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Published: 27-Apr-2012
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Le lendemain, après le viole de ma fille, je me réveillai en pleine forme. Comme ci un poids avait quitté mes épaules.. Je me sentais léger, de bonne humeur. Aussi, au lieu de partir en salle de muscu, je suis allé acheter des croissants. De retour chez moi, je prépare le petit déjeuner et je pose tout sur un plateau que je monte a la chambre de ma fille.
Lorsque j'ouvre la porte d'une main, j'aperçois ma petite puce endormi encore vêtu de sa robe, un peu de sang séché zebré ses cuisses ainsi que de mon sperme. Je l'a trouvait excitante! En faisant le tour du lit, j'aperçus au sol, plusieurs boulette de mouchoir en papier, j'en conclu donc qu'elle avait pleurée.
-Ma pauvre chérie... Murmure ai-je tout bas, pour ne pas la réveiller.
Doucement, j'ai déposé mon plateau et m'assis sur le lit, j'eus a peine le temps de poser ma main sur son épaule qu'elle s'éveilla en sursaut. Les yeux ronds, emplit de frayeurs, de haine et aussi de honte. La bouche aussi s'arrondit pour crier, mais aucun son n'en sort. Elle se recroqueville dans sa couette et me regarde avec peur.
- Petit déjeuner! Annonçais je gaiement, presque satisfait de voir ma fille me craindre.
- Je .. je n'ai pas faim.. Murmure t-elle avec peine a dissimuler son angoisse.
Je souris légèrement et me lève pour prendre le plateau et le poser a côté d'elle.
- Écoute, ma chérie..Je vais pas tourner autour du pot. Je t'ai baisé..
- Papa je .. Me coupa t-elle, mais je lui rend la politesse aussi sec.
- Ta gueule! Hurle ai-je. Elle s'effraya et baissa les yeux. Je disais donc.. Plus calmement.. Je t'ai baisé et je sais que tu as aimé ça vu comme tu couiné es! Alors fais même pas ta victime. Voila ce qu'on va faire. Tu veux des fringues? Du fric? Tu veux jouer ta petite princesse.. Tu le pourras. Tu auras tout ce que tu voudras tant que moi j'ai ce que je veux.
Elle ne me regarde pas, mais je voyais bien qu'elle réfléchissait déjà.. Ma proposition est alléchante, non? A savoir que sa connasse de mère n'arrive pas a joindre les deux bouts et que moi, je suis bien aisé.. Qu'elle peut avoir ce qu'elle veut.. Certes, en payant en retour.
- Tu m'as compris?
- Oui...
- Dans ce cas, je te laisse jusqu'à la fin de ton déjeuner, de .. ta douche aussi. Dis je, en l'a regardant toute souillée.
Je me dirigeais vers la porte, non sans avoir regarder une dernière fois ma princesse et j'ajoutais.
-A savoir que si tu dis non, ne compte plus sur moi pour t'acheter quoi que ce soit. Tu te débrouillera avec ta mère.. Et puis je suis sur que les robes recyclée de ta mère t'iront bien!
Je quittais la chambre en ricanant. Parlant de la mère, celle ci me téléphone. J'eu juste le temps de décrocher.
- Oui? ..
- C'est moi ..Ta fille ne va pas beaucoup mieux.. Et je..
- Et tu penses qu'il serait préférable que tu l'as garde?
- Oui..
- Tu ne serais pas entrain d'essayer de m'empêcher de voir ma fille?
- Non non! Ecoute Hervés, je te jure que non! Je ..
- Je sais oui, tu préfères qu'elle reste au chaud et tout le reste. D'accord. Je passerais la voir demain.
Et je raccrochais sans lui laisser le temps de répondre. Sans m'en rendre compte, j'étais entrain de me branler.. En me surprenant j'arquais un sourcil amuser continua jusqu'à en jouir. C'est sûrement mon ex femme qui m'a fait cet effet, l'air de rien, celle ci est une sacrée chienne aussi. Enfin passons. Ma fille décide de descendre.
Elle porte un jeans slim bleu très clair, un débardeur noir. Elle n'ose toujours pas me regarder et cela me fait me sentir encore plus puissant, plus dominant. Elle semble attendre que je prenne la parole.
- Quoi?
- Je...
- Tu quoi?! Dis je d'un ton plus fort.
- Je .. tout ce que je veux?
- Tout ce que tu voudras et qui sera dans mes moyens, évidemment.
- Je... Je .. j'accepte. Murmure t-elle tout bas.
Mon sourire s'élargie.
- Je n'ai pas entendu. Quoi? Lui demandais-je afin de l'humilier en la faisant parler plus fort.
- .. J'accepte. Papa . Dit-elle plus haut, le visage cramoisie.
- Très bien! Sage décision.
Je m'approche d'elle et lui attrape un sein, elle sursaute, recule, mais je l'a retient de mon autre main sur son bras. Je lui pelote sans douceur, puis passe sous le fin tissus, tire sur le soutif et lui pince le tétons. Elle grimace douloureusement, détourne le visage.
- Vas te changer, je ne veux plus voir un seul pantalon, un seul short. Que des jupes, est-ce clair?
- Oui.. Papa.
Elle essaie de reculer, d'échapper a mon étreinte, mais je l'a retient fermement contre moi et passe ma main de son sein a son cul. Quel cul! Je lui masse, le pince, le presse entre mes doigts puis l'a relâche. Elle recule et replace ses vêtements, puis se dirige vers sa chambre. Elle s'arrête cependant et sans me regarder, elle m'interpelle.
- Est-ce que ... je pourrais avoir un ordi portable?...
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