage de petite tigresse; mon sexe tendu me faisait mal; assise sur mes genoux elle feignait de ne pas reconnaitre l'origine de cette bosse parfois palpitante dans mon jeans et ne s'en effarouchait pas; je pompais sa divine bouche avec de plus en plus de passion;elle faisait de rapides progrès; la nuit nous surpris et nous restâmes dans l'obscurité; alors je glissais ma main vers son sexe elle entrouvrit les jambes et me laissa effleurer furtivement sa petite culotte moite et renflée; mais elle referma les cuisses doucement m'emprisonnant la main en riant et dit : plus tard quand je saurai si tu m'aimes vraiment .....Je l'accompagnai jusque chez elle cette fois; elle habitait une appartement au rez-de-chaussée et la lumière du salon était allumée; une silhouette s'encadra dans la fenêtre; un visage qui ressemblait au sien s'appuya contre la vitre scrutant l'obscurité; c'est maman elle doit être anxieuse; elle pressa le bout de mes doigts et sans se retourné traversa; je vis en ombre chinoises sa mère penchée vers elle la serrant doucement dans ses bras; leurs profils semblaient si ressemblants qu'on aurait dit deux sœurs jumelles;

Pendant une quinzaine nous nous vîmes tous les jours sauf les dimanches ou je me morfondait en regardant des photos de mon petit ange; j'en avais fais beaucoup d'autres plus sensuelles encore; elle acceptait d'ouvrir son chemisier sur le début de sa gorge et de remonter ses jupes sur ses cuisses laissant entrevoir sa petite culote; elle savait que je me masturbais elle l'avait deviné et me le fit comprendre,; j'avais aussi accès à ces seins; ils étaient fermes et déjà gros pour son âge; j'en étais fou; la coquine acceptait de me caresser la queue mais à travers l'étoffe et moi j'avais le droit de jouer avec sa petite chatte mais l'intimité faisait cruellement défaut; Elle agaçait ma bite bandée à exploser avec son ongle tout en me laissant écarter les très douces lèvres de sa chatte; je léchai mes doigts dans la nuit en pensant à ce délice; Elle mouillait un peu; l'entrée de son petit vagin était si doux que le contact de mon doigt me provoquait une légère coulée de sperme;

Elle m'expliqua que sa mère rentrait certains jours très, très tard de l'université ou elle enseignait les arts plastiques; ces jours là nous errions dans les rues désertes; je lui proposai de louer une chambre d'hôtel dans un quartier éloigné et de la ramener en taxi à l'heure; elle refusa tout d'abord et je n'insistais pas ma patience m'étonnait; mais un jour que je venais la rejoindre dans un petit café ou nous cachions nos amours elle me demanda combien coûtait l'hôtel; je veux payer je ne suis pas une prostituée ajouta t elle en pressant ses lèvres dans mon cou.

Lorsque la porte de la chambre se referma sur nous et que j'eu donné un tour de clef nous nous regardâmes en silence elle le souffle court les bras autour de mon cou moi partagé entre l'envie de tomber en adoration à ses genoux et de la dévorer toute crue; elle pointa sa petite langue entre ses lèvres et la passa sur mes lèvres appuyant doucement avant de l'enfiler dans ma bouche; je la mordillait la tété tout en prenant doucement ses seins dans mes mains; j'avais l'impressions qu'ils avaient grossi; je la déshabillai elle ferma les yeux jusqu'à ce quelle me sente à genoux devant sa chatte baisant son pubis ourlé d'un fin duvet; elle rentra le ventre devant mon avance gourmande mais fut bien obligée de céder et d'ouvrir ses cuisses pour accepter ma bouche;

Lorsque j'obtint d'elle qu'elle s'oublie et ouvre grandes les cuisses elle posa la main sur ma tête et me força à aller plus fort; la petite chatte savait se donner du plaisir j'en étais sur; cependant elle tomba bouche contre ma bouche gouta la saveur de sa mouille; je la branlai encore puis la renversé sur le dos à terre et à quatre pates lui tendis ma bite à sucer, j'étais au dessus d'elle elle n'avait d'yeux que pour ma bite et regardait entre nous deux; mon gland en avançant effleura un téton tout agacé la fraise du mamelon fripée; puis je me posai sur son menton elle soupira releva la tête et ouvrit la bouche pour saisir comme une affamée le bout de mon plaisir; son geste éveilla en moi une brusque violence et d'un coup je m'enfilait dans la chaleur délicieuse de sa langue frappait son palais; elle porta ses mains au devant de moi comme pour se défendre d'une arme; elle se laissa cependant limée doucement; des larmes emplirent ses yeux; je me retirai laissant mon gland en attente devant la moue adorable de mon aimée; elle me regardait à travers un brouillard de larmes; oh Alex, Alex que c'est bon; Alex fais moi l'amour, entre en moi viens, viens; subjugué par sa voix d'enfant je bandait trop fort pour ne pas délirer; je me reculait et me plaçait entre ses jambes grandes ouvertes et contemplait son chaton; elle releva la tête anxieuse; j'écartais les lèvres de son adorable sexe me plongeait dans la fascination des détails de sa jeune fente et dégageait l'entrée du con tout rose et si fragile; l'hymen apparut comme un aveu de vulnérabilité absolue; je m'avançais et pris la mesure du défi en posant mon gland tout contre sa chair délicieuse; pas encore Desira pas encore; elle se retourna rageusement éclatant en sanglot; pour toi je ne suis pas une femme je m'en doutais tu t'amuses un peu c'est tout; je la pris par les épaules toujours bandant; je ne pourrai jamais te satisfaire ajouta telle dans un sanglot; si tu le peux mon amour il y a mille façon pour çà et toutes son aussi belles tu sais; ta bouche est un délice crois moi; quand nous aurons franchi les étapes ton petit cul sera le plus beau cadeau que tu pourras me faire mon ange;

Depuis quelques jours déjà je savais que les choses se passeraient ainsi; j'avais dans la passé violé avec délice des filles plus jeunes encore que Desira au cours de cette de tortures aberrantes mais à présent je voulais progressivement par une voie très douce et très lente la conduire d'elle-même là ou j'avais conduit les autres par la violence et la contrainte; j'avais pris l'habitude de garder dans la poche intérieure de mon blouson en cuir un DVD que j'avais envie de regarder avec elle; la chambre possédait un lecteur de DVD et un téléviseur; viens mon ange il faut que tu apprennes avec moi tout contre moi; je la pris dans mes bras la soulevait et l'allongeait sur le lit puis allumait le téléviseur; l'écran s'éclaira;Desira frémit en découvrant à l'écran la verge énorme d'un jeune homme de 25 ans environ; tu trouves cela beau n'est ce pas murmurai-je plein de sous entendu à son oreille? à genoux devant le jeune homme deux petites filles de l'âge de Desira, face à face, attachées l'une à l'autre par des anneaux perçant leurs tétons, en larme, pressent leurs lèvres; l'homme fait glisser sa bite doucement entre les bouches encore si pures des deux pauvrettes; il pousse les têtes l'une vers l'autre pour augmenter la pression tenant à pleine main chaque chevelure; Desira se laissait fouiller doucement la fente du bout du doigt et je la laissai jouer avec ma queue qui palpitait doucement en gagnant sa position raide; Desira tournant les yeux vers moi se pencha pour la mettre dans sa bouche; tout en tournant les yeux pour continuer de voir l'écran elle me pompe avec tant de douceur de fermeté que je doit lutter pour ne pas jaillir tout de suite; oh mon amour ma petite salope; elle se mit à frissonner légèrement sous le doigt qui la branlait : à l'écran les filles gémissaient; Desira ondula doucement; je pressais le bout de mon index contre le clitoris de la fillette; elle sursauta comme brûlée au fer rouge; Je la branlais ouvertement à présent en la tenant par la taille; mon geste s'accéléra mais toujours doucement; je la couvrais de bisous; sans tendresse il est vain de tenter de faire jouir une fillette de 12 ans; à l'écran l'homme pousse deux grognements obscènes traitant les fillettes de Puta il se retire d'entre les bouches et décharge longuement sur les visages giclant tour à tour sur l'une ou l'autre en leur cognant la tête; Desira tombe, reçoit au même instant mon foutre au fond de sa bouche, elle retire elle-même l'engin tout écumant et son adorable visage reçoit les deux autres longues jutées; un premier spasme la gagne elle passe une petite main sur ma main qui la branle et jouit ainsi en à quatre pattes comme une petite chienne le museau au dessus de ma bite palpitante;

* nous regardâmes d'autres vidéos; Desira répondait si merveilleusement aux images qui la stimulaient; j'avais choisi des vidéos de fellation ne présentant que de très jeunes filles avec des adultes; les scènes suivantes étaient de plus en plus dures; nous nous maintenions dans un grand état d'excitation nous dévorant passionnément et sans relâche; la dernière vidéos me semblait particulièrement dérangeante pour une fille de l'âge de Desira; cependant ma queue commandait mon délire et je laissais les images défiler; à l'écran une jeune femme tenait entre ses genoux une adorable petite fille noire accroupie dont elle pinçait cruellement les tétons faisant jaillir des cris et des larmes; un garçon assez jeune tout nu se branlait en face d'elles; il tenait une baguette à la main et en donnait de temps en temps de petits coups entre les cuisses de la fillette; le garçon s'approcha, frotta sa queue sur les lèvres charnues de la petite fille et poussa sa jeune bite dans la bouche qui ne pouvait se refuser, la tête étant prise en étau entre les longues jambes de la belle salope blonde; il lima longuement encouragé par la jeune femme; défonce cette petite chienne oui, oui hurlait cette dernière; Desira que je léchais à cet instant répondait à merveille; ses images cruelles éveillaient sa volupté, la mouille envahissait ma bouche je dardai ma langue dans son petit con; elle se mit à gémir; la fillette noire empêchée de crier geignait cependant; Desira se déhanchait au dessus de moi; l'intérieur des ses cuisses caressait mes joues; soudain enfoui sous ma petite pute j'entendis le cris de douleur de la fillette noire; je connaissais la scène ou le garçon enfilait la baguette dans le con de la fille en déchargeant sur le visage de l'enfant et les cuisses de sa tortionnaire; Desira ralenti le mouvement de son bassin appuya longuement contre ma bouche et elle jouit en hurlant; oh mon dieu que c'est beau oh mon dieu oui je veux je veux encore, encore; son orgasme fut prolongé de longues répliques; les petites filles sont longues à exciter mais ont des orgasmes très forts et très longs; j'étais fasciné par celui de Desira et je me branlais; je m'étais écarter pour la contempler; en sueur son corps graciles ses seins déjà un peu forts doucement balancés; j'éteignis le téléviseur et nous restâmes dans la pénombre de la chambre à nous aimer; tu as aimé la punition de la petite fille noire Desira? oui, oui je trouve çà si beau si fort comme j'aimerais que tu me punisses ainsi;je le mérite je ne suis même pas capable de donner tout le plaisir qu'une femme doit donner à son chéri; oui mon amour tu dois apprendre être dressée; oh oui dresses moi; désormais tu seras ma chienne ma petite chienne.

Les jours suivants furent de fêtes du sexe; le week-end suivant Desira demanda à sa maman la permission d'aller faire une soirée pyjama chez Féline sa meilleure amie; Féline notre complice; dans la voiture Desira ma caressait la cuisse me posait des baisers dans le cou; ouvre la boîte à gant mon amour; elle sortit un petit paquet cadeau et entrepris fébrilement de l'ouvrir : elle restait muette; je guettais sa réaction : oh Alex....qu'il est beau; je pinçais son genoux; S'était la première fois que Desira venait chez moi dans mon appartement au 11ème étage d'une des tours les plus hautes de Mexico vue panoramique dans quatre directions;

J'avais la pièce principale meublée principalement de tapis et de meubles bas dont un confortable divan très large; le grand écran plasma destiné aux projections de mes œuvres sulfureuses occupait un des murs par ailleurs tapissé de lianes et d'orchidées; mon petit lapin se tenait contre moi impressionnée par le luxe de mon intérieur; je la conduisit vers ma chambre; elle découvrit les peintures sadiques au dessus du lit; scène de chasse de jeunes filles, exécution d'un sorcière, supplice de chrétiennes dans l'arène; elle frémit à la vue des détails si bien rendus; avec complaisance les tortures sexuelles avaient été particulièrement bien dessinées par l'artiste une jeune femme de mes amies; s'étaient des œuvres de commande; Desira se mit à genoux devant moi en entrepris d'extraire mon sexe de mon jeans; elle était très excitante encore vêtue au pied du décors terrible; elle tenait la laisse entre ses mains et me la tendis tu veux bien m'attacher chéri; mets moi en laisse mon amour; je passais le collier autour du cou mais sans douceur presque brusquement;

je le serrai le plus étroitement possible; elle poussa un petit cri contenu; le sang vint brusquement à son visage ma bite effleura son front en sueur; je tirai sur l'anneau de laisse; elle s'étrangla un peu; ce jeu ne la surpris pas; les vidéos que nous avions regardé ensemble en nous branlant mutuellement lui avaient appris que les jeux érotiques sont parfois cruels; mais je déposai un baiser sur le bout de son nez comme pour effacer ce petite excès; Je pris doucement mais rudement son ravissant visage entre mes mains; écoute moi Desira; tu ne m'appelleras plus Alex, Desira, plus d'Alex mon ange; désormais tu diras Maître et tu me vouvoieras. Elle hocha la tête sans répondre; elle semblait très attentive comme une petite fille a qui l'on vient de faire une remontrance; sa contenance me fit bander sous son nez; elle comprit que son air soumis m'excitait au plus au point; elle goba doucement mon gland comme une grosse friandise, le fit rouler entre sa langue et son palais; j'eu droit à la plus délicieuse des fellations; je tenais toujours l'anneau passé dans mon index et je guidai les coups de tête de ma gourmande qui se branlait en même temps; tu n'as pas le droit de te toucher maintenant vilaine petite chienne; elle leva ses grands yeux vers moi, retira sa main et la posa à plat sur ma poitrine; je me laissai pomper longuement interrompant sans cesse la tétée pour la contempler belle en attente le souffle court; je caressait ses tétons; son cul reposait sur mon pied que je faisais jouer avec sa chatte; je partis; lorsque je décidai de jouir elle fut surprise; elle eu du mal à déglutir mon foutre : il en coula sur le tapis, sur son chemisier, sa jupe; elle récupéra tout du bout de son doigt mimant la gourmandise la plus vulgaire.

Oh ma petite putain lui dis-je en l'embrassant partageant mon foutre avec elle tu es une divine petite fille douce comme une petite chienne; oh monsieur je ne suis pas si jolie ni si bonne que vous le dîtes; ma maman m'a rarement donné la fessée mais je suis une petite fille entêtée et souvent impertinente et moqueuse; j'appréciais le discours de mon aimée; je l'avais mise nue et détaillais une nouvelle fois ses charmes; un grain de beauté dans le pli de l'aine me fascinait; j'y posais un peu de foutre comme on marque un territoire; Desira il faut que tu rentres chez toi à présent mon amour; désormais tu rentreras à pied et de nuit; ma chérie fut doublement effrayée; par la peur d'être agressée et la crainte d'être en retard; elle songeait comme moi à l'anxiété de sa mère; tu seras obligée de dire que tu as rencontré un garçon ajoutai je; elle tomba à genoux et cette fois me supplia sincèrement; imaginant les risques qu'elle courait dans cette ville, la plus violente au monde après Bogota, je bandais cruellement; j'imaginais son angoisse; je la voyais partagée entre l'envie de courir et le supplice de paraître tout à fait calme; cependant elle releva le défi; par amour me dit-elle; vous voulez savoir si votre petite chienne est courageuse Monsieur; de grosses larmes coulaient sur ses joues alors que je la poussait doucement en dehors de mon appartement; cependant l'idée de la suivre germait dans ma tête; l'épreuve que je lui infligeait avait pour but d'attirer l'attention de sa maman; vêtue comme elle était elle risquait gros; sa mère allait téléphoner chez Féline et apprendre la vérité; sa mère voudrait me connaître sans doute; elle se rendait compte que l'élève parfaite toujours première de sa classe avait beaucoup changé en peu de jours .

Je la suivi en effet bandant comme un fou; savourant chaque fois ou un homme ou même une femme abordait cette trop jolie fillette toute seule sur les boulevards en pleine nuit; seule en teeshirt en short très court en escarpin elle avait l'air d'une petite pute; en jouant avec elle je l'avais maquillée; j'avais maquillé ses ongles ses lèvres le bout de ses tétons et son clitoris; près à intervenir pour la retirer des pattes d'un sadique; elle marcha deux heures; elle fini par quitter ses chaussures marchand sur le bitume encore brûlant; passant au bord d'un parc une femme la héla; fatiguée elle s'assit sur un banc à côté d'elle; la femme l'enlaça la baisa la branla en pleine rue; ma petite chienne se donnait désespérée; elle me dit ensuite qu'elle l'avait pour moi pour ce que j'imaginais qui devait arriver sur le parcours; peut-être veut il que l'on me viole aussi se dit elle en se laissant masturber par la pute ravie de trouver ainsi une chevrette pour s'amuser; la pute était encore jolie; pour la première fois de sa court existence Desira se retrouva entre les jambes d'une jeune femme.

Elle admira la chatte épilée de la jeune putain; elle savait servir à genoux depuis à peine quinze jours et pourtant elle le faisait avec tant de naturel et de douceur que la jolie pute ne mit pas longtemps à mouiller comme une limace; Desira fut surprise par le gout du sexe de la jeune femme; elle ne savait pas si cela lui plaisait ou simplement l'excitait sexuellement; la jeune femme jouit brutalement sans ménagement pour le visage de mon ange; puis sans faire attention à sa lécheuse elle se leva alluma une cigarette; détale petite conne sinon j'appelle du monde qui s'occupera de ta chatte; elle éclata de rire; Desira hâta le pas elle était rendue dans son quartier; j'aperçu la tienda du coin de la rue et Pacho qui rangeait ses chaises; elle couru et se précipita dans ses bras en larme; garé de l'autre côté je vis le vieil homme agiter le poing vers la ville et ses ténèbres en jurant; puis il posa une vieille veste sur les épaules nues de mon ange et la tenant contre lui comme un père la conduisit en haut vers l'immeuble au rez-de-chaussée duquel la lampe extérieure brillait faiblement dans les ténèbres épaisses de la nuit tropicale; à pied de loin me cachant j'assistais aux retrouvailles sur le perron; la voix de maman, si claire comme un chant de désespoir, les bras de la belle jeune femme à la peau mate enveloppant le petit corps que j'avais souillé durant plus de 24 heures; la scène ne dura pas hélas; les femmes entrèrent dans la maison; la lumière fut éteinte; Pacho redescendant passa tout près de moi; il maugréait contre les maquereaux qui dirigent cette pute de ville;

Toute la nuit je songeai au risques que je venais de prendre : perdre tout à fait Desira; elle aurait pu être massacrée dans la rue sous mes yeux; en rentrant chez elle prise de remord elle pouvait avoir tout balancé à sa tendre maman et jurer de ne plus jamais, jamais recommencer; je suis un joueur j'aime remettre le gain en jeu; cette fois j'avais sans doute été trop loin; pas une cartouche de rechange; je me mis à penser à Lydia et regardé une vidéo particulièrement atroce pour passer mon angoisse; une fille de 16 ans pendue par les poignets se faisait défoncer par une dizaine de Skin Head; la fille ne cessait pas un instant de hurler durant les vingt minutes du supplice; chacun la charcutait au couteau à la queue de billard à la bâte de baseball; les premières images montraient son délicieux minois en gros plan; elle pouvait avoir 15 ans tout au plus; blonde presque rousse; une longue chevelure ondulée des yeux magnifiques agrandis par la terreur; une larme coulait sur sa joue; elle reniflait; le plan durait bien 3 minutes; intense; on entendait les voix sourdes des hommes sans distinguer leurs propos;

La vidéo venait des Etats-Unis; s'était un snuff movie de la firme No Mercy; la caméra détailla lentement les formes de son divin corps; mince sans être maigre avec une forte poitrine un peu lourde pour son âge; sa chatte avait été pénétrée par un énorme plug et le sang ruisselait le long de ses cuisses; les bites des hommes étaient monstrueuses; le casting s'était fait visiblement sur ce seul critère; outre cela les skin n'avaient pas du voir de femme depuis des jours; la cocaïne déformait leurs pupilles; on aurait dit une bande de chacal dévorant un proie; lorsque la fille fut enfin morte les seins détachés du buste foulés au pied le cœur sorti de la cage thoracique puis enfoncé dans le vagin je senti la nausée m'envahir et allait vomir; pour la première fois ce filme ne faisait pas perdre une seule goutte de foutre; pourtant Lydia et moi avions souvent baisé devant l'écran en le passant en boucle détaillant les ravissantes contorsion de la victime, les expressions déchirantes de son beau visage qu'un salaud fouettait de sa pine en crevant les yeux; Lydia prise en levrette; sa belle petite figue préparée par ma langue; ma perverse amie au con si chaud au muscle si doux; tous deux faces à l'écran; j'éteignis la lampe et passé des photos de Desira jusqu'à l'aube;

Le lendemain était un lundi; je restai prostré tout le jour; puis une semaine passa, j'allais traîner prudemment du côté du collège; mais Desira manque les classes toute la semaine; je pris quelques cuites dans des bars à putes et commis quelques excès cruels dans les caves de ses établissements ou une petite fille vaut à peine le prix d'une course en taxi;Mexico est une fleur en décomposition et j'en suis le rejeton;

Un jour je ne sais plus lequel vers six heure du soir la sonnerie du téléphone me ramena à la réalité; Severine habillait sa colère d'une voix si professionnelle que je cru qu'elle démarchait pour un abonnement à internet; elle me parla longuement d'elle de sa fille; elle dit que nous devions nous rencontré très, très vite;que Desira ne parlait que de moi; tu es un adulte tu dois prendre tes responsabilités si tu l'aimes; la différence d'âge me gêne beaucoup mais puisqu'elle est amoureuse; elle n'a pas eu de père tu le sais salaud c'est là-dessus que tu joues; mais moi aussi je suis fautive au combien; soudain elle se mit à pleurer; je lui dis simplement ou voulez vous que nous nous rencontrions? sera-t-elle avec vous? moi aussi je crève de ne pas la voir...

Il vaut mieux que nous soyons seuls; Desira est sous calmant; elle ne quitte pas sa chambre; elle délire dans sa fièvre; tu peux dire que tu as fais un beau travail salaud; elle ne savait ou me donner rendez vous je lui proposai un des bars louches ou je retrouvais d'ordinaire ma petite chienne; le rendez vous fut fixer au lendemain après midi; Le plan que j'avais échafaudé semblait pour l'heure fonctionner; mon ascendant sur la petite fille avait déterminé la maman à bouger; elle n'avait pas menacé ni appelé les flics; elle avait pris sa part de culpabilité dans cette affaire; s'était ce que je souhaitais; qu'elle s'accuse d'être une mauvaise mère; j'avais été vigoureusement défendue par ma petite amante; mon ascendant s'exerçait sur la mère par l'intermédiaire de la fille; je bandais à l'idée d'agir sur cette jeune femme que je ne connaissais que par quelques photos qu'Elodie avait toujours sur elle; Severine était plus que belle; un délice; elle semblait avoir été faite pour l'amour et rien que çà; je dirai pour souffrir et rien que çà; son remarquable visage exprimait cependant une sorte de détachement devant l'existence; j'imaginais ma Desira au même âge : elle se ressembleraient sans nul doute; ma queue palpita doucement à la promesse d'avoir en ma possession la même femme à deux âges différents de la vie : la vierge et la mère ensemble; je chassais cette idée car trop chimérique encore; ce très beau regard exprimait un renoncement; une tristesse; à la connaissance de sa fille Severine n'avait de relations ni avec un homme ni avec une femme; sa vie sentimentale était morte; rien ne permettait de dire qu'elle avait parfois une vie sexuelle; sa poitrine paraissait fort belle D sans doute pour le soutien gorge me dis je; cependant la retenue de la jeune femme semblait dire que de ses seins, aussi bandants soient -ils, elle ne tirait nulle vanité, gommait leur présence par sa voix très neutre et son regard froid; pourtant ses mamelles pouvaient, tout comme ses longue jambes, constituer un piège mortel pour l'homme ou la femme qu'elle aurait voulu séduire; cependant les rôles étaient inversé; c'est moi qui menait le jeu .

Elle quitta ses lunettes de soleil; son merveilleux visage s'offrait à moi sans réticence aucune; elle faisait penser à un émissaire envoyé pour négocier la libération d'un otage; je l'avais vu entrer dans le bar enfumé; à contre jour; sa silhouette magnifique très légèrement chaloupée s'était glissée un peu hésitante entre les tables occupées par de jeunes couples désœuvrés;dans ce bar à lycéen se trafiquaient les petites amours et la came; les filles y étaient souvent mignonnes; Séverine détonnait en tailleur beige chemisier vieux rose, elle tenait par la poignée une petite mallette d'enseignante en cuir rouge; je songeais au cuir du collier de Desira et un frisson me parcouru l'épine dorsale; s'était une femme magnifique; j'admirai sa façon de poser son beau cul sur la chaise créole en bois sombre d'un mouvement de hanche ravissant; sa ressemblance avec ma petite esclave me levait queue car c'est à cette table même que j'attendais ma Desira à sa sortie du collège;

Je suis en retard et vous demande de m'excuser Alex...il est vrai que depuis 8 jours je suis si troublée que j'oublie facilement l'heure; sa voix me comblait; elle avait quitté ce ton affecté qu'elle avait eu au téléphone hier soir; elle poursuivit : Desira se nomme ainsi parce que je l'ai voulue, oh voulue très, très fort contre le gré de l'homme à qui j'ai pris un peu de semence pour la fabriquer; toute à moi; pas à lui; je ne vous dirai pas qui il est; mais sachez qu'il vous ressemblait beaucoup; Desira m'a montré des photos de vous : la ressemblance est si nette que j'ai pris peur en observant vos traits;

Oh Alex sachez que je l'ai aimé et sacrifié à mon égoïsme; cet homme vit à l'étranger; il cherche parfois à me revoir; il m'a baisée comme une truie; et j'ai accepté car cet homme m'excitait par sa force sa violence sa puissance son intelligence; un brillant chirurgien un professeur une brute un porc siffla-t-elle; elle parlait le visage tourné vers un jeune couple qui se bécotait sur une banquette dans un angle;

Elle vous haie lui dis-je brutalement; elle dit sans cesse qu'elle vous adore mais elle vous haie de l'avoir privée de père; vous comprenez pourquoi elle est avec moi bien sûr; allez vous encore une fois la priver de ce qui lui manque le plus au monde;

Elle me lança un regard désespéré; mais tu la baises salaud; tu baises ma fille fumier;elle vient à peine d'être réglée; tu es un pervers dangereux un sadique; elle m'a tout raconté, tu sais; j'ai vu le petit collier de chienne, la médaille, toute cette merde sado-maso; elle éclata en sanglot; je posai doucement ma main sur son genoux sous la table; elle sursauta mais me laissa faire; elle aime çà; tu comprend Séverine que ta fille aime çà; à cause de ce qui lui manque ....elle aime faire la petite chienne à genoux devant ma bite tu comprends çà Séverine?; je parlais très lentement ma voix cherchait à s'insinuer en elle, fouiller sa chair, son cerveau; ma voix voulait la faire vibrer tandis que du bout des doigts je caressais sa cuisse; je détachais chaque mot pour qu'il se vrille en elle comme une épingle dans un téton;

Je détaillais nos orgies; Desira en petite putain délurée; je me délectais de détails; elle ferma les yeux gémissant doucement tandis que mes doigts atteignaient la source chaude de son plaisir; sa chatte ouverte sous l'étoffe délicate d'une lingerie raffinée; abricot trop mur plein de jus; elle souffrait et mouillait à la fois; je détaillais longuement les séances vidéos; la cravache; le visage plein de foutre; j'écartais le slip laissant le courant d'air du ventilo posé sur le sol lécher la chair si délicate de sa moule; Severine remuait doucement comme une gamine qui a envie de faire pipi; j'étais restreint par la distance sous la table elle tendit son cul vers moi pour accueillir mon index dans son con; autour de nous personne ne semblait remarquer quoi que ce soit; la salsa couvrait ma voix et je devais parler assez fort; oh non, non, pitié, tu n'as donc pas pitié d'une maman? ordure, chien, salaud; elle continuait de m'invectiver tandis que la première phalange de mon index testait le contour de l'orifice vaginal; tu mouilles comme une putain lui dis-je avoue que ce que je fais à Desira te fais jouir sale conne; elle pris ma main et poussa mon index loin à l'intérieur de sa chatte; de la soie pure;ma bite aurait soulevé la table; tais toi hurla t elle; elle se leva ramassa la sacoche rouge et parti en courant; je la rattrapai à l'entrée du parc ou nous avions joué avec nos sexes pour la première fois Desira et moi; viens ici tu ne vas pas filer comme çà; j'ai une proposition à te faire; tu vas me reconnaître comme le père de ta fille et nous aurons la garde alternée; elle était appuyée contre le tronc d'un tulipier géant; les pétales tombaient dans sa chevelure à présent défaite; à cette heure peu de monde passait dans l'allée je soulevais la jupe de son beau tailleur crème écartait l'élastique de sa petite culotte sorti ma bite et la clouait contre l'arbre à grand coup de reins; alors putain tu me donnes ta fille? elle hocha la tête en signe d'assentiment tandis qu'elle recevait le prix de la transaction sous forme d'un flot de foutre épais;

L'après midi même nous avons loué une chambre d'hôtel et baisé longuement; elle attendait de moi que je transgresse ses belles petites manières de baiser sans surprises; elle m'avoua ne pas avoir fait l'amour depuis plusieurs années; chaste; se masturbant par hasard; toute à l'amour de sa fille; sans concession pour les hommes qui la courtisaient étudiants ou collègues;

Je voulais revoir ma petite complice le plus vite possible; il fut décider d'aller à l'état civil et chez le juge des affaires familiales des le lendemain; Desira devait nous accompagner car son consentement était requis; lorsque l'eûmes mis au courant de nos projets pour elle, Desira battit des mains et saut au cou de sa maman; puis sous les yeux de cette dernière elle vient lentement vers moi passa ses bras autour de mon cou et dit; je ne pourrais jamais vivre sans vous monsieur; je lui dévorai la bouche de longues minutes caressant son petit corps de petite chienne adolescente; Severine toute a son trouble serrait les cuisses l'une contre l'autre la respiration courte; la scène lui plaisait; chez la juge nous avions l'air d'un couple de jeune mariés Desira et moi; Severine avait fait le nécessaire; elle fut convaincante; les formalités accomplies je réclamais la première garde; mes retrouvailles avec mon amour se firent dans une débauche sexuelle démentielle;

J'avais préparé une pièce pour elle, une chambre transformée en chenil tapissé de photos porno de petites filles se faisant prendre par des chiens ou suçant le mince chibre rouge de jeunes chiens; une simple couverture sur le sol; des anneaux scellés en différents endroits des murs et du plafond; sa mère l'avait déposée avec son sac de voyage et des vêtements pour une semaine; dès qu'elle fut devant moi je lui ordonnai de se mettre à quatre pattes; elle portait désormais le collier avec la petite médaille; elle était vêtue d'une robe d'été; montre moi ton cul tourne toi; elle s'exécuta; écarte ton slip que je voie ta fente; elle repoussa l'élastique et sa petite figue se retrouva saillant légèrement comprimée; branle toi mon ange; doucement; elle resta à genoux en équilibre sur un poignet et sa main gracieuse se mit à jouer avec sa chatte; un peu d'humidité brilla entre ses grandes lèvres; elle se caressa en poussant de léger soupirs; j'avais préparer un gode de petit diamètre je le posai devant moi; assez salope retourne toi et viens chercher; elle vint le prendre entre ses dents; à l'aide de la télé commande de fermai les rideaux et allumai l'écran plasma; une fille de 13 ou 14 se tenait debout devant la caméra en larme toute nue jambes entrouvertes; une voix off se fit entendre une voix basse persuasive et insidieuse; Corinna quel âges à tu? 13ans répondit elle au milieu des larmes ruisselant sur son ravissant minois; Corinna tu sais pourquoi tu as été battue aujourd'hui, dis le devant la caméra; j'ai, j'ai été battue parce que je suis trop trop mignonne et que çà vous plaît de me battre ...; c'est bien, très bien, tu as bien répondu; montre comme ton petit derrière rebondi à été traité; la fille se retourne tout en gardant le visage dirigé vers la caméra; ses belle petites fesses portent des marques de coup de cravache; deux fortes épingles sont piquées dans la raie; des traces de sperme dégouline du creux des ses reins tout le long de ses petits cuisses; allons retourne toi et remets toi droite ... que désires tu Corinna à présent? j'aimerais beaucoup être dépucelée maître; vous me l'avez promis; Non Corinna ta conduites n'a pas été irréprochable; qu'à tu fais cette nuit? je me suis branlée maître...mais c'est vous qui me l'avez ordonné....; une gifle projette la tête de l'adolescente et laisse une marque sur sa joue; tu mens c'est toi qui t'es branlée pour ton plaisir égoïste petite putain; mais tu seras dépucelée quand même mais pas comme tu t'y attendais; prend se gode et enfile toi le toute seule comme une grande tu as 5 minutes pour faire entrer les 25 cm dans ta chatte;

Desira regardait la scène accroupie le gode entre ses jolies quenottes; je frottais mon gland dans sa chevelure; Desira tu vas te dépuceler l'anus pendant qu'elle se dépucèle le con;

Desira me jeta un regard déçu elle espérait que je la dépucèle avec ma bite; mes tentatives à l'entrée de son con m'avait persuadé d'attendre que nos jeux assouplissent son petit trou; je ne voulais pas l'endommager j'avais besoin qu'elle me serve longtemps; et puis je voulais convaincre Séverine d'assister à cette belle cérémonie; mais l'anus m'importait comme substitut et je voulais que ma chienne fasse preuve de soumission absolue en se perçant elle-même; mon gland enfoui dans l'épaisseur de ses cheveux ressentait avec délice ses mouvements incontrôlés et ma queue toute droite se frottait contre son crâne; allons mets toi à genoux tends les fesses vers l'arrière; je me penchai pour langotter la petite rondelle toute propre; nous n'avions jamais utilisé cette partie de son corps; j'y crachais un gros paquet de salive puis lubrifié l'entrée du conduit; cela suffira mon ange; pour ma part je déteste les crèmes; elles dénaturent l'aspect de la peau; prend le gode à la main et enfile toi le; il faut que tu ai terminé en même temps que la petite blonde; tu n'es pas plus idiote que cette petite américaine allons vite mon amour ou je te trique avec ceci; je passais une règle en métal sous ses yeux et la fit rebondir sur ses tétons; tandis qu'elle écartait d'une main ses petites fesses et de l'autre approchait la pointe de l'olibos du trou charmant la fille à l'écran refusait 'obéir et recevait sur les seins la raclée que je venais de promettre à Desira; le sang gicla si fort qu'une goutte ruissela sur l'objectif de la caméra; la petite femelle n'était pas aussi bien considérée que ma petite chienne; elle hurla de douleur et du reprendre une pose correcte pour recommencer à se dépuceler; une caméra en gros plan offrait tous les détail; la gamine devait faire son possible pour que nous apercevions l'hymen intact; cependant Desira se contorsionnait relevant une cuisse pour mieux introduire le métal dans son cul; j'avais envie de la battre; je pris une baguette de bambou; les cris de la fillette blonde semblait la stimulé; 5 cm étaient au chaud déjà dans son colon; j'appliquai plusieurs coups de baguette au bout des tétons qui tressautèrent joliment me faisant bander dur; le gode était à présent bien enfiler et ma salope semblait ne pas trop souffrir; la fille à l'écran avait percé l'hymen mais s'était arrêtée dans sa progression les coups recommencent à pleuvoir sur son ventre son pubis ses cuisses; ce sont des morceaux de peau qui volent; je n'avais jamais vu une telle fustigation; Desira que ce spectacle excitait poussa le gode au fond de son cul tandis que je m'agenouillais près d'elle pour prendre sa bouche et branler son clitoris;

Indifférent au sort de la fille à l'écran dont seuls les hurlements nous parvenaient je récompensai ma belle la branlant d'une main et maniant le gode de l'autre; elle ressenti ainsi pour la première fois le double plaisir qu'adore les vrai salopes; dans une fontaine de sang la jeune fille blonde s'était effondrée sur l'énorme gode visiblement ses jours étaient comptés; 4 hommes entrèrent dans le champ de la caméra est déchargèrent sur ses épaules dans ses cheveux le bas de son dos; un des hommes lui frictionna la tête en riant comme pour un shampoing; mais la fille ne bougea plus; deux filles de 16 ou 17 ans souriantes vinrent la tirer par les chevilles la caméra la suivi quittant la pièce; elle était lubrique le gode enfoncé jusqu'à la chatte écarquillant sa vulve; Desira qui n'avait jamais encore vu de scène aussi cruelle était au comble de la transe; elle prononçait des mots cruels et incohérents; oh foutre qu'elle pute qu'elle crève humm mm; j'étais moi aussi dans un état extrême de voir à quel point mon petit ange avait soudain atteint un nouveau palier dans la débauche la plus sale; je la plaçai à genoux contre un miroir la tête coincée entre les deux espaliers qui me servent pour la musculation, le visage tourné vers son reflet; embrasse toi mon amour; puis je m'agenouillé, retirai le gode; elle poussa un petit cri bref; je contemplai l'orifice dilaté tout palpitant et m'enfilai jusqu'au couille le torse collé contre le dos gracile de ma petite chienne; elle donnait des coups de langue sur l'image de sa langue; il ne fut permis que quelques allez retour dans ce beau cul; le temps de m'intoxiquer à jamais de cette chair et de devenir accro à jamais; j'emplis son cul d' un torrent de foute; je voulais qu'elle sente comment je marquai ma présence pour toujours; je déculai et il me resta de quoi honorer sa peau d'un jet ivoirin qui barra en travers ses deux adorables fesses.

Lorsque j'avais la garde de ma chienne le matin je la conduisais au collège; et dès 17 heures parfois avant elle était à moi; livrée à mes fantaisies perverses; Un jour Severine voulu voir comment sa fille était installée; elle découvrit le somptueux appartement et s'extasia; l'argent de la maffia permet de vivre au dessus du commun des professeurs d'université; quand elle vit la niche de sa fille elle se mit à pleurer;mon dieu mon dieu qu'ai-je fais de confier mon ange à un tel monstre; allons maman chérie ma niche et jolie et monsieur Alex la bien arrangée regarde j'ai pour faire mes besoins et ma gamelle et toujours pleine; Je souriais; cependant Séverine voulait me voir pendant que ma chérie était en cours; au début nous nous rencontrions au bar los Olvidados; mais bien vite nous eûmes envie de nous retrouver au lit; Séverine m'avouait ses fantasmes refoulés son masochisme; elle parlait du vrai père de Desira; elle aurait aimé inconsciemment qu'il la traite comme je traitais sa fille; à présent elle était avide de connaître les détails de nos orgies; elle se branlait ouvertement devant moi tandis que je racontai en détail; j'amenais aussi la caméra et elle découvrait son petit ange se livrant à l'infamie.

Cette belle jeune femme me donnait beaucoup de plaisir; j'aimais la voir marcher à quatre pattes comme une jeune louve; elle se prêtait de plus en plus à la débauche; jusqu'à lors elle m'offrait de splendides fellations; mais un après midi qu'elle n'avait pas cours je l'emmenai chez moi; je la plaçai sur mon lit au pied des scènes cruelles peintes par Sadia ma perverse amie peintre; Severine frémit un peu; je la positionnai au millimètre près accroupie cuisses ouvertes le plus largement possible; je lui liais les mains sur les cuisses à l'aide de lacets de cuir; je serrai très fort et j'obtint les larmes dont j'avais besoin pour bander; je mesurai soudain les progrès que Severine accomplissait; je devinais qu'elle voulait éprouver les sensations qu'éprouvait chaque nuit Desira; jalouse me dis-je pute jalouse de sa fille; elle en voulait encore plus sans doute; toujours plus; je m'assis en face d'elle un verre à la main; tu es une ordure Severine tu le sais;

Une belle délicieuse saloperie qui a donné naissance à une petite putain la chargeant inconsciemment d'être pute à ta place pendant que tu parades à la fac en tailleur avec tes gros seins que tu ne donnes à personne à téter; salope et à présent tu es jalouse comme une gamine de 15 ans jalouse de ta fille; oh je t'en prie oui je suis morte de jalousie ne suis-je pas aussi chienne qu'elle? tu la préfères n'est - pas? que faut ils que je fasse pour que tu me prennes moi aussi avec toi?

Il faut que tu acceptes de me donner ton âme et ton corps que tu acceptes de m'appartenir comme un objet; que tu signe un acte de renoncement à toi-même; que tu me donnes tout ton argent; alors oui je te réduirai en esclavage; mais avant cela je vais te coudre la chatte je mettrai à l'intérieur de ton con la promesse de don dans un préservatif; ensuite tu auras une épreuve une seule à accomplir et tu seras à moi; elle mouillait si visiblement que j'eu envie de lui clouer la gorge avec ma bitte en la tirant par les cheveux; je cognai sa jolie tête contre le mur jusqu'à ce que le foutre vienne; je me pressai contre ses narines et lui fit monter le foutre au cerveau; Elle fut prise d'une terrible quinte de toux elle vomit du foutre sur ses beaux seins et je le recueillais du bout des doigts pour en tartiner sa chatte écarquillée; je fourrai trois doigts dans son con; puis la main; je partais à la rencontre de sa matrice; la pute se raidit se cambra soudain son beau buste longiligne étiré vers le haut la tête rejetée en arrière dans un râle ses mamelles dégoulinantes sur mon visage; j'enfonçai jusqu'à avoir l'impression que mon poing avait atteint sa taille; cette nuit là j'avais manigancé pour que Desira aille dormir chez sa jolie Féline; Desira avait comme ordre d'initier Féline aux plaisirs saphique; elle devait réussir ou être sévèrement punie d'un weekend entier ave un plug dans chaque orifice; Sadia devait me rendre visite curieuse de découvrir ma nouvelle chienne; Sadia en artiste transforme toujours mes conquêtes en objet d'art moderne;Après avoir fister Severine jusqu'à la faire pisser sous elle je la corrigeai à la cravache lentement méticuleusement en détail de la plante de pieds à la nuque; ponctuant mes coups de languides caresses du bout de la lanière de cuir entre ses cuisses; elle, à genoux, bien ouverte, face à mon grand miroir; la vue de son propre malheur l'excitait visiblement; je lui avait libéré les mains; elle devait se branler pendant que je vexai ses seins de grands coups espacés; je m'interrompais fréquemment pour la contempler, j'avait tout mon temps; je me branlais sur ses yeux; lorsque j'eu faim je la tirai à la cuisine à côté de la table; je posai une casserole brûlante emplie de chili con carne sur son beau cul espérant qu'elle la renverse; elle ne poussa qu'un faible cri tournant brusquement son ravissant visage vers moi les yeux pleins de souffrance se mordant les lèvres pour ne pas crier; j'étais dépité je piquai ma fourchette dans son épaule; cette fois la casserole se répandit sur le sol; elle nettoya avec sa langue jusqu'à la dernière tache de sauce tomate; tu auras mangé à l'œil putain tu te débrouilles bien allons montre moi ton cul; elle se retourna je vis la marque circulaire à cheval sur ses deux splendides fesses; à cette vue je rebandai vite des idées cruelles plein la tête; je me levai et gagnai mon bureau allumait l'ordinateur.

Reprenons Séverine; allons mets toi debout devant moi cuisses ouvertes que ta chatte m'inspire; mon appareil numérique était relié au grand écran plasma je fis une série de clichés de cette chatte adorée puis de ses beaux seins lourds aux mamelons brun rose aux bouts si érectiles que le souffle d'un ventilateur les fait bander; j'adore les seins de Severine; j'attends avec impatience de pourvoir façonner ceux de sa fille jolis à voir mais trop verts pas assez sensuels pour ma queue; oui pour ma queue car j'aime me branler sur les seins des filles entre les seins; si je puni fréquemment souvent les seins et de la manière la plus cruelle c'est sans doute que je ressent une dépendance énorme et qu'un maître n'aime pas se sentit lier ainsi par ce qui n'est dans le fond qu'un jouet sexuels interchangeable consommable jetable...

Ecoute un peu ce que j'écris Severine : Moi Severine Alvarez 28 ans née à Guadalajara en 1978 Décide par cet acte donner au Señor Alex Duran mon corps mon âme et tous mes biens afin qu'il puisse légitimement s'amuser de moi sans limite même si cela devait mettre en péril mon intégrité physique car je l'aime et souhaite de tout mon cœur souffrir et mourir pour lui. Je demande pardon au Señor Ales Duran pour mes imperfections mes défauts mes manques et le prie de m'accepter comme une chienne que je suis; je lui donne aussi les même droits absolus sur Desira objet que j'ai mis au monde pour son plaisir et dont il pourra user à volonté; A Mexico le 30 juin 2005

Severine s'était mise à trembler; les larmes coulaient sur son beau visage; tu vas la recopier de ta belle écriture dis je en imprimant les texte sadique; je du lui cingler les cuisses à la badine pour qu'elle m'obéisse; quand elle eu fini je la fit relire; sa voix tremblait mais je constaté que sa vulve s'était légèrement entrouverte; un doigt dans son con me permit de vérifier qu'elle mouillait; bien ma chérie signons alors; je l'approchai de moi écarté ses grandes lèvres dégageai son clitoris et le piquai avec une longue aiguille; je recueilli un peu de sang au bout d'une plume et ainsi signa-t-elle :

Je pris un petite tube en plastique et roulai le document très finement pour l'y introduire; assied toi dans le fauteuil les cuisses sur les bras du fauteuil le cul vers l'avant; je l'ajustai encor une fois et l'enconnais après quelques va et vient je me retire et enfonce doucement le tube que je pousse jusqu'à la matrice avec ma queue .

Elle respirait très fort ces beaux seins se soulevant en cadence sous mes yeux; je pris du fil de chirurgie et une longue aiguille et entrepris de lui coudre la chatte depuis le haut de la fente; je faisais de petits points réguliers et serrés laissant juste une boutonnière au niveau du méat urinaire; satisfaits de bien faire souffrir ma belle Severine je bandais très fort;

Dernière étape salope; comme je te l'ai dis je ne t'accepterai que si tu remplis une autre conditions; tu dois subir quelques aménagements pour mon confort; d'abord j'ai une dette envers une amie Sadia dont tu as apprécié les tableaux peints accrochés dans ma chambre; je veux lui offrir un bijou unique comme elle les aime; j'ai besoin de tes jolis tétons; je veux que tu les fasse toi-même trancher par un chirurgien afin de les inclure dans les perles de résine que je monterai en sautoir pour orner le beau cou de mon amie; cette horreur dite mon foutre faillit partir entre les jambes de Severine qui me regardait hagarde, les lèvres entrouvertes; elle éclata en sanglot; et tomba accroupie à mes genoux; je la tirai par les cheveux; elle me dit vous mentez maître ce n'est pas possible; oh ne t'inquiète pas mon amour j'ai fait réaliser de jolis implants en or terminés par de petits anneaux qui t'irons à ravir; c'est toi qui offrira le collier à Sadia en mon nom je suis sur qu'elle appréciera elle aime les belles femmes et tu sera récompensée crois moi; je ne précisai pas comment; mais j'ai aussi demandé au chirurgien d'aménager tes seins pour un fantaisie que je n'ai jamais pu réaliser; il ménagera une fente très serrée à travers ton sein tout contre sa racine de bas en haut; cette jolie fente ne sera visible que si l'on soulève un peu tes mamelles; c'est la que j'entrerai ma bite; l'ouverture en haut laissera passer le foutre vers ton visage; cette fois Severine éclata d'un rire dément et pour la calmer je du m'enfoncer dans sa bouche et la malmener jusqu'à ce que mon foutre éclate à nouveau en quantité si abondante qu'il est grande partie régurgité et s'écoule au bord de son menton.

The reviewing period for this story has ended.