Inceste Avec Mes Petites NiéCes

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by caruso

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Published: 18-May-2012

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This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

Chapitre 1

Mon frère et ma belle sœur ont deux filles, deux jeunes minettes blondes très sexy: Julie qui après avoir redoublée la quatrième, est en troisième, et Fanny qui est en quatrième.

Ces deux jeunes filles, travaillent assez mal à l’école, leurs préoccupations, les fringues, et surtout les garçons, il est vrai qu’elles sont toutes les deux ravissantes, et qu’elles se mettent en valeur par des vêtements moulants et jupes assez courtes.

Ces filles sont un peu livrées à elle-même, le père est continuellement en déplacement pour son travail, et leur mère, rentre très tard le soir, pour ces demoiselles, les leçons et devoirs passent au second plan, les résultats sont de ce fait décevant.

Ma belle sœur Annie, m’a demandé si je voulais bien m’occuper de surveiller, et de les aider, dans leur scolarité, comme j’ai du temps de libre, j’accepte bien volontiers.

Après avoir longuement discuté avec mes nièces, il s’avère que les absences des parents les perturbent, elles ne s’éclatent que lors des boums et anniversaires passés avec leurs copains et copines, ou alcool, cigarettes et sexe sont de rigueur.

En approfondissant un peu, Charlotte me dit qu’elle prend la pilule, et qu’elle a déjà eu deux partenaires avec qui elle a fait l’amour lors d’un anniversaire….

J’instaure donc un règlement, une note en dessous de la moyenne: punition, au dessus de quinze, elles seront autorisées à aller aux anniversaires et boums qui sont à mon avis fort nombreux.

Pendant plus d’un mois, les bons résultats viennent rehausser le carnet de notes, preuve qu’avec un peu de bonne volonté, c’est possible.

Un vendredi, Charlotte me donne son carnet à signer, il y a un huit et un sept en anglais, elle a la tête basse, je lui donne les leçons à copier dix fois. Quelques jours plus tard, un six en math, avec un mot du prof, disant qu’elle s’amusait en cours avec un garçon, je la sermonne, et lui dis qu’elle va recevoir une fessée, elle me regarde d’un œil noir avec un petit sourire.

Je la prends par la taille et la couche sur mes genoux, la demoiselle gesticule, mais la tenant fermement, je soulève sa jupe, j’ai un beau petit fessier devant moi, que je claque avec ma main, les fesses de la minette ont changées de couleurs, tout en gesticulant, elle fait savoir sa désapprobation à ce traitement sous le regard intéressé de sa jeune sœur.

Quelques jours plus tard, deux nouvelles mauvaises notes viennent entacher le carnet, nouvelle fessée un peu plus appuyée, mais là, la petite ne se débat presque plus, à ma grande surprise, elle écarte volontairement ses cuisses, et semble prendre du plaisir.

Elle a une petite culotte qui ne cache pas grand-chose, que j’écarte pour essayer d’en apercevoir un peu plus, je me délecte du spectacle qu’elle m’offre et que je prolonge volontairement, mon sexe dans mon slip a pris des proportions que la jeunette doit sentir.

Quand elle se relève, mon pantalon, est auréolé de la jouissance de la gamine, elle me regarde avec un sourire crispé, tu as joui et pris du plaisir lui dis je? elle me répond que oui toute rouge de honte ou de plaisir!

Tout cela me laisse pensif, et je décide alors de changer mes règles, je leur en fais part en espérant avoir trouvé la solution avec ces petites cochonnes pour qui tout passe par le sexe ou ce qui s’y rapporte.

Quelques jours ont passé, et Charlotte est toute fière de me présenter deux excellentes notes, elle me regarde en souriant, et me défiant du regard, elle attend la récompense promise, je la couche sur mes genoux, jupe relevée et jambes bien ouvertes, je descend sa petite culotte et lui applique quelques tapes sur ses fesses, la petite se tortille en gémissant de plaisir, sa chatte est bien ouverte, d’où perle une rosée dû au traitement que je lui applique.

Ma bite, écrasée par la demoiselle qui se tortille dessus, ne met pas longtemps à cracher son plaisir.

J’écarte ses fesses pour contempler son petit trou qui me semble bien dilaté, Julie ne dit rien, mieux elle semble y prendre goût, en poussant un peu pour que son petit trou se dilate et s’ouvre, qu’elle salope pensais je, c’est une vrai chienne cette fille.

La tentation, est trop grande, je plonge mon index dans sa minette qui est trempée, je fais coulisser mon doigt dans sa chatte, lui arrachant des petits cris de plaisir, j’accélère les pénétrations, en allant plus en profondeur, ma nièce est en sueur, me demandant d’aller plus profond.

Je change de conduit, son œillet est assez serré, et mon index à l’étroit dans ce conduit arrache râles et cris à la mignonne.

Tout en la pistonnant, je passe une main sous son petit haut, à la rencontre de sa jeune poitrine bien ferme que je caresse, en pinçant ses tétons, qui grossissent rapidement.

Le lendemain, il y a un mot d’un professeur qui encourage Julie à continuer dans ce sens, en me présentant ce mot, elle me regarde, ses yeux en disent long. Allez, déshabille toi entièrement, dis je, mets toi en appui contre le mur, en me présentant ton petit cul, et en écartant les cuisses, je sors de mon sac un martinet récemment acheté, avec des lanières assez large, pour ne pas faire trop mal.

La gamine est impatiente, le premier coup atterrit sur ses fesses, elle tend son postérieur, mais le deuxième claque entre ses cuisses, je lui demande d’écarter ses fesses avec ses mains, pour atteindre son anus.

Elle est très excitée, de la cyprine coule le long de ses cuisses, je passe un doigt dans son intimité, il en ressort tout gluant de mouille, je lui présente, et lui demande de le sucer, ce qu’elle fait en me souriant.

Dans les semaines qui ont suivies, les résultats ont été très satisfaisants, récompensés comme promis par des caresses et des châtiments de plus en plus osées, mettant à chaque fois la jeune fille en transe sous les yeux de sa sœur qui voudrait bien connaître le même traitement.

Ma belle sœur, me fait part de sa surprise de voir sa fille aînée obtenir de bons résultats, elle me demande si je pouvais accompagner Fanny chez le docteur pour un certificat médical pour la pratique du sport, par la même occasion, elle a contacté le médecin, pour qu’il lui prescrive la pilule.

Arrivée chez le praticien la gamine anxieuse, me fait part qu’elle ne souhaite pas que j’assiste à cette visite, pas de problème dis je, je t’attendrais dans la salle d’attente.

C’est à notre tour, il appelle Fanny, comme je ne me lève pas pour entrer, le docteur me demande de venir, la minette me regarde l’œil vif en baissant la tête sans osée signifier sa désapprobation.

Il la dirige vers une pièce contigue, séparée par un rideau, qu’il ne tire pas entièrement, et demande à la jeunette de se déshabiller, entièrement dit il pour que je t’examine, Fanny le regarde contrariée, mais ne dit rien.

Je ne perds pas de vue cet effeuillage, qui m’excite au point que je suis obligé de penser à autre chose sous peine d’éjaculer dans mon boxer, qu’est ce qu’elle est bien foutue cette gamine, sa mère a bien raison de prendre certaines précautions.

Ses petits seins, qui paraissent bien ferme sont dressés, son pubis de blondinette donne envie d’en voir bien plus, ses petites fesses se tortillent, cette petite salope ne me laisse pas indifférent.

Elle est installée en position gynéco, pieds dans les étriers, cuisses bien ouvertes, elle est examinée sous tous les angles, même ses parties intimes sont méticuleusement observées, il lui pose des questions indiscrètes auxquelles la petite répond d’une voix faible.

Il caresse son clitoris, fait coulisser un puis deux doigts dans sa moulette, pour voir lui dit il si tout fonctionne bien, la petite réagit en geignant et en transpirant.

Ce toubib est entrain de la masturber, Je pense que c’est un drôle de cochon qui profite de la situation avec des petites jeunes.

Je vois que tu as eu des rapports sexuels dit il, ma nièce nie, le praticien insiste en la menaçant de pousser plus loin ses investigations, la mignonne avoue s’être fait prendre deux fois par des copains, lors d’une boum.

Ils avaient mis un préservatif demande le doc, elle répond un faible non, ils ont donc éjaculés en toi, tu sais que tu peux tomber en cloque grogne le toubib. Au cours de la visite, mon regard croise celui de Fanny, qui en voyant que je vois tout ce qui se passe, et que j’écoute la conversation, la blondinette semble perdue et devient écarlate en fuyant mes yeux.

Le médecin lui demande de se mettre à quatre pattes sur la table, bien cambrée, pour lui faire un lavement, car il veut lui faire une visite de son anus.

Après avoir passé du gel à l’entrée de son petit cul, il lui enfile une poire à lavement, ensuite il lui insère un doigt qu’il fait coulisser plusieurs fois dans son fondement, sa bouche est grande ouverte, elle semble apprécier cette introduction dans son petit trou.

Là aussi dit il, quelqu’un y est déjà passé, tu t’es fais sodomiser? la jeune fille perdue, lui répond que c’est lors de jeux avec sa sœur, elles s’enfilent des bougies ou autres objets pour se masturber.

Ah bon, et tu y trouves du plaisir dit il? la gamine lui répond par un oui timide.

Nous quittons le cabinet, sur le chemin du retour, fanny est muette, elle me demande de ne rien dire de ce que j’ai entendu à ses parents, si j’y consens, elle me promet de me faire part d’un secret….

Si vous avez aimé ce récit, faites en part, et je vous ferais cadeau d’une suite que vous n’imaginez pas et qui est assez croustillante.

Chapitre 2

Depuis, que je m’occupe de superviser les devoirs de mes nièces, tout va bien mieux, elles sont bien sûr récompensées en conséquence.

La fin du trimestre approche, si la moyenne est bonne, je leur ai promis une surprise.

Julie et Fanny, me rapporte un bulletin trimestriel, au-delà de mes espérances, elles me regardent en plaisantant, attendant ce que je leur ai promis.

Nous sommes un mercredi en début d’après midi, nous sommes seul, et la maison nous appartient.

Comme bien souvent, les petites sont vêtues assez court, avec des vêtements transparents, elles font tout pour m’exciter, ce qu’elles réussissent parfaitement. OK dis je, en les regardant fixement dans les yeux, vous allez me faire un striptease, les deux minettes se regardent en souriant.

Une petite précision, c’est moi qui vais vous guider, en précisant ce que vous devez enlever.

Vous allez commencer par le petit haut qui ne cache rien, les deux filles se retrouvent leurs petits seins, nus, et dressés, elles ont des poitrines magnifiques, surtout Fanny qui les a légèrement en forme de poire.

Maintenant vous enlevez vos jupette, les deux petites cochonnes sont maintenant avec pour seul vêtement, un minuscule slip transparent.

Je peux admirer, leurs abricots bien fendus, ou seul un fin duvet blond trône légèrement sur leur pubis, elles sont ravissantes, pour preuve, une bosse grandissante, s’est formée dans mon pantalon, ce qui fait rire les mignonnes.

Vous êtes ravissantes, maintenant je veux vous voir vous embrasser, là, elles sont un peu surprises, j’étais bien sûr au courant, depuis la visite chez le docteur avec Fanny ou elle a avoué au médecin, qu’elles s’amusaient entre elles…

La petite Fanny qui est la plus délurée, prend sa sœur par le cou, l’embrasse sur la bouche, Julie, fait pénétrer sa langue, les deux minettes s’embrasse à pleine bouche.

Leurs langues descendent très vite vers leurs nichons, qu’elles caressent, embrassent, en gobant avec leur bouche les tétons.

Les gamines se prennent au jeu, elles se positionnent en 69, se lèche la fente, y faisant pénétrer leur langue, elles s’enfilent leurs doigts dans le vagin, les petites couinent de plaisir, tout en gesticulant.

Face à un tel spectacle, je baisse mon pantalon, et commence à faire coulisser ma main sur ma tige qui a pris de belles dimensions.

Je vois Julie, courir vers la chambre de sa mère, elle en revient avec une trousse, d’où elle sort plusieurs godes de dimensions différentes.

Toujours En 69, les filles s’enfilent divers instruments, qu’elles font coulisser dans leurs orifices qui sont maintenant bien lubrifiés.

Après un bon moment, Julie se rhabille et nous quitte, car elle a rendez vous chez le dentiste.

Fanny, elle me rejoint, elle regarde mon sexe avec envie, elle le prend dans sa main, et le fait coulisser, elle pose sa langue sur le gland, et se met à le lécher, très vite elle englouti la tige dans sa bouche et se met à le sucer, je suis obligé de me retenir de lâcher la purée, dans la bouche de ma nièce.

La mignonne se met à califourchon sur mes cuisses, j’en profite pour caresser ses petits globes qui réagissent très rapidement, je triture ses bouts de sein, qui grossissent sous mes doigts.

Mes mains descendent sur son minou, je trouve son petit bouton que j’excite, la petite ouvre la bouche, et lâche un petit cri, je pense qu’elle vient d’avoir un petit orgasme.

Elle me prend par le cou, m’embrasse sur la bouche, et me demande timidement et en souriant de lui faire l’amour.

Je la regarde, un peu surpris, et lui dis que ce n’est pas possible.

Elle insiste en me disant qu’il n’y a pas de risque vue qu’elle prend la pilule maintenant.

Steph, se couche sur le canapé, les cuisse bien ouverte, et se caresse en me regardant, très excité, je la rejoint, caresse cette chatte toute transpirante de mouille, j’insère un puis deux doigts dans son vagin, que je fais coulisser, la petite femelle apprécie, et m’encourage à continuer en me demandant d’aller plus en elle.

N’écoutant que mon plaisir, je dirige mon gland vers l’entrée de cette grotte, le frotte contre ses lèvres, elle n’attend qu’une chose, se faire embrocher.

Je n’ai pas besoin de la pénétrer, c’est son entre-cuisses qui vient s’empaler sur ma pique, je la regarde, elle me sourit, ma tige est bien plantée dans son ventre, je fais quelques allers et retour la mignonne apprécie et me le fait savoir.

Je lui fais changer sa position, en la faisant mettre à quatre pattes, j’ai une vue sur son petit cul et ses fesses légèrement rebondies, qui me donnent encore plus envie de me la faire.

Ainsi positionné, je pénètre sa moulette avec mon index que je fais coulisser, ma nièce, geint, fait un conciliabule de oh, de ah, et de oui vas y.

Je suis tellement excité par ce que je vois, que j’écarte ses fesses avec mes mains, pour découvrir son petit trou, ou j’y insère un puis deux doigts, Stéphanie, essai de s’y soustraire, mais l’envie étant trop forte, je force ce passage, elle me traite de salop pour la forme, car quelques instants après, c’est ses fesses qui viennent au devant de mes doigts.

Après lui avoir limé son anus, je la prends par les hanches, et projette ma bite bien raide dans sa mounette entre ouverte, ou perle une rosée de plaisir.

Après l’avoir bien besogné, je m’apprête à me retirer pour éjaculer, mais la mignonne me supplie de lui envoyer mon plaisir au fond de son ventre.

Après m’être vidé, nous nous affalons, toujours emmanché l’un dans l’autre, nous récupérons nos forces, surtout moi …

Chapitre 3

Dernièrement, en discutant avec la plus jeune de mes nièces Fanny, comme bien souvent, avec elle, la discussion a très rapidement dérivé sur le sexe.

Cette belle jeune fille blonde, très sexy, est malgré son jeune âge, assez portée sur tout ce qui a rapport avec le cul.

Elle est entrain de m’expliquer, que les filles actuellement « elle parle d’elle et de ses copines » ont très souvent des penchants exhibitionnistes, je la regarde un peu surpris, car je me demande ou elle veut en venir.

Il est vrai que cette petite cochonne, ne manque pas une occasion pour allumer un mâle, sa façon qu’elle a de s’habiller est très souvent provocante, la vision de ses trésors ne laisse pas insensible, car la poulette, est bien faite, et elle le sait.

Aujourd’hui, elle est vêtue d’une jupe très courte, qui lorsqu’elle se baisse ou se penche, laisse entrevoir son mini slip rouge en dentelle ajourée, ainsi que ses fesses nerveuses et un peu rebondies.

Bien souvent, lorsqu’elle croise un homme, celui-ci se retourne, et tente d’en voir un peu plus, il est très rarement déçu, car la gazelle se prête bien volontiers à ce genre d’exercice.

J’en sais quelque chose, car elle est toujours prête à s’exhiber devant moi, écarter ses cuisses, ou faire s’envoler sa jupette, pour me laisser voir ses charmes, elle sait que cela ne me laisse pas insensible.

Elle me fait part, que dernièrement, son amie Sylvie, qui est du même âge qu’elle, accompagnée de son cousin, s’étaient rendus sur une aire d’autoroute pour que la nénette s’exhibe devant des inconnus.

Je la regarde étonné par ce qu’elle me raconte, surtout quand elle me demande de l’accompagner à cet endroit.

Devant mon refus, elle me dit qu’elle ira avec Sylvie et son cousin, qu’il n’y a aucun risque, car les portes de la voiture sont verrouillées, elle me dit qu’elle veut connaître le plaisir et l’excitation de montrer son corps à des voyeurs.

Je réfléchis un moment, et accepte de l’accompagner, à ce lieu de rendez vous, en espérant, que je ne rencontrerai personne que je connaisse.

Le jour choisi, en fonction de l’absence de sa mère qui est en déplacement pour son travail, nous partons à la nuit tombante pour cette aire qui se trouve à une quarantaine de kilomètres, sur une autoroute assez fréquentée, surtout par des poids lourd.

Dans la voiture, Sylvie, est vêtue pour la circonstance, d’une jupe courte assez légère, et d’un petit haut transparent, laissant voir ses petits seins, qui sont libres et bien dressés , sa sœur, Julie a tenue à nous accompagner, pour dit-elle, voir comment ça se passe.

Nous trouvons facilement l’endroit, un camion y est stationné, nous nous garons un peu à l’écart, dans un coin, à proximité d’un lampadaire.

Après avoir verrouillé les portes, nous nous installons sur la banquette arrière, Julie, elle est restée devant.

La petite est très excitée, et regarde de tous les côtés, si quelqu’un arrive. Nous sommes là depuis vingt minutes à peine, quand deux mastodontes, tous feux allumés, font leur entrée sur le parking, et viennent s’immobiliser dans un bruit assourdissant, à quelques mètres de nous.

La gamine est intenable, malgré son exaltation, elle est un peu soucieuse, on peut apercevoir des ombres qui tournent autour de la voiture, Julie enclenche la climatisation pour évacuer la buée.

On peut maintenant distinguer que quatre hommes sont en train d’exhiber et de se caresser la tige devant nous, la minette en regardant ces sexes en érection, soulève sa jupette, écarte ses jambes et son slip, et se doigte la moulette en contemplant avec envie ces bites violacées, déjà bien raides.

Fanny me demande de lui pistonner son abricot, qui est tout juteux de mouille, la cochonne gesticule, geint et transpire sous les pénétrations de plus en plus profondes que je lui fais subir.

Elle libère ses nichons, enlève sa jupe, et me demande de m’allonger sur le dos, en travers de la banquette pour qu’elle puisse se mettre en position accroupie au-dessus de ma figure.

Elle se laisse descendre lentement, les cuisses bien ouvertes, son minou est entrebâillé et tout luisant de cyprine, elle se positionne à quelques centimètres de mes yeux, quelle vue….

Sa mouille coule sur mes joues, j’insère ma langue dans cette grotte en effervescence, au même instant, un jet de sperme vient atterrir, et coule sur la vitre, je sens ma partenaire, se figer en tremblant, tandis qu’un flot de jouissance me coule sur la figure.

Devant, Julie, s’est prise au jeu, et les cuisses bien ouvertes se fait reluire la chatte et son petit trou en poussant de petits cris aigus, devant un admirateur dont le membre violacé est prêt à exploser.

Je positionne Fanny en levrette, la saisissant aux hanches, je la pénètre d’un trait, lui arrachant un cri de surprise, à quelques centimètres de sa bouche, séparée par une vitre, deux queues rouges foncés s’activent en fixant la nana en transe.

La demoiselle surexcitée en veut un peu plus, elle me dit qu’elle a très envie de sucer ces queues, et me demande si elle peut descendre la vitre, fais ce que tu veux dis je.

La vitre ouverte, les deux tiges s’engouffrent dans l’habitacle, et veulent s’insérer dans l’orifice grand ouvert de la mignonne qui n’attend que çà.

La longue pine, celle que la gourmande a choisie, pénètre lentement la bouche, pour venir buter tout au fond de la gorge de ma nièce qui sous la pression de l’intruse, hoquette, crache, et essaie de se soustraire.

Après quelques allers retours, le mâle qui maintient fermement la tête de la fille, se libère au fond de la gorge de celle-ci, la forçant à avaler avec difficultés tout ce foutre épais, que le pénis vient de cracher en tressautant.

Tout en regardant dans les yeux, celui qui vient de la remplir, la belle avale difficilement toute cette purée.

Très vite remplacé par une bite tout aussi longue, mais bien plus grosse d’un autre, de type maghrébin, la gamine s’active avec application sur son nouvel amant, qui fait pénétrer sa longue tige, tout en caressant les nichons bien fermes de la mignonne.

Devant, Julie, après avoir fait juter son partenaire dans sa bouche, lui a ouvert la portière, et les cuisses bien ouvertes, après lui avoir fait mettre un préservatif, l’invite à venir la baiser.

Son partenaire, la prenant aux cuisses, l’embroche vigoureusement, la minette proteste pour la forme, puis se met à couiner de plaisir sous les assauts du type, qui n’a qu’une idée, prendre du plaisir en se sautant cette salope qui s’offre à lui.

Se délectant de ce membre hors normes, qui lui laboure sa cavité buccale, Fanny, à son tour, lui ouvre la porte, elle ouvre ses cuisses, le mec, tout heureux de l’aubaine qui se présente, enfile une capote, prend sa partenaire sous les fesses, et l’emmanche lentement.

La minette, les yeux mi clos, appuyée sur les coudes, le regarde en se délectant de cette si profonde pénétration, qui doit bien lui chatouiller le fond de son utérus.

Bien planté, dans son ventre, le mâle la regarde en souriant en lui tâtant ses nichons qui se tendent vers leur agresseur.

J’en profite pour faire quelques photos avec mon portable, pendant que les deux filles se font tringler en criant et en gesticulant sous les coups de piques de leurs amants.

Les deux hommes qui semblent se connaître, se regardent, et s’échangent leur partenaire, mais là, ils ont une autre idée.

Ils positionnent les filles en levrette, écartent leurs fesses sans ménagement, font coulisser un doigt dans leur petit trou, les sexes bien raides, suivent rapidement le même chemin, en écartant délicatement les chairs tendres de ces demoiselles en chaleur.

Les deux sœurs sont sodomisées à un bon rythme pendant quelques instants, les deux femelles épuisées, s’affalent sur les sièges, pendant que leurs amants se déversent en longs jets crémeux sur leur dos.

Fatiguées, repues, couvertes de sperme, les gamines somnolent sur le chemin du retour.

Chapitre 4

Ma belle sœur doit s’absenter, pendant deux jours, pour soi disant son travail, et me demande si çà ne me dérange pas de venir coucher à la maison, car les petites ne veulent pas rester seules la nuit.

Je viens le jour convenu, quand j’arrive, je suis un peu surpris de ne trouver que Fanny la plus jeune des filles, selon ce qu’elle me dit, sa sœur est chez une copine pour deux jours. Après l’avoir aidé à faire ses devoirs, nous regardons la télé avant d’aller se coucher, je trouve que la minette ce soir est très excitée, serait ce ma présence qui la met dans cet état euphorique !

Nous sommes vendredi, demain, il n’y a pas école, nous pourrons donc faire la grasse matinée.

Après m’avoir embrassé, elle part se coucher en riant, en faisant la « folle « ce soir dit-elle, elle se sent fatiguée et souhaite aller dormir, moi je continue de regarder le film, qui m’intéresse.

Je dors dans la chambre d’amis, pas très loin de celle de mes nièces, le film terminé, je passe à la salle de bain, avant d’aller dormir.

La porte des filles est entrouverte, avec une légère lueur, elle a dû laisser ouvert, en laissant un peu de lumière pour se rassurer, je jette un œil pour voir si elle dort !

Et là, surprise, la petite est bien là, mais elle n’est pas seule, deux garçons sont avec elle, ils sont de type maghrébin et bien plus âgé au moins trois ou quatre ans de plus qu’elle.

Comment sont-ils rentrés, je n’ai rien entendu ?

Mais ce qui m’inquiéte le plus, c’est qu’ils sont pratiquement nus à jouer aux cartes, et en buvant de l’alcool apporté très certainement par les mecs, j’ai très vite compris qu’ils jouent au strip-poker.

En les épiant, je trouve que Fanny est souvent perdante, à ce moment précis, elle est en train d’ôter son dernier rempart sous les yeux intéressés des deux mâles qui regardent avec intérêt descendre le petit slip en dentelles noir le long de ses cuisses.

Maintenant que tu n’as plus rien à enlever, nous déciderons d’un gage dès que tu perdras, déclare l’un des garçons, la fille accepte, passablement imbiber d’alcool, et peut être n’ose-t-elle pas refuser....

Que dois-je faire ? Pénétrer dans la chambre et jeter les deux gars, » ma nièce ne sera certainement pas très contente » ou continuer de regarder ce qu’il va se passer, j’ai toujours le temps d’intervenir si cela dépasse certaines limites.

De plus la situation n’est pas pour me déplaire, voir ma petite nièce ainsi dénudée, à la merci de ces jeunes gens m’excite et me laisse pensif : que vont-ils lui imposer de faire ?

Dernière donne, elle a encore perdue, elle doit boire un verre d’alcool « vodka, cul sec » et faire une pipe au garçon de son choix.

Elle s’exécute en choisissant la queue la plus imposante en riant, elle ne sait plus trop ce qu’elle fait, elle le pompe avec entrain, l’insérant par moment au plus profond de sa bouche.

Avec un tel traitement, son partenaire n’est pas long à lâcher la purée dans sa bouche, elle en avale une bonne quantité, le reste dégouline de ses lèvres, sous les yeux des deux mâles un peu surpris, qui plaisantent en la traitant de cochonne.

Elle s’essuie, et le jeu reprend, ses deux partenaires bandent copieusement en pensant qu’ils vont profiter de la situation et ainsi s’enfiler cette gamine.

Elle a encore perdu, ils décident en plaisantant qu’elle doit se faire manger la moule par l’un, tandis que l’autre devra s’occuper de ses petits seins.

L’un des garçons s’affaire à lui manger l’entre cuisse qui est grande ouverte, l’autre lui triture et lui suce sa petite poitrine bien ferme, pour terminer il colle sa bouche sur ses lèvres en l’embrassant assez goulûment et en insérant sa langue dans sa bouche.

Elle se débat un peu pour la forme, mais semble apprécier la domination des mâles qui se font un plaisir de partouzer cette petite cochonne qui couine et gesticule de plaisir.

La prochaine fois qu’elle perd, ils lui annoncent qu’ils la sauteront, la mignonne les regarde en riant, sûrement impatiente de se faire tringler par ces deux belles queues qu’elle regarde par moment avec envie.

Il est vrai que ce jeune et excitant corps qui leur ait offert les excite et leur donne des idées, moi je transpire, et n’ose intervenir impatient de voir et d’apprécier la suite.

Encore perdu, allez, tu vas y passer dit l’un garçon.

Un des mâles, celui qui a le gros sexe se couche sur le dos, sa queue est à la verticale, il demande à Steph de venir s’empaler sur sa tige.

La petite regarde ce phallus dressé avec envie.

Aidée par l’autre, elle enjambe le mâle et descend lentement cuisses bien ouvertes en écartant ses lèvres vaginales avec ses mains à la rencontre de cette grosse et longue bite qui semble attirer son minou tout luisant de cyprine.

La bête pénètre lentement, écartant sur son passage les chairs intimes de la gamine, pour venir se planter au plus profond de son ventre.

Une fois bien emmanchée, son amant la fait coucher sur lui, mettant en évidence son petit cul, dont le deuxième s’occupe très vite, tout d’abord en écartant ses fesses puis pistonnant son étroit canal avec son index, qui est très vite remplacé par un sexe assez long, mais fort heureusement pour elle pas bien épais. Ainsi prise en sandwich, les deux mâles s’activent dans ce jeune corps.

Ainsi prise entre ses deux amants, la jeune fille crie et transpire sous les assauts de ses deux amants.

Après l’avoir limé copieusement pendant une bonne demie heure, ils éjaculent et se retire des orifices d’où coule un mélange de mouille et de sperme.

Je rentre dans ma chambre, car ils partent tous les trois en plaisantant en direction de la douche.

Je m’endors en pensant à ce que je viens de voir et au plaisir que j’ai pris.

Dans la nuit, j’ai été réveillé par les cris de ma nièce qui devait de nouveau être la proie et le centre d’intérêt du trio.

Quelle petite salope pensais je, elle ressemble bien à sa mère…

Chapitre 5

Hier soir alors que j’en avais la garde, ma petite nièce Fanny a fait rentrer deux garçons bien plus âgés qu’elle dans sa chambre, et ce à mon insu.

Sous mes yeux elle s’est faite prendre plusieurs fois, au cours de la nuit ils ont remis ça, de ma chambre j’ai entendu ses cris qui m’ont réveillé.

Nous sommes en fin de matinée, la petite vient de se réveiller, elle pénètre dans la cuisine vêtue d’une nuisette vert pale entièrement transparente qui lui arrive à mi-cuisses, pas de sous-vêtement, la figure très fatiguée, les yeux ornés de cernes, preuve que la nuit a été particulièrement agitée pour son jeune corps.

Elle baisse la tête en évitant de me regarder.

Eh bien dit donc, tu as dormi dans le tambour de la machine à laver dis-je en plaisantant.

Elle ne répond pas, se contentant de souffler, en regardant dans le vide.

Tu es dans un triste état dis-je, va prendre une douche, cela ira mieux après et cela te remettra les idées en place.

Elle suit, mon conseil, à son retour de la salle d’eau, elle est bien plus présentable, et m’adresse un sourire, puis vient se blottir dans mes bras.

Tout en la prenant, je sens sa frêle poitrine assez ferme qui roule sous mes mains, je ne peux m’empêcher de bander en sentant les trésors de la jeune fille.

Elle me raconte qu’elle avait convenu avec deux garçons de faire une partie de cartes hier soir, sous l’emprise de l’alcool, le strip-poker avait viré à la partouze.

De toute façon me dit-elle j’avais très envie qu’ils me baisent.

Je la regarde un peu surpris par ses paroles, et lui dis que j’ai assisté à la partie de cartes ainsi qu’à la partie de jambes en l’air qui avait suivi.

Elle est toute rouge, les yeux grands ouverts elle m’écoute. Ah bon dit-elle tu as donc tout vu…

Tu m’as donc matée, pendant qu’ils m’enfilaient, qu’est-ce que j’ai pris, ils étaient super bon me dit la gamine en souriant.

Elle me traite de voyeur et de gros cochon, je la regarde en lui avouant qu’elle a raison, et que j’ai pensé un moment intervenir.

Même que cette nuit tu m’as réveillé par tes cris, il a fallu que vous remettiez ça lui lançais je.

J’ai l’air de quoi, moi qui étais censé venir, à la demande de ta mère pour te surveiller.

Nous dînons en discutant de sa nuit mouvementée, elle m’apprend qu’elle les a fait entrer par la fenêtre de sa chambre.

Qu’elle s’était faite sautér toute la nuit et qu’elle avait joui comme jamais sous les assauts de ses deux amants.

Après avoir mangé, nous nous mettons dans le canapé pour prendre le café, la mignonne qui est toujours en nuisette vient se blottir dans mes bras en m’embrassant dans le cou.

Elle me demande de ne rien dire à sa mère, ce que je lui promets.

C’est alors qu’avec sa main, elle me masse mon sexe au travers du tissu du pantalon.

La tentation est trop grande, je me laisse faire, mieux j’en profite pour lui caresser ses jeunes seins qui réagissent bien vite, ses tétons se dressent, elle me sourit en m’encourageant à poursuivre mes investigations.

Tu n’es pas rassasiée lui dis-je.

Non dit elle, j’ai envie de toi tonton.

Il ne m’en faut pas plus pour me faire basculer, je l’embrasse sur la bouche tout en lui caressant, tantôt ses nichons, tantôt son abricot qui commence à mouiller, son petit bouton bien érigé est lui aussi astiqué par mon index.

Après l’avoir bien chauffée, j’enlève sa nuisette qui ne cache rien, je la fais s’allonger les cuisses bien ouvertes, puis je viens la butiner avec ma bouche, insérant ma langue dans ses profondeurs intimes.

La mignonne couine et transpire en poussant de petits cris, elle m’encourage à bien lui astiquer sa foufoune qui commence à bien transpirer.

La sentant prête, je positionne à l’entrée de sa grotte ma queue qui commence à me faire mal, je la frotte sur sa minette pour l’humidifier avec sa mouille, puis la regardant dans les yeux, je l’enfile lentement pour venir me planter au plus profond de son ventre.

La petite salope commence à bouger ses fesses, me faisant comprendre que je peux commencer à la limer.

Elle se soulève pour venir au-devant du dard qui selon ses cris lui donne bien du plaisir, décidément la gamine a du tempérament ….

Elle me fait signe de me désaccoupler, ma queue bien tendue est copieusement recouverte de cyprine.

Elle se met à quatre pattes, je la saisis aux hanches et l’emmanche de toute la longueur de mon sexe, la fille un peu surprise ne peut s’empêcher de lâcher un cri. Fatiguée, elle s’écroule à plat ventre.

Je continue de la besogner tout en astiquant son clitoris avec mes doigts, elle est prise de tremblement puis se relâche, elle vient de jouir, ne pouvant me retenir plus longtemps, je lâche quelques jets de foutre dans l’entrecuisse de ma petite nièce.

Toujours emboîtés l’un dans l’autre nous nous embrassons en nous caressant.

Je ne peux m’empêcher de penser que cette petite est aussi cochonne que sa mère.

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Ornicar

Une belle histoire agréable à lire et bien écrite ! J'apprécie le réalisme qui découle de la cohérence de l'ensemble (tout en sachant que c'est du fantasme, bien sûr). Et j'aurais bien aimé participer au strip-poker dont les règles semblent intéressantes...

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