Renaissance, Chapitre 2

[ Fg, voy ]

by Argus

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Published: 12-Mar-2012

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This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

Le réveil de Maureen avait interrompu nos effusions. Aux premiers bruits venus de sa chambre, Nancy, après un dernier baiser, s'était échappée de mes bras et vivement rhabillée. J'eus à peine le temps de lui dire:

- Tu veux dormir avec moi, ce soir?

et de recevoir sa réponse sous la forme d'un sourire éblouissant, qu'elle disparut dans la chambre voisine où je l'entendis bientôt babiller joyeusement avec ma fille.

Le reste de l'après-midi passa comme un rêve. J'étais folle de joie en pensant à ce que nous avions fait, et plus encore, à ce que nous allions faire. Je n'avais même pas conscience de l'étrangeté de ce qui venait de se passer. Jamais auparavant je n'avais désiré une fille, jamais je n'avais joué à ces petits jeux de mains auxquels jouent volontiers les petites filles et les adolescentes. Quand mes amies me faisaient leurs confidences sur ce qu'elles avaient fait avec une autre fille, cela me laissait froide. Je me souviens, en particulier d'une d'entre elles qui habitait tout près de chez moi. Elle me confia, un jour, alors que nous rentrions de l'école, que, depuis un an ou deux, sa mère, divorcée, la prenait souvent dans son lit et lui avait appris quantité de choses, toutes plus agréables les unes que les autres. Elle s'offrit à me les apprendre si je venais chez elle, mais je déclinais son offre sans états d'âme.

Et voilà que, maintenant, je venais de me masturber avec une fillette de dix ans, que j'y avais pris un plaisir extrême et que, non seulement je n'en avais aucun remords, mais que j'envisageais, cette nuit même, de faire l'amour avec elle...Gouine et pédophile, pas mal pour un coup d'essai! A ma décharge, je dois dire que, plus j'y pensais, plus l'affection que je ressentais pour elle me semblait être de l'amour et qu'elle paraissait éprouver la même chose à mon égard. Tout cela ne m'empêcha pas de me préparer avec le plus grand soin, de choisir, une fois baignée et parfumée, mes dessous les plus affriolants - je savais que Nancy adorait la lingerie - et, une fois prête, de faire dîner ma fille pour que Nancy puisse se préparer, elle aussi.

Nous dînâmes en tête à tête, une fois Maureen couchée. Nous ne parlâmes pratiquement pas, trop occupées à nous envisager. Quand nous eûmes terminé, j'allais m'asseoir sur le canapé du living room où elle vint bientôt me rejoindre, s'installant sur mes genoux comme la petite fille qu'elle était encore. Elle était toute tiède et alanguie entre mes bras et, bien que je fusse impatiente de lui faire l'amour, nous ne nous embrassâmes pas, nous ne nous caressâmes pas. Mais l'attente me semblait tellement gratifiante en sachant que tous mes désirs allaient être comblés...

Soudain, elle se dégagea de mes bras, se leva et, prenant ma main, m'entraîna vers l'escalier que nous montâmes tendrement enlacées. Arrivées dans ma chambre, j'allumais les bougies que j'avais disposées un peu partout, puis, revenant vers elle, je commençais à déboutonner son chemisier que je laissais glisser à terre. Elle portait dessous un bustier très court qui voilait à peine sa poitrine naissante. Je lui ôtais pour caresser du bout des doigts les légers renflements de ses seins et, surtout, les pointes roses déjà dressées, la faisant frémir toute entière.

A son tour, elle défit mon chemisier et ses yeux s'écarquillèrent de bonheur quand elle aperçût mes seins offerts par le balconnet que j'avais choisi. Elle se jeta dessus pour les embrasser et en sucer avidement les bouts. Puis elle dégrafa ma jupe qui glissa à terre m'entravant de telle sorte que nous tombâmes ensemble sur mon lit.

Nous luttions, nous gênant dans nos effusions, chacune voulant d'abord fêter l'autre. Mais, comme j'étais la plus forte, je finis par prendre le dessus, ma langue se promenant à loisir sur sa poitrine, sous ses aisselles, sur son ventre, chatouillant son nombril, tandis qu'elle s'abandonnait, les yeux mi clos, la tête roulant de droite et de gauche, et le souffle précipité.

Dans notre lutte, sa courte jupe était remontée sur ses hanches, découvrant sa culotte de coton blanc où se marquait le saillant de son sexe. Sans hâte, je la saisis par son élastique et la fit glisser le long de ses cuisses et de ses jambes, m'arrêtant enfin pour la considérer à loisir, ce que je n'avais encore jamais pu faire.

Elle avait un sexe de petite fille, haut placé, fortement bombé, sans même un duvet, et dont les lèvres étaient encore closes. Je l'effleurais d'un doigt précautionneux, et le vis se déclore doucement, révélant ses profondeurs roses et déjà humides. Mon doigt s'y glissa de lui-même et commença à aller et venir avec une infinie douceur pour ne pas froisser la fragile fleur qui m'était offerte. Ses hanches se mirent à bouger au rythme de ma caresse comme pour m'inviter à aller plus profondément ce que je fis.

Je la masturbais lentement, toute extasiée de la sentir si bien répondre à ma caresse, mon désir s'accroissant d'entendre ses gémissements de plaisir. Je n'y tenais plus. Je me glissais vers le bas du lit, ouvrant en grand ses cuisses, et posais mes lèvres sur sa petite chatte. Impossible de dire le bonheur que je ressentis en sentant sous ma langue les chairs tendres que je léchais, en goûtant la liqueur acide sourdant de son sexe, en découvrant la perle rose de son clitoris que je décapuchonnais pour mieux le sucer...

Nancy se tordait maintenant, ses deux mains appuyant fortement sur ma tête pour que je la suce mieux et ses plaintes de bonheur avaient pris de l'ampleur. J'aurais voulu que cela dure un temps infini mais, très vite, elle se convulsa en jouissant, emplissant ma bouche de ses sécrétions parfumées et me repoussant enfin devant la violence de ses sensations.

Elle restait là, anéantie par le plaisir, les cuisses largement ouvertes, tout le corps parcouru de frissons tandis que je remontais doucement vers sa bouche que je baisais avec tendresse. Elle ouvrit lentement ses yeux avec un sourire un peu las, sa bouche s'animant sous la mienne comme elle découvrait le goût de son sexe sur mes lèvres.

- Je t'aime, Ellen, ...oh, comme je t'aime...

- je t'aime, moi aussi, ma précieuse chérie...

Un instant assommée par le plaisir, elle se ranimait à vue d'œil. Elle m'enlaça, me serrant dans ses bras avec une force insoupçonnée avant de me faire basculer sur le dos. Sa bouche et ses mains couraient sur mes seins largement découverts par les demi bonnets de mon balconnet.

C'était moi, maintenant, qui me tortillait sous les caresses, les morsures, les succions. Mon sexe me brûlait et mes reins se crispaient, faisant houler mes hanches. Comme dans un rêve, je sentis ses mains parcourir mon ventre, dépasser mon porte jarretelles et agripper la bordure de mon slip qu'elles entreprirent de tirer vers le bas. Je réussis à soulever mon bassin pour qu'elle réussisse plus facilement à le faire glisser et, dès qu'il eut dépassé mes genoux, mes cuisses s'ouvrirent d'elles même.

Nancy était presque complètement retournée, sa tête surplombant mon pubis et je sentais une de ses mains caresser la peau tendre de l'intérieur de ma cuisse, juste au dessus du bas, pendant que l'autre démêlait fiévreusement les boucles de ma toison pour s'insinuer dans ma chatte.

Elle s'arrêta soudain, me faisant presque gémir de frustration tant mon corps réclamait ses caresses. Puis je compris: elle venait sans doute d'apercevoir mon clitoris. Il faut dire qu'il était déjà d'une grosseur inaccoutumée quand je me suis mariée. Phil, en le découvrant, fut émerveillé et lui accorda tous ses soins de sorte qu'il grossit encore et qu'il atteint, maintenant, plus d'un demi pouce de long quand il s'érige et se décalotte. Nancy, évidemment, n'avait pas son expérience et ne savait que faire. A tâtons, je m'emparais d'une de ses mains et lui montrais comment branler au mieux la tigelle raidie, puis, saisissant l'autre, je la guidais avec force dans ma chatte ruisselante, la faisant aller et venir rapidement jusqu'à ce que je la sente capable de continuer seule.

Quelles merveilleuses sensations! La main de Nancy pénétrait de plus en plus profondément mon vagin, me fistant carrément et de son autre main, elle manipulait mon clitoris bandé avec une assurance croissante. Je m'étais renversée en arrière, me caressant les seins avec frénésie, les cuisses ouvertes au maximum et mon cul se soulevant pour aller au devant de ces merveilleuses mains qui me branlaient si bien. Soudain, je poussais un hurlement. La bouche de Nancy avait remplacé sa main sur mon clitoris et - l'esprit vient vite au filles - elle le suçait avec une science innée, pressant sa base entre ses lèvres serrées tandis que sa langue en agaçait le sommet. Et elle continuait de fouiller mon vagin épanoui qui retrouvait enfin les sensations disparues avec mon mari.

Bien que complètement bouleversée par la violence de ce que je ressentais, je réussis à agripper les hanches de Nancy avec qui je me retrouvais quasiment tête bêche, l'attirais à moi et plongeais ma tête entre ses cuisses. Cette fois, je ne me contentais pas de la lécher gentiment et tendrement comme je l'avais fait auparavant, je la dévorais littéralement. Je lui avais replié les jambes sur la poitrine de sorte que sa fente toute entière soit exposée et bien ouverte et ma langue la fouillait sur toute sa longueur, de la pointe de son clitoris à son anus palpitant. Elle était tellement enduite de mouille et de salive mélangées que mon doigt s'enfonça de lui-même dans son cul que je pistonnais avec rage.

En dépit du fabuleux plaisir qui me submergeait, une partie de mon esprit restait totalement lucide. Tout en savourant ce que me faisait Nancy, comme ce que je lui faisais, nos deux corps étroitement pressés l'un contre l'autre, nos bouches et nos mains faisant rage dans nos sexes, je nous" voyais" en quelque sorte. Ce 69 dans lequel nous étions totalement engagées et qui, pour moi comme pour Nancy, était le premier - car je comprenais maintenant qu'il ne pouvait y avoir de vrai 69 qu'entre filles et que tout ce que j'avais connu avec Phil n'en était qu'une pale imitation - me comblait totalement. Il y avait dans la symétrie de notre enlacement une perfection incroyable. Les merveilleuses sensations que j'éprouvais me semblaient remonter de mon sexe jusqu'à ma bouche pour se déverser dans celui de ma petite amante qui me les renvoyait à son tour en s'amplifiant à chaque seconde. Et bien que je me sente au bord de l'orgasme, celui-ci semblait se reculer au fur et à mesure que je m'en approchais. Cela en devenait presque douloureux.

J'entendais, comme venant d'un autre monde, les plaintes et les gémissements que nous poussions de plus en plus fortement tant le plaisir nous envahissait. Je sentais Nancy se cabrer sous mes coups de langue comme je me sentais rouler des hanches pour qu'elle me fouille encore mieux de sa bouche et de ses mains et cela ajoutait encore à ma jouissance.

Brutalement, ce fut l'apothéose simultanée, l'explosion d'un orgasme d'une intensité incroyable qui nous fit nous rouler de droite et de gauche sur le lit sans que nous nous détachions le moindre l'une de l'autre. Et tout cela accompagné de cris qui, bien que quelque peu étouffés par notre mutuel gougnottage, n'en résonnaient pas moins fort dans la chambre.

Il nous fallut plusieurs minutes pour dénouer notre étreinte et nous retrouver, encore haletantes et couvertes de transpiration, dans les bras l'une de l'autre. Nancy me regardait avec adoration, ses immenses yeux violets encore agrandis par les cernes bleuâtres que nos étreinte avaient fait naître. De mon coté, je ne pouvais me rassasier de la vue de cette adorable enfant blottie contre moi qui avait si bien su combler, non seulement mon corps, mais mon cœur. Car, j'en étais sure maintenant, j'étais amoureuse d'elle, non comme j'aimais mes amis, ou même ma fille, mais comme j'avais aimé Phil. Je voulais rester avec elle et qu'elle reste avec moi. Rien ne pouvais plus nous séparer. Le fait qu'elle était une fille, une petite fille impubère qui n'avait même pas onze ans, que j'étais une femme mariée - veuve - qui en avait vingt quatre, mère de famille, de surcroît, rien de cela ne m'effleura. - Je t'aime, Ellen, je t'aime tellement...

Elle venait de briser le silence qui s'était installé pendant que nous reprenions notre souffle. Pour toute réponse, je lui souris et, me penchant vers elle, je l'embrassais longuement.

- Hummm..., tu sens moi...

- ...et toi, tu sens moi... mais, comment sais tu que c'est ton odeur?

Elle parût confuse et enfouit sa tête dans mon épaule pour me répondre d'une voix étouffée:

- ...je me touche, de temps en temps, pas très souvent depuis le jour où ma grande tante m'a surprise et m'a dit que c'était très vilain de faire ça...

- Tu le fais depuis longtemps?

- Je ne suis pas sure. Depuis que mes parents sont morts, je crois... J'avais cinq ans...et là je ne le faisais presque plus... jusqu'à ce que tu arrive, acheva-t-elle d'une voix très basse...

Bien que nous venions juste de faire l'amour d'une façon plus que satisfaisante, cette révélation m'excita fortement:

- Tu te caressais en pensant à moi?

- Tous les jours, depuis le premier jour où je t'ais vue...

- Mais pourquoi? Tu avais envie de faire... des choses avec moi...

- ...non..., je ne sais pas..., je ne me doutais même pas qu'on pouvait faire ce que nous venons de faire..., non, simplement j'avais besoin de le faire quand je pensais à toi... Ce n'est que hier au soir que j'ai eu envie de te faire des choses... et j'ai encore honte en y pensant...

- ...mais pourquoi as-tu honte? Tu m'aimes, n'est ce pas? Oui, bon, et moi aussi je t'aime! Tout est permis à ceux ou celles qui s'aiment. Il est absolument normal de s'embrasser et de se caresser comme nous l'avons fait. Il est absolument normal de donner du plaisir à ceux que nous aimons...

Je me faisais véhémente...

- ...je n'ai absolument pas honte de t'avoir laissé me branler et me sucer, au contraire, pas plus que je n'ai honte de t'avoir branlée et sucée, et même d'avoir mis un doigt dans ton petit cul... A propos, es ce que tu as aimé?

- ...mmmmm... oui, beaucoup, je n'imaginais pas que ce soit aussi agréable de se faire chatouiller là... tu me le referas, dis?

- Bien sur, ma chérie, autant que tu voudras, et tu pourras me faire tout ce que tu voudras et me caresser partout où tu en auras envie...

- C'est ça que tu faisais avec ton mari?

- Bien sur, ...et quantité d'autres choses aussi, par ce que nous nous aimions énormément...

J'étais un peu émue qu'elle évoque Phil en un pareil moment, me remémorant nos douces habitudes passées. Elle dut le sentir car elle se fit plus câline dans mes bras:

- Tu me montreras, dis, je voudrais t'aimer comme lui et essayer de te rendre aussi heureuse que tu l'as été... Mais je ne sais pas, alors tu m'apprendras, n'est-ce pas?

Cette enfantine anxiété me ravit et m'amusa en même temps. Bien entendu, j'allais être sa maîtresse, dans tous les sens du terme.

C'était vrai que j'étais une lesbienne de très fraîche date mais je me fiais à mon expérience des choses du sexe et aussi à la sensualité innée que j'avais senti en elle. Elle aussi était une lesbienne aussi peu expérimentée que moi, mais elle avait admirablement répondu à toutes mes initiatives et elle avait su en prendre. Je me sentais aussi satisfaite de corps et de coeur que si mon époux m'avait baisé et pourtant Nancy était une fille et il lui manquait certaines choses, quoique...

En attendant, je décidais de la mettre à l'épreuve d'autant que mon désir se réveillait tout doucement:

- Tu veux me montrer comment tu faisais, ma chérie?

Elle parut surprise et quelque peu honteuse.

- Là, comme ça, maintenant?

- Oui, là et maintenant, j'ai très envie de te voir...

- Je n'oserais jamais...

- Tu peux le faire puisque nous nous aimons... et cela me ferait tellement plaisir...

Elle hésita encore un peu, puis, toute rougissante, se dégagea de mes bras et s'allongea à coté de moi. Je me tournais vers elle, ma tête soutenue par mon bras replié, la considérant avec avidité. Notre hâte à faire l'amour ne nous avait pas laissé le temps de nous déshabiller complètement. Elle paraissait ainsi plus nue que nue, sa petite chemise défaite couvrant encore une de ses épaules, sa courte jupe haut troussée s'enroulant, comme une ceinture, autour de sa taille et, le plus extraordinaire, sa culotte de coton blanc toujours entortillée autour de sa cheville.

Elle était ravissante ainsi, sa tête aux traits fins reposant sur l'oreiller, les yeux clos, un demi sourire errant sur ses lèvres. Mes yeux ne se lassaient pas de parcourir son corps mince et inachevé nacré par la lueur des bougies, les épaules rondes, la poitrine surmontée des deux minuscules renflements de ses seins naissants couronnés de tendres pointes roses que sa main s'attachait à faire saillir, la taille si fine, les hanches à peine rondies et, sur le petit ventre plat, le sexe bombé et bien fendu où se glissait déjà son médius, tandis qu'elle repliait, en les écartant, ses longues jambes fines pour le mieux exposer.

Pendant que je l'admirais ainsi, elle continuait, une de ses mains frôlant sa poitrine et agaçant ses tétons, l'autre poursuivant sa masturbation d'un doigt précis. Elle semblait, en dehors de ces légers mouvements, aussi insensible et inerte qu'une statue et, seuls les légers frémissements de ses hanches et aussi la précipitation de son souffle montraient que le plaisir la gagnait. Cela devint évident quand un léger gémissement filtra entre ses lèvres disjointes, bientôt suivi d'un autre, puis d'un troisième et d'autres encore...

Je n'y tins plus et, me relevant, je m'installais en tailleur face à ma petite amante, mes jambes repliées sous moi et mes cuisses bien ouvertes. Sans cesser d'observer avidement son branle qui s'accélérait, je dirigeais mes mains vers mon sexe brûlant, l'une s'enfonçant profondément en lui pour le fouiller et l'autre saisissant mon clitoris sous son capuchon pour le manipuler avec force.

Peut être alertée par mes mouvements, Nancy ouvrit les yeux à ce moment et eut un sourire extasié en me voyant. Ses yeux attachés à mes mains me brûlaient tant que je fus prise d'une frénésie à laquelle elle répondit par la même frénésie. Nous nous masturbâmes avec fureur, avec rage, et fîmes si bien qu'en un rien de temps un orgasme gigantesque nous emporta toutes deux ensemble.

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