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Published: 27-Dec-2012
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C'était en juillet 1995, j'étais alors un animateur bénévole dans une colonie de vacances dans le département du Rhône. J'étais pour l'occasion seul responsable d'un petit groupe d'ados âgés de 12 à 14 ans. La colonie était divisée en plusieurs groupes, qui devaient pendant quinze jours demeurer autonomes dans la campagne et les forêts des collines, pour tous se retrouver ensuite afin de faire part de leur expérience. Cela avait pour but d'apprendre aux jeunes à vivre en communauté et en harmonie avec la nature.
Mon groupe était composé de douze garçons et huit filles. Les tentes comprenaient quatre places. Le premier soir, je leur expliquai que la mixité est obligatoire dans la société et nécessite donc que chaque tente ait deux garçons et deux filles. Après de brèves contestations, je fis preuve d'autorité et l'idée fut acceptée. Une seule tente n'avait que des garçons dus au nombre restreint de filles à l'âme aventurière.
Le lendemain matin, à 8 heures, je sonnais le réveil par coups de bout de bois sur une casserole, et les premières manifestations de pudeur vinrent enfin. En effet, si pour dormir la plupart n'avaient ôté que leur jean pour dormir en tee-shirt et caleçon, la loi sanitaire que j'avais imposée voulait que les sous-vêtements soient changés chaque matin. Je proposai donc que les garçons se changent dehors alors que les filles dedans, ce qui se fit. Dans l'esprit d'une disparition progressive de cette gêne, j'exigea, strictement, que seulement cinq minutes pouvaient être consacrées à l'habillement ? officiellement pour ne pas perdre de temps. Dès le matin suivant, les conséquences se firent voir : dans leur hâte, certains garçons avaient encore l'érection matinale. J'avais en effet omis de laisser du temps pour la masturbation, naturelle pourtant surtout à cet âge. Je repérais un garçon qui semblait ne pas se soucier du regard des autres, un brun aux yeux bleus de 13 ans du nom de Thibaut. Il enfila son caleçon, mit un nouveau tee-shirt et boutonna son jean.
Dans l'après-midi, j'ai demandé à ce que les garçons m'accompagnent pour ramasser du bois. Une complicité s'installait entre eux et moi, et nous nous mîmes à discuter de la philosophie des vacances d'été. Nous parvînmes à conclure que c'était un moment où il fallait oser de nouvelles choses, vivre l'instant présent sans avoir de comptes à rendre le lendemain. Je leur fis remarquer que de très jolies filles se trouvaient dans le camp, et petit à petit certains se décoinçaient et laissaient paraître leurs envies. Je profitais de ce moment pour distribuer à chacun, en déclarant qu'ils n'étaient plus des enfants, une poignée de préservatifs que j'avais achetés pour l'occasion. Je leur demandai s'ils savaient s'en servir, et s'en suivit un jeu avec des morceaux de branches à celui qui déroulerait le plus correctement la capote, en n'oubliant pas de pincer le réservoir. Ils étaient captivés comme rarement ils ne l'avaient été, et leurs yeux brillaient d'une envie évidente de s'initier aux joies qui leurs étaient tabous jusqu'à présent.
La suite de l'après-midi une partie de football s'organisa. Tous mirent leur short, mais je demandai à ce que les garçons se mettent torse nu pour éviter une déshydratation due à trop de transpiration. Le mois de juillet est idéal comme prétexte à l'enlèvement des vêtements... Le soir, autour du feu, tard afin que les ados soient fatigués et ne soient donc plus tout à fait maîtres de ce qu'ils font, je proposai l'organisation du fameux jeu où bâton utilisé comme toupie désigne en retombant la personne à embrasser. Je procédais à un vote quant aux règles, et par un oubli de précision volontaire, arriva à ce que deux personnes de même sexe, désignés par le hasard, soient obligées de s'embrasser au milieu du cercle, sous peine de rejet de leurs camarades jusqu'à la fin du camp. Il fallait voir le plaisir qu'ils y prenaient, au fil des demi-heures, s'enlaçant à chaque fois pendant dix secondes (la règle l'obligeait), fermant les yeux et appréciant tout autant ? j'en suis témoin ? quand il s'agissait de deux garçons ou de deux filles.
Les jours suivants je sympathisais particulièrement avec le jeune Thibaut qui fini par m'avouer le nom de celle qui le faisait envie : Claire, une fille blonde de 12 ans qui n'hésitait pas à s'habiller de façon presque provocante. Je lui proposai de lui donner une occasion pour passer à l'acte, lui disant que le camp finissant bientôt et qu'il n'aurait sans doute plus l'occasion de la revoir. Il était d'accord.
J'invitai donc tous les adolescents à aller se baigner dans un petit lac à proximité. Pendant ce temps Claire put aller à l'endroit que Thibaut avait choisi que je lui dise. Vous n'allez pas tarder à découvrir la suite que je n'ai naturellement pas manquée en espionnant caché grâce aux buissons et aux rochers.
Les deux jeunes étaient en maillot de bain, la fille par chance (c'est plus commode !) en deux pièces. Déjà informée de l'attirance qu'il lui portait, Claire finit très vite par se lancer dans un baiser langoureux, assis près de Thibaut. J'avais déjà remarqué l'aplomb de ce garçon, et cela ne faisait que ce confirmer encore plus. Pendant qu'ils s'embrassaient, ventre contre torse, Thibaut pris avec sa main gauche le préservatif, déjà débarrassé de l'emballage. Il était évident qu'il s'était déjà entraîner plusieurs fois à en mettre, car les yeux fermés, plongé dans des embrassades hypnotisant la fille, il sortit de son maillot bleu son pénis ferme et fier avec son autre main, et déroula rapidement le latex sur ce membre en érection, que j'imaginais bouillant et estimais entre dix et quinze centimètres. La fille n'avait pas vu cet organe pourtant centre de la plupart des préoccupations et de tous les fantasmes dès cet âge là. Thibaut savait que je lui avais promis de veiller à ce qu'aucun jeune ne s'éloigne du lac, et donc se sentait plutôt à l'aise. Par chance, malgré la non tenue de ma promesse, personne ne vint troubler l'éreinte.
Claire avait une tête de moins que Thibaut, et malgré ses tenues souvent dénudées ? probablement prescrites par ses parents ?, elle était plutôt timide et sans caractère. Thibaut, plus que jamais en érection, baissa un peu plus son maillot, puis allongea Claire sur le dos pour continuer à la caresser et à l'embrasser dans l'herbe. Il était pour l'occasion du genre vraiment pressé, car il ne chercha même pas à enlever le haut du maillot de la fille couvrant ses (très petits) seins. Il s'allongea plus franchement sur elle, de façon à ce que Claire n'ait pas l'occasion de bouger, et d'un geste, en levant son torse d'enfant que j'apercevais dégoulinant de sueur, il mis à nu la verge quasiment sans poils de sa copine en baissant un peu de ses deux mains la partie basse du maillot jaune de Claire. Elle fut surprise et ouvra les yeux, mais n'eut pas l'occasion de dire quelque chose, Thibaut plongeant encore plus la langue et la salive dans sa bouche. D'une vive levée du bassin, Thibaut pénétra Claire qui fit aussitôt un sursaut que j'attribuai surtout à la stupeur. Lui, prenait son pied et oublia immédiatement les baisers pour s'adonner à un va-et-vient instinctif.
Elle, commençait à devenir rouge, mais était loin d'être en osmose avec son partenaire. La vigueur de son ami l'empêchait de dire quoi que se soit, et bien vite les larmes lui vinrent aux yeux. Thibaut était conscient que Claire vivait douloureusement cette initiation sexuelle, mais n'avait pas l'intention d'arrêter avant l'éjaculation. Plus elle sanglotait et plus je vis les fesses lisses de Thibaut monter et redescendre rapidement. Soudain, au bout de cinq minutes, il s'arrêta net, le torse bombé, les yeux fermés, le visage heureux, tendu vers l'horizon, et s'en suivirent quelques à-coups annonçant la venue du sperme dans ce réservoir élastique qui faisait tant penser. Essoufflé comme après le match de foot, il poussait de longs han à voix basse, peut-être quand même un peu déconcerté par sa partenaire qui pleurait maintenant vraiment.
Voyant cela, et après que la fatigue de l'extase se fit sentir, il ne lui dit rien du tout, se leva, se débarrassa précipitamment de la capote en roulant de bas en haut comme il avait appris à le faire, et jeta le préservatif usagé dans les fourrés. Il remonta son maillot et courra au camp peut-être pour se reposer avant d'aller rejoindre les autres au lac. Claire, elle, resta un moment là, en attendant de reprendre ses esprits, remontant aussi son maillot, qui se tacha alors du sang émis par le dépucelage qui aura permis de contribuer un peu à forger le caractère de cette jeune fille. Elle devait s'efforcer d'acquiescer la chose, et puis qui l'aurait cru si elle s'était plainte ? J'aurais été témoin que rien ne s'était passé?
Le reste des vacances, ces deux là ne se parlèrent plus une seule fois et s'ignorèrent. Thibaut n'en était pas plus dérangé car son attirance pour elle était, comme chez beaucoup de jeunes, purement physique et il devait considérer qu'il l'avait simplement consommée ? ce qui promettait pour l'avenir !
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