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Published: 14-Jan-2012
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La canicule pèse sur le Colisée qu'une brise torride parcours doucement sans apporter de fraîcheur. Une excitation mêlée d'impatience anime les spectateurs car un spectacle hors du commun doit se produire. Pour l'heure rien ne semble bouger dans l'arène, l'attente se prolonge et la nervosité grandi. Cependant dans les coulisses hermétiquement closes, à l'abri des regards des voyeurs, des préparatifs sont en cours. Une jolie jeune fille à la peau brune à peine pubère se déshabille lentement, tandis que de jeunes esclaves toutes plus ravissantes les unes que les autres s'agitent autour d'elle, l'une coiffe sa magnifique chevelure, une autre oint son corps admirable d'huiles aromatiques et disperse de la poussière d'or sur ses petits seins rebondis. Puis elles l'aident à revêtir une toge de soie bleue pâle brodée d'or, attachent dans sa chevelure des broches d'or ornée de pierreries, lui passent de fines spartiates aux minces lanières nouées sur ses longues jambes. Une des filles met autour de son cou gracieux un délicat collier fait de petits olibos d' ivoire. Un homme majestueux dans sa toge se tient à quelques pieds de distance surveillant les préparatifs. Quelques machinistes du Colisée près de la porte contemplent la scène la main sous la toge. Comment une petite jeune fille aussi mignonne soit-elle peut elle tenir en haleine des femmes romaines rompues au plaisir de mouiller pour les plus beaux gladiateurs, les plus violents les plus aguerris ? Comment une petite femelle même belle à rendre lesbienne la moins invertie des femmes peut elle amuser une foule de 50.000 spectateurs ?
Le jeune ange se prénomme Aemillia, c'est une esclave qui a assassiné son maître, un sénateur violent et cruel. Ce dernier lui imposait des rapports contre nature avec sa meute de chiens, ou sa mule. Au lieu d'être mise à mort sur le champ, la belle étant très attrayante fut épargnée et des juges soudoyés par les dirigeant du Colisée à la recherche d'attraction nouvelles. Elle devait servir à d'autres fins. Maintenue dans une cellule de luxe durant 2 mois jusqu'au jour de son supplice elle fut convaincue de jouer un rôle dramatique dans une pièce tragique et subir une des formes les plus exotiques et les moins communes de punition jamais conçues, une réédition du vieux mythe de Pasiphaé et du Taureau, qui consiste en l'enfournement total du membre de trois pieds de long d'un énorme taureau blanc, spécialement dressé à pénétrer les femmes. L'homme à la toge est l'organisateur du spectacle.
Les jeunes femmes ont fini de préparer Aemillia. Pour conclure elles déposent une couronne de roses sur sa tête aux cheveux bouclés, la sacrant ainsi pour accomplir le rite. Au cours des deux mois précédant, le maître à la toge s'était souvent entretenu longuement avec Aemillia dans sa cellule " Comme tu le sais ma jolie, la Reine Pasiphaé est tombée amoureuse d'un taureau blanc et s'est accouplée à lui en se dissimulant dans une vache en bois. Avec ton concours, nous allons faire revivre à nos clients cette splendide scène de foutre au centre du Colisée.
Naturellement, tu seras complètement nue pour te faire baiser par le taureau. Les spectateurs contemporains veulent voir et goûter la saveur de chaque détail de ces exécutions lubrique. Le taureau qui va t'honorer est spécialement dressé. Il te pénétrera d'abord d'environ sept ou huit pouces en profondeur. Je suis sûr que tu apprécieras et que ce sera une expérience inoubliable pour une jeune femme sensuelle. Le jus épais et gluant coulera à flot le long de tes cuisses et ton corps transpirera tandis que de multiples orgasmes t'arracheront des hurlements et des spasmes. Mais ton salut réside dans ton adresse : Pour faire jouir le taureau, il te suffira de comprimer son vit fermement à l'instant ou la pointe de cet organe tiendra à peine en toi, sur le bout le plus sensible. Il se peut que le vicieux teste ton anus de quelques coups de boutoir mais il reviendra toujours à ta chatte. Si le taureau ne lâche pas son foutre, alors tu auras perdu et tu devras accomplir le dissillio l'écartèlement la pleine pénétration. C'est un fait rarissime - je n'y assisté qu'une seule fois - mais l'empalement total d'une jeune fille est un spectacle inouï qui rend les spectateurs complètement hystériques. Lorsque la fille est assez adroite pour serrer le bout du gland et obtenir gain de cause sans dommage pour ses organes il est commun de voir les femmes romaines se masturber discrètement, mais lorsque l'on est obligé de recourir au dissilio pour obtenir le foutre du taureau ses folles se branlent nues et jouissent ensemble. Les femmes des hautes castes ont une véritable prédilection pour la cruauté la plus vive : si le commun des femmes apprécie le spectacle sexuel initial, heureux de voir le membre d'un taureau glisser dans la chatte humide et resserrée par la peur, les femmes de l'aristocratie sont fascinées par la vue d'une femme écartelée par un taureau. Pourtant revenue dans leur foyer ce sont les plus vertueuses des épouses.
Pour avoir assisté au dissillio vulgairement nommé enconement intégral je dois dire qu'il est paraît très spectaculaire mais ne semble pas trop cruel pratiqué par un bon taureau convenablement dressé. J'ai pu voir de près ce divertissement dans des arènes privées. Un de mes amis directeur de cirque avait commandé cette curiosité pour fêter une de ses amantes, Délia, une des femmes les plus cruelles de Rome.
Quand le taureau est habilement travaillé pour le dissilio, la jeune victime ressent du plaisir tout au long de la pénétration et a contrario ne soufffre que de courts instants à la conclusion du rapport amoureux. Le taureau doit avoir une excellente connaissance instinctive de l'anatomie des filles, meilleure que celle de la plupart de nos médecins pour accomplir cet empalement sans causer beaucoup de dommages préalables et permettre d'aller jusqu'au bout. La conclusion ne prend en moyenne qu'environ une dizaine de minutes la durée d'un combat de taureau.
Ce jour là une adorable adolescente assez gracile qui fut désignée parmi les esclaves présentes destinées aux plaisirs du sexe. Elle passa entre toutes les mains et fut honorée tant par les hommes que par les femmes. Quoi de plus lubrique que de baiser une fille qui va subir d'atroces tourments. Quand le taureau fut sur le point de jouir, mon ami murmura quelque chose à l'oreille de son amante. La bite du monstre pointait entre les lèvres de la bouche peinte en mauve. Le sang ruisselait par les deux orifices, par les deux paires de lèvres. Délia s'est alors dévêtue, a pris le bout saillant entre ses lèvres, se courbant gracieusement vers la bouche la petite blonde, afin de mêler baiser et succion et ainsi, embrassant longuement la victime, elle a fait venir le venin crémeux s'écartant soudain pour permettre à une fontaine de sperme ivoirin de cascader à longs jets sur ses seins et son ventre.
L'homme en toge racontait tout cela à Aemillia en lui caressant la chatte sur un ton à la fois ironique et sensuel et tout se branlant lui-même doucement. La charmante esclave trouva l'idée d'une bite de taureau émergeant de la bouche d'une fille condamnée incroyable comique excitante mais également effrayante. Cependant le dilemme qui se pose à elle ne lui laisse pas le choix. La promesse d'une profonde et entière pénétration réveillait ses désirs d'adolescente et elle fini par mouiller les doigts du conteur qui la branle. La baise finale, même si ce devait être l'ultime lui semblait un traitement moins infâmant que l'empalement ou la crucifixion. Elle laisserait au moins des souvenirs inoubliables à des milliers de romains. Il fallait encore qu'elle donne toute sa personne qu'elle soit vraiment une Pasiphaé crédible.
Les spectatrices romaines voient toujours leur plaisir décupler lorsque les condamnées, comme Aemillia sont consentantes. Les chrétiennes vont au martyr en chantant. Aux yeux de ces perverses patriciennes rien n'est plus ravissant qu'une fille marchant d'un pas joyeux vers la table des supplices.
Elles aiment surprendre le moment magique ou la fille répond d'un mouvement lascif de la croupe aux poussées du taureau, prenant le membre chaud profondément dans sa chatte.
A présent est temps pour que la cérémonie nuptiale s'accomplisse.
Aemillia, marche en tête du cortège portant gracieusement sa couronne de roses et sa longue robe brodée d'or ajustée à ses formes met en valeur sa démarche sensuelle. Cinq nymphes entièrement nues la suivent toutes plus excitantes et destinées elles aussi à d'autres jeux. Aemillia, comme Pasiphaé, monte sur un autel de marbre situé au centre de l'arène. Au sommet on a construit le cadre sur lequel elle va être disposée grande ouverte. Tout a été mesuré afin que la fille s'offre au taureau qui n'a qu'à avancer devant lui pour la pénétrer. A l'arrière du trône une mosaïque montre les amours des faunes et des bergères en Arcadie... Un frisson parcourt la foule qui anticipe ce qui va se produire. Quand l'actrice est fixée selon l'angle propice pour recevoir les assauts de la grosse verge il devient évident que le meuble est conçu pour l'exposer sous tous les angles. Il est monté sur un large socle qui tourne lentement. Le jeune machiniste qui conduit la manœuvre aide à fixer la fille. Furtivement il introduit deux doigts à l'intérieur du con lubrifié par les soins des Crétoises. Les hommes dans les tribunes sifflent pendant que les Nymphes amoureusement caressent le corps de la victime.
La clameur lorsque 3 jeunes filles noires amènent le taureau sur scène l'une tirant l'anneau fixé à son naseau l'autre trayant à pleine main la verge encore flasque les autres feignant l'excitation la troisième maniant les couilles dans ses mains en coupe. Lorsqu'elles atteignent le devant du trône, chacune des trois avec frénésie entreprend de manipuler, sucer, lécher la bite énorme du taureau suscitant très vite la levée du monstre. Elles s'emparent de l'engin l'entourant de leur bras gracieux et le brandissent vers la future amante, qui rêveuse devant la disproportion entre son tendre orifice de fille à peine pubère et la masse aveugle du gland lourd et chaud, tremble légèrement. Toutes les jeunes filles se sont mises à genoux en demi-cercle devant le trône : Aemillia à présent quitte sa longue robe transparente, et sa peau claire reluisante de baume scintille au soleil de midi. L'or pubien et les petits seins constellés étincellent, elle défait sa longue chevelure puis une des plus jolies Nymphe se lève alors lui prend la main la guide vers le bâti de bois. Elle s'agenouille et pose un baiser sur le pubis doré de sa reine. Aemillia se met toute seule en place allongée sur le dos le bas du corps entièrement offert à la foule. Aemillia écarte les jambes : mes cuisses reposent sur deux planchettes en Y de toute part la foule peut détailler son intimité et cette vue produit des effets sur les spectateurs dont beaucoup commencent à se caresser. Deux filles se lèvent pour venir sangler ses jambes et ses bras. Aemillia la tête soulevée par un coussin verra l'arrivée de son amant. La jeune nymphe s'est approchée à genoux, glissant sa langue pour lécher la fente d'Aemillia, puis l'entrée du con légèrement humide enfin elle sonde l'anus. Après ces préliminaires, il est temps pour l'exécution de commencer. La foule a trouvé le spectacle réveillé uniquement. Une des nymphes apporte une lyre s'assied sur une chaise en toile à côté de la scène et croisent haut les cuisses commence à chanter la légende obscène de Pasiphaé, dans une langue d'une crudité absolue. Le taureau blanc qui est au pied de l'estrade, beugle sourdement et bronche sans cesse frottant ses flancs au poil roide contre les corps en sueur des jeunes filles noires. Ces délicieuses esclaves le tirent alors de nouveau vers sa promise. Tournant la tête Aemillia, trouve l'animal effrayant mais c'est surtout la bite du taureau qui la surprend le plus et lui cause une montée de désir. Le sexe paraît énorme mais en même temps il se meut, comme en apesanteur, agité de légers tressautements de désir. Le bout est très effilé dur et luisant d'un diamètre bien moindre que le corps de l'organe. Il semble fait pour l'orifice d'une femelle humaine alors que la hampe est dimensionnée pour la vulve d'une déesse. Maintenant le taureau est placé entre les cuisses d'Aemillia en position pour jouer l'unique acte de cette pièce tragique, dont les différentes scènes ont été décrites par Pétrone avec cette concision obscène de la mécanique du plaisir : Dilato, Deturbo, Dirumo que l'on pourrait traduire à peu près par : dilater les sexes, positionner les corps, limer et décharger. La foule scrute les prémices de la pénétration : 0 présent Aemillia sent la chaleur du gland contre ses grandes lèvres. Une des Nymphes les écarte doucement puis guide le gland contre l'orifice vaginal. Un infime mouvement du taureau cause l'entrée du gland une d'une paire de pouces...Un cri de surprise vrille l'air de l'arène : la foule s'est tue et l'on devine l'activité lubrique en court dans les travées. Chacun respire suspendu dans l'attente de la conclusion du tableau vivant parfait : le taureau écrasant les lèvres de la chatte évasée comme des lèvres autour du bout de l'énorme organe noir rouge. Le manège garanti à chacun de jouir de tous les angles et la scène semble irréelle et pour cela si excitante. Le délicieux visage de Pasiphaé ajoute au trouble sexuel. Les larmes involontaires coulent sur les joues de la belle qui à présent disparaît presque sous son amant. Dans les couloirs sombres du Colisée, les hommes très excités racolent de jeunes prostituées - facilement identifiables à leurs cheveux teints en blond - et positionnées contre les balustrades jambes ouvertes elles se plient pour offrir leur cul à leur client qui continuent d'observer la scène dans l'arène par des de petites embrasures. Les hommes et les femmes, la femme et le taureau tout s'accouple ou se branle. Mais tandis que les femmes et les hommes libres profitent d'une semi-intimité, Aemillia et le taureau baisent à la vue de tous. Certaines tentent de deviner les pensées et les sensations de la victime, elles imaginent le choc des jets de sperme dans leur matrice le trop plein de foutre s'écoulant le long de leurs jambes. Pour Aemillia le taureau lui procure ce qu' aucun amoureux n'a jamais pu lui donner, doux chaud il l'emplit à présent de 6 pouces. Elle sait qu'il en reste tant dehors. Elle peut à présent exercer sur le bout du gland la pression qui délivrera à flot le liquide tant désiré. Mais les dompteurs romains savaient d'expérience pour avoir mené en détail le dressage complet du taureau que ce dernier donnait un plaisir tellement vif à ses victimes qu'aucune ne pouvait écourter le coït. Elles faisaient toutes le choix fatal qui les conduits à l'irréparable. " Le dissilio, le dissilio " hurlait la foule voyant que la jeune femme ne donnait pas les coups de reins fatidiques destinés à faire juter le fauve. Aemillia pressait son ventre vers l'avant sa tête relevée caressait le torse du molosse en sueur. Soudain une ovation immense salua un mouvement au niveau des tribunes impériales. La princesse Féline, nièce de l'empereur, une des plus jolies et des plus lubriques petites salopes parmi les putains de l'aristocratie romaine est entré dans l'arène, est montée sur l'estrade pour jouir d'une vue rapprochée sur les détails intimes de cette délicieuse exécution sexuelle. Le taureau a commencé à pousser avec de plus en plus d'énergie à travers la chatte humide et juteuse d'Aemillia. Avec tendresse, Féline a donné un baiser sur la bouche charmante et peinte en mauve Aemillia le souffle court après l'assaut rapide de l'animal donne de la bouche avec passion à sa noble compagne. Des poussées bien plus déterminées suivent, de plus en plus rapprochées qui provoquent l'écartèlement de la belle victime tandis que le sexe du taureau poursuit sa percée dans l'abdomen. Aemillia commence à trembler et donner du cul en l'air, mais dans l'ensemble ne semble pas trop souffrir : l'organe du taureau est charnu, mince et flexible et c'est tout autre chose et beaucoup moins douloureux que de subir l'empalement par le bois ou le métal. Féline verse doucement de l'eau sur le visage d'Aemillia pour rafraîchir la beauté, elle caresse le doux visage et l'embrasse encore et encore. Sans doute sent-elle poindre le gout du foutre du taureau. Ensuite elle glisse deux doigts dans la bouche d'Aemillia dans l'attente du bout de sexe tant désiré. Quelques mouvements sans heurt du taureau ont mis le bout corné du gland du taureau en contact avec l'estomac d'Aemillia. Elle se retient de hurler, mais son corps est de plus en plus agité de spasmes, tremble très fort comme s'il vibrait sur l'énorme queue invasive du taureau. Le sexe du taureau s'adapte à l'intérieur du corps de la jeune fille ainsi il se déplace à présent dans le cou de la belle. Des soupirs d'étonnement et des vagues immenses d'applaudissements accueillent l'émergence du gland du taureau entre les lèvres en O d'Aemillia. La musicienne joue des arpèges quelques notes dramatiques ; le manège tourne toujours lentement et le spectacle révélé peu à peu à l'ensemble de la foule fait lever une tempête de cris hystériques. Féline donne des coups de langue sur le bout de l'organe près à dégorger, puis soulevant sa tunique découvre le bas de son corps et se positionnant au dessus du visage d'Aemillia s'accroupit un peu plus et reçoit juste le bout à l'intérieur de son vagin. La chatte de Féline s'est ouverte, un ovale charnu rose pose contre le bout rouge-brun brillant du gland du taureau. Après avoir accomplit avec son cul ce qu'Aemillia a renoncer à faire, Féline retire le gland de sa chatte juste avant que l'orgasme du taureau n'éclate, projetant de grands jets de jus épais couleur d'ivoire au loin vers les gradins ou des femmes se mettent à jouir en hurlant. C'est également l'instant de l'exécution d'Aemillia. En effet le taureau la bite du taureau en gonflant double son périmètre remplissant chaque partie du corps de la fille jusqu'à la gorge elle l'écrase et l'étouffe....
L'homme à la toge se penche sur Aemillia et l'embrasse tendrement ; elle s'éveille de son cauchemard dans les bras de celui qui vient la racheter.
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