La journée fût longue. ma fille s'acheta diverse affaires, dont des fringues, des sous vêtements, du maquillage et des chaussures, bien sûr, son nouveau téléphone, qu'elle ne quitta pas un seul instant.

Le soir tombé, elle mit sa robe et me rejoint dans le salon. Lorsqu'elle demanda enfin pourquoi, je lui répondit que c'était parce qu'elle était belle et que j'aimais la voir ainsi. Elle ne posa pas plus de question. Pour notre dîner, je servi du vin et la laissa en boire un verre, puis un second. J'avoue que je cherchais à la rendre un peu pompette. L'effet fit rapidement son apparition. Lucile riait pour rien et devenait même câline. Nous nous sommes installés sur le canapé, Elle sur mes genoux en quête d'un câlin.

Tu es le meilleur papa du monde. Me dit-elle comme si le vin l'avait fait redevenir gamine.

Je lui souris avec tendresse, ma main sur sa hanche. Estimant qu'elle avait assez bu je posais son verre sur la table basse.

Tu sais, ma chérie. je t'ai dis que tu finirais par payer ..

Oui, et?

Et donc ce soir tu vas me donner mon dû..

Avec quoi, j'ai rien moi..

Ma main libre se posa sur son genoux et remonta sur le haut de la cuisse. Elle ne semblait même pas y avoir fait attention.

C'est vrai, mais il y a d'autre moyen de s'acquitter d'une dette. Ai-je murmuré en passant ma main sur sa poitrine à présent. Là, elle baissa les yeux et se mit à rire.

Pourquoi tu touches ma poitrine?

Parce que avant, je n'ai pas bien eu le temps de vérifier si ils sont vraiment lourd..

Mon explication semble la satisfaire, puisqu'elle ne dit rien. Je tirai un peu plus sur les liens de cuir et glissa main a l'intérieur pour me saisir de son sein dans la main. Soupesant, malaxant, et jouant avec sa pointe. Elle se leva d'un seul coup, rouge de gêne et de colère.

Papa, tu n'as pas le droit de faire ça!

Devenu incontrôlable, je me lève à mon tour et lui mit une claque pour la faire taire, mais cela la fit tomber au sol également. La ferme! Tu me dois bien cela avec tout le fric que je dépense pour toi!

Sanglotante, elle cacha son visage, la main sur la joue rougie. Je me penchais vers elle et saisis ses cheveux pour la redresser sur ses fesses, de l'autre mains, je défis mon jeans et sortis ma queue déjà bien dur.

Suce moi! Ordonnais je.

Devant le refus de ma fille, je lui mis une seconde claque. Elle poussa un cri de douleur.

J'ai dis suce! Moins tu obéiras, plus je te frapperais! Criai je à présent.

Lucile ayant déjà pris deux claques se mit à pleurer en prenant ma queue dans la main et l'approcha de sa bouche. L'entrouvant elle fit glisser sa langue sur mon gland puis finit par l'aspirer.

C'est bien, continue et je pourrais devenir très gentil avec toi.

Je formais de ses cheveux, une couette et glissa mon autre main sur la nuque, je poussais sa tête à prendre d'avantage de ma bite en bouche et me mis à lui baiser la bouche. Elle s'étouffa un peu, mais ne fit rien pour me mettre en colère. Elle se laissa faire alors que moi, je limais sa gorge.

Oh, bordel! Depuis le temps, c'est trop bon! Bouffe moi bien la queue salope!

Lucile, toujours en pleurs obéit à son père, pompant vigoureusement ma bite. Elle salivait beaucoup et j'adorais la voir ainsi. Continuant de labourer sa bouche, je saisis son sein et le sortis du vêtement pour le malaxer sans douceur. Puis, je me retirais et fouettais son visage avec mon sexe dur et humide.

Tu t'es déjà faite sautée, salope.

Elle me répondit d'un non de la tête en baisant les yeux.

Il y a une première fois à tout.. Ajoute t'ai je en la faisant se lever pour la pousser coucher sur le canapé. Je relevais sa jupe et pressa mon doigts sur sa fente.

Papa.. s'il te plaît, pas ça...

Oh si je vais le faire! j'arrachais le string d'un mouvement sec. Elle replia ses jambes en poussant un hurlement de terreur. De mes mains, je la forçais à ouvrir les cuisses et m'y glissa, ma queue pénétra d'un coup sec dans sa petite chatte serrée, et elle hurla de plus belle tant la douleur était aiguë. Un peu de sang coula de son minou, et je regardais cela avec délectation avant de me mettre à lui bourrer le trou avec ma bite. Elle continuait de pleurer, d'essayer de se débattre, mais chaque tentative fut accueillie par une claque sur la face ou les seins. Au bout d'un moment, elle cessa et se laissa faire.

Arrête de chialer, les putes assument leur sorts!

Je violais ma fille avec force, frappant le fond de sa chatte tout en râlant tel un animal. J'ai cru entendre un gémissement puis d'autres. Elle prenait son pied à se faire violer par son père, mais j'en profitais pleinement. Au bout d'un moment, elle se laissa happer par la jouissance, la première. Je continuais à la baiser fort en lui marmonnant entre deux râles.

Ah, finalement, tu l'aimes la bite de papa!

Ouiii.. OuuuUUii , OUUUUUI! Geint elle de plus en plus fort.

Dis le sale petite pute! Dis le que tu aimes ma bite.

Je l'aIIiiiimme ta bite, oui!

Je ne tardais pas plus. j'ai obtenu ce que je voulais. Dans sa chatte, j'explosai de plaisir. Remplissant son vagin de foutre paternel...