Pasiphaé, Part 1

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Published: 14-Jan-2012

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This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

Cynthia se trouve enchaînée par les chevilles dans le labyrinthe du passage sous l'arène, vêtue d'une mince et courte tunique de soie verte. Les gardiennes, deux jolies lesbiennes crétoises, l'entourent en proie au désir le plus vif. Elles défont rapidement les agrafes, laissant le vêtement glisser sur le sable. Maintenant la voici nue, la main plus audacieuse d'une des filles cherche ses fesses, pour les presser et les malaxer. La jeune fille brune à la longue chevelure d'ébène défaite sur des épaules gracile regarde dans le vague. Elle ne semble pas se préoccuper des attouchements que subit sa jolie chatte débarrassée de toute toison pubienne peut-être parce qu'ainsi elle est distraite des peurs qui surgissent par bouffée dans son âme de jeune pute à l'évocation de sa prochaine épreuve. Doucement mais fermement les jeunes filles tirent Cynthia, la condamnée, le long d'un claustra vers une cage dorée, constitué d'un arrangement curieux de barres modulables en tout sens. La cage est conçue pour accueillir un corps placé en croix, en X, elle se relève vers le haut par un ingénieux système de poulies mus depuis le sous-sol du Colisée. Du sous sol la cage émerge dans l'arène devant l'assistance parcourue d'une rumeur sensuelle comme une brise d'été. Cynthia, tremble de crainte - elle s'en remet à sa destinée - tandis que lentement tractée elle gagne le pinacle pour être vue de tous. Quand Cynthia entre dans la lumière accablante de l'arène, la clameur assourdissante de la foule enfle comme une tempête. Des tribunes les plus proches Cynthia perçoit les commentaires. " Voyez la, face au ciel prête pour le rôle de sa vie cette pute splendide " --- " Il est temps qu'elle s'enfile de la bite comme aucune autre fille depuis Pasiphaé ",-- " Le taureau va la sonder jusqu'à la gorge et lui remplir le ventre la gourmande" --- " Oh je n'en peux plus je mouille tellement, qu'elle baise la salope " - et une voix de femelle aiguë et passionnée ajoute - " Oh comme j'aimerais être à sa place ne serais ce qu'un instant" " quelle crève emplie de foutre cette belle putain " La cage avait été astucieusement conçu pour montrer outre le buste, le compas largement ouvert des longues jambes écartées, les grandes lèvres et l' anus roses biens mis en évidence - le soleil donnant violemment sur cette tendre chair intime . La belle allongée sur une sorte de poutre à plat ventre bras liés dans le dos les seins pesant doucement vers le bas le menton relevé par un coussin la croupe enfin cambrée à dessein pour que tout les détails lubrique de sa féminité soient lisibles offre un spectacle irrésistible. L'architecture si bien pensée du Colisée permet à quiconque même situé très loin de percevoir le plus infime détail et d'entendre le moindre soupir. Au premier instant Cynthia se sent humiliée d'être ainsi exposée à la vue de la foule, mais une autre pensée la fait mouiller : des milliers de regards se délectent de la vision de sa fente humide, femmes lesbiennes enlacées se caressant mutuellement et hommes bandant comme des ânes. Invisible pour la victime, parce hors de son champ de vision, le taureau, magnifique animal blanc, large de torse, beugle son désir, le membre en demi arc agité de légers tressautements et déjà presque en position, balancé dans son harnais à l'aide d'un treuil juste au-dessus et derrière la cage. Un mélange d'odeur de vulve de vache et de fille lui est passé sous les naseaux par une des jolies crétoises à présent entièrement nues.

Cynthia à d'abord senti le souffle chaud des naseaux entres ses cuisses. Le jeune machiniste conduit l'engin de levage au moyen d'une roue démultipliée qui permet des mouvements très précis. Il abaisse le taureau jusqu'à ce que le bout effilé de l'énorme membre s'ajuste exactement contre la fourche de Cynthia. Lentement son vit croît : commence la présentation. Le taureau est hissé vers le haut et la foule découvre l'impérieux membre demi raide qui à présent s'adapte doucement à l'orifice humide de Cynthia. Il s'est redressé, a grossi et Cynthia commence à gémir, la mouille commence à couler à oindre l'intérieur de ses cuisses. Le taureau est de nouveau tiré vers le haut et la foule stupéfaite observe combien le vit de l'animal a grossi dès la première immersion dans la douce humeur de la chatte. Le vit s'est allongé de deux pieds ou plus, sans effort, il atteint à présent les lèvres intimes de la belle victime entrouverte sans que l'on aie besoin de l'approcher au moyen de la machinerie. La chair à la teinte rouge brique, tendue de désir, pénètre plus avant de quelques pouces dans le conduit de Cynthia. La fille continue de produire de la mouille entre ses cuisses pour mieux accueillir l'envahisseur. Elle donne à présent du cul vers l'arrière comme pour se solidariser du vit monstrueux. Son corps tremble pour se premier assaut. En donnant un léger mouvement à la roue les machinistes du treuil ont la possibilité de laisser tomber et de relever le taureau de quelques pouces pour produire un mouvement rythmique. Cela dure de longs instants de délire pour la fille ouverte et pour le public en rut. Cynthia gémit de plaisir et de douleur. On retire de nouveau l'animal et Cynthia repose les yeux mi-clos, épuisée par les poussées du taureau. Une des acrobates du Colisée, Liviana une splendide fille de 19 ans, est entrée dans l'arène, ces jolies petits seins nus, portant autour des reins une courte jupe en soie transparente.

Elle présente à la foule deux objets destinés à jouer un rôle dans la mise en scène - Une longue ferulae ou tige de mesure et un plateau rond avec un objet métallique en forme de demi-sphère.

Liviana s'agenouille sous le taureau et fait courir ses dents sur tout la longueur de la bite très raide, mordant doucement, avant de coller l'extrémité du gland contre ses seins et de s'en frotter les tétons puis le pubis. Liviana s'est approchée de la fente de la belle Cynthia et entreprend de la lécher en détail. Le grand phallus noir presque brillant lui inspire de la convoitise mais aussi de la crainte. Il pulse doucement sur son épaule contre sa joue tandis qu'elle goûte le con de la victime. Le taureau et sa femelle sont à présent au maximum d'excitation. C'est alors que les deux crétoises libèrent Cynthia et Liviana prenant la ferulae la place contre la " tige " de l'animal - et annonce une longueur de presque 3 pieds. Cynthia est amenée par les Crétoises auprès de Liviana, qui avec un sourire place une extrémité de la tige à côté des lèvres gonflées de la chatte de Cynthia. L'autre extrémité atteint le haut des seins et la foule réalise tout de suite la signification terrible de cette démonstration lubrique.

Liviana dévore la bouche de Cynthia, lui caresse la chatte, puis, à genoux, les deux filles pompent tour à tour l'amant de Cynthia. Après cet épisode les crétoises reconduisent Cynthia à sa place tandis que Liviana se masturbe doucement. Cynthia est à présent solidement enchaînée sur la plateforme, le corps étroitement ligoté. De nouveau le pénis du taureau se présente à l'entrée palpitante, mais à quelques pouces de la chair il est arrêté par le geste précis du machiniste. Liviana prend sur le plateau, l'objet demi sphérique qui brille au soleil. Personne dans la foule n'a encore compris l'usage de cet ustensile que brandit Liviana. C'est un cylindre argenté de taille moyenne et creux, une reproduction assez réaliste du gland d'un taureau. A la place de la fente urinaire et séminale l'artisan a forgé une pointe argentée menaçante et cruelle. L'objet aurait pu paraître habilement façonné si l'on avait pu oublier sa sinistre destination. Liviana porte cet objet singulier à sa bouche, collant sa langue sur sa surface, puis se griffe les seins du bout de la pointe jusqu'à faire perler le sang. Cynthia dans l'attente, ressassait sa crainte d'être envahie jusqu'à l'estomac mais tempérée du désir d'être à la hauteur. Liviana plonge le gode dans un pot de pâte bleuâtre, une décoction de plantes à base de pavot censée réduire la douleur. Le gode facilitera le plaisir du taureau en forant le passage à travers les entrailles de Cynthia, rendant la fente de la fille douce comme une vulve de vache.

De quelques secousses habiles de la main, Liviana dirige la bite du taureau à l'aplomb du corps grand ouvert, elle fixe le gland en métal par-dessus le gland merveilleux du monstre beuglant. Puis sans transition, incité par un coup de trique judicieux, le monstre entre de nouveau dans Cynthia tandis que la foule hurle sa lubrique cruauté. Cynthia ressent d'abord vivement l'arrivée du métal et la déchirure de la pointe, puis - contraste délicieux - les veines gonflée à rompre du monstrueux organe. Le taureau évolue plus lentement en raison des sensations moins vives à l'extrémité de son pieu, mais Cynthia vient toujours à lui d'un divin et mortel mouvement de cul. Elle s'émerveille de la manière dont le sexe augmente de diamètre en elle, serpent boa, musculeux, vivant, dans le corps duquel coure un feu de volupté. Cynthia se met à hurler, se mord les lèvres sous les coups de boutoir de la pointe d'acier glissant à travers son abdomen. Elle souffre -fulgurance- - une fusée de douleur - mais bien moins qu'elle ne l'avait pressenti, et la douleur se trouve équilibrée par une vague de plaisir in dicible qui lui fait venir des larmes : son beau visage noyé de pleurs, tourné vers la foule attise les désirs.

Les machinistes ont une nouvelle fois retiré le taureau tandis que Liviana dépose l'artifice en métal. La foule peut apprécier l'écarquillement du sexe de la belle palpitant à l'intérieur du con la gaine rose parcourue d'onde de plaisir et le vit luisant de mouille du taureau. Mais déjà ce dernier débarrassé de son peu naturel appendice d'acier, glisse ardemment de nouveau dans Cynthia, cette fois allant plus profond dans sa cavité d'abdominal. Certains spectateurs avaient déjà vu des actrices jouer des scènes semblables, " prendre le bout " d'un taureau, mais de telles performances semblent bien pâles à côté de ce qui se déroule à présent. Tous - y compris les femmes - préfèrent que la condamnée soit tenue d'accueillir tout le taureau en elle. Une fille condamnée à mort affranchi de toute limite et garanti l'absence de simulation. Cynthia offre le spectacle atroce et complet dans tous ces détails et chacun se branle en observant les ébats lubriques de cet accouplement inouï. Une pause courte -encore une- s'en suit. Ces pauses marquent la montée vers l'orgasme de la foule chauffée à blanc prête à tout les débordements - Liviana la férulae à la main mesure le chemin parcouru dans le corps de la très jolie victime. Elle indique que le vit du taureau à l'intérieur de Cynthia se situe a mi-chemin au dessus du nombril - et pour mieux préciser elle fait courir sa main dans une caresse équivoque suivant une ligne approximative qui va du pubis au menton de la petite pute.

Liviana annonce d'une voix claire et forte: " Tauros in alvus ". Alors elle se débarrasse de sa jupe, et s'accroupit nue une main pressant le vit du taureau, se masturbant frénétiquement de l'autre. Elle jouit, secouée longuement de spasmes qui mettent en valeur toute la grâce de son corps d'adolescente puis elle sort lentement de l'arène sous les applaudissements et les cris enthousiastes.

À partir de ce moment là les organisateurs ont décidé qu'il n'y aurait plus de distractions, aucun épisode secondaire. Ils veulent capter l'attention de la foule pour l'apogée de l'acte d'amour entre Cynthia - jouant Pasiphaé - et le taureau. Une musique très douce s'élève alors.

Cette foule chaque jour demande plus et plus encore pour voir des choses que seuls les dieux de l'Olympe ont pu voir - le glissement de cette chair massive, ténébreuse, enfilée enfin jusqu'au couille dans ce que la nature à produit de plus doux et de plus tendre : le corps délicat d'une jeune esclave de 18 ans, belle à juter sans se toucher.

Quoiqu'il puisse en coûter à la fille, à sa santé, à son intégrité physique, la foule insatiable veut que la performance finisse par l'écrasement des boules énormes du taureau contre les pudenda roses de la jeune fille. Le taureau donne de l'arrière train à toute allure baisant et rebaisant Cynthia tout au long de son corps. Cynthia demi consciente sent toujours un plaisir de plus en plus diffus- elle jurerait sentir contre l'anneau des muscles de sa chatte distendus la montée du foutre dans le long tube d'amour. Soudain elle ressent également la douleur - une douleur envahissante - l'intérieur de son corps pressé vers sa gorge. A cet instant le gland minces du taureau atteint la bouche de Cynthia et ses boules reposaient à présent tout contre sa petite chatte écarquillée. Ce court instant coïncide avec l'asphyxie de la belle. L'assistance crie son approbation, le foutre coule dans les travées. Bien qu'à l'agonie Cynthia est alors agitée par une suit démentielle d'orgasmes. Elle sent le taureau son merveilleux amant commençant d'émettre son jus épais en jets puissants tandis qu'il poursuit son avancée meurtrière. Cynthia a jouit encore et encore, haletante comme une chienne. La petite extrémité raide du vit du taureau pointe entre ses lèvres du haut et commence à gicler de grands jets de sperme blanc gluant les crétoises à genoux reçoivent l'hommage et leurs visages leur longue chevelures et leurs petits seins en sont couverts. Alors d'un ultime mouvement de reins le taureau exécute la sentence et clos la tragédie, la belle suspendue a sa hampe ayant quitté ce monde sous les huées de la foule insatiable se trouve promenée sous le montre empalée sous le ventre du héros.

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