Pasiphaé, Part 3

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Published: 14-Jan-2012

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This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

Les caméras ont été placées tout autour du monument.

La canicule accable le Colisée dont les pierres abreuvées de sang et de stupre resplendissent sous le soleil ardent de juillet. A l'ombre des péplii les belles romaines alanguies s'exaspèrent dans l'attente, malmenant leur suite de petites esclaves chargées d'agiter de grands éventails ou de leur servir des sorbets dans de grandes coupes de verre ou encore de leur délivrer de lascives caresses.

Après les scènes decombats de gladiateurs du matin l'après midi sera consacrée au châtiment des terribles ennemis de Rome ces esclaves révoltés contre leurs maîtres ces chrétiens irritants si empressés d'aller au supplice.

L'imagination sadique des bourreaux se trouve stimulée par la beauté des jeunes chrétiennes. Mais aujourd'hui c'est une adorable esclave païenne très jeune encore qui tiendra la vedette. Elle a été jugée coupable d'avoir volé une petite broche en or à sa maîtresse et condamnée à subir le supplice de la croix. Un juge pervers lui a donné la possibilité d'accomplir sa peine dans l'arène en offrant au peuple un spectacle de plus en plus demandé : mettre en scène un mythe célèbre en l'occurrence les amours monstrueux de la reine Pasiphaé et du Taureau. Si elle réussit à prendre le taureau en elle et le faire jouir sur son corps elle sera libérée. Les spectatrices veulent voir le foutre refluer de son ventre ou gicler sur son corps en longs jets. Si elle refuse elle subira le supplice du pal fatal dans tous les cas.

En réalité Aemillia est innocente des accusations portées contre elle par son maître à qui le plaisir d'accuser une innocente et de la faire conduire au supplice procure de singulières jouissances.

La jeune fille attend dans l'ombre de la salle des gladiateurs située sous l'arène. Ces geôlières, trois jeunes esclaves égyptiennes, prépare la malheureuse artiste. La voici nue le corps oint d'une huile destinée à révéler les courbes et les muscles longilignes. Une des filles accroupie fait couler de la poudre d'or sur le pubis épilé et met à profit la pause pour effleurer la chatte. Une autre qui la coiffe dépose de tendres baisers dans la nuque et la troisième peignant les lèvres et le bout de sein en carmin ajoute à la sensualité de la scène. Aemillia ne semble pas sensible a ces agaceries perdue dans sa douleur ; elle étouffe des sanglots elle sait que rien ne va arrêter le cours de sa destinée.

Les machinistes la lorgnent salement se branlant ouvertement devant elle; Mais les trompes résonnent annonçant la montée vers l'arène. Aemillia est conduite vers la machine que Pasiphaé fit construire par Dédale pour leurrer le taureau. Cette fois nulle feinte pas de peau de vache pour recouvrir le corps de la fille, elle doit bien au contraire s'offrir intégralement à la vue de la foule qui exige de distinguer le moindre détail lubrique.

La pauvre Aemillia est fixée sur une étroite banquette allongée sur le dos les membres retombant. bras et jambes grands ouverts sont étroitement liés aux pieds de la banquette la tête sans appui rejetée en arrière ;. Les larmes coulent alors que deux filles doivent la contraindre à s'allonger forçant les jambes à s'ouvrir : toute son intimité va être violemment livrée à la bestiale appréciation des spectateurs Aemillia s'en toute son intimité est violemment livrée à la bestiale appréciation des spectateurs sanglote à présent tandis que les jeunes filles préparent sa petite chatte à l'irréparable. A l'aide d'un gode d'un pied et demi de long trempé dans une pommade anesthésiante elles pénètrent la jeune femme doucement accompagnant leurs gestes de caresses poussées sur le clitoris et de baisers sur les lèvres. Le gode fini par disparaître de la vue des manipulatrices tandis que retentissent les rires graveleux des hommes présents.

La belle jeune fille est prête et la machinerie mue par les bras des hommes la hisse vers le torrent de lumière et la clameur de la foule.

Aveuglée l'amante malgré elle sent la brise brulante sur sa peau et ses oreilles sont pleines du fracas des applaudissements et des cris elle saisit quelques bribes de commentaires elle sait qu'elle n'est qu'un accessoire de chair destiné à calmer la frénésie de la foule romaine.

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