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Published: 30-Jan-2013
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Ce mercredi aurait pu être un mercredi comme les autres. Chaque semaine, ce jour-là, Elodie, ma fille reçoit son amie Nadège et comme un rituel bien réglé, les deux filles s'enferment dans un petit cagibi, au fond du jardin. Ce frêle bâtiment était initialement prévu pour remiser les outils de jardinage mais ne sert plus guère depuis mon divorce d'avec mon mari. Ce cagibi, construit avec des planches de récupération, était devenu le coin secret de ma fille et de son amie. Je comprenais, qu'à 13 ans, elles avaient besoin d'un coin bien à elles. D'habitude, vers 16 h, elles revenaient à la maison où je leur avais préparé une substantielle collation mais aujourd'hui, il était déjà 16 h 20 et elles n'étaient toujours pas là. Aussi, je me décidais à aller à leur rencontre.
Arrivée devant la porte, je m'apprêtais à frapper quand, les mots que j'entendis stoppèrent mon geste.
- Dépêches-toi Elodie, disait Nadège, il est tard. Il ne te faut pas une plombe pour jouir quand même. D'habitude t'expédie cela en 5 minutes.
- T'as raison, répondit ma fille, mais d'habitude ce n'est pas le troisième orgasme.
- Tu n'avais qu'à pas commencer!
- C'est de ta faute après tout, tu n'avais qu'à pas me parler de la queue de ton frère. Vas-y, racontes encore. Il a baissé son pantalon devant toi et...
- Tu exagères, ça fait trois fois que je te le raconte. Son sexe pendait entre ses cuisses alors il a pris dans sa main et l'a secoué. Presque aussitôt je l'ai vu enfler, devenir long et raide. 'Elle te plait ma queue' disait mon frangin et comme je ne bougeais pas, il a continué à l'agiter. ' Je parie que tu n'as jamais vu une queue de garçon' continua-t-il ' Tu te branles aussi petite soeur? Ca m'étonnerait, t'es bien trop conne'. Sur ces paroles il a accéléré ses mouvements et plusieurs jets de liquide blanc ont jailli de son sexe et se sont écrasés à 20 cm de moi.
Tout en écoutant ce qui se disait, j'ai fait le tour de la cabane et par la fente d'une planche mal jointe je regardais ce qui se passait à l'intérieur. Elodie avait la jupe coincée sous le menton et, le derrière nu, jambes écartées, elle frottait son minou avec ardeur.
- Nadège, disait-elle, montres-moi ta chatte.
- Non, dépêches-toi, ta mère va s'inquiéter. Veux-tu que je t'aide?
Sans attendre la réponse d'Elodie, Nadège s'approcha de ma fille et glissa sa main entre ses cuisses qui apprécia cette caresse car, presque aussitôt, elle se mit à jouir.
Je rebroussais vivement chemin pour ne pas me faire surprendre et rejoignit la maison. Je faisais semblant de m'affairer quand elles arrivèrent.
- Enfin dis-je, je m'apprêtais à aller vous chercher.
- Excuses-nous maman mais nous n'avions pas vu qu'il était si tard.
Pendant qu'elles mangeaient je les regardais du coin de l'oeil. Aujourd'hui je les voyais d'un oeil différent. Elles n'étaient plus gamines mais presque femmes. Pendant un instant je me revis à leur âge. A 13 ans il y avait longtemps que je connaissais la masturbation. Moi aussi, j'ai pu apprécier les caresses d'une autre main que la mienne sur ma chatte quand, avec ma meilleure amie, nous nous branlions mutuellement. Malgré ce dont je venais d'être témoin, j'avais encore du mal à croire qu'Elodie était dans la période où la sexualité prenait beaucoup d'importance et où la découverte de son corps passait inexorablement par la masturbation.
Le goûter terminé, les filles se laissèrent choir dans le canapé et par ce mouvement, la jupe de ma fille se souleva et me permit de constater qu'elle n'avait pas remis sa culotte. Cette vision me troubla.
Le soir même, ayant toujours devant les yeux, le spectacle de ma fille se masturbant, je renouais avec cette pratique que je pensais avoir totalement occultée. J'avais commencé par me mettre nue devant le miroir de l'armoire. J'avais détaillé toutes les parties de mon corps et de cet examen, Malgré mes 35 ans, j'en ai retiré une image plutôt flatteuse, mis à part mon pubis broussailleux, qui demandait un sérieux toilettage.
Toujours face au miroir mais assise sur le bord du lit, j'ai écarté les jambes et passé en revue tous les replis de ma chatte. Cet examen, qui m'obligeait à passer mes doigts dans les moindres recoins, me procurait de douces sensations qui se changèrent bien vite en une véritable excitation. Ma mémoire n'avait pas oublié les gestes que j'avais faits tant de fois pendant mon adolescence. Et ma jouissance est venue, très forte. C'était la première depuis mon divorce mais je savais que dorénavant, ce ne serait pas la dernière.
J'attendais le mercredi suivant avec impatience. Quand Nadège arriva sur le coup de 14 h. Je trouvais qu'elle et Elodie prenaient trop de temps pour se désaltérer, je n'avais qu'une hâte c'est qu'elles aillent s'enfermer dans leur cabane. Enfin elles quittèrent la maison. Je leur laissais 5 minutes d'avance et d'un pas alerte, je courus rejoindre mon poste d'opération. Elles ne parlaient pas très fort et je devais faire un effort pour comprendre leurs paroles.
- C'est long une semaine disait ma fille. Combien de fois t'es-tu branlée?
- Je ne sais pas, au minimum une fois par jour donc je dirai une dizaine de fois. Et toi?
- Comme toi je pense? Peut-être un peu plus. Cette semaine j'ai eu l'impression que quelque chose avait changé. Je ne sais pas vraiment quoi, il me semble que c'est dans le comportement de ma mère. Elle me regarde davantage, elle me parle plus facilement, me pose des questions sur toi, ta famille. On dirait qu'elle se doute de quelque chose.
- Tu te fais des idées et puis même, que l'on se caresse, que l'on pense au sexe, ce n'est pas un délit. Elle a dû passer par là, ta mère comme la mienne certainement. Justement ta mère est bien seule depuis trois ans au moins?
- Oui, 3 ans ?.
- Elle a un nouvel amoureux?
- Non, pas à ma connaissance. Pourquoi?
- Tu ne t'es jamais posé la question de savoir si elle avait une vie sexuelle? Et si elle n'a aucune relation, peut-être qu'elle se caresse, elle aussi?
- Ma mère! Se caresser! Pas possible.
- Pourquoi?
- Parce qu'elle a 35ans et que c'est ma mère.
- Ma mère en un peu plus de quarante et elle se masturbe.
- T'en es sure, tu l'as vue.
- Non entendue.
- Mais elle n'est pas divorcée elle. Elle a un mari.
- Oui, mais avec son métier de routier international, il est souvent absent.
J'écoutais avec attention tout ce qu'elles disaient. J'osais glisser un oeil entre les planches disjointes. Les filles étaient assises en bouddha, face à face et sans culotte. Tout en parlant elles passaient un doigt distrait sur leur minou.
- Tu n'as jamais essayé de la voir? Demanda Elodie.
- Bien sur que si! Mais je n'ai pas réussi. Pourtant j'aurai aimé la voir. J'aurai voulu savoir si sa chatte était différente des nôtres. En tout cas elle est plutôt expansive quand elle prend son pied, à tel point que j'ai du me faire jouir aussitôt, tant j'avais été excitée par ses gémissements.
Leurs doigts, maintenant, s'activaient un peu plus vite. Ce spectacle devenait excitant. Je voyais le moment où, moi aussi, j'allais devoir faire comme elles. Je résistais toutefois à l'envie qui me tiraillait le bas ventre.
- A propos de ta mère, repris Nadège, je la trouve plutôt bien gaulée. Suppose qu'à ce moment elle entre et nous dit: 'Alors, les filles, comme ça on se fait du bien, en douce'.
- Elle dirait plutôt, corrigea Elodie:' Vilaines vicieuses, vous n'avez pas honte!'
- Qu'est-ce que t'es négative Elodie chérie, moi je verrais bien ta mère venir vers nous et remplacer nos mains par les siennes. Tu te rends compte, se faire branler par elle.
- T'es vraiment une grosse salope Nadège, pourquoi ne pas te faire branler par ta mère?
- Parce qu'on est chez toi. Mais si ma mère le voulait, je n'y verrais pas d'inconvénient.
- Vilaine gouine, renchérit Elodie.
- Justement en parlant de gouine, si on échangeait nos mains. A défaut de celle de ta mère, la tienne fera l'affaire.
Nadège et Elodie se branlèrent mutuellement. Ce que venait de dire Nadège à mon propos m'avait profondément troublé. Imaginer que je puisse masturber ma fille et sa copine m'avait plus bizarrement excité que révolté et, tout naturellement, ma main prit le chemin de mon entrejambe. Ma jouissance survint en même temps que la leur et aussitôt je m'éclipsais.
Quand Les filles arrivèrent pour le goûter, elles avaient une mine réjouie et les yeux un peu cernés. Je ne sais ce qui s'est passé en moi ce jour-là, toujours est-il que je me mis à détailler Nadège avec un oeil nouveau. Pourquoi? Peut-être parce qu'elle m'avait associé virtuellement à leurs jeux. Aussi je remarquais qu'elle faisait un peu plus femme qu'Elodie. Ses formes généreuses, ses cheveux bruns, ses yeux noirs, la faisaient plus mature. Nadège s'aperçut que je la fixais et planta ses yeux dans les miens. J'essayais de soutenir son regard un moment mais je fus obligée de le détourner. Durant les 20 minutes qui précédèrent son départ, nous n'avons pas arrêté de nous chercher du regard. Nadège, assise dans le canapé au côté d'Elodie, n'arrêtait pas, par des mouvements qui se voulaient involontaires, d'ouvrir et de fermer le compas de ses jambes, me laissant voir, par moment, son sexe nu. Et moi, je répondis à cette provocation par des mouvements aussi involontaires que les siens qui lui permirent de voir ma culotte.
- Au revoir Madame, à mercredi prochain me dit Nadège.
- Assez de Madame, appelles-moi Julie.
Et lorsqu'elle fut suffisamment éloignée de ma fille, je rajoutais:
- A mercredi ou à un autre jour. C'est quand tu veux, tu es ici chez toi.
Nadège me sourit. Elle semblait avoir compris le message.
Ce soir-là, dans mon lit, je me remémorais les mots de Nadège mais aussi les images de son sexe à peine entrevu. Et, quand l'orgasme me secoua, ce fut les doigts de Nadège qui m'emmenèrent au septième ciel.
Nadège connaissait l'emploi du temps de ma fille aussi ne fus-je guère surprise lorsque, l'après-midi où Elodie suivait des cours d'équitation, je vis apparaître Nadège. Il faisait très beau et, seulement vêtue d'un maillot de bain deux pièces, j'étais allongée sur un transat le long de la haie de troènes. Nadège s'approcha, se pencha sur moi et en me saluant, me fit la bise.
- Bonjour Madame, excusez-moi, bonjour Julie.
- Bonjour Nadège, répliquai-je d'un ton que j'essayais de rendre le plus naturel possible malgré l'émotion qui m'étreignait.
- Elodie est là?
- Non, elle est au centre équestre.
- Ah, oui, c'est vrai, je l'avais oublié. Dans ce cas je ne vais pas vous embêter plus longtemps.
- Tu as le temps, Nadège, je m'ennuie quand ma fille n'est pas là. Entrons si tu veux, tu prendras bien une boisson. Il fait chaud aujourd'hui.
Comme je m'y attendais, Nadège accepta ma proposition. Pendant qu'elle sirotait son soda, je la regardais. Mon dieu, que m'arrivait-il. J'étais en train de fantasmer sur cette gamine. Peut-être me rappelait-elle la copine de mon adolescence, celle qui m'avait fait découvrir la masturbation, celle dont j'étais tombée follement amoureuse après qu'elle m'eut conduit au plaisir grâce à ses caresses, à ses baisers, à sa langue sur mon sexe. Un lourd silence s'était installé. Je voyais bien que chacun de nous voulait dénouer cette situation. Tant pis, me dis-je, je me jette à l'eau, essayons de ne pas la brusquer, de lui montrer que je ne suis pas son ennemie, au contraire.
- Nadège, puisque nous sommes seules, j'aimerai aborder, avec toi, un sujet plutôt délicat.
A ces mots, Nadège sortit de sa torpeur, me regarda avec de grands yeux brillants, contente certainement que je rompe ce silence la première.
- Oui, Julie, tout ce que vous voulez, bien que je me doute de ce dont vous désirez m'entretenir.
- Et à quoi penses-tu ? Demandai-je curieuse.
- De la cabane, enfin de ce que nous faisons dans la cabane. Ai-je vu juste?
- Tout à fait, Nadège, comment as-tu deviné?
- Je sais que vous nous écoutiez mercredi dernier ainsi que le mercredi précédent.
- Ah, répondis-je en devenant rouge comme une pivoine. Tu en as parlé à Elodie?
- Non, bien sur que non.
- Pourquoi?
- Je ne voulais pas l'affoler et, comme vous ne lui avez fait aucune remontrance, elle m'en aurait touché un mot, j'en ai déduit que vous n'étiez pas furieuse contre elle ni contre moi par la même occasion. Et si vous n'étiez pas en colère, c'est que vous compreniez qu'Elodie et moi, pouvions avoir une vie sexuelle.
- Bonne déduction, fis-je, en essayant de paraître naturelle. Oui, je vous ai vu et entendu continuai-je en appuyant bien sur le mot 'entendu' et encore oui, je vous comprends pour avoir été jeune moi aussi. Mais ce qui m'a surprise ce sont tes paroles me concernant. Les pensais-tu vraiment ou était-ce par pure bravade.
- Je les pensais réellement et je les pense toujours. C'est vrai que vous êtes souvent présente dans mes pensées, le soir, quand j'ai des envies polissonnes.
- Quand tu te caresses donc, si je traduis bien ta phrase.
- Oui et puis, n'ayons plus peur des mots, quand je me masturbe.
- Tu fantasmes donc sur les 'vieilles'. Bon! Que tu penses que je puisse participer à tes plaisirs solitaires pour les rendre moins solitaires passe encore mais quand je t'ai entendu dire que je pourrai y associer ma propre fille comme toi ta propre mère, là j'ai du mal à comprendre.
- C'est normal que cela vous choque, vous ne savez pas ce qu'a été ma vie avant que je fasse connaissance d'Elodie.
- Non, bien sur, Nadège que je n'en sais rien alors, racontes-la moi, veux-tu, demandai-je, curieuse.
- Promettez-moi de ne la répéter à personne. Jurez-le moi!
- Je te le jure!
- Bien, reprit Nadège, je vous fais confiance. Voilà, j'avais environ 10 ans quand j'ai entendu, au travers de la porte de sa chambre, ma mère gémir fortement.
- Oui, ça je le sais, tu l'as dit à Elodie dans la cabane.
- Oui, mais je ne lui ai jamais dit que j'avais aussi regardé par le trou de la serrure et j'ai vu ce que ma mère faisait. Elle se frottait le minou. Moi qui pensais que ce n'était pas bien de se toucher la foufoune, je fus étonnée que l'on interdise aux enfants ce que l'on se fait soit même, bien que maintenant je la comprends.
- Bien, dis-je, jusque maintenant il n'y a pas de quoi fouetter un chat.
- Attendez Julie, ce n'est que le début. Après avoir assisté un bon moment au spectacle que m'offrait involontairement ma mère et jusqu'à bout de son plaisir, je le sais maintenant, c'est à dire jusqu'au moment où elle se mit à agiter sa main plus vite et à crier plus fort, j'ai rejoint ma chambre et, bien entendu, j'ai reproduit sur moi les caresses que j'avais vues.
- C'est logique, répondis-je, et tu as eu du plaisir.
- Non pas ce jour-là. Juste agréable. Mais j'ai recommencé et, en tâtonnant, j'ai trouvé les endroits sensibles et j'ai eu mon premier orgasme.
- Toujours pas de quoi fouetter un chat ajoutai-je.
- Vous avez raison. J'avais découvert la masturbation et ses plaisirs et j'en usais sans modération. Bien entendu, dés que l'envie me prenait je ne pouvais pas résister et un jour, croyant ma mère sortie, je me procurais un petit plaisir dans le salon quand elle rentra plus vite que je ne pensais et me surprit en pleine action. Elle me gronda et moi pour me défendre, je lui racontais que je faisais comme elle. Ma mère vint alors s'asseoir prés de moi, me prit dans ses bras et en me berçant, elle me dit: 'Ma petite fille, qui est devenue tout à coup ma grande fille'. J'étais bien dans ses bras. Elle me cajola un bon moment. Moi qui n'étais pas allé jusqu'au bout de mon plaisir, mon désir se réveilla et croyant n'avoir plus rien à craindre de ma mère puisqu'elle m'avait vu et, en quelque sorte, pardonné, je replaçais ma main entre mes cuisses et repris ma masturbation. Ma mère eut le réflexe de poser sa main sur la mienne pour m'empêcher de continuer mais se ravisant, elle la laissa dessus et l'accompagna même dans son mouvement. J'écartais alors mes doigts et se furent les siens qui entrèrent en contact avec ma chatoune et quelques secondes après je me mis à jouir. Ma mère m'embrassa sur le front en me répétant encore:' Nadège, ma petite grande fille', puis elle rejoignit sa chambre.
L'histoire que venait de raconter Nadège me laissa pantoise. J'aurais dû être choquée mais non. Après tout une mère est là pour faire plaisir à ses enfants. Un instant je me suis mise à sa place. Aurai-je caressé Elodie si je m'étais retrouvée dans la même situation. Non, sûrement pas, quoique... Le doute s'installa dans mon esprit.
- Je suppose, que ta mère se trouvait honteuse?
- C'est ce que j'ai cru moi aussi mais, quelques minutes plus tard, les cris que j'entendis ressemblaient beaucoup à ceux que je venais de pousser un instant plus tôt. Je crois que l'excitation avait pris le pas sur la honte.
- Vous avez recommencé?
- Ensemble? Non, à mon grand regret d'ailleurs, mais depuis, mes fantasmes s'orientent souvent vers les femmes adultes.
- Comme moi?
Ces deux mots étaient sortis de ma bouche spontanément. Nadège était là, devant moi. Je visualisais la scène qu'elle venait de me raconter et je mouillais.
- Oui comme toi, me dit elle dans un souffle. Mercredi dernier j'ai senti que quelque chose se passait entre nous. Depuis je ne pense qu'à ça. Que je suis ici dans ton salon où je suis entrain de me faire une petite gâterie, que tu entres et que tu....
Nadège ouvrit ses cuisses et amena sa jupe vers ses hanches.
- Tu la vois ma chatte, je n'ai pas mis de culotte. Elle est déjà ouverte et trempée. Tu entres et tu me surprends en train me branler.
Ces mots crus dans la bouche d'une si jeune fille me fit frissonner. Nadège glissa un doigt dans sa fente.
- Je me branle et j'aime ça ajouta-t-elle.
Avec deux doigts elle sépara ses petites lèvres.
- Regardes mon clitounet, il est déjà tout dur.
Je regardais sa tigelle déjà bien développée qu'elle titillait du bout de l'index. J'étais toujours en maillot de bain deux pièces et la tâche de mouille qui ornait le fond de ma culotte, allait en s'élargissant.
- Tu me vois, et tu viens t'asseoir prés de moi continua-t-elle à me demander.
Comme un automate, je fis ce qu'elle me demandait.
- Tu poses ta main sur la mienne. Oui, comme ça, tu la sens ma main, elle s'agite. Accompagne le mouvement, oui, c'est bien, maintenant glisses tes doigts entre les miens, oui, aaaaah... Branles-moi, Julie, branles moi.
Mon index s'enfonça dans sa fente onctueuse à souhait puis alla s'occuper de son bouton que je trouvais facilement tant il était volumineux pour une fille de son âge. Ses paroles allèrent crescendo et soudain elle jouit. Sa mouille inonda mes doigts. Je sentis son sexe continuer à battre puis lentement les spasmes s'atténuèrent.
- Maintenant, articula Nadège avec peine, maintenant tu ne te sauve pas, tu ne fais pas comme ma mère. J'aurais tant aimé, après qu'elle m'aie fait jouir, qu'elle restât à mes côtés, qu'elle me dise combien elle avait aimé me caresser, combien elle aimerait que je la caresse à mon tour.
Je jouais le jeu.
- Ma petite Nadège, je suis heureuse de t'avoir fait jouir. Moi aussi, j'ai envie maintenant. Veux-tu me rendre heureuse.
- Oh oui, maman chérie, que veux-tu que je fasse?
Elle m'avait appelé maman, mais cela ne me gênait pas.
- Veux-tu me faire comme je viens de te faire.
- Non maman dis-moi, avec des mots.
- Ma petite fille (je continuais à jouer le jeu), Caresses-moi la chatte.
- C'est mieux, enlèves ta culotte.
J'ôtais mon slip de bain.
- Maintenant maman, écartes les cuisses et ouvres bien ta chatte.
Je fis ce qu'elle souhaitait.
- Regardes ma fille, regardes la chatte de ta mère. Vois comme je mouille, vois comme mon bouton est gros et dur. S'il te plaît! Branles-moi.
- Oh, maman chérie, comme j'aime la façon dont tu me demandes de te branler.
Ses doigts trouvèrent tout de suite les bons endroits et le bon rythme. Il est vrai qu'elle avait de l'entraînement avec Elodie. En tout cas, dextérité de sa part ou excitation extrême pour moi, j'ai joui rapidement mais Nadège, en véritable diablesse, réussit à me maintenir en état d'excitation si bien, que je laissais sa main me caresser et repartis très vite vers un deuxième orgasme. Sans m'en rendre compte ma main avait aussi repris ses caresses sur la chatte de Nadège et cette fois-ci, nous avons éclaté simultanément.
Un bon moment nous sommes restées sans bouger avec chacune une main posée sur le sexe de l'autre, sans faire de mouvement, savourant l'instant présent. Nous savions que si, l'une ou l'autre se mettait à remuer les doigts, nous ne pourrions pas, malgré notre fatigue, nous empêcher de repartir à la recherche d'un nouvel orgasme.
- Julie, me dit tout bas Nadège, tu sais maintenant pourquoi j'avais tant envie de tes caresses, mais toi, pourquoi as-tu craqué sur moi?
- Ma Nadège chérie, tu n'as pas hésité à te confier à moi, à mon tour maintenant de te dire mon secret. C'est une histoire que j'avais complètement occultée depuis des années et qui est remontée à la surface le ce fameux mercredi où je vous ai surpris toi et Elodie. Je devais avoir 8 ou 9 ans, ma tante, la soeur de ma mère, qui habitait très loin de chez nous et que, par conséquent nous ne voyons guère, était venue nous rendre visite à moi et à mes parents. Elle était flanquée de ses deux filles, deux jumelles de 11 ans. Bien entendu nous avons joué ensemble. Alice et Chloé, se sont leurs prénoms, avaient essayé de m'initier à leurs jeux qui n'avaient rien de comparable avec les miens. Sous le prétexte de jouer au docteur, elles s'auscultaient mutuellement et, rapidement, leurs culottes furent ôtées, et leurs mains palpèrent leurs foufounes. J'étais intriguée par tant de hardiesse et je restais là à les regarder, médusée. Leur gestes devinrent plus précis et bientôt que les entendis glousser. Puis, toujours le bas du corps dénudé, elles se mirent sur le dos, côte à côte et me demandèrent: 'Alors cousine, tu veux toucher toi aussi?'. Devant mon refus elles se levèrent, me déculottèrent et, pendant qu'Alice me tenait, Chloé passa un doigt dans la fente de mon minou. Comme je me débattais et criais, Alice s'assit sur mon visage et par des mouvements de bascule, caressait son minou avec mon nez. Chloé continuait ses caresses sur mon sexe et je commençais à trouver la chose agréable si bien que je ne me débattais plus. Après plusieurs minutes de ce traitement, mon corps fut traversé par une sorte d'éclair, je venais d'avoir mon premier orgasme aussitôt suivi par celui d'Alice qui me mouilla la figure. Chloé, pour ne pas être en reste, frotta sa chatte sur ma jambe et jouit à son tour.
Pendant la semaine que ma tante resta chez nous, mes cousines et moi avons joué très souvent au docteur. Le soir comme nous couchions dans la même chambre, je voyais souvent une des jumelles rejoindre l'autre et dans la pénombre, je devinais qu'elles continuaient leurs jeux mais cette fois en plaçant leurs têtes entre les jambes de l'autre. De mon côté, je me caressais seule car la découverte du plaisir sexuel avait été pour moi une vraie révélation.
Par malheur, mes parents nous surprirent. Ma tante essaya bien d'expliquer qu'à leur âge, c'était normal. D'ailleurs, quand j'y repense et avec le recul, j'ai la conviction que ma tante avait des tendances pédophiles et que si les jumelles étaient si précoces, leur mère devait y être pour quelque chose car il n'était pas rare que le matin, Alice ou Chloé et même les deux parfois, se réveillaient dans la chambre de leur mère. Je repense aussi à ma tante qui, me prenant sur ses genoux, avait la fâcheuse manie de me caresser les cuisses, allant jusqu'à mon entrejambe. Mais mes parents furent intraitables et ma tante et ses filles durent partir. Je ne les ai jamais revues. Je fus si vertement sermonnée et punie que j'oubliais totalement ce passage de ma vie surtout qu'y ayant pris beaucoup de plaisir, je me sentais encore plus fautive. Ce n'est que vers 17 ans, quand je fis la connaissance de mon futur mari et ayant pour lui une forte attirance sexuelle, que j'ai recommencé à me masturber le soir dans mon lit. Il faut dire qu'il me chauffait terriblement. Quand il m'embrassait, il me caressait la poitrine et appuyait fortement, sur mon ventre, la barre de son sexe bandé.
En résumé, pour répondre à ta question, si j'ai flashé sur toi peut-être est-ce à cause du plaisir que j'avais pris avec mes cousines, que ton jeune âge et tes relations avec Elodie me rappelaient.
- Tu aimes les très jeunes filles et moi les femmes mûres, Nous sommes donc fait pour nous entendre. Mais l'histoire de tes cousines avec la possibilité que ta tante ait pu être leur initiatrice, m'a fait beaucoup d'effet. Tu dois t'en rendre compte puisque ta main est toujours sur mon minou.
En effet, Le sexe de Nadège était trempé. C'est beau la jeunesse. Elle venait d'avoir deux orgasmes successifs et pourtant elle était prête pour le troisième. Je décidais de le lui donner mais pas trop vite. Je voulais encore savoir des choses et, si je la maintenais en état d'excitation, je pouvais lui faire avouer ce que voulais. Alors je me contentais dans un premier temps de faire quelques légers va-et-vient entre ses petites lèvres.
- Dis-moi, Nadège, tu en es où avec les garçons? J'ai cru comprendre que tu avais un frère plutôt déluré?
- Mon frère! Parlons-en! Un véritable obsédé. Quand l'occasion se présente il se masturbe et son plus grand plaisir est de le faire devant moi. Je dois le regarder jusqu'à l'éjaculation. Je n'ai pas pu refuser car il connaît ma relation intime avec Elodie et il exerce sur moi une sorte de chantage. Au début j'avais même trouvé cela excitant mais au bout de 3 ou 4 fois ç'est devenu lassant. Mais je ne pouvais plus reculer.
- Il n'a jamais essayé d'aller plus loin avec toi?
- Si. Dans un premier temps il m'a demandé de dévoiler ma poitrine. Comme mes seins ne sont guère volumineux, j'ai accédé à son désir. Puis, tu dois t'en douter, il a voulu voir mon minou. Au début j'ai refusé mais toujours ce fameux chantage alors j'ai exposé mon sexe à son regard et, dans le fond, cela m'arrangeait car il éjaculait bien plus vite.
- Et ses désirs se sont arrêtés là? Jamais il n'a voulu te toucher?
- Non, je crois qu'il avait malgré tout des principes. S'il trouvait possible que frères et soeur puisse se regarder intimement, je crois qu'il n'aurait jamais pu avoir de gestes déplacés.
- Mais toi, tu n'avais pas envie de connaître plus intiment le sexe masculin?
- Non! Et si j'avais voulu, j'aurai pu m'éduquer avec bien d'autres garçons que mon frère.
- Tu pouvais te branler devant lui?
- Moi, me branler devant cette grosse tige de chair? Non merci. Devant une belle chatte, comme la tienne, oui, ça j'aurai bien voulu.
- Tu es donc une vilaine gouine?
- Si tu le dis, ajouta-t-elle en souriant, d'ailleurs qu'attends-tu pour me branler plus franchement?
- J'attends que tu me racontes des choses que tu as faites ou dont tu rêves. Si ton récit me plait, je suis prête à te faire jouir avec ma langue.
Nadège eut un grand frisson. L'éventualité qu'elle puisse jouir sous ma langue était un de ses plus grands fantasmes.
- Un jour commença Nadège, ma mère avait fait une réunion, à la maison, pour une démonstration de lingerie féminine.
- Genre Tupperware dis-je mais les boites plastiques étaient remplacés par des petites culottes.
- Oui, c'était cela. J'avais douze ans et ma mère me permit d'y assister. La vendeuse présentait les différents modèles et les amies de ma mère ainsi qu'elle même, allaient les enfiler dans la salle de bain attenante et revenaient nous les montrer. Physiquement les femmes étaient toutes différentes. Cela allait de la grande maigre à la petite boulotte, de celle qui avait de gros nichons à celle qui avait un gros cul. Souvent les parures, en fine dentelle quasi transparentes, laissaient voir les tétons, surtout ceux qui étaient proéminents et de couleur sombre mais aussi leurs toisons plus ou moins fournies allant jusqu'à, pour une, déborder sur les côtés du slip et pour celles qui étaient épilées on pouvait deviner les détails de leurs sexes.
- Tu devais être aux anges?
- Plutôt deux fois qu'une. Je me suis peu à peu désintéressé de la vente et je me suis concentrée sur le corps de ses femmes, me demandant ce qu'elles pouvaient faire ensemble quand deux ou parfois trois se trouvaient réunies dans la salle de bain. Elles devaient bien se montrer entièrement nues à un moment donné. Mon esprit s'est mis à imaginer. Des corps qui se frottaient, des mains, des lèvres qui s'égaraient, des sexes qui mouillaient, des clitoris qui bandaient. Oui, Julie, branles-moi, elle te plait mon histoire? Oui, comme ça, continues...Donc, toutes ces femmes en chaleur et ma mère aussi excitée qu'elles, ma mère qui m'aurait demandé de venir les rejoindre de m'occuper de leurs chattes brûlantes et de laisser leurs mains s'occuper de ma chatte toute aussi bouillante que la leur.
A ce moment du récit, narré avec tant de conviction par Nadège, je me voyais, comme elle, au milieu de toutes ses femmes qui se léchaient mutuellement. Je me suis alors laissée tomber aux pieds de Nadège et ma bouche se posa sur sa chatte. C'était la première fois de ma vie que je faisais un cunnilingus. Pour Nadège aussi c'était une première.
- Oh oui! Suces-moi. J'en ai tellement rêvé. Ta langue, tes lèvres sur mon bouton...Je sens que... Ouiii!
Quand le jus de la jouissance inonda ma bouche, je jouis à mon tour sans avoir dû me toucher.
Nadège resta immobile durant un bon quart d'heure, semi inconsciente. Lorsqu'elle émergea, elle me sourit, m'embrassa et recueillit sur mes lèvres un peu de son nectar.
- A toi maintenant Julie, racontes-moi, excites-moi...
- Je voudrais bien mais il est trop tard maintenant. La prochaine fois...
- Quand, demain?
- Comme tu y vas. Non demain c'est impossible, il y a Elodie tu comprends. Disons lundi prochain.
- Une semaine à attendre, c'est une véritable torture.
- Allons, Nadège, sept petits jours ce n'est pas le bout du monde et puis tu sais comment t'occuper. Tu penseras à moi. Mais j'y pense, mercredi, tu viens toujours voir Elodie.
- C'est vrai, je l'avais complètement oubliée.
- Ce n'est pas gentil, c'est quand même grâce à elle que nous avons pu faire connaissance.
- Oui mais elle va vouloir qu'on s'amuse ensemble.
- Oui et alors?
- Je n'en ai plu tellement envie maintenant que je t'ai, toi.
- Ecoutes, ne changes pas trop tes habitudes, elle va se douter de quelque chose. Fais comme si rien n'a changé, tu sais que je ne serais pas loin, que je vous espionnerez alors fait jouir ma fille et toi, quand ton plaisir viendra, je saurai que tu penses à moi et sache que je jouirai moi aussi en entendant ta jouissance.
Quand Elodie revint de son cours d'équitation elle huma le salon que je n'avais pas eu le temps d'aérer et me regarda. Je ne sus pas si elle avait senti l'odeur de corps ayant jouis mais elle me regarda d'un air inquisiteur.
Quand, mercredi arriva, je vis entrer Nadège et mon coeur se pinça. J'étais jalouse. Que m'arrivait-il? Etais-je tombée amoureuse? Dans un premier temps je décidais de ne pas les espionner mais la curiosité l'emporta. Je sentais que Nadège manquait d'entrain. Elle, qui d'habitude s'empressait, cette fois-ci, me sachant à l'écoute, tergiversait ce qui semblait énerver ma fille.
- Allons Nadège, dépêches-toi, qu'est-ce que tu attends, tu n'as pas envie? Regardes ma chatte, je mouilles comme une folle.
- Je ne sais pas, j'ai l'impression que ta mère se doute pour nous. Tu n'as pas eu cette impression toi! Elle nous regardait bizarrement la semaine dernière.
Nadège gagnait du temps. Si elle continuait sur cette voie et à ne parler que de moi, bien que cela me fît plaisir, c'est Elodie qui va avoir des doutes. Heureusement ma fille prit les devant et commença à caresser la chatte de sa copine. Connaissant son tempérament, elle ne pourra, tenir très longtemps. En effet quelques minutes plus tard, après un long silence, les gémissements que j'entendis ne laissèrent aucun doute sur le plaisir qu'elles prenaient.
Malgré ma promesse, je ne me suis pas touchée et je suis retournée à la maison. Quand les filles revinrent, j'ai senti qu'il y avait de l'orage dans l'air. Le goûter fut vite bâclé. Nadège partit et Elodie s'enferma dans sa chambre.
Des semaines passèrent. Entre Nadège et moi c'était le grand amour. Outre les lundi après-midi, nous arrivions à nous voir d'autres jours. Ce jour-là nous allions au cinéma et isolées au fonds de la salle, nous arrivions à nous donner bien du plaisir.
Et vint ce fameux jour où, Nadège et moi, étions en pleine séance de cunnilingus réciproque quand je vis, sous mes yeux, une paire de botte de cheval. Je relevais la tête au grand dam de Nadège qui était sur le point de jouir.
- Alors maman, tu me fais cocu. Ce n'est pas bien ça!
A ma grande surprise Elodie venait de prononcer ces mots avec un ton empreint de gaîté. Je la regardais alors. En effet, ma fille, avait le sourire aux lèvres.
- Elodie, râla Nadège, tu aurais pu attendre que je jouisse avant d'entrer.
J'étais abasourdi par ce dialogue. Ainsi Nadège et ma fille étaient de connivence. Je restais un moment sans voix, mon regard allant de l'une à l'autre. Je me relevais suivie de Nadège et nous nous sommes regardées. Elle et moi étions nues au dessous de la ceinture, seule Elodie était vêtue normalement. La situation me paru tellement burlesque et du coup, ma fureur s'envola et, toutes trois, avons éclaté de rire.
- Bon, finissais-je par dire, je ne voudrais pas mourir idiote, expliquez-moi.
Elodie prit la parole.
- D'accord maman, assieds-toi, mais couvres-toi un peu, non pas parce que je trouve cela laid, au contraire, mais ça risque de me déconcentrer. Toi aussi Nadège.
- Mais, répondit Nadège, je n'ai toujours pas joui!
- Bon, d'accord continua Elodie, branles-toi et jouit une bonne fois.
- Pourquoi, me branlerai-je alors que vous êtes deux! Une de vous pourrait au moins s'occuper de moi!
- Ecoutes, c'est ça ou rien. Décides-toi!
Nadège plongea sa main entre ses cuisses.
- Bon, d'accord mais alors regardez-moi.
Elodie me prit la main et dit:
- Allons maman, un bon geste, regardons cette chienne en chaleur s'envoyer en l'air.
Nadège ne mit guère de temps pour jouir.
- Maintenant, repris Elodie, revenons au pourquoi de ma présence ici. D'abord, maman, tu dois savoir que je suis au courant de ta liaison avec Nadège depuis plusieurs semaines maintenant. Comment l'ai-je su? C'est simple en fait, je sentais Nadège s'éloigner de moi et je me doutais qu'il y avait quelqu'un d'autre dans sa vie. A force de la cuisiner, elle a fini par craquer et j'ai su que c'était toi sa nouvelle conquête. J'étais furieuse mais Nadège sut si bien défendre ta cause et la sienne que je lui ai donné mon absolution.
- Mais pourquoi demandai-je, avez vous décidé de tout me révéler, à moi?
- Parce que, continua Elodie, la confession de Nadège est allée encore plu loin. T'as-t-elle parlé de sa mère? De ce qui s'était passé entre elles?
- Oui, répondis-je, un simple attouchement.
- Et avec son frère?
- Oui aussi, rien de vraiment alarmant.
- Ca, c'est sa version soft car, dans la réalité, Nadège et sa mère ont continué à avoir des relations pas chastes du tout et que sa mère hébergeait son fils dans sa chambre quand son mari n'était pas là. Nadège fut mise au courant de cette relation quand sa mère lui demanda de participer à ses ébats, offre qu'elle a déclinée. Tu t'en sûrement rendue compte, Nadège n'aime que les femmes.
Je restais coite. Je regardais Nadège avec des yeux ronds. Comment m'étais-je laissée abusée par cette gamine? L'amour rend aveugle, certes, mais quand même, quel aplomb!
- Tu me déçois Nadège, moi qui pensais que tu avais quelque sentiment à mon égard?
- Mais j'en ai Julie mais je suis contre l'amour exclusif. J'aime mon corps, j'aime qu'on me donne du plaisir. J'aime aussi en donner, tu as du t'en rendre compte. Aussi que ce soit avec ma mère, Elodie ou toi, qu'importe!
- Et toi Elodie, comment vis-tu cette situation?
- Au début très mal. Mais Nadège m'a fait rencontrer sa mère. Nous avons beaucoup parlé toutes les trois et petit à petit, j'ai admis que Nadège et sa mère pouvaient s'aimer autrement que platoniquement. Et, petit à petit, la discussion devint plus chaude. Les mains de Nadège caressaient de plus en plus précisément sa mère qui se laissait faire et se mit bientôt à faire de même. Ma présence ne les gênait pas, au contraire, il me semble qu'elle agissait comme un catalyseur. Bientôt chacune d'elles, eut la main entre les cuisses de l'autre. Je n'aurais jamais cru être émoustillée par un tel spectacle mais je l'étais bel et bien. Elles s'aperçurent très vite que j'appréciais le show qu'elles me proposaient et de leurs mains libres, elles me caressèrent. Mon corps était parcouru de frisson et allait à la rencontre de leurs attouchements, des attouchements qui eurent rapidement raison de résistance. J'ai joui, très fort, sans retenue. Depuis nous nous retrouvons souvent et j'ai découvert, avec elles, les caresses buccales qui amplifièrent l'intensité de mes orgasmes. Mais que t'arrive-t-il maman?
Ce qu'il m'arrivait? L'idiote! Comment rester zen quand votre fille vous parle de caresses, de jouissances. Sous le regard des deux gamines, je me suis branlée et faite jouir et je suis sure que c'est plus le regard de ma fille que celui de Nadège qui a déclenché mon plaisir.
- Eh bien, me dis Elodie quand je repris mes esprits, si on m'avait dit qu'un jour je verrai ma mère se masturber devant moi.
- Et moi devant ma fille continuai-je.
Puis, m'adressant à Nadège.
- Puisque tu mens si bien, l'histoire que tu m'as racontée sur cette réunion chez toi, avec ta mère et ses amies, était-ce réel ou une fiction.
- Les deux, répondit Nadège. Que ma mère (elle me l'a avoué plus tard) et une ou deux de ses amies se sont gouinées dans la salle de bain, c'est vrai. Par contre, que l'on ait eu recours à mes services, malheureusement là, c'est sorti de mon imagination. Mais il y a encore une chose que tu dois savoir.
- Encore, m'écriai-je, ne croyez-vous pas que j'ai eu assez d'émotions pour aujourd'hui?
- Il s'agit d'Elodie, reprit Nadège. Je crois que tu sais sa curiosité sur la sexualité masculine? Et bien elle a accepté de participer aux ébats de ma mère avec mon frère.
- Tu...Tu... n'est plus vierge... Arrivai-je à peine à articuler.
- Mais si maman, j'étais curieuse sur le fonctionnement du sexe masculin et avec Pierre, le frère de Nadège, et en présence de sa mère qui jouait le rôle de professeur mais aussi de garde fou, j'ai pu enfin me documenter. J'ai pu voir une queue de prés, un belle queue bien raide, j'ai pu la toucher, la caresser, la sucer, la voir et la faire éjaculer. J'ai vu aussi comment elle pénétrait dans le sexe d'une femme quand il baisait sa mère.
- Bon, dis-je, tu me rassures mais en ce moment, tu ne trouves pas que ton attitude dénote un peu?
- Comment ça, s'étonna Elodie?
- Nadège et moi sommes cul nu et toi, tu as toujours ton pantalon. Alors qu'attends-tu? Je viens d'apprendre que tu t'occupes de la mère de ton amie et tu ne t'occuperais pas de ta propre mère?
Je me suis allongée sur la moquette et 20 secondes après j'avais la bouche de ma fille sur ma chatte et ma langue lui broutait le minou.
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